A chaque vidéo, je suis choquée du niveau de la qualité et du professionnalisme de tes vidéos ! Rien qu'à 11:58 on aperçoit le taf incroyable que c'est d'écrire juste une vidéo ! T'es monstrueux de talent mec ! Franchement bravo à toi 🙏
Comme d'habitude, un angle inédit qui sort des chroniques habituelles sur Slender Man (j'étais passé à côté du phénomène à l'époque) et un vrai travail de référencement concernant les sources, mes félicitations pour ta video 🙌 PS : Merci de nous mettre Tender Sugar de Akira Yamaoka à 12:08 , jamais morceau n'aura été plus adéquat comme support sonore 🤓🎶
Très bonne vidéo ! Je découvre ta chaîne depuis quelques jours et c'est très réussi. Je trouve que tu as vraiment une finesse d'appréhension des phénomènes culturels. Pas seulement les jeux vidéos qui sont ton sujet central, mais avec tous les liens que tu tisses avec la culture en général et ses effets sur les individus. Tu pointes bien les fonctions sociales comme psychologique que ça peut servir dans nos sociétés. Finalement, le jeu vidéo est une forme d'art qui traduit, transmet et permet de jouer avec toutes les facettes de la vie humaine. Et c'est une manière d'éprouver, conceptualiser le réel et se l'approprier. Pour rebondir sur ta conclusion, je dirais quand même que, justement, la particularité de Slender Man est qu'il n'a pas de visage. Je pense que c'est un point clé du personnage : à mon sens, il est assez remarquable pour être une surface de projection (anthropomorphique, encore que ce soit pas forcément nécessaire mais ça facilite une forme d'identification de base avec lui), mais sans visage, il ne renvoie aucun signe interprétable, ce qui lui donne son caractère angoissant. On s'identifie un peu sur la base de son corps, mais l'endroit le plus signifiant pour l'interaction humaine, notamment des émotions, reste à jamais énigmatique. On ne peut pas savoir le fin mot de l'histoire, pourquoi il est là ? pourquoi s'approche-t-il ? Est-ce qu'il est mal intentionné ? Est-ce qu'il a même une intention ? Pourquoi se trouve-t-il dans les endroits les plus craignos du monde ? Peut-être est-il lui aussi une victime de cette atmosphère et de cet environnement ? L'impossibilité à connaitre ses états internes nous renvoie quelque chose d'énigmatique sur nos propres états internes. Il est juste une présence froide, donc paradoxale : présent et en même temps en incapacité de communiquer ou d'établir un lien. Bref, je pense que ça joue énormément sur sa capacité à créer de l'angoisse chez le joueur !
Travail de grande qualité, beau travail sur le son également qui rend le tout vraiment immersif. On se plonge dans le récit avec plaisir. Merci, j'ai hâte de la suite !
Ça faisait un bail que j'avais Slender Man : The Arrival dans ma Switch sans jamais y jouer. J'étais trop omnibulé par les Amnesia, Madison, Layers of Fear, Bendy and the Ink Machine, Outlast, The Coma, etc, etc... Mais il y'a peu, j'ai fini par le lancer. Et ben il fonctionne encore hyper bien ! Top. Je ne suis pas encore allé au bout mais je vais m'y atteler. Cool la vidéo. Peace ✌
Est-ce possible d'envisager que ce n'est pas *la peur* d'être observé qui anime un joueur accro à Slenderman, mais plutôt *le besoin* d'être observé ? Le fan d'horreur/creepypasta aimerait-il par hasard faire du bruit en espace public, agiter une lampe torche dans le noir, rechercher l'attention perpétuelle ? 🤔
Comme d'habitude superbement mené, intéressant et (petit plus pour les amoureux des neurosciences comme moi :) agrémenté de littérature sur le fonctionnement cérébral ! Quelle rigueur, chapeau bas !
Je n'avais pas la réf à It de Stephen King sur le fait que si plus personne ni crois, il disparaît. C'est très intéressant puisqu'on retrouve cet aspect là comme point initial de l'histoire dans la série American Gods. Où les dieux/mythe/croyance perdent de la puissance selon le nombre de personne qui les fédèrent :)
Très bonne vidéo ! Le seul bémol que je lui trouve, c'est que même si on parle de peur ici, tu l'aborde de manière assez scientifique. Mais vus que tu places des screamer et installe une tension, on a du mal à vraiment écouter ce que tu dis car on est aussi mit en tension nous. Cela crée un effet perturbant pendant le visionnage. Mais bien ouej, le taff est propres
Depuis que je suis petit, je classe les "monstres" en deux catégories, avec deux genres. Les monstres plausibles et les monstres fictifs, du genre dangereux, soit non dangereux. Pour être exact, cette notion de genre est venue plus tard pour simplifier une réalité très variée. Avec ça on peut classifier par exemple un bébé bec de lièvre de monstre plausible non dangereux. Et oui, je donne à la notion de monstre un sens large, celui d'écart à la norme, avec la notion de gêne associée, de mal-être. C'est totament discutable, mais ça n'a pas vocation à stigmatiser, c'est juste un outil de communication sans réelle exactitude, je ne fait qu'essayer d'être clair. Ce monstre ici serait à vue de nez 3:10 un monstre fictif dangereux. Et ce genre de monstre m'a toujours laissé assez perplexe. Tandis que le monstre plausible et dangereux regroupe deux partie du monde, le réel et la réalité du sujet, le problème se pose, comment distinguer ce qui n'est qu'une représentation de ce qui est réel quand justement le doute se pose sur des choses invérifiables, borné (le doute) pour le sujet à sa representation dans l'immédiat ? Et je trouve que la licence docteur Who y parvient avec brio. On a ces créatures qu'on oublie juste après les avoir vues, et théoriquement, si ça existait, on pourrait très bien vivre avec eux sans le savoir, et c'est réellement terrifiant. On a aussi une revisite de ce thème avec le compagnon invisible qui déplace nos objets parfois, finit notre tasse ou notre biscuit, alors qu'on croit qu'on a simplement mangé sans prêter attention. L'épisode emmène le protagoniste à la fin des temps, et les interactions laissent supposer que oui, ils existent, ou peut-être pas. C'est cet impossibilité de répondre par oui ou non pour le téléspectateur qui rend la revisite supérieure, car avec les être qu'on oublie quand ils quittent notre vision, le spectateur se souvient. Dans l'autre épisode, il doute, et il doutera. Je n'ai pas vraiment de crainte, mais je ne peux rationnellement rejeter entièrement ces possibilités sans me rattacher à des choses incertaines. C'est plausible (même si extrêmement improbable) et dangereux. Et c'est là que je trouve on obtient un scénario d'horreur. Parce qu'on frôle la création d'une psychose, voire pour un sujet psychotique, on peut le faire vriller. Évidemment, si on le prend avec du recul, c'est un peu ridicule, mais quand on s'y plonge c'en est presque dangereux. Ce sont pour moi des cas de monstres plausibles et dangereux. Dans cette catégorie on retrouve le pervers narcissique, mais lui on va me dire qu'il est réel. Non, pas plus que les autres, à ce stade il n'est que potentiel, sauf si vous vivez avec. C'est ça que je veux dire. Il n'est pas irrationnel de les considérer comme probables, sans pour autant leur accorder le même poids, je ne vais pas charrier.
Moi ça m'a fait ça quand j'étais plus jeune avec la Dame Blanche alors que j'ai jamais cru en rien et encore moins aux fantômes... T'y crois pas mais une fois qu'on t'en as parlé t'as peur quand-même 😅
Voici une vidéo diablement intéressante. Gros gamer de 41 ans, j'aime par-dessus tout les jeux d'horreur. D'ailleurs, j'ai reconnu les images de Maundaun à la fin. Un jeu d'horreur suisse, c'est rare. En tous cas, je l'ai trouvé plutôt bon. Là j'ai envie de craquer pour Stasis Bone Totem... Enfin bref, peace ✌️
POUR NE PAS AVOIR PEUR,IL SUFFIT DE NE PAS IMAGINER OU ANTICIPER CE QUI VA SE PASSER PAR LA SUITE ET AUSSI SEN FOUTRE DES CHOSES QUI NOUS STRESSE FAIRE LE VIDE
Bonne idée et bien réalisée, très bon story telling. Dire que le sentiment d’être observé est un processus “évolutionaire”, ça vient d’où ? Moi ce qui me gêne c’est le recours à la science pour fonder objectivement le sentiment subjectif d’être observé. D’une part ce n’est pas nécessaire, d’autre part ça fait tâche parce que ça témoigne plus d’une croyance en la science “si la science le dit alors c’est vrai/objectif”. Les références sur le cerveau comme machine à prédiction pour expliquer la peur par l’erreur de prédiction c’est intéressant et bienvenue, la référence aux contes comme outils rhétoriques aussi et ne repose pas de problème. C’est vraiment le terme “fondamental” qui pose problème. Certes c’est fondamental mais ce n’est pas par l’objectivité de la science et sa naturalisation que l’on montre que c’est fondamental
J’adore les films et jeux d’horreur mais malheureusement y’en a aucun qui marchent sur moi… certains me procurent juste du dégoût comme irréversible ou ce genre de films choc…
Très très bonne vidéo. Je suis toujours à ce jour un grand fan de slenderman qui constitue toujours autant voir plus de potentiel horrifique que five nights at Freddy’s pour moi. J’aimerai souligner l’utilisation des musiques ! J’aime énormément l’ost de slender the arrival, atmosphérique, frissonnante, isolante et parfois même magnifique, alors son utilisation dans ta vidéo (sans parler des autres morceaux qui sont tout aussi bien choisis), c’est un petit peu la cerise :). Bravo pour cet instant de culture captivant sur l’homme qui m’observe par la fenêtre au moment où j’écris ces lignes.
C'est pas une vanne tu serais bien rémunéré pour un travail de qualité et ça ne serait pas très dur de te faire embaucher un petit extrait de cette vidéo ou d'une autre et voilà
Bravo à nouveau de faire référence a de vraies études, très heureux de cette attention trop peu présente sur youtube, je félicite sincèrement !
A chaque vidéo, je suis choquée du niveau de la qualité et du professionnalisme de tes vidéos ! Rien qu'à 11:58 on aperçoit le taf incroyable que c'est d'écrire juste une vidéo !
T'es monstrueux de talent mec ! Franchement bravo à toi 🙏
Voila j’ai peur mais je mets mon like pour les travaux monstrueux, continue comme ça
Merci :)
Une vidéo sur un sujet qui me touche moins et qui est pourtant encore une fois très bien réalisé, bravo !
Comme d'habitude, un angle inédit qui sort des chroniques habituelles sur Slender Man (j'étais passé à côté du phénomène à l'époque) et un vrai travail de référencement concernant les sources, mes félicitations pour ta video 🙌
PS : Merci de nous mettre Tender Sugar de Akira Yamaoka à 12:08 , jamais morceau n'aura été plus adéquat comme support sonore 🤓🎶
Encore une masterclass, je regrette pas de m'être abonné
Mais waw quand tu parles du jeu j'ai l'impression que slender man va sponer sur chaque passage de gameplay. La chair de poule
Quelle masterclass une fois de plus ! Le Slender Man reste encore à ce jour l'une des entités horrifiques issues d'Internet qui m'a le plus marqué.
Encore une vidéo superbement réalisé, on adore continue comme ça bravo !
Très bonne vidéo de qualité et d'une réflexion fine ! Bravo à toi !
Très bonne vidéo ! Je découvre ta chaîne depuis quelques jours et c'est très réussi.
Je trouve que tu as vraiment une finesse d'appréhension des phénomènes culturels. Pas seulement les jeux vidéos qui sont ton sujet central, mais avec tous les liens que tu tisses avec la culture en général et ses effets sur les individus. Tu pointes bien les fonctions sociales comme psychologique que ça peut servir dans nos sociétés. Finalement, le jeu vidéo est une forme d'art qui traduit, transmet et permet de jouer avec toutes les facettes de la vie humaine. Et c'est une manière d'éprouver, conceptualiser le réel et se l'approprier.
Pour rebondir sur ta conclusion, je dirais quand même que, justement, la particularité de Slender Man est qu'il n'a pas de visage. Je pense que c'est un point clé du personnage : à mon sens, il est assez remarquable pour être une surface de projection (anthropomorphique, encore que ce soit pas forcément nécessaire mais ça facilite une forme d'identification de base avec lui), mais sans visage, il ne renvoie aucun signe interprétable, ce qui lui donne son caractère angoissant. On s'identifie un peu sur la base de son corps, mais l'endroit le plus signifiant pour l'interaction humaine, notamment des émotions, reste à jamais énigmatique. On ne peut pas savoir le fin mot de l'histoire, pourquoi il est là ? pourquoi s'approche-t-il ? Est-ce qu'il est mal intentionné ? Est-ce qu'il a même une intention ? Pourquoi se trouve-t-il dans les endroits les plus craignos du monde ? Peut-être est-il lui aussi une victime de cette atmosphère et de cet environnement ?
L'impossibilité à connaitre ses états internes nous renvoie quelque chose d'énigmatique sur nos propres états internes. Il est juste une présence froide, donc paradoxale : présent et en même temps en incapacité de communiquer ou d'établir un lien. Bref, je pense que ça joue énormément sur sa capacité à créer de l'angoisse chez le joueur !
bravo et merci pour cette nouvelle vidéo! C'est toujours autant un plaisir
Très fort que ce soit le montage le storytelling je trouve vrmt que tu t’améliores de vidéo en vidéo 🔥
Chaque vidéo est vraiment cool et meilleure que la précédente
Toujours très fort ! Hâte de voir plus !
Travail de grande qualité, beau travail sur le son également qui rend le tout vraiment immersif. On se plonge dans le récit avec plaisir. Merci, j'ai hâte de la suite !
Merci !
Super video, gros soutien pour la suite ! 💪💪
Ça faisait un bail que j'avais Slender Man : The Arrival dans ma Switch sans jamais y jouer. J'étais trop omnibulé par les Amnesia, Madison, Layers of Fear, Bendy and the Ink Machine, Outlast, The Coma, etc, etc... Mais il y'a peu, j'ai fini par le lancer. Et ben il fonctionne encore hyper bien ! Top. Je ne suis pas encore allé au bout mais je vais m'y atteler. Cool la vidéo. Peace ✌
7:41 putain, il m'a fait sursauter comme en 2014 ce bâtard !
Est-ce possible d'envisager que ce n'est pas *la peur* d'être observé qui anime un joueur accro à Slenderman, mais plutôt *le besoin* d'être observé ? Le fan d'horreur/creepypasta aimerait-il par hasard faire du bruit en espace public, agiter une lampe torche dans le noir, rechercher l'attention perpétuelle ? 🤔
Encore une masterclass à dévorer. Bravo 🎉
Comme d'habitude superbement mené, intéressant et (petit plus pour les amoureux des neurosciences comme moi :) agrémenté de littérature sur le fonctionnement cérébral ! Quelle rigueur, chapeau bas !
La vidéo est vraiment incroyable.
j'avoue, j'ai regardé en arrière quelques fois pendant la video
Super video ! Felicitation 👏🏻
Je n'avais pas la réf à It de Stephen King sur le fait que si plus personne ni crois, il disparaît. C'est très intéressant puisqu'on retrouve cet aspect là comme point initial de l'histoire dans la série American Gods. Où les dieux/mythe/croyance perdent de la puissance selon le nombre de personne qui les fédèrent :)
Super vidéo comme toujours
Toujours une plume à l'écriture incroyable avec un très bon fond derrière (même si la ca fait peur et j'aime pas les trucs d'horreur ^^)
Incroyable la vidéo 🫶
C’était super voilà tout
Très bonne vidéo ! Le seul bémol que je lui trouve, c'est que même si on parle de peur ici, tu l'aborde de manière assez scientifique. Mais vus que tu places des screamer et installe une tension, on a du mal à vraiment écouter ce que tu dis car on est aussi mit en tension nous. Cela crée un effet perturbant pendant le visionnage. Mais bien ouej, le taff est propres
C'est le but. Moi le(s) seul(s) bémol que je trouve c'est le manque de pertinence et le nombre de fautes dans ton commentaire
9:44 je suis dans un bus donc ca va xD
Depuis que je suis petit, je classe les "monstres" en deux catégories, avec deux genres. Les monstres plausibles et les monstres fictifs, du genre dangereux, soit non dangereux.
Pour être exact, cette notion de genre est venue plus tard pour simplifier une réalité très variée. Avec ça on peut classifier par exemple un bébé bec de lièvre de monstre plausible non dangereux. Et oui, je donne à la notion de monstre un sens large, celui d'écart à la norme, avec la notion de gêne associée, de mal-être. C'est totament discutable, mais ça n'a pas vocation à stigmatiser, c'est juste un outil de communication sans réelle exactitude, je ne fait qu'essayer d'être clair.
Ce monstre ici serait à vue de nez 3:10 un monstre fictif dangereux. Et ce genre de monstre m'a toujours laissé assez perplexe. Tandis que le monstre plausible et dangereux regroupe deux partie du monde, le réel et la réalité du sujet, le problème se pose, comment distinguer ce qui n'est qu'une représentation de ce qui est réel quand justement le doute se pose sur des choses invérifiables, borné (le doute) pour le sujet à sa representation dans l'immédiat ? Et je trouve que la licence docteur Who y parvient avec brio.
On a ces créatures qu'on oublie juste après les avoir vues, et théoriquement, si ça existait, on pourrait très bien vivre avec eux sans le savoir, et c'est réellement terrifiant. On a aussi une revisite de ce thème avec le compagnon invisible qui déplace nos objets parfois, finit notre tasse ou notre biscuit, alors qu'on croit qu'on a simplement mangé sans prêter attention. L'épisode emmène le protagoniste à la fin des temps, et les interactions laissent supposer que oui, ils existent, ou peut-être pas. C'est cet impossibilité de répondre par oui ou non pour le téléspectateur qui rend la revisite supérieure, car avec les être qu'on oublie quand ils quittent notre vision, le spectateur se souvient. Dans l'autre épisode, il doute, et il doutera.
Je n'ai pas vraiment de crainte, mais je ne peux rationnellement rejeter entièrement ces possibilités sans me rattacher à des choses incertaines. C'est plausible (même si extrêmement improbable) et dangereux. Et c'est là que je trouve on obtient un scénario d'horreur. Parce qu'on frôle la création d'une psychose, voire pour un sujet psychotique, on peut le faire vriller.
Évidemment, si on le prend avec du recul, c'est un peu ridicule, mais quand on s'y plonge c'en est presque dangereux. Ce sont pour moi des cas de monstres plausibles et dangereux. Dans cette catégorie on retrouve le pervers narcissique, mais lui on va me dire qu'il est réel. Non, pas plus que les autres, à ce stade il n'est que potentiel, sauf si vous vivez avec. C'est ça que je veux dire. Il n'est pas irrationnel de les considérer comme probables, sans pour autant leur accorder le même poids, je ne vais pas charrier.
SCP-087 qui ne nous quitte jamais dans les escaliers non plus 😅
Super video, elle m'a faite sursautée😅😅
Moi ça m'a fait ça quand j'étais plus jeune avec la Dame Blanche alors que j'ai jamais cru en rien et encore moins aux fantômes...
T'y crois pas mais une fois qu'on t'en as parlé t'as peur quand-même 😅
Voici une vidéo diablement intéressante. Gros gamer de 41 ans, j'aime par-dessus tout les jeux d'horreur. D'ailleurs, j'ai reconnu les images de Maundaun à la fin. Un jeu d'horreur suisse, c'est rare. En tous cas, je l'ai trouvé plutôt bon. Là j'ai envie de craquer pour Stasis Bone Totem... Enfin bref, peace ✌️
Video tres interressante!
Ça fait du bien ce genre de vidéo bien montée (par contre je déteste l'horreur😅)
Youhou, une nouvelle vidéo 🥳
gg bg
"Et ce que je fais ici n'aide pas"😂
POUR NE PAS AVOIR PEUR,IL SUFFIT DE NE PAS IMAGINER OU ANTICIPER CE QUI VA SE PASSER PAR LA SUITE
ET AUSSI SEN FOUTRE DES CHOSES QUI NOUS STRESSE
FAIRE LE VIDE
Bonne idée et bien réalisée, très bon story telling.
Dire que le sentiment d’être observé est un processus “évolutionaire”, ça vient d’où ? Moi ce qui me gêne c’est le recours à la science pour fonder objectivement le sentiment subjectif d’être observé. D’une part ce n’est pas nécessaire, d’autre part ça fait tâche parce que ça témoigne plus d’une croyance en la science “si la science le dit alors c’est vrai/objectif”.
Les références sur le cerveau comme machine à prédiction pour expliquer la peur par l’erreur de prédiction c’est intéressant et bienvenue, la référence aux contes comme outils rhétoriques aussi et ne repose pas de problème.
C’est vraiment le terme “fondamental” qui pose problème. Certes c’est fondamental mais ce n’est pas par l’objectivité de la science et sa naturalisation que l’on montre que c’est fondamental
9:40 c'est vraiment pas possible, j'ai tout la pièce dans mon champs de vision, tous les coins
J’adore les films et jeux d’horreur mais malheureusement y’en a aucun qui marchent sur moi… certains me procurent juste du dégoût comme irréversible ou ce genre de films choc…
Moins réceptif à cette vidéo, mais le sujet est très bien traité 😉
J’adore 🤩🤩🤩
Heureusement que j'ai maté cette vidéo en pleine lumière.
11:05 un visage ?🧐
t'es un boss
Très très bonne vidéo. Je suis toujours à ce jour un grand fan de slenderman qui constitue toujours autant voir plus de potentiel horrifique que five nights at Freddy’s pour moi. J’aimerai souligner l’utilisation des musiques ! J’aime énormément l’ost de slender the arrival, atmosphérique, frissonnante, isolante et parfois même magnifique, alors son utilisation dans ta vidéo (sans parler des autres morceaux qui sont tout aussi bien choisis), c’est un petit peu la cerise :). Bravo pour cet instant de culture captivant sur l’homme qui m’observe par la fenêtre au moment où j’écris ces lignes.
Pompé sur les scp
👍
Suiiiiiiii
lol le mongol au fond de la classe est présent
@@Kabodanki ton commentaire est aussi pertinent que le mien :)
À la fin de la vidéo j'ai hurle sale batard🤣🤣
Tu ne voudrais pas aller bosser pour trash bandicoot
C'est pas une vanne tu serais bien rémunéré pour un travail de qualité et ça ne serait pas très dur de te faire embaucher un petit extrait de cette vidéo ou d'une autre et voilà