Aristote, par Annick Stevens - 6. L'ontologie.

แชร์
ฝัง
  • เผยแพร่เมื่อ 28 ก.ย. 2024
  • Aristote, un fondateur méconnu, par Annick Stevens, 6ème séance.
    II. Physique et métaphysique.
    b. (suite) L'ontologie
    24/10/2016
    Université populaire de Marseille au Théâtre Toursky
    Compléments d'information:
    www.universite-...

ความคิดเห็น • 21

  • @crmefmarrakchessaouira1283
    @crmefmarrakchessaouira1283 7 ปีที่แล้ว +1

    Excellente communication a propos d' un philosophe qui mérite d’être objet de recherche pour multiples raisons.
    MES OBSERVATIONS :
    proposition, s’appuyer sur des diagrammes , tableaux ,schémas, dans le but de résumer d'une manière au préalable l'objet, afin de pouvoir le commenter, et au reste ,permettre a l'auditoire et les lecteurs un moyen didactique .a part ceci, je vs remercie sur l'effort déployer en matière de méditation .

    •  7 ปีที่แล้ว

      Merci pour votre suggestion, j'y penserai.
      Bonne écoute, à bientôt
      Annick

  • @melodiechopin9652
    @melodiechopin9652 7 ปีที่แล้ว +1

    Un vrai plaisir ! Merci, pour ce partage.

  •  5 ปีที่แล้ว +3

    Pour faciliter la lecture d'Aristote, Annick Stevens vient de faire paraître le livre "Aristote, un fondateur méconnu" aux éditions l'Atinoir, Collection Université populaire. Il constitue un complément du cycle sur Aristote, plus complet et plus détaillé dans les explications. On peut le commander en librairie ou chez les distributeurs en ligne.
    Bonnes lectures et écoutes à tous!

  • @jeanbordes8241
    @jeanbordes8241 2 ปีที่แล้ว +1

    Tout à fait excellent

    •  2 ปีที่แล้ว

      Merci! Bonne continuation à vous!

  • @thomas23s
    @thomas23s 3 ปีที่แล้ว

    Les deux cours sur la Métaphysique sont passionnants et très clairs, avec un parcours par les livres gamma, lambda, theta. Faute de temps sans doute, le livre Z n'a pas vraiment pu être abordé. Peut-être qu'en lisant votre ouvrage "L'ontologie d'Aristote", je comprendrai votre analyse de la substance dans Z. J'ai lu que Z a été qualifié d' "Everest de la philosophie ancienne."

    •  3 ปีที่แล้ว +2

      Vous avez partiellement deviné :-) Je n'ai pas parcouru Z surtout parce que c'est un livre très technique, précisant le rapport entre les parties de l'ousia et celles de la définition, en relation avec d'autres propositions tout aussi techniques de l'époque. En outre, conséquence de cette complexité, c'est aussi un livre très discuté, alimentant beaucoup de controverses entre les spécialistes. Tout cela est un peu indigeste, sans grand résultat pour qui n'en fait pas son métier. En revanche, l'ouvrage auquel vous faites allusion décortique bien toutes ces articulations et en propose une lecture cohérente avec le reste de l'oeuvre... sans garantie d'être tout à fait juste bien sûr. Merci pour vos commentaires et bonnes lectures. Annick

  • @isabeldaza7280
    @isabeldaza7280 4 ปีที่แล้ว

    Excellent!!!!!!!

  • @simoncussoneytoreller8134
    @simoncussoneytoreller8134 4 ปีที่แล้ว

    à annick stevens
    mais si l' existence prece
    de l' essence , ëtre n' est donc pas une affirmation un acte. on peut ëtre " sans être ( s'affirmer se positiver ou " negativer

  • @Hermes1548
    @Hermes1548 2 ปีที่แล้ว

    Danke.

    •  2 ปีที่แล้ว

      Avec plaisir! Merci pour votre intérêt :-)

  • @sp3148
    @sp3148 ปีที่แล้ว

    Excellent cours! sauf erreur, chez Aristote, il y a 3 grands types de substances : les substances physiques (les 4 éléments, les végétaux, animaux, et les humains), les sphères célestes (mvt pur et régulier, matière éthérée), et les moteurs (formes pures).
    Or, comment classe-t-il les sociétés (cités, empires, etc), et plus généralement toutes les réalités sociales? Aristote a-t-il pensé le statut ontologique de ces réalités selon vous?

    •  ปีที่แล้ว +1

      Voilà une question difficile! Il n'y a pas de classement explicite de ces réalités (d'une manière générale d'ailleurs, Aristote ne s'intéresse pas aux classements en tant que tels mais seulement en fonction des distinctions nécessaires pour un domaine donné; ainsi, la division que vous indiquez entre trois types de substances est valable selon le critère du mouvement, mais il y en a d'autres selon d'autres critères). Dans la Politique, Aristote commence par dire qu'une cité est une "communauté" (koinônia), autrement dit un rassemblement d'humains comme il y en a de multiples autres depuis la famille. Ces communautés sont des organisations de fonctions et d'activités. Donc du "faire" (catégorie du "poiein") et en particulier de la "praxis" (action sans production d'objet) et des "pragmata": résultats des actions, les "affaires humaines". Les pouvoirs ou charges politiques sont également des actions (la délibération, le jugement, la promulgation de lois,...), et les codes institués sont des pensées, donc de l'ordre du "logos". Aucune substance dans tout cela, mais la nécessité d'être fondées dans des substances qui sont les humains.
      Merci pour votre intérêt et bonne continuation! Annick

    • @sp3148
      @sp3148 ปีที่แล้ว

      ​@ Je vous remercie infiniment pour votre réponse détaillée. Une cité et plus généralement une réalité sociale, serait donc un agrégat de substances individuelles (les humains individuels).
      Or, ne pourrions-nous pas considérer que les êtres humains sont des composés (cellules, tissus et organes, etc.), de la même manière que les réalités sociales sont produites par les individus humains?
      Autrement dit, l’analyse aristotélicienne selon la matière (les individus d'une société) et la forme (la structure sociale, avec ses lois, règles, etc.) resterait tout à fait pertinente pour décrire les réalités sociales.
      Au fond, on pourrait se demander si Aristote ne se serait pas focalisé sur les trois types de substance par une sorte d’effet polarisant autour des réalités physiques, alors qu’il en existe d’autres / autre exemple : les réalités linguistiques peuvent être analysées selon la matière (les mots), et la forme (la morphosyntaxe).
      Une telle approche permettrait de « réconcilier » Aristote avec la notion d’émergence de plans de réalités.
      J’ai tenté (modestement) cela dans un texte court (ycphotography.fr / texte / méditation crétoise)
      Un grand merci à nouveau pour votre réponse ! Yann

    •  ปีที่แล้ว

      @@sp3148 Bonjour Yann,
      Je ne dirais pas que la cité est un agrégat d'individus ni la forme d'une matière qui serait les individus. C'est une réalité d'une autre catégorie, faite de relations et de formes instituées. On a tort de croire que le schème hylémorphique est valable dans tous les domaines, du moins si l'on parle de matière physique et non de la relation puissance/acte qui, elle, se trouve effectivement partout. Il n'y a pas de correspondance stricte entre les productions naturelles (les corps organisés) et les productions humaines de type praxis. Les réalités non substances sont autant des réalités que les substances. La seule différence est qu'elles n'existeraient pas si aucune substance n'existait. Cela peut sembler de minces nuances mais cela change beaucoup de choses, notamment cette possibilité d'émergence dont vous parlez.
      Merci pour le lien vers votre site, très beau.
      Bien cordialement, Annick

    • @sp3148
      @sp3148 ปีที่แล้ว

      @ Madame Stevens, je vous remercie infiniment pour votre réponse, ainsi que du temps que vous avez accordé à mon site.
      Vous dites : « Les réalités non substances sont autant des réalités que les substances. La seule différence est qu'elles n'existeraient pas si aucune substance n'existait. »
      En effet, les réalités sociales sont tout aussi réelles que les réalités physiques, même si elles sont d’un autre ordre, dotées d’autres caractéristiques, d’un fonctionnement propre. Les agents sociaux sont par exemple conscients et animés de buts signifiants, ce qui n’est pas le cas des molécules, puisque celles-ci ne pensent pas.
      En revanche, vous placez la différence entre ces réalités sur le fait que les réalités sociales supposeraient les substances individuelles (les agents sociaux), tandis que les individus seraient les seules vraies substances, si je vous comprends bien.
      Or, mon objection consiste à remarquer simplement que les individus biologiques (comme les êtres humains), sont eux-mêmes composés d’organes, cellules, molécules etc.
      Autrement dit, Aristote n’aurait-il pas considéré comme des unités fondamentales les touts biologiques, appliquant son approche hylémorphique à ces seules réalités (matérielles, biologiques et célestes), en les considérant comme premières, substantielles, alors que nous savons depuis lors que ces réalités émergent les unes des autres, la poussière d’étoiles étant condition de possibilité des éléments lourds, qui rendent possible les macro molécules puis le vivant.
      Au fond, concernant l’utilité de l’approche hylémorphique afin de penser les réalités de façon non substantielles, j’évoquerais simplement le fait qu’une réalité sociale est un tout formé d’individus en interactions, et que ces interactions sont régulées (coutumes, morales, lois, constitutions etc.). Bien sûr, les règles d’un tout social diffèrent fondamentalement des lois biologiques ou physico-chimiques. De même la « matière » d’une société, les individus, sont d’un ordre radicalement différent. A vrai dire, ne pourrait-on pas élever la perspective en considérant les réalités internationales comme émergentes à partir du niveau inférieur que sont les acteurs étatiques (approche constructiviste d’A. Wendt)?
      Dans tous les cas, le même processus semble à l’œuvre : des touts structurés émergent et forment de nouveaux plans de réalités, même si les réalités naturelles et culturelles diffèrent sui generis, ne serait-ce que parce que les réalités culturelles et artificielles sont souvent intentionnelles et conscientes.
      Selon cette perspective, on pourrait même repenser les mythes comme une première forme de rationalité, fonctionnant par projection du mode de fonctionnement des réalités culturelles sur les réalités physiques - la Théogonie d’Hésiode, n’est-elle pas une tentative de compréhension des réalités physiques au moyen des concepts des réalités culturelles (filiation, combats, victoires et défaites, punitions, récompenses, etc.)?
      Voilà, j’espère ne pas vous importuner et vous remercie infiniment pour vos cours d’excellente qualité !
      Bien cordialement,
      Yann

    •  ปีที่แล้ว

      @@sp3148 Juste sur votre dernière phrase: oui, les mythes sont considérés comme une première forme de rationalité, utilisant des schèmes (modèles) familiers comme la généalogie pour exprimer des causalités obscures ou l'action intentionnelle pour exprimer des forces inexpliquées. A propos de l'émergence des réalités culturelles, connaissez-vous la thèse de C. Castoriadis dans son ouvrage "L'institution imaginaire de la société"? Elle vous intéresserait certainement. Je l'ai présentée en cycle ici: www.université-populaire-de-marseille.net/castoriadis_2013/index.html
      Bonne continuation à vous!

  • @laurentdelage8409
    @laurentdelage8409 7 ปีที่แล้ว +1

    Remarquable ensemble de cours. Un grand merci à vous madame.

  • @clairelenoir
    @clairelenoir 7 ปีที่แล้ว +1

    la grande classe. simplicité, clarté, rigueur.