Belle video interessante. Il manque quelques chiffres pour comprendre les W. Comme celui de comparer coureur de KM sur piste, ou un cycliste dans une étape dans les alpes. Et parler aussi de la différence entre un W pour une course cycliste de 200km et la piste. Les gabarits sont différents, et je n’arrive pas à voir s’il y a une si grosse différence en W entre chaque spécialités. Ou du moins les proportions.
@@felixitation dans se cas, il faudrait aborder la notion d'énergie en joules ou calories et W/kg pour les gabarits. Puis vélo... vélocité... puissance, c'est le chien qui se mord la queue quand on parle de puissance à vélo.
La puissance c'est une chose mais quand on parle de la puissance dans le temps ça ouvre sur beaucoup de sujets notamment la physiologie, les stratégies de courses selon les épreuves etc. Ce serait super intéressant de faire une comparaison de la puissance dans le temps au cours des différentes courses et des qualités athlétiques prévalentes dans chacune mais c'est trop vaste pour une vidéo de 10 minutes.
la principale différence vient de la durée de l'effort, et selon la durée la limite physique sera différente sur un sprint (moins de 15s), c'est presque la force brute des muscles qui définit la limite ensuite, sur des efforts toujours courts mais plus longs (l'équivalent du demi-fond en athlétisme), c'est "l'inertie" du corps qui limite, sa capacité à puiser dans l'oxygène du sang sans qu'il puisse se renouveler assez vite et enfin, au delà, c'est déjà l'endurance, où la limite physique est dans la capacité à brûler de l'oxygène, et donc à faire travailler le système cardiovasculaire. évidemment le phénomène évolue entre un effort de 10min et un de 6 heures ; on dit souvent qu'on perd 10% de puissance si on double la durée de l'effort
@@felixitation ce qui fait la grosse différence entre sprinters / pistard et les coureurs sur route, c'est la puissance par kilogramme et aussi la notion d'endurance. En effet, plus une masse est important, plus il faudra de force et donc de puissance pour lutter contre la gravité (et donc monter des bosses). Donc des grosses cuisses de pistards seraient un désavantage dans des bosses, puisqu'ils pèsent souvent plus lourd que les coureurs spécialistes de montagne. En fait, il y a un équilibre à trouver entre puissance développée (grosses cuisses) et masse (petites cuisses). Les tout meilleurs grimpeurs sur route sont aux alentours de 7 W/kg, pour des masses de 60 kg soit 420 W de moyenne, ce qui est très loin des 700 ou 1000 W de puissance d'un sprinter. Mais leur faible masse leur permet de lutter contre le poids bien plus facilement. En outre, la notion d'endurance a un rôle primordial: sur une étape de tour de France, pouvoir faire 1000W sur un sprint de 1 minute c'est bien, mais tenir 200 km ou 3 cols de 15 km d'affilé, à 300 W pendant 5 h, c'est mieux. En bref, développer une puissance élevée pendant un temps court est très avantageux pour des courses courtes, ou des finish au sprint, mais pouvoir maintenir un effort élevé tout en maintenant un poids plume c'est mieux dès qu'il s'agit de grimper !
Un sprinter sur piste ou sur route aura un pic sur 5 secondes de 20-25w/kg et 12w/kg sur une minute. Sur pistes, les efforts sont courts et il n'y a pas de dénivelé donc un poids plus élevé est avantageux (tant que le ratio poids/puissance ne se dégrade pas) pour produire des hautes puissances (2000-2500w) sur un temps court (10-30 secondes). Le poids moyen est dans les 90kg. Comme le braquet n'est pas changé en court de course, il faut beaucoup de force pour accélérer le braquet depuis 0 tours/minute et aussi beaucoup de vélocité pour générer de la puissance à des cadences allant jusqu'à 150 tours/minute en course. Pour le kilomètre, il faut un gros pic de puissance au départ pour atteindre sa vitesse max le plus vite possible et maintenir cette vitesse jusqu'à la fin. En moyenne ça donne un peu plus de 1000w sur une minute. Sur route, il faut pouvoir passer les dénivelés avant de produire un sprint. Il faut donc avoir une bonne endurance/résistance à la fatigue ce qui implique de ne pas être trop lourd. Les ratios poids/puissance changent peu mais avec des coureurs de 75kg on arrive à des pics de entre 1500w et 1800w avec plusieurs minutes d'efforts irréguliers à 500-600w pour se placer dans le peloton. Pour le BMX l'effort est encore plus court que sur piste avec une accélération maximale au départ et des pics au-dessus des 2000w en moins de 2 secondes. Il faut encore plus d'explosivité que sur piste pour continuer à générer de la force à des hautes cadences et pouvoir passer de manière répétée de 0 à 200 tours/minute pour réaccélérer entre les bosses. Les grimpeurs eux sont complètement tournés vers l'endurance et focalisés l'optimisation de leur rapport poids/puissance. Les meilleurs peuvent tenir 7w/kg pendant une heure soit autour de 400w et probablement 600-700w pendant une minute.
Puissance= Force×Vitesse=Couple×Vitesse de rotation dans le cadre de l'application de la formule au cyclisme= Force appliquée sur les pedales × Longueur des manivelles × vitesse de rotation du pedalier
Confusion entre les référentiels dans ce reportage, notamment entre la vitesse de rotation du pédalier et la vitesse de déplacement du cycliste. Mais également entre puissance et vitesse qui sont 2 notions pratiquement mises en opposition au début de la vidéo, alors que l' une découle de l'autre : En vélo de route, de piste , fourcross, VTT..etc celui qui gagne c'est celui va le plus vite sur une distance donnée. Point. On parle alors de vitesse moyenne. La variation de vitesse chaque seconde de la course fait apparaître la notion de vitesse instantanée (pour mieux appréhender la gestion de l'effort ) donc de puissance. La puissance délivrée aux roues n'est qu'un des paramètres qui compose la vitesse instantanée parmi une multitude d'autres : état de la piste, pression des pneus, aérodynamisme, pente de la route..). Lorsque vous parlez de puissance, vous perdez les gens ! car vous oubliez systématiquement de préciser de quelle puissance il s'agit : puissance délivrée par le cycliste ? Puissance délivrée aux roues ? Il faut préciser qu ces 2 puissances sont liées "mécaniquement" par l'intermédiaire du BRAQUET. Mais en gros, (au rendement de transmission près) ce sont sensiblement les mêmes. Puissance délivrée aux roues = COUPLE x CADENCE (vitesse rotation des pédales). Et ce que vous voulez mettre en avant dans cette vidéo c'est que la physiologie humaine peut délivrer un maximum de puissance au pédalier à un certain point d'équilibre entre CADENCE des pédales et COUPLE (d'où l'intérêt du dérailleur). Autre détail qui peut déranger : Vous traitez la puissance comme une finalité à atteindre alors que ça reste malgré tout la vitesse. Si en cyclisme sur piste ou vélo de route, la vitesse du cycliste dépend majoritairement de la puissance délivrée par les jambes, ce n'est pas le cas de toutes les disciplines cyclistes. Dans une course bmx, la vitesse est maintenue par un jeu permanant de transfert de masse corporelle et de flexion/extension des bras et des jambes au fil des bosses, d'où le terme de "pumptrack". En VTT enduro/descente également. Il faudrait reprendre les bases de la physique par une infographie générale claire qui permet de mieux situer les grandeurs qui composent la vitesses et les paramètres qui l'influence. Là oralement avec 3 interviews et quelques séquences filmées c'est incompréhensible pour la plupart des gens je pense.
"... vous perdez les gens ! car vous oubliez systématiquement de préciser de quelle puissance il s'agit : puissance délivrée par le cycliste ? Puissance délivrée aux roues ? Il faut préciser que...ce sont...les mêmes." Qui s'est perdu ?
@@hans-peterkoch8904 entre le cycliste et les roues il y a bcp de chemin a parcourir et donc bcp de perte , entre autre il y a des pertes de roulement , pneumatique etc.....
c'est joliment raconté. MAIS c'est incompréhensible. et pourtant j'utilise mon vélo tous les jours. Mais des braquets qui deviennent des développements! des cadences qui deviennent des vitesses angulaire puis enfin des vitesse linéaires. la magie n'a jamais d'application en physique réelle.
On passe de la cadence à la vitesse angulaire par une règle de trois. Ils commencent par introduire la notion de dérivée temporelle, c'est autrement plus subtil.
Attention, on a l'impression dans votre reportage que c'est la force x vitesse du vélo qui donne la puissance. Or non c'est la force x la cadence, autrement dit la vitesse à laquelle tourne le pédalier. En outre, la puissance est certes importante en vélo (surtout en montée) mais c'est toujours celui qui est le plus rapide qui gagne , l'aéro joue également beaucoup !
Vous avez tort. La puissance c'est force fois vitesse ou cadence fois couple, pas force fois cadence. Attention aux unités aussi la cadence est en radian par seconde par exemple pas en tours minutes sinon faut rajouter les constantes multiplicatives.
"Le travail c'est l'énergie fournie par une force pour créer un déplacement." Évidement qu'un haltérophile qui soulève un poids fournit un travail : le sujet déplace un poids initialement à terre au dessus de sa tête, grâce à l'application d'une force verticale sur ce poids... Le sujet traité est intéressant mais on dirait que la journaliste ne comprend pas ce qu'elle tente d'expliquer...
Le texte est écrit par M. Rémy Mosseri, dont le curriculum devrait inviter à la modestie ; ce qu'il fait dire à la dame, c'est que "pour un scientifique, porter une charge lourde sans bouger, ce n'est pas un travail".
Cette série est de qualité 😊😊
Belle video interessante. Il manque quelques chiffres pour comprendre les W. Comme celui de comparer coureur de KM sur piste, ou un cycliste dans une étape dans les alpes. Et parler aussi de la différence entre un W pour une course cycliste de 200km et la piste. Les gabarits sont différents, et je n’arrive pas à voir s’il y a une si grosse différence en W entre chaque spécialités. Ou du moins les proportions.
@@felixitation dans se cas, il faudrait aborder la notion d'énergie en joules ou calories et W/kg pour les gabarits. Puis vélo... vélocité... puissance, c'est le chien qui se mord la queue quand on parle de puissance à vélo.
La puissance c'est une chose mais quand on parle de la puissance dans le temps ça ouvre sur beaucoup de sujets notamment la physiologie, les stratégies de courses selon les épreuves etc.
Ce serait super intéressant de faire une comparaison de la puissance dans le temps au cours des différentes courses et des qualités athlétiques prévalentes dans chacune mais c'est trop vaste pour une vidéo de 10 minutes.
la principale différence vient de la durée de l'effort, et selon la durée la limite physique sera différente
sur un sprint (moins de 15s), c'est presque la force brute des muscles qui définit la limite
ensuite, sur des efforts toujours courts mais plus longs (l'équivalent du demi-fond en athlétisme), c'est "l'inertie" du corps qui limite, sa capacité à puiser dans l'oxygène du sang sans qu'il puisse se renouveler assez vite
et enfin, au delà, c'est déjà l'endurance, où la limite physique est dans la capacité à brûler de l'oxygène, et donc à faire travailler le système cardiovasculaire. évidemment le phénomène évolue entre un effort de 10min et un de 6 heures ; on dit souvent qu'on perd 10% de puissance si on double la durée de l'effort
@@felixitation ce qui fait la grosse différence entre sprinters / pistard et les coureurs sur route, c'est la puissance par kilogramme et aussi la notion d'endurance.
En effet, plus une masse est important, plus il faudra de force et donc de puissance pour lutter contre la gravité (et donc monter des bosses). Donc des grosses cuisses de pistards seraient un désavantage dans des bosses, puisqu'ils pèsent souvent plus lourd que les coureurs spécialistes de montagne.
En fait, il y a un équilibre à trouver entre puissance développée (grosses cuisses) et masse (petites cuisses). Les tout meilleurs grimpeurs sur route sont aux alentours de 7 W/kg, pour des masses de 60 kg soit 420 W de moyenne, ce qui est très loin des 700 ou 1000 W de puissance d'un sprinter. Mais leur faible masse leur permet de lutter contre le poids bien plus facilement.
En outre, la notion d'endurance a un rôle primordial: sur une étape de tour de France, pouvoir faire 1000W sur un sprint de 1 minute c'est bien, mais tenir 200 km ou 3 cols de 15 km d'affilé, à 300 W pendant 5 h, c'est mieux.
En bref, développer une puissance élevée pendant un temps court est très avantageux pour des courses courtes, ou des finish au sprint, mais pouvoir maintenir un effort élevé tout en maintenant un poids plume c'est mieux dès qu'il s'agit de grimper !
Un sprinter sur piste ou sur route aura un pic sur 5 secondes de 20-25w/kg et 12w/kg sur une minute.
Sur pistes, les efforts sont courts et il n'y a pas de dénivelé donc un poids plus élevé est avantageux (tant que le ratio poids/puissance ne se dégrade pas) pour produire des hautes puissances (2000-2500w) sur un temps court (10-30 secondes). Le poids moyen est dans les 90kg. Comme le braquet n'est pas changé en court de course, il faut beaucoup de force pour accélérer le braquet depuis 0 tours/minute et aussi beaucoup de vélocité pour générer de la puissance à des cadences allant jusqu'à 150 tours/minute en course.
Pour le kilomètre, il faut un gros pic de puissance au départ pour atteindre sa vitesse max le plus vite possible et maintenir cette vitesse jusqu'à la fin. En moyenne ça donne un peu plus de 1000w sur une minute.
Sur route, il faut pouvoir passer les dénivelés avant de produire un sprint. Il faut donc avoir une bonne endurance/résistance à la fatigue ce qui implique de ne pas être trop lourd. Les ratios poids/puissance changent peu mais avec des coureurs de 75kg on arrive à des pics de entre 1500w et 1800w avec plusieurs minutes d'efforts irréguliers à 500-600w pour se placer dans le peloton.
Pour le BMX l'effort est encore plus court que sur piste avec une accélération maximale au départ et des pics au-dessus des 2000w en moins de 2 secondes. Il faut encore plus d'explosivité que sur piste pour continuer à générer de la force à des hautes cadences et pouvoir passer de manière répétée de 0 à 200 tours/minute pour réaccélérer entre les bosses.
Les grimpeurs eux sont complètement tournés vers l'endurance et focalisés l'optimisation de leur rapport poids/puissance. Les meilleurs peuvent tenir 7w/kg pendant une heure soit autour de 400w et probablement 600-700w pendant une minute.
Puissance= Force×Vitesse=Couple×Vitesse de rotation dans le cadre de l'application de la formule au cyclisme= Force appliquée sur les pedales × Longueur des manivelles × vitesse de rotation du pedalier
Confusion entre les référentiels dans ce reportage, notamment entre la vitesse de rotation du pédalier et la vitesse de déplacement du cycliste. Mais également entre puissance et vitesse qui sont 2 notions pratiquement mises en opposition au début de la vidéo, alors que l' une découle de l'autre :
En vélo de route, de piste , fourcross, VTT..etc celui qui gagne c'est celui va le plus vite sur une distance donnée. Point. On parle alors de vitesse moyenne.
La variation de vitesse chaque seconde de la course fait apparaître la notion de vitesse instantanée (pour mieux appréhender la gestion de l'effort ) donc de puissance.
La puissance délivrée aux roues n'est qu'un des paramètres qui compose la vitesse instantanée parmi une multitude d'autres : état de la piste, pression des pneus, aérodynamisme, pente de la route..).
Lorsque vous parlez de puissance, vous perdez les gens ! car vous oubliez systématiquement de préciser de quelle puissance il s'agit : puissance délivrée par le cycliste ? Puissance délivrée aux roues ?
Il faut préciser qu ces 2 puissances sont liées "mécaniquement" par l'intermédiaire du BRAQUET. Mais en gros, (au rendement de transmission près) ce sont sensiblement les mêmes.
Puissance délivrée aux roues = COUPLE x CADENCE (vitesse rotation des pédales).
Et ce que vous voulez mettre en avant dans cette vidéo c'est que la physiologie humaine peut délivrer un maximum de puissance au pédalier à un certain point d'équilibre entre CADENCE des pédales et COUPLE (d'où l'intérêt du dérailleur).
Autre détail qui peut déranger : Vous traitez la puissance comme une finalité à atteindre alors que ça reste malgré tout la vitesse.
Si en cyclisme sur piste ou vélo de route, la vitesse du cycliste dépend majoritairement de la puissance délivrée par les jambes, ce n'est pas le cas de toutes les disciplines cyclistes. Dans une course bmx, la vitesse est maintenue par un jeu permanant de transfert de masse corporelle et de flexion/extension des bras et des jambes au fil des bosses, d'où le terme de "pumptrack". En VTT enduro/descente également.
Il faudrait reprendre les bases de la physique par une infographie générale claire qui permet de mieux situer les grandeurs qui composent la vitesses et les paramètres qui l'influence.
Là oralement avec 3 interviews et quelques séquences filmées c'est incompréhensible pour la plupart des gens je pense.
"... vous perdez les gens ! car vous oubliez systématiquement de préciser de quelle puissance il s'agit : puissance délivrée par le cycliste ? Puissance délivrée aux roues ?
Il faut préciser que...ce sont...les mêmes."
Qui s'est perdu ?
@@hans-peterkoch8904 entre le cycliste et les roues il y a bcp de chemin a parcourir et donc bcp de perte , entre autre il y a des pertes de roulement , pneumatique etc.....
Merci
Super intéressant merci! J’aurai bien aimé avoir le nom de l’étude qui utilise la motion capture pour le départ de BMX 😊
2000w c'est fou je ne savais pas
c'est joliment raconté. MAIS c'est incompréhensible. et pourtant j'utilise mon vélo tous les jours. Mais des braquets qui deviennent des développements! des cadences qui deviennent des vitesses angulaire puis enfin des vitesse linéaires. la magie n'a jamais d'application en physique réelle.
On passe de la cadence à la vitesse angulaire par une règle de trois.
Ils commencent par introduire la notion de dérivée temporelle, c'est autrement plus subtil.
Attention, on a l'impression dans votre reportage que c'est la force x vitesse du vélo qui donne la puissance. Or non c'est la force x la cadence, autrement dit la vitesse à laquelle tourne le pédalier. En outre, la puissance est certes importante en vélo (surtout en montée) mais c'est toujours celui qui est le plus rapide qui gagne , l'aéro joue également beaucoup !
Attention, la puissance c'est la force x le bras de levier x la cadence : la longueur des manivelles fait partie du calcul !
Vous avez tort. La puissance c'est force fois vitesse ou cadence fois couple, pas force fois cadence. Attention aux unités aussi la cadence est en radian par seconde par exemple pas en tours minutes sinon faut rajouter les constantes multiplicatives.
@@jeanmartin963 exact. P= F×V=C×Vitesse de rotation = F×Longueur des manivelles×vitesse de rotation
C'était probablement ce qui été le mieux dit :
Définition : P = dW/dt = d(F.x)/dt.
Si F constant, alors P = F.dx/dt = F.V
"Le travail c'est l'énergie fournie par une force pour créer un déplacement."
Évidement qu'un haltérophile qui soulève un poids fournit un travail : le sujet déplace un poids initialement à terre au dessus de sa tête, grâce à l'application d'une force verticale sur ce poids...
Le sujet traité est intéressant mais on dirait que la journaliste ne comprend pas ce qu'elle tente d'expliquer...
Le texte est écrit par M. Rémy Mosseri, dont le curriculum devrait inviter à la modestie ; ce qu'il fait dire à la dame, c'est que "pour un scientifique, porter une charge lourde sans bouger, ce n'est pas un travail".
"Dans une descente on va vite sans rien faire". Merci pour ce grand moment de science à 2 balles. Je faire du vélo plutôt que de regarder cette daube.
N'hésitez pas, ça va vous faire du bien 😛
Oof, le commentaire plus tendu qu'une chaîne neuve :')
Il peut retourner à l’école, à vélo. 😊
Aller vas te défouler, et ba*se un coup ça ira mieux