C'est grâce à ce genre d'émission qu'on arrêtera les stéréotypes face à l'autisme. C'est encore un long chemin mais il y a de l'espoir. Merci Adeline, je vais voir votre travail.
Après avoir fait un tour d'horizon de l'autisme au masculin je suis en train de regarder toutes les vidéos de l'autisme au féminin et je crois que le spectre de l'autisme chevauche tous les genres confondu... avec ses hauts et ses bas... merci pour cette belle vidéo. Je suis sur le chemin de la guérison après un 1er melt down il y a un peu plus d'un an à l'âge de 58 ans. Bonne suite à tous les gens dans la même situation. La patience... l'amour de soi et l'indulgence sont quelques clés pour se rebâtir, un tant soit peu. :)))
C'est dommage tout ça mais ça ne m'étonne pas du tout. Je suis atteint de ce genre de trouble et ce n'est qu'a 28 ans qu'on m'a enfin diagnostiqué ce que j'avais et pourquoi je vivais donc si mal en ce monde. Portant je suis un homme. Quand on a un handicap qui ne se voit pas suffisamment, on peut rester longtemps en souffrance et se sentir seul.
Je connais une dame âgée de 80 ans qui a le syndrome de Diogène. Sans sa pathologie, elle se sent pousser à lire TOUT ce qui passe sous ses mains, du coup elle lit toutes les notices de médicaments. Tant que c'est pas lu et intégré dans son esprit, elle garde, idem pour les boîtes de conserves bises, elle DOIT tout lire ce qu'il y a décrit dessus.( Difficulté à s'intégrer, incapacité a comprendre pourquoi l'hygiène corporelle est vitale, elle sait donner l'impression visuelle qu'elle est propre sur elle )...etc. En revanche, sa connaissance culturelle est devenue importante au fil des années et je me rend compte qu'elle fait peut-être partie du spectre autistique...
Je suis en cours de diagnostic... parcours du combattant! Pour 1) trouver un(e) psychiatre qui veut prendre des nouveaux patients 2) un(e) psychiatre qui s'y connaît en TSA... 3) avoir un rdv au CRA... ils veulent qu'on aille au CMP. J'ai rdv en septembre, mais je ne sais même pas s'ils connaissent les TSA... Rdv en mai 2025 pour suspection TDAH... Heureusement qu'il y a FB avec ses groupes de soutien! 🥲 En attendant, je lis tout ce que je peux sur le sujet, notamment écrit par Rudy Simone.
Comme vous, j'ai eu un bilan psychologique avec une psychologue qui me conseille de voir un psychiatre et envisager un dossier mdph, et également d'envisager une thérapie...seulement sans connaître de psychiatre près de chez moi( angers) et aussi parce que j'ai du mal à amorcer les choses, je piétine...pourtant je me sens particulièrement épuisée depuis qques mois, ce qui m'a poussée à la première démarche avec la psychologue, cette dernière affichant un tsa et un tdah dans mon bilan.
Bonjour, je ne peux qu'être heureuse de voir le sujet davantage médiatisé mais je demeure heurtée par l'emploi répété du mot SOUFFRIR à propos de l'autisme. Ne devrions-nous pas, nous qui sommes concernées, nous enorgueillir de nos particularités et exiger pour nous et nos filles que les professionnels de l'éducation, du médical et du social soient plus aptes à accompagner la diversité ? Et s'il s'agissait d'un mode de fonctionnement, d'un rapport au monde ou encore de talents différents mais tout aussi utiles que ceux qui sont considérés comme "normaux" aujourd'hui ?
Si seulement ça ne concernait que ce cas, les femmes de manière générale sont sous diagnostiquées quand bien même elles existent dans les études ! On a pu récemment en faire le constat avec le vaccin anti covid ou de nombreuses femmes se sont retrouvées avec des effets secondaires car on ne les prends pas en considération !
Bah désolé mais moi je préfère le terme d’asperger pour parler des personnes sans déficience intellectuelle parce que pour moi troubles du spectre autistique c’est un peu la même chose pour tout le monde
@@awakante9711Entièrement d accord . Ce terme correspondait " a l élite " des troubles autistiques. A des génies en somme . Je suis très contente que la société avance face au diagnostic ( dont beaucoup s y engouffrent. Malhonnêtement. C est un vrai marché actuellement 😢.) . Mais je souffre aussi car le therme Asperger est nommé a tout va .. Mon commentaire n est pas provocateur je suis pas autiste . Je lance juste une idée c est la mienne.
Vécu récemment : je travaille dans une grande entreprise publique. Le médecin de prévention m'a dit textuellement "ne vous inquiétez pas, ça se soigne très bien aujourd'hui".
Est-ce que les cheveux roux sont qualifiés de « trouble de la nature des cheveux »? 😂 Je trouve stupéfiant qu’une « différence » soit qualifiée de « trouble ». Il faudrait juste la reconnaître et éduquer pour la faire connaître dans les différents milieux (familial, scolaire et professionnel) afin que ces personnes puissent s’intégrer sereinement dans une société qui comprend et respecte ces traits de caractère (et non pas de troubles, j’insiste)
Bonjour, je ne peux qu'être heureuse de voir le sujet davantage médiatisé mais je demeure heurtée par l'emploi répété du mot SOUFFRIR à propos de l'autisme. Ne devrions-nous devrions-nous pas, nous qui sommes concernées, nous enorgueillir de nos particularités et exiger pour nous et nos filles que les professionnels de l'éducation, du médical et du social soient plus aptes à accompagner la diversité ? Et s'il s'agissait d'un mode de fonctionnement, d'un rapport au monde ou encore de talents différents mais tout aussi utiles qqque ceux qui sont co sudrres comme normaux ?
Au-delà des caractéristiques différentes chez les femmes (à voir ça, on en reparle dans 15ans, c'est plus une simplification qu'autre chose), l'autisme est mal compris et caricaturé. Point. Quand la société française sera assez mâture, alors le respect pourra être réciproque.
les "maladies mentales ", "troubles ", "spectres", "quotient intellectuel",,,, n'existent pas plus que l'hystérie, la folie ou la possession démoniaque , si il y a maladie (c'est à dire matérielle , biologique , mesurable) , ça veut dire qu'il y a une caractérisation matérielle , biologique , mesurable, sinon il n'y a rien (jusqu'à preuve matérielle , biologique , mesurable du contraire ) , si c'est un ensemble de dispositions (au sens bourdieusien), ça n'est ni pathologique , ni biologique , mais engendré simultanément par une position dans la structure sociale et par le regard de ceux ayant des dispositions différentes
Pas fou comme point de vu, Merci. Ce serait un excellent débat radio et/ou télévisuel...à quand une belle table ronde sur ce sujet? Pour, surtout... faire avancer CETTE société...🙂😉
@@UltraYves c'est pas un point de vue , c'est un fait , je serais ravi de faire une conférence télé/radio pour expliquer la méthode scientifique et donc , entre autres , l'impossibilité logique de l'existence d'une maladie immatérielle
@harrypopo5853 Donc vous êtes en train de me dire que l'autisme est une invention? Ce sont des troubles du spectre autistique, ce qui veut évidemment dire qu'il y a un spectre. Les symptômes sont communs mais le degré de sévérité varie d'une personne à l'autre. Vous ne savez pas de quoi vous parlez avec le plus grand respect. Une personne peut très bien avoir des traits autistiques comme un grand intérêt pour une chose ou une hyposensibilité ou une hypersensibilité à une chose sans être atteinte d'une forme d'autisme. Une personne atteinte surtout du Syndrôme d'Asperger peut très bien apprendre à vivre avec en essayant de le masquer dans la vie quotidienne. Dès lors, ce n'est nullement une fatalité. Et l'autisme n'est aucunement une maladie comme le pensent la plupart des gens. C'est un trouble du neurodévelopement. Un trouble ou une maladie ne doit pas forcément être visible à l'œil nu pour exister. Une personne autiste n'est ni dangereuse ni malade. Il y a même des experts qui commencent à penser que le Syndrôme d'Asperger est plus une évolution qu'un trouble du neurodévelopement. En effet, notre organisme est en constante mutation. Le Syndrôme d'Asperger serait la prochaine évolution.
@@azraelepitaph578 mais qu'est ce que vous appelez autisme ? le clergé psychiatrique en modifie continuellement la "définition ". , ça n'est pas un "trouble " (puisque ça n'existe pas ), c'est une accusation (comme toutes les accusations de "maladies mentales ", "troubles ", "spectres", folie, "hyposensibilité" , "hypersensibilité" ,,,) , Vous ne savez pas de quoi vous parlez avec le plus grand respect. , " ce n'est nullement une fatalité": une accusation, surtout venant d'une institution, est un fait social , il s'impose à l'individu (vous pouvez appeler ça une fatalité si vous voulez , mais c'est pas le terme utilisé par la sociologie ) , "trouble du neurodévelopement": trouble ne veut rien dire scientifiquement , " une maladie ne doit pas forcément être visible à l'œil nu pour exister": effectivement , elle est basée uniquement et nécessairement sur caractérisation matérielle , biologique , mesurable
Faut arrêter avec ce communautarisme ridicule. Le genre n'a rien à faire là-dedans. Sauf évidemment si on veut surfer sur la victimisation qui est devenu la norme.
Pour le cas, si. Car les troubles sont moins visibles et moins stéréotypés chez la femme avec TSA sans déficience intellectuelle. Et qu'on se servait alors de critères diagnostics observés chez le garçon. Toutes les etudes faites à ce sujet en attestent.
Vas-y développe : as-tu autre chose à dire que ta propre souffrance ? Franchement, je cherche le message là... Il y a une réalité, complexe, si tu as des informations et ou des idées intéressantes je t'écoute.
Le genre, peut-être, en revanche la sociabilisation avec un corps de femme n'a strictement rien à voir. On cache beaucoup mieux nos troubles que les hommes, ils sont mieux diagnostiqués, fin du débat.
C'est grâce à ce genre d'émission qu'on arrêtera les stéréotypes face à l'autisme. C'est encore un long chemin mais il y a de l'espoir. Merci Adeline, je vais voir votre travail.
Après avoir fait un tour d'horizon de l'autisme au masculin je suis en train de regarder toutes les vidéos de l'autisme au féminin et je crois que le spectre de l'autisme chevauche tous les genres confondu... avec ses hauts et ses bas... merci pour cette belle vidéo. Je suis sur le chemin de la guérison après un 1er melt down il y a un peu plus d'un an à l'âge de 58 ans. Bonne suite à tous les gens dans la même situation. La patience... l'amour de soi et l'indulgence sont quelques clés pour se rebâtir, un tant soit peu. :)))
"C'est un doute permanent sur la véracité de mon diagnostic"
Bienvenue au club
C'est dommage tout ça mais ça ne m'étonne pas du tout. Je suis atteint de ce genre de trouble et ce n'est qu'a 28 ans qu'on m'a enfin diagnostiqué ce que j'avais et pourquoi je vivais donc si mal en ce monde. Portant je suis un homme. Quand on a un handicap qui ne se voit pas suffisamment, on peut rester longtemps en souffrance et se sentir seul.
super Adeline!
Je connais une dame âgée de 80 ans qui a le syndrome de Diogène.
Sans sa pathologie, elle se sent pousser à lire TOUT ce qui passe sous ses mains, du coup elle lit toutes les notices de médicaments.
Tant que c'est pas lu et intégré dans son esprit, elle garde, idem pour les boîtes de conserves bises, elle DOIT tout lire ce qu'il y a décrit dessus.( Difficulté à s'intégrer, incapacité a comprendre pourquoi l'hygiène corporelle est vitale, elle sait donner l'impression visuelle qu'elle est propre sur elle )...etc.
En revanche, sa connaissance culturelle est devenue importante au fil des années et je me rend compte qu'elle fait peut-être partie du spectre autistique...
Je suis en cours de diagnostic... parcours du combattant!
Pour 1) trouver un(e) psychiatre qui veut prendre des nouveaux patients
2) un(e) psychiatre qui s'y connaît en TSA...
3) avoir un rdv au CRA... ils veulent qu'on aille au CMP.
J'ai rdv en septembre, mais je ne sais même pas s'ils connaissent les TSA...
Rdv en mai 2025 pour suspection TDAH...
Heureusement qu'il y a FB avec ses groupes de soutien! 🥲
En attendant, je lis tout ce que je peux sur le sujet, notamment écrit par Rudy Simone.
Comme vous, j'ai eu un bilan psychologique avec une psychologue qui me conseille de voir un psychiatre et envisager un dossier mdph, et également d'envisager une thérapie...seulement sans connaître de psychiatre près de chez moi( angers) et aussi parce que j'ai du mal à amorcer les choses, je piétine...pourtant je me sens particulièrement épuisée depuis qques mois, ce qui m'a poussée à la première démarche avec la psychologue, cette dernière affichant un tsa et un tdah dans mon bilan.
Bonjour, je ne peux qu'être heureuse de voir le sujet davantage médiatisé mais je demeure heurtée par l'emploi répété du mot SOUFFRIR à propos de l'autisme. Ne devrions-nous pas, nous qui sommes concernées, nous enorgueillir de nos particularités et exiger pour nous et nos filles que les professionnels de l'éducation, du médical et du social soient plus aptes à accompagner la diversité ? Et s'il s'agissait d'un mode de fonctionnement, d'un rapport au monde ou encore de talents différents mais tout aussi utiles que ceux qui sont considérés comme "normaux" aujourd'hui ?
Si seulement ça ne concernait que ce cas, les femmes de manière générale sont sous diagnostiquées quand bien même elles existent dans les études ! On a pu récemment en faire le constat avec le vaccin anti covid ou de nombreuses femmes se sont retrouvées avec des effets secondaires car on ne les prends pas en considération !
Enfin, des personnes qui n utilisent pas le terme " Asperger " qui me hérisse le cerveau. ..
Merci 💙
Le mot "asperger" a été supprime aux USA pour le diagnostique d'autisme depuis 2013.
Bah désolé mais moi je préfère le terme d’asperger pour parler des personnes sans déficience intellectuelle parce que pour moi troubles du spectre autistique c’est un peu la même chose pour tout le monde
@@awakante9711Entièrement d accord . Ce terme correspondait " a l élite " des troubles autistiques. A des génies en somme . Je suis très contente que la société avance face au diagnostic ( dont beaucoup s y engouffrent. Malhonnêtement. C est un vrai marché actuellement 😢.) . Mais je souffre aussi car le therme Asperger est nommé a tout va .. Mon commentaire n est pas provocateur je suis pas autiste . Je lance juste une idée c est la mienne.
Moi j’aime ce terme personnellement!
Cette gue-guerre sur les termes est compréhensible mais n'a que peu d'importance au fond
Vécu récemment : je travaille dans une grande entreprise publique. Le médecin de prévention m'a dit textuellement "ne vous inquiétez pas, ça se soigne très bien aujourd'hui".
J'en reste sans voix
Est-ce que les cheveux roux sont qualifiés de « trouble de la nature des cheveux »? 😂
Je trouve stupéfiant qu’une « différence » soit qualifiée de « trouble ». Il faudrait juste la reconnaître et éduquer pour la faire connaître dans les différents milieux (familial, scolaire et professionnel) afin que ces personnes puissent s’intégrer sereinement dans une société qui comprend et respecte ces traits de caractère (et non pas de troubles, j’insiste)
Bonjour, je ne peux qu'être heureuse de voir le sujet davantage médiatisé mais je demeure heurtée par l'emploi répété du mot SOUFFRIR à propos de l'autisme. Ne devrions-nous devrions-nous pas, nous qui sommes concernées, nous enorgueillir de nos particularités et exiger pour nous et nos filles que les professionnels de l'éducation, du médical et du social soient plus aptes à accompagner la diversité ? Et s'il s'agissait d'un mode de fonctionnement, d'un rapport au monde ou encore de talents différents mais tout aussi utiles qqque ceux qui sont co sudrres comme normaux ?
Quelle tristesse car les vies sont gâchées à cause des erreurs diagnostics
Au-delà des caractéristiques différentes chez les femmes (à voir ça, on en reparle dans 15ans, c'est plus une simplification qu'autre chose), l'autisme est mal compris et caricaturé. Point. Quand la société française sera assez mâture, alors le respect pourra être réciproque.
est ce que le QI est fiable ?
les "maladies mentales ", "troubles ", "spectres", "quotient intellectuel",,,, n'existent pas plus que l'hystérie, la folie ou la possession démoniaque
,
si il y a maladie (c'est à dire matérielle , biologique , mesurable) , ça veut dire qu'il y a une caractérisation matérielle , biologique , mesurable, sinon il n'y a rien (jusqu'à preuve matérielle , biologique , mesurable du contraire )
,
si c'est un ensemble de dispositions (au sens bourdieusien), ça n'est ni pathologique , ni biologique , mais engendré simultanément par une position dans la structure sociale et par le regard de ceux ayant des dispositions différentes
Pas fou comme point de vu, Merci. Ce serait un excellent débat radio et/ou télévisuel...à quand une belle table ronde sur ce sujet? Pour, surtout... faire avancer CETTE société...🙂😉
@@UltraYves c'est pas un point de vue , c'est un fait
,
je serais ravi de faire une conférence télé/radio pour expliquer la méthode scientifique et donc , entre autres , l'impossibilité logique de l'existence d'une maladie immatérielle
La psyché est par nature immatérielle.
@harrypopo5853 Donc vous êtes en train de me dire que l'autisme est une invention? Ce sont des troubles du spectre autistique, ce qui veut évidemment dire qu'il y a un spectre. Les symptômes sont communs mais le degré de sévérité varie d'une personne à l'autre. Vous ne savez pas de quoi vous parlez avec le plus grand respect. Une personne peut très bien avoir des traits autistiques comme un grand intérêt pour une chose ou une hyposensibilité ou une hypersensibilité à une chose sans être atteinte d'une forme d'autisme. Une personne atteinte surtout du Syndrôme d'Asperger peut très bien apprendre à vivre avec en essayant de le masquer dans la vie quotidienne. Dès lors, ce n'est nullement une fatalité. Et l'autisme n'est aucunement une maladie comme le pensent la plupart des gens. C'est un trouble du neurodévelopement. Un trouble ou une maladie ne doit pas forcément être visible à l'œil nu pour exister. Une personne autiste n'est ni dangereuse ni malade. Il y a même des experts qui commencent à penser que le Syndrôme d'Asperger est plus une évolution qu'un trouble du neurodévelopement. En effet, notre organisme est en constante mutation. Le Syndrôme d'Asperger serait la prochaine évolution.
@@azraelepitaph578 mais qu'est ce que vous appelez autisme ? le clergé psychiatrique en modifie continuellement la "définition ".
,
ça n'est pas un "trouble " (puisque ça n'existe pas ), c'est une accusation (comme toutes les accusations de "maladies mentales ", "troubles ", "spectres", folie, "hyposensibilité" , "hypersensibilité" ,,,)
,
Vous ne savez pas de quoi vous parlez avec le plus grand respect.
,
" ce n'est nullement une fatalité": une accusation, surtout venant d'une institution, est un fait social , il s'impose à l'individu (vous pouvez appeler ça une fatalité si vous voulez , mais c'est pas le terme utilisé par la sociologie )
,
"trouble du neurodévelopement": trouble ne veut rien dire scientifiquement
,
" une maladie ne doit pas forcément être visible à l'œil nu pour exister": effectivement , elle est basée uniquement et nécessairement sur caractérisation matérielle , biologique , mesurable
Faut arrêter avec ce communautarisme ridicule. Le genre n'a rien à faire là-dedans. Sauf évidemment si on veut surfer sur la victimisation qui est devenu la norme.
Pour le cas, si. Car les troubles sont moins visibles et moins stéréotypés chez la femme avec TSA sans déficience intellectuelle.
Et qu'on se servait alors de critères diagnostics observés chez le garçon.
Toutes les etudes faites à ce sujet en attestent.
Vas-y développe : as-tu autre chose à dire que ta propre souffrance ? Franchement, je cherche le message là... Il y a une réalité, complexe, si tu as des informations et ou des idées intéressantes je t'écoute.
Le genre, peut-être, en revanche la sociabilisation avec un corps de femme n'a strictement rien à voir. On cache beaucoup mieux nos troubles que les hommes, ils sont mieux diagnostiqués, fin du débat.