On est très proche de l'Alto Giove du même Nicolo Porpora...Mais qui songerait à s'en plaindre? Encore un trésor sorti des profondeurs d'une bibliothèque par le commandant Cencic. Quel flair et quel talent! Et qui pour mieux l'interprèter? Peu de monde sûrement. Mis à part quelques Rossini de ci de là, Max Emanuel ne se laisse pas tenter par d'autres périodes que le Baroque...Mais comme il est le seul à avoir raison sur ce point au moins!!!! Conscient sûrement que la vie est courte et qu'une carrière de chanteur l'est encore plus il fouille, exhume, et ressuscite des oeuvres avec un goût exquis sans se tromper sur la valeur de telle ou telle partition. Du premier choix, toujours! D'autres, qu'on aime aussi, n'ont pas ce sens du temps qui s'écoule en leur défaveur et se perdent dans des Steffani, des Salieri, des Cavalli pas très savoureux. Il sera bien temps de les ressortir des placards quand les vrais génies auront été joués aux quatre coins du globe...
The Teatro San Carlo in Naples saw the premiere of "Il trionfo di Camilla" in 1740. One of Porpora's pupils, Gaetano Majorano detto Caffarelli was the main attraction of the opening.
Max Emanuel Cenčić (né le 21 septembre 1976 à Zagreb) est un contreténor croate. Sommaire Biographie Chantant dès son plus jeune âge, il se produit en public pour la première fois à l'âge de 6 ans. De 1987 à 1992, il est membre des Petits chanteurs de Vienne. De 1992 à 1997 il mène une première carrière de soliste comme sopraniste. Il participe aussi à plusieurs productions d’opéra : La Flûte enchantée (enregistrement en 1991 sous la direction de Sir Georg Solti, et représentations au Staatsoper de Vienne avec Nikolaus Harnoncourt), Orfeo de Gluck (Amor) au Konzerthaus de Vienne (1995) et à Drottningholm (1996), Demofoonte de Jommelli (Adrasto) à Schwetzingen et Crémone ainsi que Serse de Haendel à Copenhague (1996). Il se retire alors avant de recommencer à chanter en public en 2001, en ayant changé de tessiture et il devient contreténor. Depuis, Max Emanuel Cencic collabore régulièrement avec les plus grands chefs d’orchestre de musique baroque : William Christie, René Jacobs, Diego Fasolis, Ottavio Dantone, Andrea Marcon, Christophe Rousset, Alan Curtis, Rinaldo Alessandrini, Jean-Christophe Spinosi, Eduardo Lopez Banzo, Konrad Junghänel, ou encore Christopher Moulds. Il fait ses débuts au Théâtre de la Monnaie à Bruxelles (Satirino et la Deuxième Furie dans la mise en scène d’Herbert Wernicke de La Calisto) en 2009 ; et la même année au Bayerische Staatsoper (le rôle-titre Tamerlano de Haendel), puis au Semperoper de Dresde (Tolomeo dans Giulio Cesare). De nombreux récitals complètent sa saison : Theater an der Wien (janvier 2009), Grand Théâtre de Genève (mars 2009), Opéra Nomori de Tokyo (avril 2009), Théâtre des Champs-Élysées à Paris (Faramondo, avec l’ensemble I Barocchisti sous la direction de Diego Fasolis, octobre 2009). Au printemps 2010, il fait également ses débuts au Teatro Real de Madrid. En février 2011, il incarne le rôle-titre de Teseo de Haendel au Théâtre des Champs-Élysées (et au Théâtre de Caen), puis Ruggiero dans Orlando furioso de Vivaldi sous la direction de Jean-Christophe Spinosi à l’Opéra de Nice et à l’Opéra national de Lorraine. En septembre 2011, il chantera au Festival d’Ambronay Il Farnace de Vivaldi avec Diego Fasolis et I Barocchisti, qui paraîtra également au même moment en disque (Virgin Classics). Cet opéra sera repris en janvier 2012 au Théâtre des Champs-Élysées. En 2007, Max Emanuel Cencic signe un contrat d’exclusivité avec Virgin Classics ; son premier disque pour le label consacré aux airs d’opéras de Rossini est un succès (4 clefs Télérama, Orphée du meilleur interprète de l’Académie du Disque Lyrique). En 2008, il interprète le rôle de Sposa dans l’opéra Il Sant'Alessio de Landi au côté de Philippe Jaroussky et de sept autres contre-ténors. Dirigé par William Christie à la tête des Arts Florissants et mis en scène par Benjamin Lazar, l’opéra est un succès, tant à la scène qu’en DVD. En 2009, il exhume Faramondo de Haendel avec le chef d’orchestre Diego Fasolis, qui l’accompagne également en février 2010 sur un disque d’airs d’opéras de Haendel, « Mezzo-soprano ». de 2010 à ce jour il enchaine avec brio les prestations à travers le monde avec un timbre vocal si particulier, merci l'artiste. Ebauche biographique extraite de :fr.wikipedia.org/wiki/Max_Emanuel_Cen%C4%8Di%C4%87
Ottima interpretazione di questa difficile aria del divino Porpora. Nicola Porpora è uno dei massimi rappresentanti della scuola musicale partenopea. A Londra "annientò" musicalmente parlando Haendel. Fu anche insegnante di Haydn (molto spesso apostrofava l'allievo con epiteti tipo asino e molto peggio...). Parlava in modo fluentissimo francese, inglese e tedesco, fu anche un raffinato latinista nonché buon poeta. Un personaggio incredibile dotato di capacità intellettive straordinarie.
Браво! Диван избор музике. Волим Порпорину музику. Ценчић најбоље изводи Порпору. Никола Порпора је био прави оперски геније, у рангу са Хендлом. Неправедно је заборављен. Умро је у беди.
cet opera fut repris le 18 janvier 1698 à Rome, au teatro Capranica, sous le titre La rinovata Camilla, ainsi qu’à Venise, Mantoue, Florence et Plaisance, la même année, à Turin en 1701, à Udine en 1704 sous le titre La fede in cimento, puis le 26 septembre 1733 à Vienne sous le titre Der Triumph der Camilla. L'argument: Personnages : Camilla, héritière du trône des Volsques, sous les habits de Dorinda, une bergère (soprano) ; Prenesto, prince du Latium, épris de Dorinda (soprano) ; Latino, roi du Latium (ténor) ; Lavinia, sa fille, éprise de Turno (soprano) ; Turno, roi des Rutules, sous les habits d’Armidoro, un esclave maure (soprano) ; Mezio, confident de Camilla (ténor) ; Linco, serviteur de Camilla (basse) ; Tullia, femme de chambre de Lavinia (ténor) ; un Chasseur (ténor).
---Molte grazie per la informazione, pero era una versione d'altro compositore negli anni 1698 e 1701, perche' Porpora era giovanetto allora. Difatti, era Giovanni Bononcini che nacque nel 1670 e lavoro' molte volte con l'autore del libretto. Vorrei spiegare anche che "Plaisance" si chiama Piacenza in italiano. Rispetti.
Porpora was a master composer and hearing Max interpret him is a joy. I just love both of them ❤️🎶. Funny to think that this opera will never be performed in England as long as Charles III is on the throne 😂😂😂. I’d love if someone would produce this opera for the sheer fun of being transgressive tho' 😂😂😂
I would like to explain that the first musical version of Silvio Stampigla's opera was by Giovanni Bononcini, Handel's famous rival in London. Bononcini also composed the version of "Ombra mai fu" from Xerxes by Stampiglia that inspired Handel's later version, which begins similarly
@@amorroma1244 ---Correct, but I was noting that one person had commented that Porpora did that in 1698, but that time was by Bononcini, not Porpora, so I recognize that the 1740 performance was by Porpora, as you said.
We live in modern times, every generation of singers will make it sound different. Give us an example of how it should sound like. We are all here to learn.
@@amorroma1244 I'm not quite sure how to answer that. It doesn't have anything to do with the generation/age of the artists: everywhere from Julliard to throughout Europe there are countless early music/historical performance programs and groups comprised of musicians in their 20s. Look at some of the groups and master classes led by William Christie, Monica Huggett, Skip Sempe, etc. Wanting to make early music 'sound different' is obviously a matter of taste or preference. Christopher Hogwood often lamented on modern orchestras'/musicians' thinking that they could 'improve' baroque masterpieces with modern instruments and playing styles. To me, personally, there's little that’s more painful than listening to Handel played by a 240-piece symphony orchestra or a Bach violin concerto played with a modern-style organic constant throbbing vibrato that sounds like the violinist's hand is having a seizure. The whole idea of a countertenor is to attempt to re-create how the music sounded sung by castrati - how they would sing it. What's the point of doing that in a modern style - i.e., not how they would sing it? If that's one's preference, then have a modern-style female soprano sing the role, and she can lay on the vibrato as thick as she wants. As requested, here's a few examples by Jakub Orlinski, age 29 (who btw is also an accomplished breakdancer). His performances are truly masterful, and his judicious use of light vibrato as an ornament, along with skilled trills, mordents and others, is breathtaking. th-cam.com/video/4Ppo9l7asVs/w-d-xo.html th-cam.com/video/qBtiBJECAcw/w-d-xo.html (from your collection) th-cam.com/video/RfympAkX8F0/w-d-xo.html (from your collection) th-cam.com/video/CzF11RsxcWg/w-d-xo.html
@@circa1720 Thank you for your answer. The big problem today is that we don't know exactly what the voice of a male soprano was like. Although documents and testimonials from that time exist, they are often quite biased and aimed at polemics. The limited information can also be explained by the fact that in seventeenth and eighteenth-century Italy male sopranos were so much a part of the musical life that they were considered completely normal. So no one came up with the idea of studying them as a separate group, at least no different from the singers, tenor composers, performances, and theater halls that people always liked to comment on.
@@amorroma1244 There are numerous 17th & 18th c. books (Quantz, Geminiani, Leopold Mozart, etc.) and treatises giving extensive instruction, down to the finest detail and nuance, in contemporary playing styles. I'm not a scholar in that field, but from my cursory readings, decades of playing baroque violin and studying period performance practice, listening to lectures/talks by renowned conductors/performers (and my violin teachers), and listening to period instrument groups, I do not know of any instance where vibrato was considered anything other than an ornament. There were of course varying opinions on how best to apply it (IIRC, Geminiani advocated one of the most liberal uses of vibrato), but I believe the use of continuous vibrato as an organic component of playing 'classical' music did not exist until mid-20th c. My only knowledge of 17th & 18th c. singing performance practice is from listening to performers; but I find it hard to believe that the type of constant vibrato you hear in a Puccini Romantic opera would have existed back then, since it would certainly clash with the style and artistic sensibilities of the accompanying instruments. On an entirely different 'note': your cover art and applied graphics for your videos are really beautiful - probably the nicest on TH-cam.
@@circa1720 Thank you for your presentation. The reason I started my TH-cam channel was mainly for two reasons; 1: - I want to share my collection with others. (What's the point of enjoying this beautiful music alone). 2:- To learn from the input of others. This is such a contribution. Thanx!
On est très proche de l'Alto Giove du même Nicolo Porpora...Mais qui songerait à s'en plaindre? Encore un trésor sorti des profondeurs d'une bibliothèque par le commandant Cencic. Quel flair et quel talent! Et qui pour mieux l'interprèter? Peu de monde sûrement. Mis à part quelques Rossini de ci de là, Max Emanuel ne se laisse pas tenter par d'autres périodes que le Baroque...Mais comme il est le seul à avoir raison sur ce point au moins!!!! Conscient sûrement que la vie est courte et qu'une carrière de chanteur l'est encore plus il fouille, exhume, et ressuscite des oeuvres avec un goût exquis sans se tromper sur la valeur de telle ou telle partition. Du premier choix, toujours! D'autres, qu'on aime aussi, n'ont pas ce sens du temps qui s'écoule en leur défaveur et se perdent dans des Steffani, des Salieri, des Cavalli pas très savoureux. Il sera bien temps de les ressortir des placards quand les vrais génies auront été joués aux quatre coins du globe...
Splendide Monsieur Cencic! Cette voix si présente, chaleureuse et expressive! Du grand art pour notre plus grand plaisir.
The Teatro San Carlo in Naples saw the premiere of "Il trionfo di Camilla" in 1740. One of Porpora's pupils, Gaetano Majorano detto Caffarelli was the main attraction of the opening.
@@FRAGIORGIO1 The lady in the painting is (probably) Maria Trip, painted by Rembrandt van Rijn - 1639.
Max Emanuel Cenčić (né le 21 septembre 1976 à Zagreb) est un contreténor croate.
Sommaire
Biographie
Chantant dès son plus jeune âge, il se produit en public pour la première fois à l'âge de 6 ans. De 1987 à 1992, il est membre des Petits chanteurs de Vienne.
De 1992 à 1997 il mène une première carrière de soliste comme sopraniste. Il participe aussi à plusieurs productions d’opéra : La Flûte enchantée (enregistrement en 1991 sous la direction de Sir Georg Solti, et représentations au Staatsoper de Vienne avec Nikolaus Harnoncourt), Orfeo de Gluck (Amor) au Konzerthaus de Vienne (1995) et à Drottningholm (1996), Demofoonte de Jommelli (Adrasto) à Schwetzingen et Crémone ainsi que Serse de Haendel à Copenhague (1996). Il se retire alors avant de recommencer à chanter en public en 2001, en ayant changé de tessiture et il devient contreténor. Depuis, Max Emanuel Cencic collabore régulièrement avec les plus grands chefs d’orchestre de musique baroque : William Christie, René Jacobs, Diego Fasolis, Ottavio Dantone, Andrea Marcon, Christophe Rousset, Alan Curtis, Rinaldo Alessandrini, Jean-Christophe Spinosi, Eduardo Lopez Banzo, Konrad Junghänel, ou encore Christopher Moulds.
Il fait ses débuts au Théâtre de la Monnaie à Bruxelles (Satirino et la Deuxième Furie dans la mise en scène d’Herbert Wernicke de La Calisto) en 2009 ; et la même année au Bayerische Staatsoper (le rôle-titre Tamerlano de Haendel), puis au Semperoper de Dresde (Tolomeo dans Giulio Cesare). De nombreux récitals complètent sa saison : Theater an der Wien (janvier 2009), Grand Théâtre de Genève (mars 2009), Opéra Nomori de Tokyo (avril 2009), Théâtre des Champs-Élysées à Paris (Faramondo, avec l’ensemble I Barocchisti sous la direction de Diego Fasolis, octobre 2009). Au printemps 2010, il fait également ses débuts au Teatro Real de Madrid. En février 2011, il incarne le rôle-titre de Teseo de Haendel au Théâtre des Champs-Élysées (et au Théâtre de Caen), puis Ruggiero dans Orlando furioso de Vivaldi sous la direction de Jean-Christophe Spinosi à l’Opéra de Nice et à l’Opéra national de Lorraine. En septembre 2011, il chantera au Festival d’Ambronay Il Farnace de Vivaldi avec Diego Fasolis et I Barocchisti, qui paraîtra également au même moment en disque (Virgin Classics). Cet opéra sera repris en janvier 2012 au Théâtre des Champs-Élysées.
En 2007, Max Emanuel Cencic signe un contrat d’exclusivité avec Virgin Classics ; son premier disque pour le label consacré aux airs d’opéras de Rossini est un succès (4 clefs Télérama, Orphée du meilleur interprète de l’Académie du Disque Lyrique). En 2008, il interprète le rôle de Sposa dans l’opéra Il Sant'Alessio de Landi au côté de Philippe Jaroussky et de sept autres contre-ténors. Dirigé par William Christie à la tête des Arts Florissants et mis en scène par Benjamin Lazar, l’opéra est un succès, tant à la scène qu’en DVD. En 2009, il exhume Faramondo de Haendel avec le chef d’orchestre Diego Fasolis, qui l’accompagne également en février 2010 sur un disque d’airs d’opéras de Haendel, « Mezzo-soprano ». de 2010 à ce jour il enchaine avec brio les prestations à travers le monde avec un timbre vocal si particulier, merci l'artiste.
Ebauche biographique extraite de
:fr.wikipedia.org/wiki/Max_Emanuel_Cen%C4%8Di%C4%87
Ottima interpretazione di questa difficile aria del divino Porpora. Nicola Porpora è uno dei massimi rappresentanti della scuola musicale partenopea. A Londra "annientò" musicalmente parlando Haendel. Fu anche insegnante di Haydn (molto spesso apostrofava l'allievo con epiteti tipo asino e molto peggio...). Parlava in modo fluentissimo francese, inglese e tedesco, fu anche un raffinato latinista nonché buon poeta. Un personaggio incredibile dotato di capacità intellettive straordinarie.
Grazie per tutte le informazioni di base. Sempre felice di imparare dagli altri.
Amazing voice!
Apsolument merveilleux ce contre ténor
Une merveilleuse trouvaille. Bravo !
Браво! Диван избор музике. Волим Порпорину музику. Ценчић најбоље изводи Порпору.
Никола Порпора је био прави оперски геније, у рангу са Хендлом. Неправедно је заборављен. Умро је у беди.
beautiful 100 % ! and almost female contralto it's beautiful aswell !
Troppo bello!
Grazie!
🌟
Un ravissement ! Grazie mille a tutte e tutti !
Estupendo,sublime.👏👏👏
Magnífico!
I like it very. Thanks, amorroma
Amazing
Superbe !!!!
cet opera fut repris le 18 janvier 1698 à Rome, au teatro Capranica, sous le titre La rinovata Camilla, ainsi qu’à Venise, Mantoue, Florence et Plaisance, la même année, à Turin en 1701, à Udine en 1704 sous le titre La fede in cimento, puis le 26 septembre 1733 à Vienne sous le titre Der Triumph der Camilla.
L'argument:
Personnages : Camilla, héritière du trône des Volsques, sous les habits de Dorinda, une bergère (soprano) ; Prenesto, prince du Latium, épris de Dorinda (soprano) ; Latino, roi du Latium (ténor) ; Lavinia, sa fille, éprise de Turno (soprano) ; Turno, roi des Rutules, sous les habits d’Armidoro, un esclave maure (soprano) ; Mezio, confident de Camilla (ténor) ; Linco, serviteur de Camilla (basse) ; Tullia, femme de chambre de Lavinia (ténor) ; un Chasseur (ténor).
---Molte grazie per la informazione, pero era una versione d'altro compositore negli anni 1698 e 1701, perche' Porpora era giovanetto allora. Difatti, era Giovanni Bononcini che nacque nel 1670 e lavoro' molte volte con l'autore del libretto. Vorrei spiegare anche che "Plaisance" si chiama Piacenza in italiano. Rispetti.
Beeindruckend ~ danke!
Great 💝
Porpora was a master composer and hearing Max interpret him is a joy. I just love both of them ❤️🎶. Funny to think that this opera will never be performed in England as long as Charles III is on the throne 😂😂😂. I’d love if someone would produce this opera for the sheer fun of being transgressive tho' 😂😂😂
❤🔥❤🔥❤🔥
I would like to explain that the first musical version of Silvio Stampigla's opera was by Giovanni Bononcini, Handel's famous rival in London. Bononcini also composed the version of "Ombra mai fu" from Xerxes by Stampiglia that inspired Handel's later version, which begins similarly
True, thank you. But this was the premiere performance of Porpora's version of this opera. Many came before him, and after him.
@@amorroma1244 ---Correct, but I was noting that one person had commented that Porpora did that in 1698, but that time was by Bononcini, not Porpora, so I recognize that the 1740 performance was by Porpora, as you said.
❤❤
First to be here😍😍😍
dat een mannenlichaam zulk geluid kan produceren is ongelooflijk but it is . . . .!
this painted woman is thinking. . . . are my ears cheating me ?
Better with much less vibrato…
Way too much vibrato - he sounds like a modern opera singer.
We live in modern times, every generation of singers will make it sound different. Give us an example of how it should sound like. We are all here to learn.
@@amorroma1244 I'm not quite sure how to answer that.
It doesn't have anything to do with the generation/age of the artists: everywhere from Julliard to throughout Europe there are countless early music/historical performance programs and groups comprised of musicians in their 20s. Look at some of the groups and master classes led by William Christie, Monica Huggett, Skip Sempe, etc.
Wanting to make early music 'sound different' is obviously a matter of taste or preference. Christopher Hogwood often lamented on modern orchestras'/musicians' thinking that they could 'improve' baroque masterpieces with modern instruments and playing styles. To me, personally, there's little that’s more painful than listening to Handel played by a 240-piece symphony orchestra or a Bach violin concerto played with a modern-style organic constant throbbing vibrato that sounds like the violinist's hand is having a seizure.
The whole idea of a countertenor is to attempt to re-create how the music sounded sung by castrati - how they would sing it. What's the point of doing that in a modern style - i.e., not how they would sing it? If that's one's preference, then have a modern-style female soprano sing the role, and she can lay on the vibrato as thick as she wants.
As requested, here's a few examples by Jakub Orlinski, age 29 (who btw is also an accomplished breakdancer). His performances are truly masterful, and his judicious use of light vibrato as an ornament, along with skilled trills, mordents and others, is breathtaking.
th-cam.com/video/4Ppo9l7asVs/w-d-xo.html
th-cam.com/video/qBtiBJECAcw/w-d-xo.html (from your collection)
th-cam.com/video/RfympAkX8F0/w-d-xo.html (from your collection)
th-cam.com/video/CzF11RsxcWg/w-d-xo.html
@@circa1720
Thank you for your answer. The big problem today is that we don't know exactly what the voice of a male soprano was like. Although documents and testimonials from that time exist, they are often quite biased and aimed at polemics. The limited information can also be explained by the fact that in seventeenth and eighteenth-century Italy male sopranos were so much a part of the musical life that they were considered completely normal. So no one came up with the idea of studying them as a separate group, at least no different from the singers, tenor composers, performances, and theater halls that people always liked to comment on.
@@amorroma1244 There are numerous 17th & 18th c. books (Quantz, Geminiani, Leopold Mozart, etc.) and treatises giving extensive instruction, down to the finest detail and nuance, in contemporary playing styles. I'm not a scholar in that field, but from my cursory readings, decades of playing baroque violin and studying period performance practice, listening to lectures/talks by renowned conductors/performers (and my violin teachers), and listening to period instrument groups, I do not know of any instance where vibrato was considered anything other than an ornament. There were of course varying opinions on how best to apply it (IIRC, Geminiani advocated one of the most liberal uses of vibrato), but I believe the use of continuous vibrato as an organic component of playing 'classical' music did not exist until mid-20th c. My only knowledge of 17th & 18th c. singing performance practice is from listening to performers; but I find it hard to believe that the type of constant vibrato you hear in a Puccini Romantic opera would have existed back then, since it would certainly clash with the style and artistic sensibilities of the accompanying instruments.
On an entirely different 'note': your cover art and applied graphics for your videos are really beautiful - probably the nicest on TH-cam.
@@circa1720 Thank you for your presentation. The reason I started my TH-cam channel was mainly for two reasons;
1: - I want to share my collection with others. (What's the point of enjoying this beautiful music alone). 2:- To learn from the input of others. This is such a contribution. Thanx!