Traduction mélodique de : Achoughar (Pourquoi ?) - à 0.00 Ô Lounis, pourquoi ton front est-il creusé ? Mon front, les jours l’ont creusé Et l’ont semé de misère Labouré d’un tisonnier Pour qu’une trace soit restée Labouré bien avant l’heure Moissonnant que des heurts Ils sont là, l’été, l’hiver Le passé est mort L’image de ce qui est passé Chaque nuit, à moi venant Il m’aide ainsi à pleurer Pout tout ce qu’on a passé Il est bien mort, maintenant Des yeux, disparaissant Dépassé me dépassant Pourquoi tes épaules sont-elles courbées ? Pourquoi des épaules courbées Elles en ont trop enduré Ma charge est toujours portée N’ayant personne pour m’aider Elle abaisse mon énergie Blesse mon cœur meurtri Tant de fentes y sont laissées Pourquoi tu restes au bord de l’âtre ? Le froid, je ne ressens rien Le feu, ça, oui, j’aime bien Ô ma tête, tu te rappelles Tout ce qui ressemble à elle Elle te plaît comme tu la vois Si tu tombes sous sa loi A l’occasion, elle te piquera Suffit, las de questionner Je ne suis pas affecté Les tourments, à moi, venant C’est à moi, seul, en voulant Je les refuse, y tenant Me recherchant et Moi, je les ai trouvés. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : DJAMILA - à 3.40 Compagnon, assez pleuré Ce qui te dépasse, laisse-le La chance vient, différée On ne peut pas la changer Habitués, tous les deux Construite, vite, effondrée Des nouvelles, attendons Elles ne viennent pas Ton image, attendons Pour toi, brûlons Donne ta main, et puis Ton visage, montrant Ah, que ton nom est joli O Djamila Trop tard, il n'est pas Impossible, n'est pas Lors d'une rencontre, là Je lui dirai Content qu'elle paraisse Retour, la tristesse Avec elle, paix totale trouvée Cheveux-mais, blonds Rose blanche, elle est Bonheur mérité Lui souhaitant Quand, à la fontaine, elle va Quand elle va au champ L’œil, quand il la voit Tout oubliant Quelconque, elle n'est pas Une rare beauté Demandez au touché Il vous dira Celui qui la voit Une trace, lui laissant Comme dans un rêve,là Nous la voyons Mieux qu'elle soit cloîtrée On la trouve trop belle On craint d'être timbrés A cause d'elle Celui qui l'aura Vrai, il possédera Mieux que l'or, elle sera Dans son foyer Trop de prétendants C'est faux, paraissant Les même âge qu'elle Souffrent à cause d'elle. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Bravo mr banouh et merci pour ces belles chansons
merci mon ami
Super !
Rien à dire c'est Un grand il reste grand
Merci pour cette oeuvre parmi tout le chef d'oeuvre produit par cher ait menguellet longue vie inchallah
Notre cher ait menguellet longue vie inchallah
Les chansons de lounis ait menguellet sont eternelles et te font plonger dansl'enfance et l'adolescence tanemirt nwen
Traduction mélodique de : Achoughar (Pourquoi ?) - à 0.00
Ô Lounis, pourquoi ton front est-il creusé ?
Mon front, les jours l’ont creusé
Et l’ont semé de misère
Labouré d’un tisonnier
Pour qu’une trace soit restée
Labouré bien avant l’heure
Moissonnant que des heurts
Ils sont là, l’été, l’hiver
Le passé est mort
L’image de ce qui est passé
Chaque nuit, à moi venant
Il m’aide ainsi à pleurer
Pout tout ce qu’on a passé
Il est bien mort, maintenant
Des yeux, disparaissant
Dépassé me dépassant
Pourquoi tes épaules sont-elles courbées ?
Pourquoi des épaules courbées
Elles en ont trop enduré
Ma charge est toujours portée
N’ayant personne pour m’aider
Elle abaisse mon énergie
Blesse mon cœur meurtri
Tant de fentes y sont laissées
Pourquoi tu restes au bord de l’âtre ?
Le froid, je ne ressens rien
Le feu, ça, oui, j’aime bien
Ô ma tête, tu te rappelles
Tout ce qui ressemble à elle
Elle te plaît comme tu la vois
Si tu tombes sous sa loi
A l’occasion, elle te piquera
Suffit, las de questionner
Je ne suis pas affecté
Les tourments, à moi, venant
C’est à moi, seul, en voulant
Je les refuse, y tenant
Me recherchant et
Moi, je les ai trouvés.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : DJAMILA - à 3.40
Compagnon, assez pleuré
Ce qui te dépasse, laisse-le
La chance vient, différée
On ne peut pas la changer
Habitués, tous les deux
Construite, vite, effondrée
Des nouvelles, attendons
Elles ne viennent pas
Ton image, attendons
Pour toi, brûlons
Donne ta main, et puis
Ton visage, montrant
Ah, que ton nom est joli
O Djamila
Trop tard, il n'est pas
Impossible, n'est pas
Lors d'une rencontre, là
Je lui dirai
Content qu'elle paraisse
Retour, la tristesse
Avec elle, paix totale trouvée
Cheveux-mais, blonds
Rose blanche, elle est
Bonheur mérité
Lui souhaitant
Quand, à la fontaine, elle va
Quand elle va au champ
L’œil, quand il la voit
Tout oubliant
Quelconque, elle n'est pas
Une rare beauté
Demandez au touché
Il vous dira
Celui qui la voit
Une trace, lui laissant
Comme dans un rêve,là
Nous la voyons
Mieux qu'elle soit cloîtrée
On la trouve trop belle
On craint d'être timbrés
A cause d'elle
Celui qui l'aura
Vrai, il possédera
Mieux que l'or, elle sera
Dans son foyer
Trop de prétendants
C'est faux, paraissant
Les même âge qu'elle
Souffrent à cause d'elle.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.