Traduction mélodique de : Ughaled ay oudhrif (Reviens, ô galant) - à 8.14 Tes paroles m'ont tué Comme viatique, je les prendrai La route est amère à regarder Cette route-là qui m'a pris Cache les pleurs en dedans Attention, que nul ne te voie Oh, ô mes amis Elle est garée est ma voie Je regarde vers chaque côté Mon cœur t'a cachée pour moi En sommeil, je te vois Terreur, quand le noir est tombé Bonheur des même-âge que moi En tous temps, ils reviennent, si... Oh, ô mes amis Elle est égarée, ma voie Ô Seigneur Dieu, je Vous en prie C'est Toi seul qui va rester J'espère qu'on soit réveillés Les murs pour nous vont changer On verra la porte qui s'ouvrira Entreront ceux qu'on voudra Oh, ô mes amis Elle est égarée, ma voie Reviens, ô galant Mon cœur est saisi De force, séparés Par le temps aux soucis Ne gagnant que la misère Par le dépit, tué Mes larmes coulant Davantage que l’hiver Le temps s’écoulant Et nous, le voyant Jamais, revenant La vie, la prenant Aujourd’hui, parti En hier, s’est mué De la jeunesse, ôté Ainsi, va la vie Le gain, on l’a vu Son ombre, on l’a vue On l’a attendu Toi et moi, l’attendant Le temps nous fuyant Nous laissant, le laissant La chance délirant A son idée, faisant Ô épouse, à moi Sur toi, je m’apitoie Même par le combat Notre part, on l’aura Le soleil apparaissant Regrettant, retournant Et le temps courant Le Dieu, remerciant Ami, veux-tu me laisser Que te raconter Il est loin, pas près Le jour où je guérirai Je ne trouve pas de soignant Les temps sont mensongers Pleurer, indécent Laisse-moi rimer. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Nemnam (Le sommeil) - à 4.14 Dis-moi ce que tu as gagné A me harceler Ô rêve, laisse-moi en paix Si par l'imposte, tu passais Je la fermerai Tu ne pourras plus rentrer Inutile de me rappeler Je sais tout ce que tu sais Les tourments ont perduré Ce sommeil avait menti Ne le crois pas, ô l'ami J'ai rêvé être au pays Au réveil, immigré, je suis Depuis que mon viatique est prêt Ô cœur, tu t'en souviens encore Ô rêve, éloigne-toi Me rappeler, pourquoi Ceux qui sont loin, que j'ai laissés Tu me les amènes, frustré Le matin, au réveil, forts Mensonges de la nuit, on voit Ô sommeil, si c'était vrai Ce que, en rêve, tu montrais Si tu peux m'emmener chez moi Et là-bas, tu me laisseras Rien n'est venu jusqu'ici Je ne crois pas ce que tu dis Au réveil, la nuit finie On voit que tu as menti. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Bwighd medden a d iyi wansen (J'amène de la compagnie) - à 0.00 J'amène de la compagnie Éprouvé par son absence J'amène toutes ses connaissances Pour me parler d'elle, aussi Un feu s'allume dans mon cœur Comment l'éteindre sans elle De tourments et de douleur Je ressens les os qui pèlent Tout ce que la langue dit Dans mes propos, l'a compris Et le cœur, désespéré De ses soucis, rassasié Mon angoisse a augmenté Le jour où les gens m'ont dit Notre amour est terminé Malade, à l'insu des amis Mon cœur jurant, parjurant Sur celle qui est éloignée Désespoir du cœur, frappé Une deuxième fois, le tuant Sur mon esprit, la brume vient Et personne ne sait pourquoi Le sommeil ne me vient pas De ma blessure qui ne montre rien Ô tête éprouvée retient La patience toujours debout J'ai l'empathie d'un caillou Mes pleurs et leur cause, c'est toi. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
De belles chansons paroles et musiques.
Dhi lkhatar nwen soumatha.
Je suis Madame Azul hamouch aatik saha à rneuyaghd assamekthi amagui
Des le debut c'est du lourd
Traduction mélodique de : Ughaled ay oudhrif (Reviens, ô galant) - à 8.14
Tes paroles m'ont tué
Comme viatique, je les prendrai
La route est amère à regarder
Cette route-là qui m'a pris
Cache les pleurs en dedans
Attention, que nul ne te voie
Oh, ô mes amis
Elle est garée est ma voie
Je regarde vers chaque côté
Mon cœur t'a cachée pour moi
En sommeil, je te vois
Terreur, quand le noir est tombé
Bonheur des même-âge que moi
En tous temps, ils reviennent, si...
Oh, ô mes amis
Elle est égarée, ma voie
Ô Seigneur Dieu, je Vous en prie
C'est Toi seul qui va rester
J'espère qu'on soit réveillés
Les murs pour nous vont changer
On verra la porte qui s'ouvrira
Entreront ceux qu'on voudra
Oh, ô mes amis
Elle est égarée, ma voie
Reviens, ô galant
Mon cœur est saisi
De force, séparés
Par le temps aux soucis
Ne gagnant que la misère
Par le dépit, tué
Mes larmes coulant
Davantage que l’hiver
Le temps s’écoulant
Et nous, le voyant
Jamais, revenant
La vie, la prenant
Aujourd’hui, parti
En hier, s’est mué
De la jeunesse, ôté
Ainsi, va la vie
Le gain, on l’a vu
Son ombre, on l’a vue
On l’a attendu
Toi et moi, l’attendant
Le temps nous fuyant
Nous laissant, le laissant
La chance délirant
A son idée, faisant
Ô épouse, à moi
Sur toi, je m’apitoie
Même par le combat
Notre part, on l’aura
Le soleil apparaissant
Regrettant, retournant
Et le temps courant
Le Dieu, remerciant
Ami, veux-tu me laisser
Que te raconter
Il est loin, pas près
Le jour où je guérirai
Je ne trouve pas de soignant
Les temps sont mensongers
Pleurer, indécent
Laisse-moi rimer.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
merci pour la traduction
Traduction mélodique de : Nemnam (Le sommeil) - à 4.14
Dis-moi ce que tu as gagné
A me harceler
Ô rêve, laisse-moi en paix
Si par l'imposte, tu passais
Je la fermerai
Tu ne pourras plus rentrer
Inutile de me rappeler
Je sais tout ce que tu sais
Les tourments ont perduré
Ce sommeil avait menti
Ne le crois pas, ô l'ami
J'ai rêvé être au pays
Au réveil, immigré, je suis
Depuis que mon viatique est prêt
Ô cœur, tu t'en souviens encore
Ô rêve, éloigne-toi
Me rappeler, pourquoi
Ceux qui sont loin, que j'ai laissés
Tu me les amènes, frustré
Le matin, au réveil, forts
Mensonges de la nuit, on voit
Ô sommeil, si c'était vrai
Ce que, en rêve, tu montrais
Si tu peux m'emmener chez moi
Et là-bas, tu me laisseras
Rien n'est venu jusqu'ici
Je ne crois pas ce que tu dis
Au réveil, la nuit finie
On voit que tu as menti.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
merci pour la traduction
Traduction mélodique de : Bwighd medden a d iyi wansen (J'amène de la compagnie) - à 0.00
J'amène de la compagnie
Éprouvé par son absence
J'amène toutes ses connaissances
Pour me parler d'elle, aussi
Un feu s'allume dans mon cœur
Comment l'éteindre sans elle
De tourments et de douleur
Je ressens les os qui pèlent
Tout ce que la langue dit
Dans mes propos, l'a compris
Et le cœur, désespéré
De ses soucis, rassasié
Mon angoisse a augmenté
Le jour où les gens m'ont dit
Notre amour est terminé
Malade, à l'insu des amis
Mon cœur jurant, parjurant
Sur celle qui est éloignée
Désespoir du cœur, frappé
Une deuxième fois, le tuant
Sur mon esprit, la brume vient
Et personne ne sait pourquoi
Le sommeil ne me vient pas
De ma blessure qui ne montre rien
Ô tête éprouvée retient
La patience toujours debout
J'ai l'empathie d'un caillou
Mes pleurs et leur cause, c'est toi.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
merci bcp pour la traduction
😊