C'est triste et beau. Nos larmes ont ne peut pas les. Retenir devant cette merveilleuse et harmonieuse nature oui dessine un tableau merveilleux et splendide qui marquera a jamais nos souvenirs et nous donne une bouffe'e d'aire pure.et merveilleuse
l'écoute de ces poèmes de Lamartine nous apporte la quiétude, la douceur, la sensualité. il y a un jouissement qui procure du souffle, prolongeant l'émoi sentimental. La magie et l'alchimie des sonorités contenues dans les vers illuminent l'âme et répandent la grâce, la bonté, la générosité , la tendresse et l'hymne de la joie. Bref il est clair que la cadence et la mélodie de cette lecture poètique ne peuvent que participer à l'élevation et à la noblesse de l'âme. On sent la réparation, la regénération ou l'assainissement de l'humain abîmé du fait des tensions et aléas de la vie quotidienne.
C'est un très beau poème. Et oui, le temps qui passe, emportant nos moments de bonheur... laissant place à la nostalgie.... aux souvenirs.... L'isolement et ce poème sont sans aucun doute mes poèmes préférés de Lamartine.
LARMES DOUCES EN CE SOIR DE DEBUT D'ETE AU SON DE VOTRE VOIX lisant - on dirait presque "composant" - LE MAGNIFIQUE POEME ROMANTIQUE DE MES 18ANS MERCI
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ; Si tu peux être amant sans être fou d’amour, Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre, Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-même d’un mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les roys, Si tu peux aimer tous tes amis en frère, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais méditer, observer et connaitre, Sans jamais devenir sceptique et destructeur, Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maitre, Penser sans n’être qu’un penseur ; Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu sais être bon, si tu sais être sage, Sans être moral ni pédant ; Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront, Alors les Roys, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront à tout jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Roys et la Gloire Tu seras un homme, mon fils.
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ?
Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ; Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes Sur ses pieds adorés.
Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux.
C'est étrange ce lac ,depuis le restaurant du belvèdère de la chambotte, la surface du lac avec ses reflets d'argent dessinait comme une peau , je le souligne à la personne présente à mes cotés à admirer ses paysages magnifiques avec le soleil qui nous quitte peu à peu, derrière le mont du chat en face de nous.
A tous mes collegues de la 4ème année du secondaire au fin fond de Bibwe, en Rep Dem du Congo, je dedie ce poème de Lamartine! Ça me rappelle les bons moments quand on recitait "Le lac"!
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges, Jeter l’ancre un seul jour ? O lac ! l’année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu’elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre Où tu la vis s’asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés, Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes Sur ses pieds adorés. Un soir, t’en souvient-il ? Nous voguions en silence ; On n’entendait au loin sur l’onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos : Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère Laissa tomber ces mots : « O temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! Assez de malheureux ici-bas vous implorent, Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent, Oubliez les heureux. Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m’échappe et fuit ; Je dis à cette nuit : sois plus lente ; et l’aurore Va dissiper la nuit. Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ; Il coule, et nous passons ! » Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse, Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur, S’envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus ! Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ! Eternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez ? O lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire, Tout dise : Ils ont aimé !
C'est triste et beau. Nos larmes ont ne peut pas les. Retenir devant cette merveilleuse et harmonieuse nature oui dessine un tableau merveilleux et splendide qui marquera a jamais nos souvenirs et nous donne une bouffe'e d'aire pure.et merveilleuse
l'écoute de ces poèmes de Lamartine nous apporte la quiétude, la douceur, la sensualité. il y a un jouissement qui procure du souffle, prolongeant l'émoi sentimental.
La magie et l'alchimie des sonorités contenues dans les vers illuminent l'âme et répandent la grâce, la bonté, la générosité , la tendresse et l'hymne de la joie. Bref il est clair que la cadence et la mélodie de cette lecture poètique ne peuvent que participer à l'élevation et à la noblesse de l'âme. On sent la réparation, la regénération ou l'assainissement de l'humain abîmé du fait des tensions et aléas de la vie
quotidienne.
C'est un très beau poème. Et oui, le temps qui passe, emportant nos moments de bonheur... laissant place à la nostalgie.... aux souvenirs....
L'isolement et ce poème sont sans aucun doute mes poèmes préférés de Lamartine.
Ma poésie lyrique préférée depuis toujours 😇🥰
Quel grand Amour
LARMES DOUCES EN CE SOIR DE DEBUT D'ETE AU SON DE VOTRE VOIX lisant - on dirait presque "composant" - LE MAGNIFIQUE POEME ROMANTIQUE DE MES 18ANS
MERCI
❤**** un privilège ***Quel beau voyage vocal au Lac**** Merci beaucoup 😊 🎉
Ce superbe poème d' Alphonse de Lamartine m'a fait aimer la poésie . Merci pour cette très belle lecture ...
Moment extraordinaire. Merci beaucoup.
C'est vraiment magnifique,j'admire et j'écoute.
très belle voix qui donne encore plus de charme au poème.
Quelle merveille!!!...oui nous passons mais nous reviendrons!!! Merci beaucoup!!! Je vous embrasse!!! Johanne
Faites un disque !!! Enregistrez votre voix elle est grandiose et honore Alphonse de Lamartine.
@Arcjo1 How wonderful !!!... yes we go but we will return! Thank you very much! I kiss you! Johanne
So BEAUTIFUL! I am going to learn French!
J'aime cette poésie:)
Très jolie lecture 👍💕
Bonne diction ! très belle voie !
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les roys,
Si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaitre,
Sans jamais devenir sceptique et destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maitre,
Penser sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors les Roys, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Roys et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils.
bon poeme pour s'endormir
alphonse de lamartine c est mon college !!!
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un seul jour ?
Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s'asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ;
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ;
Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Sublissime
AMOUR " communauté "
BELLE VOIX
Magnifique.. j'ai aussi fait une interprétation de ce poème sur ma chaine, en musique et sur un lac
Muşteşem şii yazdi tarihi geçjti efisanne olduü
C'est étrange ce lac ,depuis le restaurant du belvèdère de la chambotte, la surface du lac avec ses reflets d'argent dessinait comme une peau , je le souligne à la personne présente à mes cotés à admirer ses paysages magnifiques avec le soleil qui nous quitte peu à peu, derrière le mont du chat en face de nous.
A tous mes collegues de la 4ème année du secondaire au fin fond de Bibwe, en Rep Dem du Congo, je dedie ce poème de Lamartine! Ça me rappelle les bons moments quand on recitait "Le lac"!
La musique gâche tout !
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges,
Jeter l’ancre un seul jour ?
O lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t’en souvient-il ? Nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin sur l’onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos :
Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère
Laissa tomber ces mots :
« O temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent,
Oubliez les heureux.
Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m’échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : sois plus lente ; et l’aurore
Va dissiper la nuit.
Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! »
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,
Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur,
S’envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?
Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !
Eternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
O lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !
Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.
Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !