The SNCF "Danseuses"
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- เผยแพร่เมื่อ 15 มี.ค. 2023
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La 25500, mon engin de base lors de ma formation conducteur en 1991. C’est vrai qu’elles n’étaient pas confortables. Mais j’ai toujours eu plaisir à les conduire, surtout quand on compare aux engins moteurs actuel ou tout est très aseptisé et très assisté dans la conduite. C’était des locomotives à graduateur où il fallait passer cran par cran de traction pour accélérer. Certaine était équipée du frein H7A, les connaisseurs apprécieront. 😊😊. Que de souvenirs.
Je suis entièrement d'accord.
Mon engin de base était la 67300, et je n’ai pas versé une larme quand elles sont parties à la réforme en 2016. Je préfère de très loin les 24500 et agc qui sont arrivés à la place.
C’est sûr c’était pas confortable, mais c’était du vrai taff, une conduite vivante par rapport à toutes nos automotrices actuelles.
Bonjour, en quoi étaient elles inconfortables ? Équipement, mouvements parasites par rapport à la voie ... ?
@@pleinecampagne4504 C'était les suspensions qui la rendait inconfortable. C'est pour ça qu'elles étaient surnommée les danseuses. La taille de la cabine sur certaines série n'était pas très grande aussi.
Un commentaire clair et précis, une voix agréable, c'est un plaisir de suivre vos vidéos. Merci
Merci, c’est très gentil à vous !
J'ai connu plus jeune(en tant que voyageur)les BB17000 sur le réseau banlieue et grande banlieue de Paris Saint Lazare avec les voitures Talbot,voitures 2 niveaux "Etat"et VB2N.......J'étais impressionné de leur capacité à pousser en réversibilité les voitures 2 niveaux"Etat" vu la lourdeur de ces dernières!! Série de BB fiables et trés sollicitées........Je les ai méme connu sur des Paris/Oissel/Rouen rd en VO2N ou VB2N. Une fois de plus bravo pour ce reportage complet et préci.Je suis un fana d'aiguillages! D'ici un mois je vais m'inscrire pour vous rejoindre.Encore MERCI et continuez!
Bonjour et merci. J’ai un souvenir pénible et déterminant avec une BB 25 500 et une rame Talbot. Pénible car j’ai failli passer dessous. Je travaillais au contrôle de gare de Paris Montparnasse dans les années 70 et j’ai été chargé de retourner les plaques d’itinéraire d’un train Paris-Brest. Il fallait longer le train déplaquer et replaquer. Quand la rame repartait d’où elle venait, il suffisait de retourner la plaque déverrouillée avant de la replacer contre le flanc de la voiture (verte foncée). Mais quand le train repartait ailleurs, un Brest-Paris devenant un Paris - Quimper par exemple, il nous fallait emporter les nouvelles plaques sur un caddie à valise et gérer l’échange avec deux piles de plaques qui avaient tendance à glisser au moindre cahot sur le quai.
On manquait de monde ce jour là et je fus envoyé faire mon premier échange de plaques seul. Il fallait donc aussi prendre la nouvelle plaque côté quai, monter dans le train, redescendre dans l’entrevoie, échange de plaques entre les voies, remonter dans le train avec sa plaque en partant du ballast. Et il y avait bien une dizaine de voitures…
Quel rapport avec les danseuses ? Penses-tu cher lecteur !
Revenant vers une portière avec ma plaque à la main et m’élançant pour attraper la main-courante, j’entendis un bruit de léger sifflement derrière mon dos : me retournant, je vis, sortant de la courbe, une BB 25 500 en pleine accélération qui fonce vers moi. J’aurai dû me plaquer contre mon train ! Paniqué, j’ai sauté sur le quai, j’étais si prêt de la machine que le mécanicien n’a pas dû me voir passer. Je me souviens encore, plus de 40 ans plus tard, du souffle de la machine qui m’aspirait sous elle. Je me vois encore les jambes flageolantes et ma plaque à la main, tremblant sur ce quai désert, dans ma blouse en nylon bleu marine bien peu voyante pour les autres. Je vois encore passer cette machine toute neuve, à la belle peinture verte à bande blanche, surmontée d’un grand volet de ventilation en inox, remorquant sans effort sa vieille rame deux niveaux Talbot qui m’aurait sûrement haché menu. Souvenir pénible donc. Mais souvenir déterminant, quelques temps plus tard je suis devenu syndicaliste puis inspecteur du travail, très mobilisé sur la prévention des accidents du travail évitables…
@@henripoinsignon8271 Bonsoir Henri.merci beaucoup pour votre gentil message! Etes-vous un cheminot à la retraite?? Mon grand père était cheminot sur PSL dans les années 60.......il conduisait les z1500 standards..............! De quelle région etes-vous? Belle soirée à vous.Cordialement.
La 25500, tout mes matins pendant mes années lycées. J'ai jamais oublié leur face. Que des souvenirs
Thank you for English subtitles, I love French Railways, NOBODY does trains better than the French
I LOVE the old DC locos with the diamond pantographs
Bonjour et merci pour cette nouvelle vidéo.
Déjà, étant petit et habitant vers Rennes, je voyais souvent des BB 25500 passer. J'en ai même vu avec des corails ter rare en bretagne, autour des années 2000.
Les 17000 était un de mes engins de bases à la banlieue sur la ligne H au nord de Paris. Et je les aimais beaucoup. Elles me manquent même. On s'emmerdait jamais dedans, et autant le dire, vous pouviez être crevé et ne pas avoir fermé l'oeil avant de commencer à 4h du matin, on savait que la journée passerai mieux en danseuse que dans une rame moderne. En fait les aimer ou pas dépend beaucoup de l'époque et de ce que vous avez fait avec.
Ces machines étaient présentes partout et intensément utilisée. Il n'y doit pas y avoir beaucoup de conducteur sur les lignes électrifiées entre 1970 et 2000 qui les ont pas connus. Les mécanos plus anciens se souviennent même de journée de service dans les années 90 où ils dételaient une 17000 de sa VB2N le soir, allaient faire un aller retour fret dans le nord, avant de remettre en tête la loc sur la même VB2N. La rame repartait en banlieue peu après.
Du coup à une époque, certains conducteurs en bouffaient partout à toutes les sauces. Là oui beaucoup ne le regrettaient pas. Mais plus tard, les danseuses sont souvent devenues une des dernières locs à cran, qui demandaient à avoir un peu de savoir faire et qui donnaient des sensations. On était nombreux à aimer ça, même si quand on était élève ça faisait un peu peur au début par rapport à d'autres engins plus récent et plus simple à prendre en main. Par exemple, pour toutes les gares il faut avoir un repère de freinage. Avec les 17000 il fallait ajouter un repère de couper traction encore en amont car le graduateur met environ 12 secondes pour repasser du dernier cran, le 32, au cran 0. Pareil pour les sectionnement, il fallait savoir couper la traction en avance. Si on était surpris, au besoin il fallait parfois disjoncter, pour éviter d'être en traction et en freinage simultanément.
Pour la suspension, en fait c'est pas vraiment elle qui est mauvaise. C'est plutôt la conception du bogie qui est en cause mais oui ça secouait. C'était même un peu pour ça que je les aimais bien aussi. Des différents mouvements parasites possibles en roulant : le galot, le lacet, le roulis et les trépidation qu'on peu ajouter ; elles cochent toutes les cases. En fait les ingénieurs ont voulu un bogie à empâtement court, donc peu agressif pour la voie et rendant plus facile la conception d'un bogie monomoteur. Cela donne un grande propension au lacet. Ca se sentait beaucoup quand on était en marche sur l'erre en sortie de courbe. Ca donne aussi une propension au galot qui pouvait se ressentir un peu tout le temps selon la voie. Puis toujours sur le bogie, normalement les suspensions qui relient les essieux sont situés à l'extérieur de l'essieu sur la fusée. C'est l'endroit le plus efficace et on le voit par exemple sur les BB 22200. Mais sur les danseuses, l'extérieur du bogie est pris par le mécanisme de changement de réduction. Du coup ils n'ont pas eu le choix et on dû mettre les suspension à l'intérieur. Mais cela implique que le roulis doit être plus important pour appuyer sur la suspension par rapport à la configuration classique. Et voilà comment la machine est aussi sensible au roulis. On le sentait tout le temps, mais surtout quand on passait sur des aiguilles. Je me souviens aussi qu'elles avaient tendance à avoir plein de petite trépidation en marche sur l'erre autour de 80 km/h, mais pas à d'autres vitesses.
Le tout ensemble donnait une machine très vivante sur la voie. On connaissait par coeur les endroits où ça secouait et certains se levaient pour soulager le dos durant ces passages. Le pire c'était les aiguilles à vitesse élevée. je vais donner quelques anecdotes pour vous donner une idée.
Pour commencer en milieu de formation j'assure avec mon moniteur un train Pontoise Persan Creil sur la ligne H, 17000 en tête. En arrivant à Persan, et voyant la signalisation, on remarque un fait rare. On était reçu à la voie 2, la voie directe pour traverser la gare. Pas besoin de ralentir, on va tout droit, et je pouvais rentrer pleine balle : 100 km/h. La zone d'aiguille commençait bien avant la distance nécessaire au freinage pour s'arrêter à quai, mais la plupart des conducteurs dans ce cas là cassaient quand même la vitesse pour ne pas trop être secoué sur les aiguilles. Mais moi j'étais en formation, il fallait montrer au moniteur que je connaissais mon point de freinage. Et nous voilà débouler pleine balle sur les appareils de voie. Voyant ça mon moniteur a sauté du strapontin et s'est mis debout. En passant sur les aiguilles, la machine à assez secoué pour qu'il quitte complètement le sol des pieds pendant un bref instant. Il faisait 1m90 pour 90 kg environ. Il m'a regardé avec le sourire et m'a dit "P'tit con va".
Ensuite a certains passage ça pouvait même faire peur. A Epluches, et dan un seul de circulation sur un itinéraire qu'on utilisait rarement, il y avait une aiguille en courbe serrée où pouvait rouler à 100 km/h. Quand on passait sur l'aiguille, on sentait la caisse de la machine se tasser sur les suspensions avant de bondir brièvement vers l'extérieur de la courbe. Sensation garantie. Peu de personne ne dépassait le 80 à cet endroit avec ces machines.
Enfin au niveau médecine du travail ces machines étaient reconnues pour ce qu'elles étaient. Certains, un peu faible du dos, ou en avait tellement conduis, qu'ils en développaient des problèmes de dos. Ceux là étaient interdit à la conduite de ces machines.
Pourtant les suspensions avaient été améliorées par rapport au début. Les anciens disent qu'après avoir conduit dans la rame réversible, en revenant dans la loc ils trouvaient souvent les sièges renversés voir les classeurs du guide de dépannage et du manuel de conduite sorti de leur rangement, qui était incliné pour éviter ça. A ce titre je serai très curieux d'avoir un témoignage de l'équipe qui a poussé une 17000 à 211 km/h fin des années 60 sur le réseau PSL. Ca devait être quelque chose.
Souvenir laborieux aussi du changement de régime du réducteur. Une vraie plaie, surtout que dans les dernières années ils étaient souvent peu manipulé, voir grippé. Mais même en banlieue il fallait savoir le faire, car dans certaines rampes avec une VB2N, si un moteur lâchait on passait sous les masses remorquable en régime voyageur. Il fallait passer en régime marchandise pour que ça passe avec un seul moteur.
Mais les 17000 c'était aussi des locs fiables, plutôt simple et robustes, quasi increvable quand c'était bien entretenues. Pourtant quand on voyait ce qu'on leur faisait faire à répétition pendant des années en banlieue, il y avait de quoi les fatiguer. Surtout quand on sait qu'elles n'étaient pas spécifiquement prévues pour la banlieues, et encore moins la banlieue moderne au horaires tendues. Certains mécanos les brutalisaient un peu dans l'espoir de les faire partir plus vite. Sans résultat.
Tout ça pour dire, qu'on aime ou qu'on aime pas, c'était des locs qu'on oublie pas quand on les a conduit.
Merci beaucoup pour cette réponse fort instructive 👍👏
J'ai adoré ce commentaire, merci!!
Témoignage fascinant!
Merci pour ces détails précis et abondants
Bonjour et merci.
J’ai un souvenir pénible et déterminant avec une BB 25 500 et une rame Talbot. Pénible car j’ai failli passer dessous. Je travaillais au contrôle de gare de Paris Montparnasse dans les années 70 et j’ai été chargé de retourner les plaques d’itinéraire d’un train Paris-Brest. Il fallait longer le train déplaquer et replaquer. Quand la rame repartait d’où elle venait, il suffisait de retourner la plaque déverrouillée avant de la replacer contre le flanc de la voiture (verte foncée). Mais quand le train repartait ailleurs, un Brest-Paris devenant un Paris - Quimper par exemple, il nous fallait emporter les nouvelles plaques sur un caddie à valise et gérer l’échange avec deux piles de plaques qui avaient tendance à glisser au moindre cahot sur le quai.
On manquait de monde ce jour-là et je fus envoyé faire mon premier échange de plaques seul. Il fallait donc aussi prendre la nouvelle plaque côté quai, monter dans le train, redescendre dans l’entre-voie, échange de plaques entre les voies, remonter dans le train avec sa plaque en partant du ballast. Et il y avait bien une dizaine de voitures… Quel rapport avec les danseuses ? Penses-tu cher lecteur !
Revenant vers une portière avec ma plaque à la main et m’élançant pour attraper la main-courante, j’entendis un bruit de léger sifflement derrière mon dos : me retournant, je vis, sortant de la courbe, une BB 25 500 en pleine accélération qui fonce vers moi. J’aurai dû me plaquer contre mon train ! Paniqué, j’ai sauté sur le quai, j’étais si prêt de la machine que le mécanicien n’a pas dû me voir passer. Je me souviens encore, plus de 40 ans plus tard, du souffle de la machine qui m’aspirait sous elle. Je me vois encore les jambes flageolantes et ma plaque à la main, tremblant sur ce quai désert, dans ma blouse en nylon bleu marine bien peu voyante pour les autres. Je vois encore passer cette machine toute neuve, à la belle peinture verte à bande blanche, surmontée d’un grand volet de ventilation en inox, remorquant sans effort sa vieille rame deux niveaux Talbot qui m’aurait sûrement haché menu. Souvenir pénible donc. Mais souvenir déterminant, quelques temps plus tard je suis devenu syndicaliste puis inspecteur du travail, très mobilisé sur la prévention des accidents du travail évitables…
Bonjour Thierry. Les BB 25500 étaient une de mes 2 machines de base au dépôt de Vénissieux en 1988 avec les BB 63500. Ayant parcouru plus de 55000km avec la série je peux confirmer que le ''confort'' était tout à fait relatif lorsqu'on roule à 140 sur une mauvaise voie ou sur les aiguilles. A part ça ces locs étaient assez fiables, même si le graduateur restait parfois bloqué sur les crans. Crans qui n'étaient d'ailleurs pas trop un problème sur les trains de voyageurs avec lesquels on pouvait utiliser la progression rapide (réglée à 1000 ampères). Le changement de réduction ne posait aucun souci mais quand il fallait se taper les 4 en um , on faisait un peu la gueule, surtout à 4h du matin. Elles étaient de plus bruyantes à cause des ventilateurs des moteurs de traction qu'on devait laisser tourner pour recharger les batteries (ça c'était leur point noir). Merci pour ton émission
Pendant 12 ans j'ai eu l'opportunité de côtoyer les BB17000 sur le réseau Paris Saint-Lazare quand je vivais en Région parisienne et que je prenais des train de VB2N pour me rendre sur Paris. Ces machines ont contribuées à ma passion du ferroviaire.
Je connaissais ce nom de "danseuses" sans en savoir le pourquoi. Maintenant je sais !! Merci Thierry !
Le confort était vraiment spartiate dans ces machines, tout particulièrement dans les 16500 avec les ventilateurs qui devaient tourner dès que l’on fractionnait ; les compresseurs qui étaient si bruyants que dans certains dépôts, des collègues SuD sympa formaient les UM de sorte que les dits compresseurs soit à l’opposé de la cabine ; la position de conduite avec le strapontin était similaire à un crapaud sur une boîte d’allumette ; le H7A très bruyants lui aussi, même si les premières 8500-17000 l’ont eu un court temps ; les suspensions qui méritaient leur réputations, même après les avoir assouplies certaines aiguilles prises en vitesse devaient se faire en position debout sous peine d’être éjecté du strapontin…… C’était des machines d’une autre époque, que l’on pourrait comparé à des Solex 😌
Dans le reportage déjà bien documenté, il « manquait » les quelques bizarreries de ces séries, comme la 16700, la 17055, l’utilisation en sandwich dans les rames dromadaire, les essais des TTL (Trains Très Long), les modèles d’export, les machines ayant continué leurs carrières dans d’autres pays (en Roumanie)….. De quoi faire une partie 2 😉
étant un ancien banlieusard du transilien H je les voyais tout le temps avec RIO/RIB et VB2N côtoyant les Z2N et Z 6100 c’était le bon temps...avant l'arriver des Z 50000 en 2009 malheureusement
Je me souviens encore des voiture banlieue Nord attelées à une BB16500.
Remplacées ensuite par des VB2N, bien plus confortables et spacieuses... mais avec la même loco!
C'est le chauffeur qui faisait le grand écart, dans la confortable cabine de la VB2N dans un sens, dans la cabine exigue, bruyante et secouée comme un prunier dans l'autre. 😁
Voilà un sujet, qui résonne particulièrement chez moi.
J’ai été formé sur les BB1700 à Paris Nord à mon arrivée à la sncf en 2005 et passé mon examen de conducteur avec.
Qu’est ce que je l’ai hais cette machine ! elle hantait mes nuits !!! Lol
Arrachage de cheveux lors de ma formation, à examiner les circuits électriques, pneumatiques …..mais dieu sait, que c’était intéressant à apprendre.
Rien de tel qu’une machine comme celui ci pour comprendre le fonctionnement d’une loc, d’un train.
A conduire, un peu insupportable par moment, Peu nerveux, lourd, étuve l’été, igloo l’hiver, et super bruyant ! Avec ce compresseur situé juste derrière la cabine…c’était « funky »
Finalement je les ai adoré quand elles sont parties !!! J’avoue c’est un peu couillon, mais que voulez vous..la nostalgie je pense.
Les 25500, selon moi les meilleures machines bicourant. Je me souviens étant petit être aller voir le train du père Noël en gare de Lyon Perrache et sur les voies en butoir est arrivé une BB 25500 béton avec une RRR bourgogne en Provence de Bourg en Bresse. La locomotive est tombée en panne juste après son arrivée sur la voie 19 et a dû être remorquée jusqu'au dépôt de Vénissieux par une BB 25500 en livrée fret (La 25500 béton était côté butoir pour les connaisseurs). Voilà ma petite anecdote avec des 25500 😁
Merci Thierry pour cette vidéo magnifiquement documentée sur les danseuses.
Je me rappelle qu'elles étaient déjà en tête de VB2N dans les années 80 sur Paris Plaisir, plus à partir des années 90 sur Paris Le Mans en tête de RIO, et puis sur les mêmes missions, les Z 5300 prenant, dans le même temps, le pas sur les Z 5100 totalement inconfortables, puis en tête de VO2N jusqu'à leur suppression en 2020 comme vous l'avez expliqué, les dernières BB 8500 accusant pannes sur pannes, les Z 24500 et Z 55000 ayant pris le pas sur elles.
Ah les danseuse ! J'ai connu toutes les séries sauf les 20200. J'ai été formé de base sur les 8500 et 25500. Des locomotives plus ou moins confortables en fonction de la suspension qui les équipées. Les premières séries faisaient l'unanimité contre elles portant les numérotations de 501 à 587 tant en 8500 qu'en 25500. Des suspensions reposant sur des systèmes mécaniques à ressorts et des plaques de frictions qui généraient des couinements et des balancements en roulis, il fallait avoir le pied marin ! Elles étaient très bruyantes, les toutes premières étaient équipées de robinet de frein H7A, ajoutant encore du bruit en cabine. L'ergonomie du poste de conduite était aussi étonnante, l'indicateur de vitesse était installé à gauche et très haut. J'ai un souvenir d'un parcours de Trappes à Rennes avec un de ces modèles, le mal de cou assuré à l'arrivée.
J'ai eu l'occasion de poursuivre ma découverte de cette série après une mutation en Normandie avec une formations aux 16500 et 17000. Retour dans le passé pour la 16500, qui cumulait les technologie du passé (suspension à ressort, le H7A et les indicateur Flamand). Locomotive du passé, inconfortable et très bruyante, elle était de surcroît pas très puissante. Les conducteurs avaient une expression à ce sujet, toute la puissance au premier cran !
C'est une série qui a marqué son époque mais dont le manque de confort a eu raison. Les vibrations et dureté des suspensions étaient les points noirs de certaines de cette série à tel point qu'une petite série de 16500 ont été transformées pour être incorporées entre 2 rames Inox. Elles étaient surnommées les dromadaires.
Les secondes séries des 8500/25500, numérotées à partir de 588, étaient bien plus confortables. Suspension par silent blocs, grande cabine avec siège à suspension, freinage rhéostatique combiné et une bonne insonorisation, c'était un saut dans le modernisme.
Sur toutes les séries les plus inconfortables, il y a eu des améliorations dans l'insonorisation, les suspensions mais jamais elles n'ont atteint le niveau de la deuxième sous série des 8500/25500.
Avec leur tendance au patinage, pour les trains de banlieue c'était un vrai travail à l'automne.
Fin des années 90. Après avoir tanné un agent de conduite que j'avais eu l'occasion de côtoyer dans mon club de plongée, le rendez-vous est pris au dépôt de Châlons en Champagne pour une tournée en loco... y'a prescription maintenant. Ce n'était pas trop conforme aux règlements.
Me voici donc parti direction Metz, passager de la 16660 avec une courte rame marchandises aux fesses... Et près de 2 heures de secousses. Pour dire à quel point ça tapait ferme en cabine, je me suis fait déloger du strapontin passager à la montée sur le tablier d'un pont !
Le retour en BB15000 HLP fut incomparablement plus paisible.
Belles sequences en gare de Nice (donc avec des 25500) et dans l'Estérel (au viaduc d'Anthéor).
Un superbe reportage comme toujours, Ce que je ne pige pas c'est pourquoi on a commencé à radier les 26000. A mes yeux elles auraient pu remplacer aisément les danseuses.
merci encore pour cet épisode, je connaissais pas vraiment cette série d'engin moteur moi mes connaissances du parc électrique ce sont les 6500, les Sybic (BB26000) et les 22000, j'apprécie donc de découvrir une nouvelle série
Ma machine de base en 2008 sur Nice.
On l'a conduisait debout car sinon le dos et le bassin était en vrac tellement le mouvement de caisse était important. Ce qui explique les 150km de conduite avec cette machine qui restera comme ma première locomotive. Merci pour cette vidéo.
J'ai découvert ta chaîne ya qq semaines. Je regarde tout les jours au moins une vidéo. C'est tellement interressant, un grand merci ! En plus les vidéos sont super bien faites
Grand merci et bienvenue ;) !
La 16500 était ma machine de base au dépôt de Paris la Villette. En tête des trains de banlieue de Paris Est et des trains de fret, ces machines étaient particulièrement bruyantes et inconfortables. Strapontin en guise de siège , robinet de frein H7A , secousses à chaque aiguillage. Puis sont arrivées les 17000 plus puissantes et un peu plus confortables ( cabine plus spacieuse, vrai siège, pupitre unifié avec frein pbl). Toujours autant de secousses que les 16500 mais agréables à conduire et fiables. Malheureusement elles ont été mise en place à Paris Est pour la conduite à agent seul en banlieue. ( suppression de l’agent de train).
Les machines de mon enfance en banlieue parisienne.... Ma première en modèle réduit une Lima.
🖖🏻Bonjour, les danseuses, c’est des centaines de bons souvenirs (sur la ligne une, elles faisaient de tout ! Du marchandise, du banlieusard et même du permissionnaire à la grande époque !) Ma première expérience fût la 25531 dans le special 2000 de Jouef et ma deuxième fût d’en conduire une sur une centaine de mètres aux 1ere JPO de La Vilette. Mes préférées, physique y restent les 16500. Merci Thierry pour ce retour nostalgique sur ces machine de l’ombre. Bonne continuation 🚂🚂
Pour avoir conduit pendant des années des 8500/88500/25500, que de souvenirs. Mais pas des bons 🤣🤣🤣 quelle horreur les danseuses ! Le mal de dos, le bruit (la VeVa dans les oreilles....), Le manque de place !! Les tachy qui fonctionnaient quand ils en avaient envie ....le luxe c'était d'avoir une 25500 grande cabine, c'est pour dire .... On faisait a PSE du GL avec ça... On allait jusqu'à Dijon avec la 8563, en livrée d'origine. En V120 et en quotidien... Et elle revenait de nuit avec le train de machine de nuit entre perrigny -laroche-charolais. Que de souvenirs, mais vraiment pas des bons, je confirme Thierry 🤣
Y'a rien à dire ça fait rêver les trains et ce depuis petit..
Merci à vous notamment pour la précision des informations 👍🙏🦉
Salut Thierry, excellente vidéo... J'ai fait mon baptêmes sur une 16552 au dépôt de la Villette en 1995.... Et je confirme que les danseuses étaient pas confortables... En 8500..... Aie aie.... Et l'ai ayant côtoyé sur la région parisienne..
La BB16500 fut un de mes deux engins de base en 1990 avec le BB66400
Bonsoir Thierry. Sur TrainZ, j'ai tout le catalogue et c'est un plaisir visuel. En termes de souvenir, c'est une plaie pour le nettoyage des bogies. Au niveau de la conduite, c'est toujours un plaisir visuel pour les puristes, mais pas pour les tractionnaires. Merci pour le travail qui suscite toujours du plaisir visuel.
Et j’ajouterais que c’est un plaisir de revoir des VB2N en livrée banlieue idf blanche à bandeau jaune, look furieusement année 70 avec la sortie de la carte orange ! J’en voyais plein sur la ligne C du rer, souvenirs souvenirs….
Je les ai bien connues : ces danseuses ! Bonne fin de semaine !🚄🚃🚃😉
Magnifique chaîne très pointue au niveau recherche ferroviaire, du lourd ! Merci
Ah la notif qui fait plaisir !
J’ai souvenir d’avoir été désarçonné sur les aiguilles dans le triage de juvisy avec une 8500 , machines très inconfortables et bruyantes ,heureusement sur le sud ouest nous n’en avions pas trop ! Les grandes cabines étaient tout de même plus confort Ceci dit ça fait des souvenirs 😅 .
Merci !!
Encore une fois ces locomotives me rappellent l'Aubrac en version Corail , puisqu'elles assuraient le service à partir de Neussargues
Wow, genial ce reportage sur des locos que l'on a connues et vues partout en France. Je savais qu'il y avait eu pas mal de version mais j'en apprend encore et comme toujours sur Aiguillages!
J'ai tellement de souvenirs de ces locos. Merci pour les videos de la gars de Nice ou elles tiraient des trains marchendises la nbuits et TER de jours. A paris en banlieu et franchement partout en France.
Je savais qu'on les appele les danseuses mais sur certained des videos sur to reportage, ca se voit qu'elle balloter leur conducteurs. Dingue!
Si tu pourrais faire un épisode sur les bb15000 ou les voitures à deux niveau, ça serait incroyable
Bonsoir MON THIERRY tres bien cette video sur les DANSEUSES moi je l est aimait bien , j en n est prit en temps que passager et c est vrai que dans les courbes ca bougait un coup a droite et un coup a gauche mais bon ca allalit , elles ont finie leurs carriere surtout en omnibus c est clair RRR RIO RIB etc Allez je valide🥰🥰💥💥💥👍👍👍👍MERCI POUR CETTE VIDEO MON POTO ET BIENVENUE SUR MES LIGNES SNCF ! A BIENTOT ET BON WK BYE
Belle vidéo 👏👏
Super reportage, toujours hâte de découvrir tes vidéos, merci Thierry.
Merci Jérôme !
Les 25600 en tête des RIO/RIB sur Nice qui passaient devant mes fenêtres. Ce qui me marquait, c'était le silence de ces engins à l'arrêt! Dans un tout autre endroit, j'ai la vision des banlieues de Paris Est avec 16500 et surtout 17000 en tête des VB2N que j'empruntais à Meaux.
Super vidéo Thierry que de souvenir de ces loc qui faisait des rrr entre Dijon et Châlons sur Saône je les aïs côtoyer en étant petit mais que des souvenir franchement merci Thierry d'avoir fait se reportage 👏👌
On pourrait aussi citer les fameuses rames dromadaires ! 2 rames RIO encadrant une danseuse 😍
Des BB25500 du dépôt de Vénissieux, attelées à des rames RIO ont été louées aux CFF pour assurer les relations Genève-Bellegarde. C'était sauf erreur vers 2007-2009
Elles faisaient également certains trains TER Genève-Lyon et vice-versa, afin de pouvoir aller faire leur entretien à Vénissieux.
Elles étaient autant impopulaires chez les mécaniciens CFF que chez les mécaniciens SNCF.
Merci pour cette vidéo et bonne suite.
Je me rappelle des rames dites "dromadaire" sur la ligne Paris-Beauvais avec une BB16500 encadré par 2 rames inox afin que les conducteurs bénéficient de meilleurs conditions de travail...
Bonsoir Thierry,
Merci pour ce nouvel épisode passionnant.
On apprend plein de choses.
Bonne soirée.
Mon père était mécanicien au dépôt de sotteville les rouen.
Gamin, il m'avait emmené en cabine d'une de ces machines.
C'est vrai que ça gigotait bien 😊
Merci de cette video ! Quand on voit la BB 20210 dans sa belle livrée d'origine, on ne peut que déplorer les sacrilèges de redécoration que la SNCF a commis au fil du temps, détruisant ainsi l'harmonie de la décoration avec la caisse. Il y avait bien une raison à la livrée d'origine ! Problème malheureusement récurrant sur les locomotives dans notre pays, pourtant pionier dans le domaine ferroviaire par les créations esthétiques et techniques.
Passionné de train et encore au lycée, j'ai l'opportunité de devenir pendant les vacances d'été "Aide Conducteur" Et dans mes premiers trains, il y a eu un parcours HLP sur une 17000 petite cabine. Je me souviens d'avoir eu un doute lorsque j'ai vu arriver le premier tunnel ! Cà va toucher ? Evidemment non ! Mais ces danseuses avaient aussi tendance à grincer... une suspension particulièrement bruyante et enfin il y avait le bruit des ventilateurs de refroidissement. Tellement bruyant qu'on était tenté de ne pas les mettre en service, sauf que c'était mauvais pour la batterie et aussi la montée en chaleur de l'appareillage. On a dû trop céder à la tentation car les ateliers ont installé une mise en service automatique des ventilateurs dés la traction ou aussi lorsque la batterie baissait...Les 25500 cabine longue ont été un vrai progrès en matière de confort - siège, insonorisation, PBL2.... Avec leur bogie a empattement court, elle avait aussi une sérieuse tendance à patiner. L'antipatinage était lent à réagir aussi elles souffraient lorsqu'elles étaient commandées en réversibilité.
effectivement j'ai travaillé 40 années à la SNCF et j'en ai vu et mis en tête des rames fret au triage de St Pierre des corps surtout les BB25500 qui dans les années 85/90 tractaient en UM régulièrement des rames de ballast de 1800 tonnes voir plus et toujours composé de 22 wagons venant des carrières de Luché et St Varent dans les Deux-Sèvres près de Thouars et qui faisaient un tête à queue en gare de Saumur pour venir vers St Pierre des corps
Il y a eu aussi les versions à l’export comme celles de la Turquie…
un superbe documentaire, comme d'habitude, bien présenté, avec de belles images😀
j'aime beaucoup ces émissions sur un modèle de locos en particulier👍👍
Beaucoup de souvenirs d’enfance sur la ligne N entre Maule et Plaisir les Clayes avec le duo BB25500-VB2N 😍
En 1981, la 25500 était machine de base dans les écoles de formation des CRL du dépôt de Bobigny.
Simples, peut-être rustiques, elles faisaient le TAF sans problème majeur.
Leur pire défaut, leur capacité à rincer la colonne vertébrale des conducteurs.
Ça s'est un peu amélioré lorsque certaines d'entre elles ont été modifiées AR140.
Malgré ça, j'aimais bien travailler avec ces machines
Je l’avais en HO jouef ! Elle tractait super bien les wagons remplis de litière du greffier 🤣🤣
J'ai des souvenirs des BB26ooo cherbourg Paris St lazare
Remplacées par les "omnéo" à deux niveaux et roulants à 200km.h comme mes bb26ooo sur certains essais entre lisieux et cherbourg
Toujours bien renseigné a Aiguillages. Merci et bon courage.
Des souvenirs des trains banlieue omnibus Versailles Chantier - Chartres, des "petits gris" en inox aussi sautillants que leurs locos :)
Je me souviens très bien en avoir vu passer plus d'une gare des chantiers à Versailles. Ca fait tout drôle de voir ça ! Merci encore pour votre travail !!!
La vidéo est magnifique et les commentaires super. Merci 😊
La vidéo est incroyable merci !
Les 25500 ,17000 et 8500, j'ai eu l'occasion d'en voir beaucoup avec des VO2N et VBDN en gare de Paris montparnasse et Saint lazare
j'adore c'est loc ; la dernière fois que j'en est vue une c'était la 17016 à Motteville quand elle est venue pour la première fois avec un train spécial; qu'elle plaisir de revoir une loc de cette série qui a beaucoup rouler dans mon coin. En tout cas bravo pour ce très beau reportage.
PS: Jolie les plan sur le Viaduc et dans la Gare De Barentin Gare que je connais très bien car pas loin de chez moi
Merci beaucoup ! Trop bien comme reportage 😁
Merci Thierry pour tes vidéos toujours aussi intéressantes.
J'ai pour ma part conduit des 8500 en tête de rames RIO RRR dans les années 90 entre Lyon et Saint Étienne. Sur une ligne au profil sévère avec de nombreuses courbes serrées, leur surnom de danseuses n'était pas usurpé ! Souvent les chaises non fixées dans les cabines étaient retrouvées renversées ! Quelques soucis avec le graduateur qui restait parfois bloqué sur les crans de freinage rheostatique en plus... Pas toujours du bonheur mais malgré tout des machines sympas. 😉😉
Bonjour, il me semble qu'elles étaient déjà présentes en tête des premiers "Stélyrail" en 1976...si ma mémoire est bonne ....
@@foxyfrench3857
C'est juste ! Mais j'étais encore un peu jeune pour les conduire.... 😊
J'ai aussi été éjecté de mon siège qui est tombé et pourtant je n'en avais pas conclu à un mouvement anormal avec ces machines
Hello Thierry tu as oublié la 25193 "Savoie" qui est stationnée sur mon réseau 😄Comme d'habitude je mets la vidéo sur mon blog, amicalement JC
Ha tu te lances dans la préservation, bravo ;) !
Néanmoins, les "grandes cabines" (BB-25588 à 25694 et 8588 à 8646) étaient spacieuses, leur seul défaut pouvait être le bruit des ventilos moteurs et la poussière de fonte provenant des sabots de frein, mais c'étaient des locomotives intéressantes à conduire, on "servait encore à quelque chose"...
En banlieue à Paris, sur des trajets à faible vitesse, elles ne posaient aucun problème à part une traction molle du genou avec les crans à passer, mais une fois lancée...
Bonjour,
J'ai découvert votre chaine par hasard et j'ai regardé plusieurs vidéos qui m'ont intéressé.
Du coup je me suis abonné et je suis la sortie des vidéos avec intérêt. Bien évidemment le like est de rigueur.
Continuez comme ça c'est un régal.
Merci beaucoup et bienvenue !
comme toujours tes reportages sont passionnants et très instructifs
à bientôt
cordialement
Merci beaucoup pour ce reportage une fois de plus intéressant.
Super document, continuez, et merci!
Super vidéo comme toujours 😁
Lorsque les BB 8500 sont arrivées à Sibelin, nous avons refusé ,avec succès, de les prendre. Pour cela, nous nous sommes appuyés sur un rapport du médecin d’établissement de St Étienne, qui comparait le conducteur à une boule de flipper...mais tout est relatif, un copain conducteur à Belfort nous disait à l’époque que eux les auraient bien prises...
a noter aussi que la 16701 a servit de cobaye pour l'attelage automatique et avait son nez tres carré car renforcé ensuitces machines etaient dotées pour les premieres de H71 (commande de frein a poignée ) en ensuite BPL1 BPL2 commande de frein electrique ! et le systeme de reducteur V comme voyageur VL 140 et M VL90 avec indication sur le boogie que l'on changeait depuis les couloirs a la manivelle! avec un confort spartiate puisque le dossier etait fixé au dos et l'assise se rabattait quand au manipulateur de traction on passait un a un les crans ou alors en pr (progression rapide) plus une commande de shuntage! il y eut 3 types de 16500 ! igniton excitron (refroidissement du transfo avec circuit d'eau et la fameuse lampe blanche LT30 !!avec recuperation de courant renvoyé a la catenaire en gros les moteurs tournaient en generateurs et le tr 30 traction recuperation )et enfin les silicium !! le plus etait le grincement de la cabine car elle etait désolidarisée de la caisse ! les premieres de couleur kaki puis sable !certaines affiliées au depot de paris la villette d’autre strasbourg !et un espace reduit pour le crl et l'aicr
Il y a aussi la 17005 reconstruite sur un chassis de 25600 avec des capôts longs aussi!
Chasse-neige à Toulouse... Elles doivent pas souvent sortir du dépôt
Un petit oubli je crois : la région du Sud-ouest a vu rouler des 8500 et des 25500 (le dépôt des Aubrais en a eu à son compte)
J’ai eu la chance mais la douleur d’accompagner une 8500 de paris à Brive, mes génois ont en été douloureux plusieurs jours
J’ai aussi travailler un peu sur 16500 à Lille pour des problèmes de défauts de réversibilité des RIO
Petite question : l’allongement des caisses des dernières danseuses n’était il pas en prévision de l’attelage automatique ?
Même si on parle de série de machines, pour chaque série il y a eu plusieurs sous séries qui avaient des différences entre elles (suspension, réducteurs, persienne, longueur, redresseur à mercure ou secs…..)
Merci !
Bonjour Thierry, merci pour ce reportage. Il faut préciser aussi qu'une BB 20200 est préservée a la cité du train et les BB 8500 comme les BB 25500 ont eu une sous série avec des châssis allongées.
Je connais que les 17000, pour faire le trajet Annecy-Valence en heures creuses
Reportage très intéressant !👍
Petit complément, les BB 25673 et 25679 sont en cours de préservation par l'AS BB25500 de Dijon. Merci pour ce reportage Thierry, ça me manque de ne plus rouler en danseuse, mon premier train étant effectué avec le BB 25690.
Bonne nouvelle que ce projet de préservation avance !
Elles étaient garées à Perrigny il y a quelques semaines 😉
Bonjour et merci pour ce reportage
Concernant les danseuses en Roumanie, voici ce qu il reste actuellement :
En service voyageur, les 25517,572, 576 assurent des trains entre Brasov et Bucarest (voire Constanta) au crochet de rames RIO pour l’operateur RegioCalatori
En service fret, les 16654, 25518,523 assurent des trains entre la région de Brasov et la frontière Hongroise (Curtici), la 16654 se contentant la plupart du temps de parcours entre Brasov et Sighisoara, pour l’opérateur RailForce
Je découvre votre chaîne .
Un bon moment intéressant de votre vidéo . Merci pour ce partage.
Avec plaisir et bienvenue !
J'ai connu les locomotives danseuses notamment les BB 16500 et les BB 17000 sur les réseaux Paris-Est et Paris-Nord quand j’étais tout petit
C’est vrai que sur une ligne droite, on les voyait bien danser de droite à gauche 👍
Também tivemos as nossas em Portugal!
Duas sobreviveram…
Uma de 1956 a primeira.
E a raridade de uma de caixa em inox 2551 de 1963!
Bonsoir Thierry ? Oui électrification 1996 Paris Cherbourg . Trouville Deauville ? Ter Lisieux-Trouville -Deauville très rapide
Bonjour Thierry
Super sujet comme d'habitude. J'ai compris leur surnom en les voyant franchir les aiguillages gare Saint Lazare , elles ne devaient pas être très confortables . Elles rebondissaient comme Zebulon ...
Après 50 ans de service, les dernières 16500 étaient encore très fiables avec seulement 5 incidents au million de kilomètres.
Vidéo de détente, de bonne humeur, à regarder tranquillement ce WE...
Les 25500, les reines de la Côte d' Azur, que ce soit avec les Metrazur ou le Train Bleu.
@++😍
Bonjour ,il y avait aussi la 16700 equipée d' un attelage automatique en essai qui trainait en permanence un wagon plat, relation faisceau Vaires /Marne- Metz Sablon.
J'en est filmer une a Sotteville-les-Rouen en septembre😁
C'est la BB17016, préservée par l'AAPSL, dernière représentante des BB17000.
Ayant usé mes jeans dans les corail qui mettaient 3 h à l époque pour faire Nancy Paris .j'ai remarqué qu il y avait des ecusson de ville sur les locomotives. Est ce que les régions
Finançait l achat .enfin je me rappelle que on jouait au tarot ou à la bellotte pendant les 3 h de voyage. Ou bien les piqué ni que
Improvisés dans les compartiments
La bouteille partage avec des inconnus. Dans ce temps on prenait le temps .mais le TGV est arrivé
Et tout le monde à eu peur de la vitesse .même les vaches
Nous avons vraiment de gros problème en France avec le confort au travail... Il suffit de voir...... Les locomotives à vapeur en France et même en Europe était vraiment très pénible à conduire, la porte du foyer s'ouvrant et se fermant.... A chaque ouverture une intense chaleur qui brûle et lorsque l'on referme un courant d'air glacé... Sans compter l'arrosage du charbon en route... Quand on voit les 141 R arrivé en 1945 les conducteur sont surpris du confort des machines.... Le chargeur automatique a charbon puis plus tard la chauffe au fioul. Le rideau qui évite les courant d'air trop puissant. On ne conduit plus debout mais assis. Le coude a la portière presque..... Les mécanicien en seront souvent déconcerté.... Des machines bien née et relativement confortables pour l'époque.
Quand les 2D2 avait encore leurs fameuse selle de vélo !
Même choses avec les fer a repasser qui se conduisait si ma mémoire est bonne avec la tête toujours tournée à 45 degré (super en cas de torticolis !).... Même chose avec cette génération de machine....
Ce est vrai pour le chemin de fer est vrai aussi pour d'autre chose.... Lors des deux guerre mondiale les soldats français furent surpris du soins avec lesquels était traité les soldats américains... Leurs guerre se résumant à bombarder massivement et a exterminer les dernier nids de résistance....
Deux continents, deux façon de traiter les hommes.
Petites précisions, la bb16506 est HS et ne circulera malheureusement plus sur RFN, quand à la bb17013 elle est désormais ferraillée.
Salut Thierry, ah bah pour les avoirs connues sur ma ligne Paris Chartres Le mans, pendant 9 ans perso je les aimaient bien, et j'ai voyagé en cabine plusieurs fois, et je n'ai pas ressenti leur inconfort, a vrai dire c'était que 80km. Alors peut-être que sur plus ce n'était franchement pas top, seul les conducteurs pourront le dire.
Sur le pont d'Avignon, on y danse on y danse, desolé mais je devais faire la blague avec le titre de la video. On va voir cette interessante video de Thierry.