Jean Mouttapa - Histoire juive de la France
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- เผยแพร่เมื่อ 6 ก.ย. 2024
- Jean Mouttapa vous présente l'ouvrage "Histoire juive de la France" aux éditions Albin Michel. Entretien avec Jean Petaux.
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Traduit à partir de : Chinois (Simplifié).
1=Moi et beaucoup de chrétiens chinois vivant en Occident croyons que sans l'Amérique établie par les puritains en mai, il n'y aurait pas d'Amérique telle qu'elle est maintenant. Les 2 000 ans d'histoire de l'Occident sont basés sur la civilisation chrétienne, mais il est dommage que beaucoup d'Occidentaux (plus d'entre eux la gauche occidentale) soient devenus de moins en moins enclins aux croyances religieuses ; certains gauchistes américains refusent de dire Joyeux Noël, dans le but de nier non seulement le christianisme, mais aussi la tradition américaine établie en 1776, et au nom de la liberté, c'est en fait de l'indulgence et détruit les fondements des États-Unis ; si les Occidentaux abandonnent les traditions religieuses, le monde occidental s'effondrera et les religions étrangères profiteront du vide.
2=L'Occident parle de multiculturalisme, et la ville de Hamtram, dans le Michigan, aux États-Unis, est entièrement gouvernée par des musulmans, du maire au conseiller.
Mais quel pays musulman voyez-vous où les immigrés et les chrétiens deviennent maires et parlementaires ? Je me demande toujours pourquoi les pays riches en pétrole du Moyen-Orient n'acceptent pas les réfugiés islamiques ?
3=Dans les temps anciens, les humains ont inventé la religion pour fournir un système d'explications du monde objectif. Et pour les individus, la foi peut aussi donner à l'âme un peu de repos et plus de certitude pour l'avenir.
À l'époque moderne, la raison scientifique a progressivement remplacé la religion comme un autre moyen pour les êtres humains d'interpréter le monde et de rechercher la certitude. On peut dire que pendant des centaines d'années, la science a essayé de lutter avec la religion pour le droit d'interpréter le monde.
Quand la science prendra fin, peut-être que seules la religion et la foi pourront sauver l'humanité. Et chacun de nous doit d'abord reconnaître ses propres limites et son insignifiance.
L'humilité et la révérence constantes sont le seul moyen de surmonter les péchés qui se trouvent profondément dans la nature humaine et d'être sauvé. Sinon, ce qui attend toute l'humanité sera un flot continu de fléaux, de tremblements de terre, de famines et de guerres, jusqu'à ce qu'ils aillent tous à l'abîme et soient complètement engloutis par un trou noir maléfique.。。。
La mondialisation économique n'a pas donné naissance à une société harmonieuse et stable dans le monde, où les riches s'enrichissent et les pauvres s'appauvrissent, et le terrorisme nous menace comme une bombe à retardement.
Éditeur (expérience statique)
1=Le déclin et l'échec de l'Union européenne : La monnaie unique, l'euro, n'était pas tant unie que divisée, au sens où l'on entendait bien avant l'introduction de l'euro comme monnaie légale le 1er janvier 2002. L'euro est le seul qui lie les États membres de l'UE dans 19 des 28 États membres de l'UE, mais c'est aussi la clé de l'intégration financière, qui est présentée comme l'un des principaux avantages de l'appartenance à l'UE.
Le scepticisme quant aux avantages de l'appartenance à l'UE grandit, et les citoyens des États membres intensifient une fois de plus leurs doutes sur le transfert de souveraineté nationale. Dans l'UE, les élites technocratiques qui exercent le pouvoir cherchent à marginaliser leurs critiques en les qualifiant de populistes, de nationalistes ou de fascistes, ignorant la réalité indicible que la véritable source de la tyrannie est la bureaucratie non élue de l'UE, qui exerce des pouvoirs scandaleux pour priver les citoyens de ses États membres de leurs libertés, du droit à la dissidence et du droit à un suffrage politique sérieux.
Comme je l'ai soigneusement expliqué, depuis 2012, la structure sous-jacente de l'UE est le néocolonialisme, en particulier la financiarisation néocoloniale. Dépouillé de son ingéniosité, le système financier central de l'UE a colonisé la périphérie avec l'aide de l'UE et de l'euro, et a imposé un système moderne de pompage du sang pour les serfs aux citoyens du centre et de la périphérie.
Dans le néocolonialisme, les forces financiarisées sont utilisées pour forger des contrats entre les élites et les populations locales et le noyau financier, et les colonies périphériques empruntent de l'argent pour acheter des produits finis fabriqués dans l'économie centrale afin d'enrichir l'élite impériale de trois manières :
Tirer profit de la vente de biens aux emprunteurs ;
gagner des intérêts à crédit grâce à l'expansion des colonies extérieures, ce qui leur permet d'acheter des biens de l'économie centrale et de « vivre la vie d'un perdant » ;
Huiler les transactions qui financiarisent les actifs périphériques, tels que l'immobilier et la dette publique.
Le secteur bancaire franco-allemand a essentiellement utilisé la financiarisation de l'euro pour coloniser la périphérie de l'Europe et faciliter une expansion massive de la dette et de la consommation dans la périphérie. Cette expansion de la dette et de la consommation a été exploitée par les banques et les exportateurs des pays centraux, qui ont extirpé des profits incalculables de la périphérie.
Ce n'est pas seulement la perfection du néocolonialisme, mais aussi la perfection du néo-féodalisme. La périphérie de l'UE est devenue de facto des emprunteurs néocoloniaux dans les pays du centre, et les contribuables des pays du centre sont maintenant des serfs féodaux, une main-d'œuvre qui produit des biens dans le seul but de se détériorer selon un programme de financiarisation qui se détériore.
Le néocolonialisme profite à la fois à l'aristocratie financière du centre et à l'oligarchie de la périphérie, comme l'illustre de manière unique l'article « La corruption de quelques-uns : comment l'oligarchie a détruit la Grèce ».
L'UE a finalement atteint la fin du modèle néo-colonial-financiarisé, avec plus de marchés à exploiter par la financiarisation, plus d'actifs à exproprier, et les serfs des pays centraux, les gilets jaunes, sont fatigués de l'exploitation à ciel ouvert de la domination voleuse de l'UE.
À ce stade, l'aristocratie financière de l'UE est confrontée à un casse-tête insoluble : l'annulation des dettes en défaut de paiement annule également les actifs et les flux de revenus, car chaque dette est également une source d'actifs et de revenus pour les pays du centre. Lorsque tous ces actifs irréels sont jugés sans valeur, le système implose.
L'épuisement de ce modèle néocolonial-féodal était inévitable, et le résultat a été le déclin et la décadence inéluctables du programme européen d'intégration et d'exploitation.
[L'article complet a été publié sur ZeroHedge le 15 janvier 2019 par le journaliste indépendant chevronné Charles Hugh Smith.] Le modèle néocolonial décrit dans l'article a été poussé à l'extrême par la Chine, qui a tenté d'exporter du renminbi, des capacités excédentaires et de la main-d'œuvre en même temps sous la bannière d'une ceinture et d'une route, avec pour résultat en partie que les dettes des pays concernés continuent de faire exploser leurs dettes et d'être obligées de les annuler sans s'arrêter. Bien sûr, la Chine elle-même est la plus grande victime d'un modèle similaire à Wall Street, et elle s'est depuis effondrée après avoir été paralysée par le crédit bon marché de l'assouplissement quantitatif de la Réserve fédérale. En bref, c'est le véritable modèle sous-jacent de la façon dont le système de mondialisation a fonctionné ces derniers temps.