Comment la parentalité intensive nous bouffe la vie (1/2) | Vivons heureux - ARTE Radio Podcast
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- เผยแพร่เมื่อ 24 ก.พ. 2021
- Vous connaissez les soirées 4D après le travail : devoirs, douche, dîner, dodo ? Rien de tel pour se faire un petit burn-out, et se demander ce qui nous a pris de faire des enfants. Pourquoi personne ne nous prévient du niveau d’épuisement que l'on va atteindre en se reproduisant ? Personnellement, je n'ai rien vu venir. Peut-être que je ne voulais pas entendre… Tellement rivée à mon envie de jouer au papa et à la maman, de rentrer dans le grand cycle de la vie. On est censés s'épanouir dans son rôle de mère ou de père, le jouer à fond, mais on ne questionne pas vraiment la pression que cela nous met. Ce qui se cache derrière l’idéal de l'enfant choisi, désiré, et de son parent hyper-investi, sur-informé, bienveillant, toujours à l’écoute… Ce que cela réclame de chacun de nous et que la société toute entière nous demande.
Pour ce premier épisode consacré à la parentalité, je suis allée voir une psychologue clinicienne spécialiste du burn-out, des mères et des pères plus ou moins surmenés. J’ai discuté avec mes filles, enregistré nos disputes, glané deux ou trois concepts éclairants chez des sociologues. Je n'ai pas trouvé la formule pour shampouiner de la lotion anti-poux dans la joie mais j'ai mieux compris les modes de parentalités auxquels je m’accroche : d'où ils viennent, quels groupes sociaux les diffusent. Pourquoi ils ne nous font pas tant de bien que ça. Une manière de débusquer l’hypocrisie du modèle que l’on s’impose collectivement, et de déblayer quelques pistes pour re-politiser nos vies de parents.
Avec :
- Isabelle Roskam, psychologue clinicienne
- Claude Martin, sociologue
- Charlotte Debest, sociologue
- Samuel Bonvoisin, L’oasis de Serendip
- Emilie S.
Références :
- Isabelle Roskam, Moïra Mikolajczak, "Le burn-out parental", De Boeck Supérieur
- Claude Martin, « Être un bon parent » : une injonction contemporaine, Presses de l’EHESP
- Charlotte Debest, Le choix d'une vie sans enfant, Presses universitaires de Rennes
- Frank Furedi, Parents paranos: laissez tomber votre culpabilité, vous êtes très bien !, Aliasetc
- Sharon Hays, The Cultural Contradictions of Motherhood, Yale University Press
- Claude Martin et, Xavier Leloup, Le déterminisme parental en question : la « parentalisation » du social, Revue Erudit
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🌿 VIVONS HEUREUX AVANT LA FIN DU MONDE 🌿
Comment s’habiller, échanger, voyager, s’aimer dans les années 20 ? Pour se bricoler une morale minimale en des temps de crises sociale, écologique et sanitaire, Delphine Saltel (Que sont-ils devenus ?, Y'a deux écoles) explore chaque mois nos incohérences et les solutions possibles. Mêlant questionnement personnel, tribulations domestiques, reportages et entretiens avec des chercheurs et des activistes, ce nouveau podcast veut alerter, éveiller et rassurer sur un autre monde possible.
#podcast #parent #enfant
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Une création de Delphine Saltel
Texte, voix, réalisation : Delphine Saltel
Musiques originales et mix : Arnaud Forest
Illustration : Mathilde Rives
A retrouver sur : www.arteradio.com/son/6166572...
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C'est quand même incroyable que nombre de parents se lancent dans cette aventure de la parentalité sans se dire qu'il y aura de nombreux moments de desespoir, de panique, de frustration et d'énervement...il n'y a pas de préparation, pas d'analyse, pas d'ajustement. Que de la violence de part et d'autres.
Les gens exigent tout : carrière, conjoint sexy et amoureux, temps pour soi et loisirs , vie sociale et amicale, et enfants "faciles" et sans problème. Faut se reveiller !😅
On oublie aussi que la responsabilité de l'éducation des enfants par les parents uniquement (mère et père) est un phénomène assez récent dans l'histoire et est surtout valable pour les pays occidentaux.
Il y a quelques générations, en France et dans beaucoup de cultures non occidentales, la charge de l'éducation incombaient à la communauté (famille élargies, village...) et pas uniquement aux parents.
Aujourd'hui c'est très difficile pour un parent de devoir jongler entre l'éducation d'un enfant et un métier à temps plein quand on est seul. La pression est énorme !
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très anthropologique.
Oui puis l’éducation de ces temps là c’était de l’élevage plus que de l’éducation. Une gifle et au lit, c’est bien plus rapide.
quand j'ai eu mes enfants, j'ai vite compris qu'avoir une famille et une carrière c'était presque impossible. L'heritage féministe et les salaires stagnants nous poussent à faire les deux, mais l'éducation des enfants c'est un travail à plein temps, et un travail pénible de surcroît. On nous a vendu ce rêve donc on croît que c'est possible, mais mon experience personnelle m'a vite démontrer que c'est au prix d'un surmenage permanent. Et au bout du compte c'est les enfants qui sont en manque parce que les parents sont à bout et pas heureux. Bien sûr je ne dis pas que c'est le rôle des femmes exclusivement, les pères sont tout aussi capables, mais l'idée que deux parents bossent à plein temps et ont également plusieurs enfants à charge et que ça va être le bonheur permanent, à mon avis c'est illusoire. Donc on est frustré et stressé parce que c'est devenu la norme et on vit dans une société qui valorise énormément la performance (être capable de faire super bien plein de choses à la fois) et le succès professionnel (élever ses enfants n'est pas considéré comme un boulot en soi). Même si on a les moyens d'avoir nounous, babysitters, femme/homme de ménage etc, les enfants ont besoin de leurs parents, au moins d'un parent, qui n'est pas complètement usés par ce multitâche permanent.
@Zai Rois non ce n’est pas juste une question de temps, d’organisation et d’amour, c’est surtout une question de temps. Le féminisme a été initié par des bourgeoises qui voulaient avoir une carrière, ce qui ne posait pas probleme étant donné qu’elles embauchaient des personnes afin de faire leur travail de mères, ainsi beaucoup d’enfants ont été très déconnectés de leurs parents. Travailler 35h semaine + faire le ménage faire la cuisine faire les courses avoir une vie sociale aider les enfants à faire leurs devoirs et se détendre, c’est impossible. La solution serait de baisser les heures de temps plein.
@Zai Rois Comme @Elodie GM le souligne, je pense que c'est effectivement une question de temps. Je ne sais pas trop pourquoi je reçois votre jugement, quant à mes supposés qualités ou ma frustration. Et je suis tout a fait d'accord avec vous lorsque vous dites que la vie requiert des concessions, sacrifices etc et qu'il faut les accepter, je ne vois pas en quoi ce j'ai dit contredit cela. Mais je comprends aussi que de nos jours, on ne peut s'empêcher de se comparer et que malheureusement on a tendance à projeter sur les autres. J'ose espérer que vous comprenez bien que ce que j'ai partagé dans un commentaire d'une centaine de mots sur une video de TH-cam ne reflète pas la totalité ni la complexité de mon vécu, ni celui des autres. Je remarque simplement que ce qui constituait le boulot principal d'une partie de la société depuis des millénaires, et soudain devenus quelque chose à temps très réduit et ce au même moment où les exigences de performances professionnelles se sont exacerbées. Je pense que l'experience de chacun dépend énormément du type de professions exercées, et de ce qu'on veut de notre relation avec nos enfants sur le court et long terme.
@Zai Rois Et puis vous pourriez peut-être aussi éviter de prendre cette posture d'indignation morale et d'accuser les gens d'être égoïstes, désorganisés, incapables d'aimer leurs enfants ou de faire face aux difficultés de la vie. Partagez votre experience serait plus utile et constructif. Si vous arrivez si bien à jongler la vie de famille et une carrière, et que vous ne vous posez jamais de questions sur la qualité de votre vie ou de l'éducation que vous prodiguez à vos enfants ou de vos relations à leur endroit, on veut des détails et pas des insultes. C'est quand même ironique de parler "d'amour" et d'education tout en faisant preuve d'un manque total d'empathie ou même d'un peu de délicatesse vis a vis d'autrui.
@Zai Rois Bah non justement, c'est un peu le sujet de mon commentaire. C'est un phénomène assez récent dans l'histoire de l'humanité. Vous ne savez rien de ma vie, mais vous pensez pouvoir porter des jugements, le fait que mon commentaire soit public ne change rien sur le fait que vous êtes horriblement présomptueux/se et arrogant/e pour quelqu'un qui s'abroge le droit de donner des leçons de morale et de pédagogie et d'insulter le gens. Bonne chance avec la vie et vos enfants si vous en avez.
@Zai Rois J'adore vote empathie sélective, selon qu'on est parent célibataire ou pas, ça en dit long.
Il faut tout un village pour élever un enfant !
36:35 cette enfant a une clairvoyance incroyable 👏👏👏
J'ai souvent pensé que mon burn-out parental était peut-être le résultat d'un sur-investissement mais en même temps une faiblesse de caractère en comparaison aux autres parents qui tiennent le coup.
Ce reportage m'a fait beaucoup de bien en me confortant que le sur-investissement est plutôt la véritable réponse plutôt que de la faiblesse de caractère. Cette déculpabilisation est une réponse que j'attendais depuis longtemps. Pour cela, je vous dit un grand merci. Votre podcast est tellement sincère et courageux.
Pp
J’adore vos podcasts. Merci. Ne changez rien et continuez s’il vous plaît… 😊
La petite cadette a une maturité incroyable !!
Je crois qu'il faut travailler notre intelligence émotionnelle pour savoir être calme dans les moments les plus stressants, guérir les blessures du passé, plus on en apprend sur le développement du cerveau de l'enfant, plus on va gérer les situations facilement et il y en aura moins de stress dans toute la famille.
Pleine conscience, amour et limites saines.
Knowledge is power
Podcast passionnant! J'attends la suite avec impatience.
Et pour les parfait.e.s qui se permettent de critiquer les relations de cette mère avec ses enfants, n'oubliez pas que ce ne sont que qqs moments qui sont diffusés. De toute évidence, cette mère est NORMALE: parfois attentive et aimante, parfois fatiguée mais aimante qd même.
Dans tous vos podcasts j'ai l'impression de m'entendre penser c'est assez dingue !
Pris entre entre le fait de vouloir bien faire, la peur de trop en faire, peur de passer à côté, de trop me poser de questions, est-ce vraiment ce que je veux au fond de moi ou est-ce une injonction de la société ou héritage parental...
Je dis souvent aux copains qu'il faudrait plusieurs vies pour être à 100% dans chaque tâche, familiale, professionnelle, sportive, amoureuse... Et d'un autre côté faut il être à 100% pour être heureux 🤔
Quand on entend la vie du Mr dans la Drôme on veut tous faire pareil mais on en a pas le courage.
Quand on entend votre fille parler on peut dire que vous avez quand même bien réussi à transmettre votre bienveillance et ce malgré les hypothétiques erreurs que vous pensez avoir faites. La perfection n'est pas de ce monde et on essaie de faire au mieux ce qui est déjà très bien !!!
Sachons prendre du recul pour ne pas s'autoflageller inutilement.
Passons moins de temps au travail pour être plus épanoui. Je suis papa en temps partiel parental et c'est une infini chance que de pouvoir en profiter !
Je découvre cette série de podcasts et je suis très grand fan alors merci !
Merci de nous apporter enfin un éclairage de qualité sur ce phénomène contre lequel qu'il très mal vu de combattre : la parentalité intensive. Il me semble qu'il a surtout pour objet de nous faire culpabiliser ! Pas facile de lutter pour ses droits et besoins fondamentaux aux quotidien (dans son couple, à son travail, dans la rue...) quand on porte ainsi sur nos épaules l'avenir de notre enfant et du monde : ferais-je de lui un adulte autonome, épanouis et bien dans sa peau, écoresponsable et défenseur des droits etc...
ahhhh, cette quête utopique de la perfection parentale ! Effectivement, épuisante !
Un podcast conscient et courageux. Bravos pour vos analyses 💕
Même si je ne suis pas d'accord avec pas mal de choses que vous dites, j'aime votre ton, vos recherches, votre façon de vous questionner. Merci.
je trouve les filles tellement justes. Chouette d'avoir de telles discussions avec elle...
Il faut savoir laisser son enfant un peu tranquille pour pouvoir se laisser tranquille aussi. Il y aura des soirs ou la douche ne sera pas prise, ce n 'est pas si grave... Il y aura des soirs ou le diner ressemblera à un pique nique, est ce si grave? et si l'enfant ne connait pas toutes les lettres de l'alphabet à 4 ans, cela l’empêchera t'il de réaliser ses rêves?
Tout à fait d'accord avec vous... Certains parents se mettent une sacrée pression!
Euf la douche moyen hein...la propreté ça s'apprend tôt ou pas...
Le reste c'est laisser du temps à l'éveil d'un enfant et lui laisser le choix...
Le problème à la base n'est pas tant un pblème de culture que de stress du lendemain dans une société de plus en plus dure et compétitive qui détruit les gens plutôt que de les amener à l'épanouissement...
Et plus les gens souffrent dans leur boulot ou leur catégorie sociale, plus ça joue sur la pression qu'ils mettent sur les enfants...
Et le néolibéralisme qui bouleverse la société depuis les années 90 est loin d'être innocent!...
@@augustinedebosson9343 euh quand tu es un enfant qui n'a pas passé la puberté, que tu transpires peu, UN jour sans douche c'est rien. Toute mon enfance j'ai fait une douche un jour sur deux. C'est culturel la douche tous les matins donc elle a totalement raison.
Interessant ce commentaire de la petite qui dit " ne pas essayer de regler les pbs de son enfance" pour être bon parent,,
Oui on a ecarté le côté "tribe" où on peut laisser ses enfants à d autres et c est ok, voisins, amis, il y a plein de gens sans et avec enfants qui seraient ravis d emmener ceux des autres pêcher, marcher, jardiner etc mais on a coupé ces liens de "network" pour tout individualiser, formatiser, standardiser, epurer, perfectiser ,,, du coup si le voisin a trop de barbe ou met des pantalons trop larges ou a une caisse trop vieille on lui laissera pas ses enfants ,, alors qu en fait il est peut etre tres bon conteur d histoires , joueur de piano, connaisseur en plantes ou en oiseaux ,, bref , un autre pôle d education qui pourrait tt a fait completer et agrementer l experience des enfants.
Grand merci
C'est aussi à cause de ce rythme de vie que je ne pense pas pouvoir élever un enfant dans ce monde, avec le travail et le reste. Devoir les faire garder. Être énervée le soir et ne pas profiter. Non. Si ma vie change oui. Déjà je suis seule et j'ai une vie mouvementée. Impossible de m'imaginer avec des enfants
hâte d'entendre la suite
Financer les mamans pour s'occuper du foyer et des enfants ? Votre film est bien dans la mouvance du wef. Vous êtes là pensée unique de rééducation
La petite à 37min est formidable on dirait ma grand mère anarchiste 🖤❤
Moi je l'ai pas du tout trouvé baclé la fin de ce podcast 😉
Le sentiment de prise de recul après avoir bouclé ce podcast à dû être intense et un soulagement.
Tourner "sa" page, être un peu plus indulgent vis à vis de nous même, détecter puis supprimer le plus d'injonction merdique possible. Pour moi, c'est cette vie de maman qui commence.
Hate d'écouter la seconde partie.
Mais oui ! hâte de connaître la 2e part ! @Arté quand est-ce que vous nous la partagez ?
Merci
La petit s’exprimer mieux que beaucoup d’entre nous 😂😂😂😂😭
Très beau travail, la deuxième partie est-elle déjà sortie ?
Super merci
Mais à qui s'adresse ce podcast ? Qui peut faire le choix de partir 8 mois en camion comme ça tranquille ? Ce témoignage est certes intéressant mais dans ce type de podcast qui s'adresse (enfin je le pensais) à des parents déjà culpabilisés dans leur parentalité, quel bien est ce que cela fait ? Bien sûr qu'ils sont plus heureux à courir dans la forêt avec tout plein d'adultes intesessants et bienveillants. Bien sûr que c'est une super remise en question. Mais c'est un peu classiste quand même non ? Des gens qui vivent en hlm et qui n'ont aucun relais non plus, ni grands parents ni rien) ça existe aussi. Il y a la réalité de la vie de beaucoup de gens à prendre compte. Ce passage avec ce témoignage balancé comme ça sans aucun questionnement à côté m'a dérangée.
Bien vu 👍👍👍👍
Oui j'ai ressenti pareil, on a pas tous la possibilité de tout laisser tomber pour aller s'installer à la campagne et ce cliché m'a un peu énervé. Comme si la campagne était la réponse à tous nos problèmes. Pareil pour la fin avec le choix de ne pas avoir d'enfant, je respecte tout à fait mais ça sert à quoi à part me faire culpabiliser encore plus là en tant que père de les avoir voulus et de ne pas réussir à les gérer ? On a beau se dire qu'on veut bien des enfants et que ce sera difficile, c'est toujours plus difficile en vrai, rien ne peut nous préparer à ça en fait.
Moi je me suis dit que le monsieur qui lui racontait sa vie idyllique au téléphone en rajoutait une couche ... Pour avoir vu et avoir vécu dans ce genre d'"habitat groupé", tout est trèèès loin d'être rose entre les habitants, et il me semble que c'est partout comme ça ...
tout ce qui se passe c'est qu'il y a des gens qui trouvent la force et d'autres qui trouvent des excuses. Vous avez l'air piqué par le fait que d'autres sont parvenus là où vous vous êtes englués.
vous aviez la possibilité de ne pas faire de mômes. Vous en avez fait. Et désormais vous hurlez sur ceux qui sont parvenus à amener les leurs sur un chemin différent du vôtre ? Navré mais c'est ridicule.
Et un camion, c'est bien moins cher qu'un HLM. Une maison en campagne est moins chère qu'un HLM de ville, ou pas loin. Répétons : il y a ceux qui trouvent les moyens, d'autres les excuses.
Ne parlons même pas de la généralisation de Sarah faite au final sur les habitats alternatifs - "ce n'est pas rose"... Il est évident à vous entendre parler d'incapacité d'acheter un simple camion, vos vies en société classique sont beaucoup plus roses, oui... ca respire la serenité et le vivre-ensemble, ailleurs... d'ailleurs à vous voir généraliser d'une pareille façon on se doute que monter un projet alternatif avec vous n'a pas du être une sinécure - si vous voulez des adresses viables j'en ai un paquet mais j'ai peur de vous les procurer....
Et ce n 'est pas si bon pour son développement. Les enfants apprennent de la vie sans y être poussé, seulement encadré. L'on constate souvent que ces enfants ne sont pas plus mure, ni plus à même de gérer leur relations avec les autres. La relation avec l'adulte est tellement prenante qu'ils ne se sentent pas comme les autres enfants, un peu en marge le plus souvent.
Je suis sceptique. J'entends surtout des parents qui ne peuvent compter sur l'aide de leur conjoint. Surtout des femms qui ne peuvent compter sur les papas. Perso quand ma femme craque elle part s'enfermer dans la chambre et je prends le relais. Pareil quand je suis fatigué c'est elle qui reprend. On assume de pas donner des bains tous les jours. On assume d'être bienveillant mais jusqu'à une certaine limite. C'est encore et toujours un problème de répartition de charge mentale entre homme et femme
Ça m'amuse le papa dans la Drôme. J'ai l'impression qu'il cherche surtout à ce que ses enfants aient TOUT . La pêche, les jeux vidéo, les grands espaces . Est-ce vraiment mieux ?
En revanche, ce que je trouve très positif dans ce genre d'expérience c'est le fait que des parents ne soient plus laissés seuls avec leurs enfants.
Vous avez tous raison, mais je remarque que les parents delaisse de plus en plus leurs enfants, car trop de taf et de soucis quotidien..... C'est dur... J'ai peur pour l'avenir.... 💚💛❤️
Et surtout on évite bien de nous dire de faire de notre mieux, et ça sera déjà pas mal.
Voilà pourquoi je ne veux pas d’enfants. J’ai pas envie de faire subir à un enfant des VEO et faire comme si c’était normal. Avoir des enfants c’est malheureusement mettre sa propre vie entre parenthèses pour l’épanouissement de futur adulte en devenir qu’est le bébé puis l’enfant. Perso, j’ai pas la patience et je ne veux pas être l’origine d’un futur adulte problématique pour la société ou qui pour lui-même.... je ne sais pas de quoi est fait le futur, mais vivre sans enfant, j’aime beaucoup et je suis épanoui tel que je suis actuellement ☺️
je, je, je, je, je. moi je. Ah, au passage, moi je.
Un "je" par phrase.
générations de commentateurs égocentriques. Vous êtes épanouis. C'est bien, moi aussi. Sachez que tout le monde s'en fiche ;)
Vive les non parents comme vous, vos futurs non enfants ont de la chance.
Et vous avez bien raison
le plus gros probleme est le manque d'autorité. On veut mettre l'enfant au même niveau que l'adulte mais il doit avoir une place d'ENFANT si l'on ne veut pas se faire bouffer. Je n'ai pas d'enfant mais je le constate regulierement dans des couples recent (enfant nés dans les années 2000). L'enfant est déifié alors qu'il devrait juste etre un enfant. Tres bon podcast.
@@ibtissem123 l'enfant dans le podcast le dit lui même " être plus sévère", l'enfant ne doit pas décider, mais le parent n'a pas être violent.
J'en suis à 11 mn et je trouve les propos de cette femme insupportable.
Avoir des enfants n'est pas une obligation même s'il y a diverses pression sociales pour nous le faire croire. Dans la société actuelle et avec l'avenir qui se profile j'aurais plutôt tendance à penser que cette soumission à l'injonction sociale est un crime contre l'être humain.e que l'on jette dans un monde pas du tout accueillant et plein d'injonctions sociales et morales qui vont à l'encontre de la nature de l'enfant.
Un des principaux problèmes c'est que les parents obéissent à des injonctions sociales du paraître moralisateur au lieu d'être à l'écoute de la personne singulière et unique dans ses réactions, aspirations, sa créativité propre qu'est leur enfant. Ce faisant il.elle.s s'étouffent elles•eux-mêmes et étouffent tout ce qui fait la spécificité, l'originalité, la fantaisie de leurs enfants..Et cette moraline d'être le.la parent.e parfait.e qui transmet les Normes dans la joie alors que ce qu'est l'enfant a été nié, dominé dans une guerre de chaque instant qui détruit les deux protagonistes les épuisent autant qu'elle coupe les ailes de la spécificité de leurs enfants qui ne sont pas des objets industriels à formater pour l'école et le salariat mais des personnes respectables à part entière.
Une fois que l'on à compris cela on peut laisser la fantaisie et la créativité entrer dans sa vie sans culpabiliser et cela change tout.
J'espère que la suite est moins normative.
Et si on apprenait les étapes de la croissance émotionnelle et physique des enfants pour aller dans leur direction et non contre? Et si on apprenait à se connaître soi-même en premier? Eux sont des antennes, des éponges de nos ressentis. Comme le permis de conduire nous aide à gérer une voiture en confiance, un permis de parentalité nous aidera à nous sentir moins dépassés.
Un petit mot pour les parents d enfants avec des maladies chronique. Mon fils a un diabète de type 1 et je suis mère célibataire..... on a notre travail, notre job de mère et celui d infirmiere. Sans compter les gestes médicaux obligatoire que l'on doit faire... on rajoute une couche à la lasagne!!
Bon courage madame❤
Solution: diprivan
Redoutablement efficace
J’ai l’impression que vous êtes plus des mères égoïstes et incompétentes que des mères sur investies
C'est dingue ca pourrait vous paraitre bizarre mais plus j'entend vos podcast qui sont magnifique plus je me rend compte que les prescription de ma religieux (l'islam) sont beaucoup plus utile que la construction sociétale du monde.
manichéisme primaire, les deux sont complémentaires si vous êtes bienveillant. Vous faites une dichotomie d'une complémentarité.
@@BooshFonky Je n'ai jamais parlé de bien ou de mal, j'ai justement fait le rapprochement entre les deux. Vous nous faite une parano de l'homme derrière son écran. J'ai parlé d'outil et pas d'idée, vous essayez de forcer la dichotomie ? Vous n'aimez pas les religions ? Vous vous croyez supérieur ? Allez chez un psy.
@@othmanebenkirane5648 vous n'avez pas compris. A partir du moment où vous utilisez "beaucoup plus utile que", vous hiérarchisez. Ce sont deux outils - votre religion et la construction sociétale du monde - qui vous permettront de vivre mieux. Classer l'un ou l'autre - ce que vous faites - est une absurdité. Pour le reste, vu l'angle d'attaque et la portée de vos arguments, je vais vous faire cadeau d'ignorer afin d'éviter que nous nous abaissions aux attaques ad-hominem.
@@BooshFonky J'avour que j'ai été un peu trop violent sur le coup, j'apprécie votre maturité. En quoi trouvez vous absurde la différenciation entre les deux outils, vous pensez que la religion est une construction sociale ?
A 13mn50 c'est juste effarant de parler comme ça a un enfant sincèrement... La discussion du partage des taches c'est dure à entendre surtout pour un homme qui s'occupe de son enfant comme une mère
C'est exactement le propos : le burn-out parental nous mène à des comportements qui nous font honte... la culpabilité renforce la dépression, la dépression nous mène à des comportement qui nous font honte... etc : cycle sans fin !
Je suis choquée par le ton sur lequel les adultes parlent aux enfants dans ce podcast. Et par le contenu aussi. C'est très violent et c'est eux qui cherchent le conflit souvent.
C'est exactement le propos : le burn-out parental nous mène à des comportements qui nous font honte... la culpabilité renforce la dépression, la dépression nous mène à des comportement qui nous font honte... etc : cycle sans fin !
Sinon y'avait aussi la possibilité de ne pas faire de mômes, hein...
Qui est HPE ?
Sans vouloir etre rétrograde mais investissement dzns l'éducation ou pas... Un bonne aller retour de 5 doigt bien claqué dans la face entre 6 et 9ans ca remets vite de l'ordre et de la joie dans la relation.
Sinon 15 jours de "vacances" chez tonton Bernard et ca file droit
J'aurais eu une mère qui me parlais comme cela enfant (à en entendre les nombreux extraits), avec autant de distance, de froideur et de je-m'en-foutisme, j'aurais peut-être été du genre à faire des conneries pour avoir plus d'attention et d'intérêt.
Et j'aurais possiblement été aussi suffisant que cette mère.
Je n'arrive pas à comprendre comment on peut ne pas essayer de montrer un peu plus d'intérêt et un peu moins de flemme...
Bref, heureusement, ce ne fut pas le cas.
Moi aussi je ne comprends pas comment des parents acceptent de se laisser subir de telles choses .. un peu d'autorité aurait rassuré ces deux petites filles et leur aurait montré que l'on s'interesse vraiment à elles ... mais bon je suis sans doute pas assez moderne.
Je pence que parfois c'est facile a dire mais moins facile au quotients, j'ai deux enfants et meme si je me remet souvent en question parfois c'est pas evident.
@@luriosite584 Je ne dis pas le contraire. Mais j'ai comme l'impression que la personne n'est pas vraiment plus expressive ou chaleureuse même lorsqu'elle est dans son état normal.
Juste comme ça, vous avez combien d'enfants ?
@@RobertDupont007 0, et vous ?
" Je veux ma tétine"
" TU ME LA DEMANDE PAS COMME ÇAAAA"
"COMMENT ON DEMANDE QUELQUE CHOOSE SANS PLEURER"
ben déjà arrête de gueuler si tu veux que ton gosse te parle correctement.
Vous n'en pouvez plus alors que vous êtes minimum de classe moyenne, urbaine, avec pognon pour des séances chez la psychomotricienne toutes les semaines '' parce qu'il faut '' là où des pauvres dont les gamins qui en ont besoin ne peuvent tout simplement pas se le payer? Vous rencontrez un couple qui, hop!, a les moyens financiers, culturels, relationnels de choisir sa vie de rêve ? C'est dur la vie, hein ? Alors imaginez donc pour tous les cabossés de la vie, les pauvres, exclus ou smicards, qui n'ont rien ni personne pour les aider. Ça vous fera peut être relativiser !
wesh groseille, il y a des mâles qui occupent ce rôle et ce niveau d'investissement et la méthode est radicalement différente. Sort de ta bulle sociologique, ton champ de perception est juste étroit.
Mâles? Laisse tomber frérot ton champ de perception est biaisé et tu es condescendant
mdr même quand elle décide de prendre tu temps pour le passer avec ses enfants c'est pas pour jouer avec eux ou les écouter. Mais c'est pour les culpabiliser sur du "t'as vu petite t'as fait des crises, c'était pas facile pour maman. Dit moi que je m'en sors bien et que tu reconnais ta faute dans ces crises". Laisse tes enfants aux centres aérés va
"Parentalité intensive"… Quel jargon, mon Dieu ! C'est peut-être ça, votre problème : vous ne savez même plus parler.
"Pourquoi personne ne nous prévient du niveau d’épuisement que l'on va atteindre en se reproduisant ?"
Je ne sais pas qui écrit ces descriptions, mais avoir un enfant, ce n'est en aucun cas "se reproduire" : c'est produire de la différence. J'espère pour eux que vous n'avez pas d'enfants…