Bonne initiative juste il faut faire attention au mouvement du mizane je suis sûr avec le mouvement du rythme original ça se serait mieux sur le plan interprétation ce Soupir qui existe entre deux temps n est pas respecté techniquement d ailleurs on sent une forme de pression sur le souffle dans cette chanson 2/4 l entree sur les temps faible pour avoir plus de vision sur la longueur de la chanson vous allez découvrir un repos extraordinaire ça donne envie de ne pas s arrêté j espère que je suis positif dans ma remarque merci d avoir oser
Merci mohand pour ta belle analyse et je comprends parfaitement ce que tu me décrit, d’ailleurs, j’ai rectifié ça et c’est vraiment plus facile à mener, bonne continuation l’artiste et encore merci pour ton intérêt au petit détail
Traduction mélodique du refrain et des 2 dernier couplets de : Rabi el maaboud (Dieu, L' adulé) - à 2.54 Dieu, l'adulé, Dieu, l'adulé De la patrie, se repaître Quiconque se trouve exilé Est, ouest, vadrouillé Parti, son pays, laissant Connu le faux et le vrai Par eux, éprouvé Marche mesurée, apprenant Sur sa maison, il veillait Dure, l'adversité Sachant la vieillesse arrivant Qui a grandi, voyagé Parti, traversant la mer Pour une terre qu'il ne connaît Comme un homme performant Retient le dénuement Sachant que c'est cela qui l'a amené Pour sa maison se souciant Dure est la vie, ô frères L'ascendance construisant. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Très belle interprétation vraiment bravo Bon courage pour la suite
Belle interprétation
Belle voix.
Bravo Monsieur
magnifique
Magnifique khoya!
Azul syagi c'est Paris, bravo mon frère, bonne continuation, na3ya dhel gharva.
Belle voix et belle interprétation malgré la difficulté de la chanson du cheikh
خاو خاو ننتج القوه. ونعيش في العزه والكرامه...
Vraiment magnifique
J'adore ta reprise
Aucune fausse note
Merci jugurta ça me fait plaisir
Bravos l'atiste vs chantez le kabyle pas chanter en kabyle merci bcp un bel homage a la legende
Allah ybarek mon frère
Merci mon frère walaid aidkoum mabrouk a toute la famille
Top a cix
J'adore
Bien
Bonne initiative juste il faut faire attention au mouvement du mizane je suis sûr avec le mouvement du rythme original ça se serait mieux sur le plan interprétation ce Soupir qui existe entre deux temps n est pas respecté techniquement d ailleurs on sent une forme de pression sur le souffle dans cette chanson 2/4 l entree sur les temps faible pour avoir plus de vision sur la longueur de la chanson vous allez découvrir un repos extraordinaire ça donne envie de ne pas s arrêté j espère que je suis positif dans ma remarque merci d avoir oser
Merci mohand pour ta belle analyse et je comprends parfaitement ce que tu me décrit, d’ailleurs, j’ai rectifié ça et c’est vraiment plus facile à mener, bonne continuation l’artiste et encore merci pour ton intérêt au petit détail
Chapeau bas pour votre interpretation magistrale paroles et musique juste ca c'est un hommage pas un domage et peut mieux faire courage baye
Mercie
Traduction mélodique du refrain et des 2 dernier couplets de : Rabi el maaboud (Dieu, L' adulé) - à 2.54
Dieu, l'adulé, Dieu, l'adulé
De la patrie, se repaître
Quiconque se trouve exilé
Est, ouest, vadrouillé
Parti, son pays, laissant
Connu le faux et le vrai
Par eux, éprouvé
Marche mesurée, apprenant
Sur sa maison, il veillait
Dure, l'adversité
Sachant la vieillesse arrivant
Qui a grandi, voyagé
Parti, traversant la mer
Pour une terre qu'il ne connaît
Comme un homme performant
Retient le dénuement
Sachant que c'est cela qui l'a amené
Pour sa maison se souciant
Dure est la vie, ô frères
L'ascendance construisant.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.