Chapeau pour ce reportage ! Ma mère tenait un magasin de textiles et recevait des catalogues pour ses collections - j'en ai conservé quelques-uns. À l'époque, je me suis souvent demandé comment ceux-ci étaient réalisés, sans jamais avoir creusé la question. Cela donne à réfléchir, car tout ce boulot méticuleux finit, après que soient passées les saisons et les années, par être jeté. En fait, indépendant ou non, cela finit toujours par un travail très technique, précis, méticuleux, répétitif, à la chaîne.
Reportage absolument passionnant. Je n'avais jamais imaginé tout ce travail pour des photos de catalogues sur lesquelles le consommateur passe finalement peu de temps. Alain est passionnant. Merci Baptiste d'avoir eu l'idée de ce beau documentaire.
Vraiment très intéressant. On comprend bien le travail de photographie pour catalogues qui étaient d'une importance commerciale stratégique et pas que pour la vente par correspondance mais aussi en général pour les produits. Bravo et. merci!
Merci pour le témoignage. Je vais me mettre en mode réac, mais ce photographe témoigne d'un temps ou la photographique existait encore et à tous les niveaux... Oui, il y avait moultes postes qui n'existent plus aujourd'hui chez les entreprises clientes. Ces postes étaient essentiels pour un travail organisé et de qualité. Maintenant, on remplace de véritables techniciens par des grattes papiers qui ne connaissent même pas le travail de leur interlocuteur (en l'occurrence, ici, le photographe qui se plaint de marketeux bac +5 qui ne connaissent rien) L'argentique demandait une technique, une rigueur et une organisation que l'on croit être un inconvénient rédhibitoire de nos jours, mais en réalité qui est la condition sine qua non d'un travail réalisé par un professionnel, formé, connaisseur, artiste et technicien. C'est ce que l'on appelle avoir un métier. De nos jours, le numérique a tiré la photographie vers le bas. Plus vite, moins cher, en plus besoin d'organisation on peut travailler en flux tendu, en direct, dans l'immédiateté. Je suis désolé d'avoir ce commentaire un peu réactionnaire, mais pour moi le numérique a en partie tué la photographie avec beaucoup de métiers qui en dépendaient. Il fut un temps ou le métier de photographe existait. Aujourd'hui il existe, mais c'est très compliqué de percer et de durer dans le temps. Ceux qui gagnent bien leur vie sont encore plus rare !
Entièrement d'accord j'ai connu toute cette époque. L'exigence qualitative n'a rien à voir avec aujourd'hui. C'était un travail d'équipe mais le photographe avait "la main" . Et en plus on était très bien rémunérés...
C'est un très beau reportage! Je me souviens de catalogues qu'on recevait dans les années 90/2000 et je ne n'avais aucune idée (et ne m'étais jamais posé la question) du processus de photographie des produits. Peu de place (pour ne dire presque aucune) place à la créativité ou la liberté artistique pour le photographe ici plutôt considéré comme un exécutant, et pourtant le professionnalisme, le soucis du detail transpirent du témoignage d'Alain. Bravo !
Super sympa, quand j'ai commencer je faisait aussi de cette façon, ensuite on a basculer sur le numérique, c'est plus le même rendement, et maintenant avec les site web je t'en parle même pas... c'est marrant de voir ça d'un point de vue extérieur grace à ta video
Bonjour, Bravo pour ce reportage, c très instructif de connaître les différentes facettes du métier de photographe. Le responsable du labo argentique, ou je développe, à Saint Bonnet de Mûre, Lyon, a encore son studio photo professionnel. Il photographie pour des catalogues de fournitures électriques, de restauration industrielle et les cartes de menu. Il est aussi le propriétaire du musée Nikon, au même endroit , que je vous invite à venir visiter. Merci.
3 หลายเดือนก่อน
Intéressant. Quelle précision et quel travail ! En revanche, avec la suppression de tout ce travail, pourquoi les prix sont-ils toujours plus élévés ?
Que sapeliero l’inflation. Si ton paquet de pâtes coûte plus cher tu dois facturer plus cher, malheureusement
3 หลายเดือนก่อน
@@EMGKPhotographie ou alors tu montes les marges toujours plus pour un produit de plus mauvaise qualité afin d’engraisser tous les parasites qui ont des bullshits jobs.
Quand tu as photographié 2000 vélos, que chaque vélo tu devais bloquer les roues, les pédales avec des bouchons en liège, techniquement c'est rien et tu n'as aucune satisfaction. C'était de l'usine. Parce qu'il fallait toujours faire vite, pour enchainer les contrats
ATTENTION, À 3M20 IL Y A LA BANDE SON D'UNE AUTRE VIDEO
Super reportage, toujours extrêmement intéressant et précieux d'avoir des témoignages de personnes qui ont connu une toute autre façon de travailler
Chapeau pour ce reportage ! Ma mère tenait un magasin de textiles et recevait des catalogues pour ses collections - j'en ai conservé quelques-uns. À l'époque, je me suis souvent demandé comment ceux-ci étaient réalisés, sans jamais avoir creusé la question. Cela donne à réfléchir, car tout ce boulot méticuleux finit, après que soient passées les saisons et les années, par être jeté. En fait, indépendant ou non, cela finit toujours par un travail très technique, précis, méticuleux, répétitif, à la chaîne.
Impressionnant, tout ce travail titanesque. Super rencontre, et merci pour cette vidéo.
Reportage absolument passionnant. Je n'avais jamais imaginé tout ce travail pour des photos de catalogues sur lesquelles le consommateur passe finalement peu de temps. Alain est passionnant. Merci Baptiste d'avoir eu l'idée de ce beau documentaire.
Vraiment très intéressant. On comprend bien le travail de photographie pour catalogues qui étaient d'une importance commerciale stratégique et pas que pour la vente par correspondance mais aussi en général pour les produits. Bravo et. merci!
Magnifique et émouvante rencontre de deux passionnés !
Merci pour le témoignage. Je vais me mettre en mode réac, mais ce photographe témoigne d'un temps ou la photographique existait encore et à tous les niveaux... Oui, il y avait moultes postes qui n'existent plus aujourd'hui chez les entreprises clientes. Ces postes étaient essentiels pour un travail organisé et de qualité. Maintenant, on remplace de véritables techniciens par des grattes papiers qui ne connaissent même pas le travail de leur interlocuteur (en l'occurrence, ici, le photographe qui se plaint de marketeux bac +5 qui ne connaissent rien)
L'argentique demandait une technique, une rigueur et une organisation que l'on croit être un inconvénient rédhibitoire de nos jours, mais en réalité qui est la condition sine qua non d'un travail réalisé par un professionnel, formé, connaisseur, artiste et technicien. C'est ce que l'on appelle avoir un métier. De nos jours, le numérique a tiré la photographie vers le bas. Plus vite, moins cher, en plus besoin d'organisation on peut travailler en flux tendu, en direct, dans l'immédiateté.
Je suis désolé d'avoir ce commentaire un peu réactionnaire, mais pour moi le numérique a en partie tué la photographie avec beaucoup de métiers qui en dépendaient. Il fut un temps ou le métier de photographe existait. Aujourd'hui il existe, mais c'est très compliqué de percer et de durer dans le temps. Ceux qui gagnent bien leur vie sont encore plus rare !
Entièrement d'accord j'ai connu toute cette époque.
L'exigence qualitative n'a rien à voir avec aujourd'hui.
C'était un travail d'équipe mais le photographe avait "la main" .
Et en plus on était très bien rémunérés...
C'est un très beau reportage! Je me souviens de catalogues qu'on recevait dans les années 90/2000 et je ne n'avais aucune idée (et ne m'étais jamais posé la question) du processus de photographie des produits. Peu de place (pour ne dire presque aucune) place à la créativité ou la liberté artistique pour le photographe ici plutôt considéré comme un exécutant, et pourtant le professionnalisme, le soucis du detail transpirent du témoignage d'Alain. Bravo !
C'était très intéressant, merci de nous avoir montré ça !
Superbe idée de reportage, passionnant ! 👍👍
Super sympa, quand j'ai commencer je faisait aussi de cette façon, ensuite on a basculer sur le numérique, c'est plus le même rendement, et maintenant avec les site web je t'en parle même pas... c'est marrant de voir ça d'un point de vue extérieur grace à ta video
Impressionnant
Très beau documentaire, merci.
Merci pour ce témoignage
super report et surtout quel monsieur.
Bonjour,
Bravo pour ce reportage, c très instructif de connaître les différentes facettes du métier de photographe.
Le responsable du labo argentique, ou je développe, à Saint Bonnet de Mûre, Lyon, a encore son studio photo professionnel. Il photographie pour des catalogues de fournitures électriques, de restauration industrielle et les cartes de menu.
Il est aussi le propriétaire du musée Nikon, au même endroit , que je vous invite à venir visiter.
Merci.
Intéressant. Quelle précision et quel travail ! En revanche, avec la suppression de tout ce travail, pourquoi les prix sont-ils toujours plus élévés ?
Que sapeliero l’inflation.
Si ton paquet de pâtes coûte plus cher tu dois facturer plus cher, malheureusement
@@EMGKPhotographie ou alors tu montes les marges toujours plus pour un produit de plus mauvaise qualité afin d’engraisser tous les parasites qui ont des bullshits jobs.
👍👍🙂🙂📷📷
Quand tu as photographié 2000 vélos, que chaque vélo tu devais bloquer les roues, les pédales avec des bouchons en liège, techniquement c'est rien et tu n'as aucune satisfaction. C'était de l'usine. Parce qu'il fallait toujours faire vite, pour enchainer les contrats