Croissance ou décroissance, doit on vraiment choisir? | Jean-Lou Fourquet | TEDxINPENSEEIHT
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- เผยแพร่เมื่อ 9 เม.ย. 2018
- Co-fondateur de la société PALANCA, boîte à outils du développement durable. Il va nous exposer une vision évolutive et positive vers laquelle devrait tendre notre société grâce à une ‘hyper croissance’. This talk was given at a TEDx event using the TED conference format but independently organized by a local community. Learn more at www.ted.com/tedx
la décroissance n'est pas de croire qu'on ne saura pas résoudre les problèmes mais de penser que nous n'aurons plus les MOYENS des les résoudre.
Pour mettre au même niveau la "croyance" que tout va bien se passer et la "croyance" que ça va décroitre fort, il ne faut pas avoir bien bossé le sujet de l'énergie.
C’est bien vu. La difficulté du développement de la conscience est le niveau éducationnel des membres de la tribu. Passer d’une société de l’avoir à celle de l’être est en soi le meilleur scénario. Tous n’y adhéreront pas. Tampis, on essaye quand même, même si on ne sauve qu’un petit nombre d’entre nous.
J'ai peur que les autres ne se laissent pas faire ...
Trés intelligent !!! Bravo
Il y a un point qui me semble essentiel. "[La croyance croissanciste] C'est avoir foi, avoir la croyance en demain et croire que demain, l'intelligence humaine pourra toujours résoudre les problèmes demain qu'on a créés aujourd'hui". Là dessus, totalement d'accord. Ensuite ce que tu dis sur la croyance décroissanciste est pour moi sémantiquement faux. La "croyance décroissante" n'est pas le contraire qui consisterait à croire qu'on ne pourra pas résoudre ces problèmes (quoique, on aura probablement plus les moyens pour les résoudre) mais bien que rien ne nous dit qu'on y arrivera. Ceux que tu appelles croyance décroissante, est en fait une posture pragmatique, avant d'entreprendre quelque chose, on se pose la question de la soutenabilité. En ce sens, on peut raisonnablement dire que dans notre dynamique socio-environnementale actuelle, on fonce droit vers un ravin. Le décroissant ne dit pas qu'on arrivera pas à inventer les ailes que propose le croissanciste pour passer ce ravin, il propose de ralentir fortement pour se poser la question de où on va. Pour résumer, le décroissanciste n'a pour moi pas de foi comme le croissanciste peut avoir une foi en la science, la technique et l'intelligence humaine.
Néanmoins, je suis intéressé par tes références sur la critique de la décroissance. J'ai essayé de trouver du contenu à ce sujet sur kurzgesagt, wait but why et crash course sans succès.
la décroissance imposera de par le fait
Cela serait bien de faire la différence entre les faits et les croyances ou interprétations....
« On a vécu a plus d’1 milliard de façon durable ». Si 150 ans a l’échelle de l’humanité c’est de façon durable alors nous sommes tranquilles encore durablement… au moins jusqu’à la mort.
alors non, tu peux faire autant de méditation que tu veux tes enfants n'auront pas un néo cortex plus gros.
Dans le TEDx, ce que je veux dire, c'est que j'imagine la situation dans 200 000 ans ou bien 1 million d'années, de la même manière que le rapport (neo cortex/reste du cerveau) de Sapiens a évolué depuis que nous avons notre propre lignée (9 000 000 d'années grosso modo), on pourrait imaginer que l'évolution favorise également un néo cortex de plus en plus gros pour qu'on gère de mieux en mieux les interactions de "grands groupes" et faire grimper le nombre de Dumbar :)
@@ApresLaBiere Il n'est pas interdit de rêver. Nous reste-t-il 200 000 ans à vivre ? Est-il souhaitable de vivre dans une poubelle ?
@@julesml418 Content que le talk ait permis de connecter quelques concepts :). Je suis d'accord avec vous, peut-être que le néo cortex, dans l'absolu est assez volumineux pour permettre une conscience globale. Mais il ne s'agit pas seulement de la capacité à avoir cette conscience de tout l'éco-système qui nous entoure, il faut aussi avoir assez d'informations sur tout l'éco-système pour pouvoir faire au quotidien des choix vraiment éclairés et dans un monde aussi complexe que le notre, je crois que notre cerveau n'est pas assez puissant pour pouvoir stocker toute l'information nécessaire. Quand j'achète le moindre produit, j'ai des milliers, des dizaines de millier d'impact dans le monde entier, je crois que pour arriver à gérer ça, il faut qu'une partie de la complexité soit gérée ailleurs, c'est à dire par d'autres systèmes / organisations que notre cerveau :)
L internet libre interconnect existe il est dans les etoiles... Ah ah..
encore un bisounours... Dis, le bisounours, tu crois qu'elles fonctionnent avec quoi les machines? t'as déjà entendu parler de l'érosion des sols, des sécheresses, des feux? Non seulement l'effondrement (lent, rapide, peu importe) n'est pas une éventualité et n'est pas évitable, mais elle est même souhaîtable, vu l'impact des machines sur le lien social et l'extermination des espèces. On aurait du modérer nos envies et réfléchir: le compost des ordures à mis 1siècle avant de revenir (doucement) et on aurait très largement pu se contenter de transport public. Ca fait en gros 1~1,5 siècles que nos règles de vie se vident de leur sens et que nos pensées se tournent vers nous-mêmes plutôt que vers les autres ou notre environnement, nous sommes en plein scénario d'Idiocratie
Très mauvais orateur. Un peu marseillais sur les bords, on change pas nos téléphones toutes les deux semaines mais plutôt tous les ans. Pas besoin d'amplifier le phénomène et de mentir à l'audience. A part ça, je suis à fond pour la décroissance !