Merci beaucoup pour le partage de c'est chansons nostalgiques des débuts de la carrière artistique de notre vieil ami d'enfance, Lounis Ath-Manguellath, que Dieu lui prête longue vie en bonne santé !
Merci beaucoup dieu de m'avoir fait kabyle pour comprendre et apprécier cette belle poésie dommage pour les autres qui ne comprennent pas notre belle langue kabyle ils passent à-côtés d'un bon patrimoine musical
Traduction mélodique de : Athin mahnagh (Ô celle à qui j'ai fait endurer...) - à 10.58 Ô celle que j'ai entraînée Ne m'ayant rien fait, malheureuse Telle étant ma destinée Loin de moi, tu serais heureuse Le destin a fait la voie La voie diffère pour moi et toi Je souhaite un nouveau foyer A mon tour, j'aurai de la joie Mais le tourment augmentant Dieu l'augmente ou le laissant Je mourrai seul, je le sais Parti tout ce j'ai peiné Avec du sable, j'ai élevé Une maison, elle s'écroula J'ai dit :'' je vais recommencer'' Une grande vague déferla... Ô Dieu, c'est de l'iniquité Laisse-nous ce désespoir-là Ô sort, avant l'au-delà Laisse-nous un jour de gaîté. Ô sort, où est le chemin Où je ne puis te rencontrer Où sont les bannis, au loin Avec eux, je m'établirais Loin de toi, je serais gai Le soleil, je le verrais Je laisserais tous ces excès Les portes de l’heur s'ouvriraient N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Fkigh i ighevlan awal (J'ai écouté les tourments) - à 0.00 J'ai écouté mes soucis Jusqu'à ce que mes os pèlent Ton cœur, je sais, il m'appelle Le sommeil fuit, je l'oublie Fin de l'amour délétère Mon cœur, de toi, désespère L'impossible, ai-je demandé ? Ma chance ne veut écouter Ô mon Dieu, je me repens Qui les a subies, fais pitié Je te connais, tu me connais Ton cœur vers moi est froid Est-ce que tu m'aimes, toi Moi, je déteste tout ce que tu as Le cœur commence à t'aimer Quand tu as des prétendants Sur moi, soufflent les misères C'est ce que ne peut le stylet La valeur de la vie se voit Quand la mort visite la maison La valeur de la lumière Se voit à l'obscurité On t'a prise au mauvais moment Et ta valeur, je la vois Ô celle dont j'ai changé le nom Afin qu'il puisse rimer Tu ne me laisses qu'un poison Qui ne veut pas se soigner Tu ajoutes soucis aux soucis Le cœur n'en a-t-il pas assez Tout ce qui est bon, tu l'as pris Pour moi, les ennuis, laissés. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Lehlak (La maladie) à 5.32 Le mal que tu m'as laissé Ne peut se soigner Par ta faute, j'en suis atteint C'est comme s'il avait juré Qu'il va me rester Et ainsi, jusqu'à la fin Il ne sert pas de pleurer Et l'âme s'éteignant Comme une lumière faiblissant De la vie, tu m'as ôté A Dieu, je m'en remets Par ta mort, il va me venger Mon esprit tel un pigeon Ira à ta maison Il se posera sur le mur Par sa voix, te saluera Et ce, avant la nuit Il ira vers l'après-midi Regarde-le bien, tu verras Il porte ta blessure Une cicatrice de trahison Il sera oiseau de nuit Il ira par surprise Vois-le, par les interstices Il te citera le délaissé jusqu'à le tuer Sous les pierres tombales, il pourrit Son esprit où que tu sois Chaque nuit, tu le verras Il te causera des insomnies Le mal qui ira à toi Ce sera mon âme, là La maladie qui m’a pris Ton cœur sera flagellé Pour ce qu’il a fait Sans viatique, tu partiras Ton âme, il l’arrachera Avec lui, la prendra A Dieu, ils iront, ainsi Des pierres que l’ont m’a placées Beaucoup sont restées On les placera pour toi Parmi les tombes, tu habiteras Des maisons nivelées Ton voisin, ce sera moi Ceux qui espèrent te saisir Le temps va les trahir A moi, il te fera revenir. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson
MERCI ET BRAVO POUR LES PARTAGE DE CES 3 BELLES CHANSONS DES NOTRE VIEIL AMI L.AM, QUE DIEU LUI PRÊTE LONGUE VIE EN BONNE SANTÉ
Merci beaucoup pour le partage de c'est chansons nostalgiques des débuts de la carrière artistique de notre vieil ami d'enfance, Lounis Ath-Manguellath, que Dieu lui prête longue vie en bonne santé !
Merci beaucoup dieu de m'avoir fait kabyle pour comprendre et apprécier cette belle poésie dommage pour les autres qui ne comprennent pas notre belle langue kabyle ils passent à-côtés d'un bon patrimoine musical
De belles chansons sentimentales immortelles.
Merci grand monsieur bravo
Merci hamouche
de rien
Traduction mélodique de : Athin mahnagh (Ô celle à qui j'ai fait endurer...) - à 10.58
Ô celle que j'ai entraînée
Ne m'ayant rien fait, malheureuse
Telle étant ma destinée
Loin de moi, tu serais heureuse
Le destin a fait la voie
La voie diffère pour moi et toi
Je souhaite un nouveau foyer
A mon tour, j'aurai de la joie
Mais le tourment augmentant
Dieu l'augmente ou le laissant
Je mourrai seul, je le sais
Parti tout ce j'ai peiné
Avec du sable, j'ai élevé
Une maison, elle s'écroula
J'ai dit :'' je vais recommencer''
Une grande vague déferla...
Ô Dieu, c'est de l'iniquité
Laisse-nous ce désespoir-là
Ô sort, avant l'au-delà
Laisse-nous un jour de gaîté.
Ô sort, où est le chemin
Où je ne puis te rencontrer
Où sont les bannis, au loin
Avec eux, je m'établirais
Loin de toi, je serais gai
Le soleil, je le verrais
Je laisserais tous ces excès
Les portes de l’heur s'ouvriraient
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Fkigh i ighevlan awal (J'ai écouté les tourments) - à 0.00
J'ai écouté mes soucis
Jusqu'à ce que mes os pèlent
Ton cœur, je sais, il m'appelle
Le sommeil fuit, je l'oublie
Fin de l'amour délétère
Mon cœur, de toi, désespère
L'impossible, ai-je demandé ?
Ma chance ne veut écouter
Ô mon Dieu, je me repens
Qui les a subies, fais pitié
Je te connais, tu me connais
Ton cœur vers moi est froid
Est-ce que tu m'aimes, toi
Moi, je déteste tout ce que tu as
Le cœur commence à t'aimer
Quand tu as des prétendants
Sur moi, soufflent les misères
C'est ce que ne peut le stylet
La valeur de la vie se voit
Quand la mort visite la maison
La valeur de la lumière
Se voit à l'obscurité
On t'a prise au mauvais moment
Et ta valeur, je la vois
Ô celle dont j'ai changé le nom
Afin qu'il puisse rimer
Tu ne me laisses qu'un poison
Qui ne veut pas se soigner
Tu ajoutes soucis aux soucis
Le cœur n'en a-t-il pas assez
Tout ce qui est bon, tu l'as pris
Pour moi, les ennuis, laissés.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Lehlak (La maladie) à 5.32
Le mal que tu m'as laissé
Ne peut se soigner
Par ta faute, j'en suis atteint
C'est comme s'il avait juré
Qu'il va me rester
Et ainsi, jusqu'à la fin
Il ne sert pas de pleurer
Et l'âme s'éteignant
Comme une lumière faiblissant
De la vie, tu m'as ôté
A Dieu, je m'en remets
Par ta mort, il va me venger
Mon esprit tel un pigeon
Ira à ta maison
Il se posera sur le mur
Par sa voix, te saluera
Et ce, avant la nuit
Il ira vers l'après-midi
Regarde-le bien, tu verras
Il porte ta blessure
Une cicatrice de trahison
Il sera oiseau de nuit
Il ira par surprise
Vois-le, par les interstices
Il te citera le délaissé
jusqu'à le tuer
Sous les pierres tombales, il pourrit
Son esprit où que tu sois
Chaque nuit, tu le verras
Il te causera des insomnies
Le mal qui ira à toi
Ce sera mon âme, là
La maladie qui m’a pris
Ton cœur sera flagellé
Pour ce qu’il a fait
Sans viatique, tu partiras
Ton âme, il l’arrachera
Avec lui, la prendra
A Dieu, ils iront, ainsi
Des pierres que l’ont m’a placées
Beaucoup sont restées
On les placera pour toi
Parmi les tombes, tu habiteras
Des maisons nivelées
Ton voisin, ce sera moi
Ceux qui espèrent te saisir
Le temps va les trahir
A moi, il te fera revenir.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson
merci bcp pour la traduction
merci Tassadite Yacine pour la traduction.
Je cherche la chanson ourezrigh sani araghligh amelqaf igchar oufous
voir ici pour trouver cette chanson ....th-cam.com/video/hrVqvlUq80Y/w-d-xo.html