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- เผยแพร่เมื่อ 23 พ.ค. 2021
- Dans cette vidéo, j'analyse La Haine, film français écrit et réalisé par Mathieu Kassovitz, sorti en 1995.
On y aborde le choix des plans, la psychologie du personnage, la couleur ainsi qu'une explication de la fin du film.
N'hésite pas à me dire ce que tu en penses.
Musique: Epidemic Sound
Je soulignerait aussi que Vinz qui était très impulsif finit par donner son arme à Hubert après avoir compris que tirer n'allait rien résoudre (scene avec le skinhead). Mais Hubert a fais la chute inverse. Il a connu et a été victime de la bavure policière et fait l'action qu'il a toujours éviter. Donc, lorsque Hubert dis sa fameuse phrase de chute et atterissage, il parle de lui, qui se rassurait sans cesse que tout allait bien. Quant à lui, Said reste indécis et continue de fermer et ouvrir les yeux en espérant qu'un jour, ça sera différent, mais le cycle se répétera et il sera à son tour victime ou coupable de violence. Finalement, le dernier plan était parfait, car le but n'etait pas de savoir qui tirait sur qui, mais que dans les deux cas, la haine attire la haine. Presque 30 ans plus tard, le cycle tourne toujours...
J'adore ce film mais il y'a une énorme erreur dans le film qui ma toujours gêné et que personne n'a semblé répérer depuis toutes ces années. Asterix retire les balles du flingue de Vince, pourtant pendant la scène du skinhead ou même la scène finale tout le monde (les personnages, le film et le réalisateur lui même) semble oublier cet élément, oublier que larme n'a plus de balle dans le barillet ... Aïe
@@Lsda1210 Ce n'est pas forcément une erreur. Aucune balle (il me semble) n'est tirée avec ce revolver. Toutes les scènes peuvent marcher en se disant que le barillet est vide; ce qui laisserait penser que Hubert n'a pas pu tirer à la fin du film et qu'il est l'unique mort du duel.
Ou simplement, Vinz ou un autre à pu remettre une balle pendant les nombreuses heures qui séparent les deux scènes, vu qu'on voit Vinz en manipuler une pour allumer la voiture volée.
Mais du coup, en lisant ton commentaire, j'aime bcp l'idée que le revolver soit resté vide tout le long du film et ce que ça laisse figurer de la fin, après le cut final.
@@mrcervide7383 Ok, imaginons que le revolver soit resté vide tout le reste Du film (ce qui n'est pas logique car tu dis que Vins manipule une balle dans la scène de la voiture) , il n'empêche que même si c'était le cas, les personnages devraient être au courant, hors ils agissent comme ci le flingue était chargée. Comme dans la scène des skinhead par ex, on voit très bien qu'ils pensent que larme est chargée. Et si vraiment ils avaient remis des balles dans le flingue après la scène de Astérix, le film aurait dû nous montrer ce moment. Donc dans tous les cas c'est une erreur du film.
@@mrcervide7383 j'hallucine! j'ai répondu exactement la même chose au commentaire du même gars, ya même pas 5 min.
@@Lsda1210 non, car ça na pas d'importance, je ne comprends pas ton obstination avec ce détail.
Ils ya une tonne de films d'actions ou il y a des fusillades sans rechargement d'armes et des scène avec des double canons qui tirent plus de 2 cartouches sans rechargement.
J'ai beaucoup aimé ton analyse. Mais, je voudrais tout de même souligner un défaut. À la fin, Vinz rend le flingue comprenant que tuer ne résoudra rien. Mais malheureusement, la boucle de la haine ramène sans fin à la haine.
L'histoire de l'ancien dans les chiotes je crois pas que c'est ce que c'est ce que tu dit la morales mais plutôt à atteindre accepter l'aide tous les temps des gens on en oubli nos reflex même les plus simple, si il n'avez pas écouter Uber il serait au shtar mais pas à la morgue..
En plus sa n'a aucun sens ma manière dont tu l'explique...
Mais bien le reste
@@valjean8341 merci, désolé je pensais avoir été clair :)
C'est pas à toi que je m'adresse mais a l'orateur. Dsl j'ai pas précisé.
Excellente analyse et conclusion parfaite. Merci !
Merci à toi du commentaire 🙏
Hello j'ai vraiment bien aimé ton analyse. J'ai vu ce film à sa sorti en salle en Suisse. J'avais 15ans à l'époque. Il a été comme un exemple pour moi. J'ai grandi dans un quartier du genre en Suisse. Je trouve que le réalisateur à été très convainquant et réaliste dans ce film. Bcp de jeune doivent se retrouver dans ce film comme moi. Je suis un mélange des trois. J'ai voulu l'élévation sociale comme hub. Je suis révolter comme VIN'S. Et peut être fataliste comme Said. Au fond, est-ce qu'on est pas tous un peu des trois ?
J'interprète l'histoire sous un angle différent du vôtre "Cette histoire fait référence à fierté, Il faut choisir entre garder sa fierté et mourir ou la laisser tomber comme son pantalon et monter dans le train." . Cette histoire semble destinée à Vinz, qui est fermement accroché à son désir de vengeance. Plus précisément, cela peut en effet être interprété comme un avertissement à Vinz, qui est sur le point de faire un choix potentiellement fatal en tuant un policier. Avec ton analyse, nous pouvons y voir une leçon d'humilité : il est parfois nécessaire de supporter le ridicule, d'avaler sa fierté et d'accepter l'aide des autres, car sans quoi, cela peut coûter la vie. Cela suggère que renoncer à sa fierté est parfois le choix judicieux. Sous entendu, ravaler sa fierté c'est le bon choix pour survivre.
Le vieil homme pourrait lui faire comprendre qu'on récolte ce que l'on sème - que nos choix ont des conséquences, et que parfois, il faut être prêt à endurer l'humiliation ou l'inconfort pour éviter des conséquences bien pires. Et vu que Cassel disait "dans la rue, tu tends la joue et tu te fais défoncer" peut-être que le vieux lui disait que tendre la joue n'est qu'un sale moment à passer et au moins tu seras vivant.
J'en arrive à la même conclusion que vous, il faut laisser tomber cette fierté mais pas pour votre survie mais pour l'avenir. cette histoire parle du choix et non fierté à mes yeux.
D'autre part, Grunwalski, malgré la rudesse de son environnement, prend des décisions qui lui sont propres et assume leurs conséquences, même si elles s'avèrent fatales. Il fait des choix en accord avec ses propres principes et son identité personnelle, comme lorsqu'il s'éloigne du train pour préserver sa pudeur, même si cela peut entraîner des conséquences graves.
Cette histoire peut être vue comme une métaphore de l'attitude de nos trois protagonistes face à la vie en banlieue. Chaque personnage :
Vinz, est animé par un sentiment de justice et de vengeance suite à la blessure d'Abdel par un policier. Cet événement renforce ses convictions et le pousse à prendre la décision impulsive de tuer un policier si Abdel succombe à ses blessures. Cette décision, bien que guidée par ses principes, met sa vie en danger.
Hubert, le plus réfléchi des trois, aspire à quitter la banlieue pour mener une vie meilleure, peut-être même au détriment de sa propre famille.
Said, comme vous l'avez mentionné, adopte une attitude fataliste face au risque que rien ne change.
Pour résumer, mon interprétation, d'autre part, se concentre sur l'idée de l'autonomie et des choix personnels. Selon cette perspective, l'histoire de Grunwalski peut être vue comme une métaphore de la manière dont chaque personnage navigue dans son environnement difficile.
En choisissant de préserver sa fierté au lieu de saisir la main qui lui était tendue, Grunwalski a scellé son propre destin. De la même manière, en choisissant la vengeance, Vinz risque de perpétuer le cycle de violence et de haine.
L'interprétation précédente interprète l'abandon de la fierté au nom de la survie tandis que celle là interprète l'abandon de la fierté au nom du choix. Réagir ainsi n'engendrera qu'un nouveau cycle de haine (c'est d'ailleurs comment commence et termine le film, par une bavure).
Super Analyse.
Un Film à revoir à plusieurs reprises avec enthousiasme.
Excellent travail! je vais montrer ta vidéo (si ça ne te dérange pas) à mes élèves de terminales en Angleterre car elles étudient la Haine pour leur examen de français et ta vidéo résume les points les plus importants ☺️
woah genial j’aimerai bcp étudier aussi des films de ce genre
Vous avez pas honte ? Et après on dis qu'il ya pas d'idéologie gauchiste au sein de l'éducation.
@@lg25260 c’est pas moi qui fait les programmes des écoles anglaises 😂
@@lg25260 en quoi ce film est "gauchiste" ? les bavures policières existent, les mauvais flics existent, mais les bons flics existent aussi et le film le montre ? puis je vois pas trop où le film est gauchiste en montrant que les jeunes de banlieue sont quasiment tout le temps aggressif. certes, il y'a une raison à leur agressivité, mais elle est quand même là.
@@orion7444 écoute tu m'a l'air cool, gentil, etc ... mais si tu vois pas le gauchisme dans ce film j'ai rien à t'expliquer et rien à te dire je suis désolé.
C'est évident et tout le monde le sait, mais on a ériger des "modèles" depuis plus de 60 ans qui sont systématiquement anti flics, anti France, et de gauche.
Donc si à partir de là tu ne vois pas le problème, on va pas rentrer en clash mais sache qu'on vit chacun sur une planète différente.
Film exceptionnel, d'une authenticité rare..... véritablement un chef d'oeuvre !
Pour moi La Haine est le film de banlieue (contrairement à toutes les merdes qui ont était réalisés après) alors oui c'est un peu un film documentaire d'ailleurs le noir et blanc et le vrai prénoms des acteurs n'est pas choisi pour un manque de budget mais pour réellement représenté le cafard des cartiers d'ailleurs en couleur il n'aurait pas eu le même impact.
La haine n'est pas une fiction mais l'image de la dur réalité (même si parfois c'est légèrement exagéré) mais reste peut-être le dernier film français d'auteur.
1:54
Le choix de tourner en plans serrés n'a pas été un choix délibéré, mais imposé par le fait que le budget n'était pas assez important pour faire autrement.
À savoir que bloquer des rues parisiennes, cela représente un coût extrêmement important.
De fait, en utilisant une focale longue, on peut aisément "implanter" les protagonistes dans le décor.
C'est pas forcément un grand angle mais une courte focale qui filme la cité . La transition opère sur le toit de l'immeuble grâce à un travelling compensé ou zoom compensé pour ensuite passer en longue focale qui donne ce sentiment d'écrasement.😉
Merci pour cette précision absolument pas nécessaire :)
Super vidéo, très bien rythmée et très bonne analyse surtout. Continue comme ça !
Qu'elle analyses c'est la seule qui m'a mis d'accord respect
Merci beaucoup 🙏🏻🔥🔥
La vidéo est incroyable, vraiment bravo
Très très fort, on comprend le fond et la forme ! J'ai regardé le parrain aussi et t'es vraiment bon !
Très bonne analyse qui m'a rappelé le prisme par lequel j'ai découvert le film... Et celui que j'ai avec quelques années d'expérience aujourd'hui👌
Merci de ton commentaire 🙏🏻🙏🏻
Incroyable comme toujours tu devrais franchement faire plus de de vidéo sur plus de films
Incroyable analyse je te félicite tu arrive a super bien mener ta vidéo 👍🏾
J'aime beaucoup ton travail m'as aider lors d'une dissertation ;)
super analyse, points de vues très pertinents et bien développés !!!!
Entre la haine et ma cité va craquer je ne suis vraiment pas déçu cet une très belle réalisation je pense que beaucoup de jeunes aimerai pour ce qui ne sont pas de cette génération
Encore une super analyse continue !
Merci !! 🙏🔥
Un chef d'oeuvre!
Je suis le seul à trouver que le bon flic ressemble à Jonathan Cohen ? Après ça fait longtemps que j'ai pas regardé ce chef-d'œuvre
Je vais me dépêcher de regarder ce film, je ne crois pas que je l’ai vu à sa sortie. Merci pour cette analyse, comme toujours très claire et informative. Je vais faire attention en regardant ce film à tes remarques! Me réjouis déjà de découvrir tes prochaines analyses ☺️
Merci ! 🙏🏻
Quoi ?? Ce film date de 1995 et tout le monde l'a vu enregistrer et conserver !
Très bonne analyse, j'attendais de regarder le film avant de la regarder, et je ne suis vraiment pas déçu !
Merci beaucoup ! Oui je conseille fortement de regarder le film avant l'analyse 🔥
Saïd évite les conflits, on ne le voit jamais provoquer physiquement. Juste verbalement, mais il est assez soumis, que ce soit devant son frère, au commissariat...etc
Hubert est un boxeur, je pense que cette caratéristique reflète un coté discipliné et restreint vis-à-vis de la violence.
Vinz, impulsif, provocateur, grande gueule.
Mon interpretation, c'est que ces trois personnages représente un spectre de la haine.
Ils ont une haine envers l'autorité, l'abus, l'injustice. Ils sont solidaires.
Ils ont des valeurs quand cela concerne la famille, leur soeurs, leur mères, qu'ils défendent quand elles sont insultées en conversation.
Mais chacun des personnages la gère différemment.
Saïd represente le milieu, il est plus verbal que physique, moins courageux, il se fait souvent petit.
Après la scène ou il se fait couper les cheveux, il semble géné par la coupe trop "punk".
Son embarras, reflète d'après moi un côté gamin, un peu mal aisé.
Son discours de principe, "tout ça pour 500 francs ?."
Il veut paraitre dur, il se fait prendre pour le leader par les flics de l'hosto.
Mais il reste un milieu dans ce spectre de haine, il sert quand même la main du flic, fait la remarque quand le flic à Paris le vouvoie...etc
Vinz est la jeunesse impulsive, provocatrice, grande gueule. Il n'aime pas du tout l'autorité, comme la vidéo la bien expliqué il voit le monde en noir et blanc, mais ironiquement, je pense que sa confrontation avec le skinhead est aussi un choix spécifique. Il a le look d'un skinhead, il aurait pu en être un.Mais les skins eux, representent un paroxysme de la haine, une haine raciale, une doctrine.
Dans ce sens la, Vinz ne voit pas le monde en noir et blanc.
Sa haine est différente, elle est basé sur une réaction envers une action, envers une institution, mais sa haine est beaucoup plus un spectacle et un acte.
Le film flirt avec la mort constamment, le maniement du revolver très maladroit, Astérix qui joue a la roulette russe.
Notez que les commentaires des skinheads et ceux du flic à la fin sont assez similaires,
" T'était sur le toit ?"
Un petit clin d'oeil a l'histoire de la chute que raconte Hubert.
À la fin, la haine du flic à causer la mort de Vinz.
Cette haine a finalement attirée celle de Hubert, le sage, l'optimiste qui avait pourtant foi,
"ya des bons flics aussi"
La haine un chef d'oeuvre, avec mon pote d''enfance Hubert Koundé on a grandit ensemble à Villabé
super travail
Merci à toi ! 🙏🏻
Oui, un authentique chef d'oeuvre cinématographique
Et pour la vache?? Quelqu'un peut m'expliquer??
Il paraît que dans la religion juive, la vache représente la mort, vinz est juif
Moi aussi mdr
OK j'ajoute ce film a ma liste
Je suis pas d'accord avec le terme de fatalité, car ce terme peut se rapprocher d'une forme de nihilisme, cependant aucun des personnages principaux n'est nihiliste, pour moi il est plus pertinent de parler de déterminisme social. Cependant bonne analyse ;)
on peut etre fatalistes sans tomber dans le nihilisme tu sais , c'est juste accepter le destin sans chercher a la combattre meme s'il est injuste... Le nihilisme c'est quand meme le degré au dessus de loin.
Sauf que les jeunes d'aujourd'hui ont la haine pour le plaisir de détruire leur pays d'accueil et le manque d'éducation de leurs parents explique tout. Lorsqu'on voit des gamins de 4/5 ans traîner dans le quartier on comprend mieux.
Du coup tu n'as rien compris au film en fait
Analyse inexistante mais bon résumé du film .
alors pour les histoires de plan entre les 2 partie film entre la banlieue et paris.... était une contrainte du au budget... Matthieu l'avait expliqué dans une itw ... et qu' il a préféré mettre la banlieue en avant ..... les perches le matos a était privilégiées pour la banlieue..
c’est quand même plus cool de dire que c’est fait exprès 😶🌫️
@@charlelie8996 c'est clair , c'est vraiment une histoire de budget et autorisation pour filmé sur la capitale
Je connais ce film par coeur et en regardant cette video je viens de remarquer une très grosse erreur qui peut casser le suspense de la fin.
Tu t´es trompé à la fin du film c´est pas une bavure policière c´c'est Hubert qui a tirer sur le flic
Comment on fait ! Ta moyen de faire sans. Des histoires bizzars?
Grosse contradiction que j'ai pu relever plus tard. Au début, il y a des vrais images ou un jeunes dit aux policiers de tirer, et qu'ils n'ont pas d armes mais que des cailloux.
Alors quon se rend compte qu'ils se procurent un fusil à pompe, les gars du quartier dans le film
Le meilleur film sur la banlieue
J'adore ce film mais il y'a une énorme erreur dans le film qui ma toujours gêné et que personne n'a semblé répérer depuis toutes ces années. Asterix retire les balles du flingue de Vince, pourtant pendant la scène du skinhead ou même la scène finale tout le monde (les personnages, le film et le réalisateur lui même) semble oublier cet élément, oublier que larme n'a plus de balle dans le barillet ... Aïe
Ce n'est pas forcément une erreur de continuité, ou une erreur tout court!
Il me semble que Vinz retire une balle aussi pendant la scène ou les gars essayent de piquer la bagnole.
Je pense qu'il est pas nécessaire de montrer les personnages recharger l'arme. Ils ont omis de le montrer, mais c'est logique.
De tout façon, Vinz a inspecté le revolver dans la voiture. Si il était vide, il l'aurait chargé.
Mon seul problème avec la scène d'Asterix, c'est qu'on ne sait pas si les deux balles qu'il a pris, ils les as rendus ou pas...
J’avais une analyse différente pour Grundwalski
N'hésite pas à en faire part ! 😉
@@LAnalyse De mémoire Grundwalski raconte que son camarade avait manqué le train justement parce qu'il etait parti chier .Or ce train allait au camp de concentration.C'est donc un renforcement ironique de la demonstration puisque manquer le train a sauvé le camarde de Grundwalski tandis que manquer le train a fait perdre la vie à l'un des personnages.Ma mémoire me trompe peut être.
@@welekid sauf que le camarade est mort gelé dans la toundra siberienne , en allant au goulag (les camps de travail) , car il a trop prété attention aux remarques moqueuses qui ont conduit a sa mort et au fait qu'au lieu de reflechir et faire ce qu'il fallait comme remonter le pantalon, il a continué sur la voie de l'entetement , sans changer sa facon de faire .
C'est encore un avertissement des anciens a ces gars , sur le fait de laisser couler et prendre en main leur destin au lieu de se plaindre et chercher a se venger sans arret.
@@krokrokrokro excellent,merci.
@@LAnalyse selon moi, quand on survie, on vie au jour le jour, on règle donc les problèmes au fil de l’eau sans avoir de plan à long terme. Le type sur le train veut aider son camarade, mais il ne peut pas lui proposer de l’aide car son camarade ne peux pas voir loin devant à cause de ses problèmes quotidien, et donc même quand il essaie, ses problème le rattrape et il tombe.
Comme dans la vie, tu peux proposer à un sdf du travail, mais il sera vite rattrapé par ses problèmes de tout les jours et ton aide est inutile si tu ne le prends pas en charge complètement.
C’est ce que j’ai compris de l’histoire.
Un film superficiel comme son réalisateur.
Exactement. Mais a l'époque, il y a 27 ans, l'impact du film etait enorme, surtout avec ses qualites, et il etait diffuse en classe de secondaire jusqu'au Quebec! Meme moi il m'avait impressionne alors que j'etais quand meme un adulte. Mais il y avait plusieurs choses qui m'avaient pertubees, et sous ces choses j'avais senti l'hideux mensonge, dont le prix monstrueux a maintenant englouti l'Ouest, jusqu'a l'ancien rideau de fer, sous un Tsunami de tatous et d'illettrés... La premiere chose etait l'impolitesse des personnages, sois-disant excusee par les circonstances. Or il n'y a jamais d'excuse pour l'impolitesse. On cherchait a me faire fantasmer sur des personnages incultes, dont le seul bien eleve etait le noir... En realite, Je savais bien, meme a l'époque, que voir ces trois abrutis dans la rue ca veut dire faire demi-tour. Tout ce film derive entierement de la fable Rousseauiste du bon sauvage. L'origine du realisateur est evidente dans la continuite avec Hollywood de culpabiliser les Europeens d'avoir ose creer la civilisation. Oser exiger un comportement civilise: Quel comble d'arrogance, de prejudice et d'exclusion...
C'est-à-dire superficiel ?
@@j_o6106 Blamer la societe parce que des jeunes incultes a bas QI ne peuvent sý adapter?
@@j_o6106 superficiel : adjectif
1. Propre à la surface ; qui n'appartient qu'à la surface.
Les couches superficielles de l'écorce terrestre.
2. au figuré
Qui n'est ni profond ni essentiel.
Une amabilité superficielle.
De rien
@@wrathofatlantis2316 de quoi tu parle
À la fin, c’est un skins qui tue Vins Pas un policier
Absolument pas c'est le gars de la bac Notre Dame, que tu vois plusieurs fois au début du film. Le passage avec le skin c'est avant, il est d'ailleurs joué par Mathieu Kassovitz
First
Big fish ?
J'ai adoré ce film ! J'en ferai clairement une analyse ! 😁
3:26 Spirale descendante mais... jusqu'ici tout va bien !😂😁
Film que je n'ai pas revu depuis des années.
La photographie est superbe presque un film de pub.
Pour moi ce film est loin d'être un chef-d'œuvre .
Je le trouve prétentieux esthétique et Parisienniste.
un espèce de compte à rebours avec des chroniques d'embrouilles.
Je prends infiniment plus de plaisir à regarder un ( raï) Thomas Gilou.
Je vais réécouter ton analyse...
J ai du passer à côté de quelque chose de bien.
Il aurait du faire un film historique prérévolutionnaire. Bizarre.
Merci pour ton travail.
Merci à toi pour ton commentaire ! La réussite du film se trouve, selon moi, dans le maintient de la tension tout au long du film (pas besoin de musique extradiégétique, pas besoin d'effets spéciaux superflus, simplement le passage du temps et un sentiment d'inévitabilité) ainsi que dans la caméra venant appuyer la condition dans laquelle se trouvent les trois protagonistes.
Comparer cette daube de "Raï" à "la Haine", eurk.
c'est pas parisieniste c'est banlieusiste comme film , il montre justement le fossé entre les mecs de banlieues qui se la jouent mais restent au fond du trou , malgré cette apparence de "bonhommes" , et les parisiens huppés qui malgré leur apparence fragile sont les vrais bonhommes car ils se bougent pour avancer.
et Raï c'est vraiment le fond de chiotte mal essuyé apres une gastro carabiné.
@@krokrokrokro "car ils se bougent pour avancer" pardonne moi mais c'est la vie des trois banlieusards qu'on a vu, pas des parisiens donc sa on sait pas.
Bonne analyse mais je trouve ton travail très peu professionel il est rempli de spoil ou autre et il n’y a aucune indication sur ces spoil…
Film des années 90 qui dépeint une certaine réalité de la racaille de l’époque, sauf que dans les cités y a pas de juif depuis tres longtemps et y a plus de blanc depuis facile 20 ans. les flics sont des caricatures d’ultra racistes vicieux limite grotesque. Avec le temps j’estime que le fond et le discours a très mal vieillît. A l’époque y avait pas l’islamisme les wallah le coran les jeunes traînaient entre eux ça se battait pour des quartiers . La génération black blanc beur de ma jeunesse est morte et enterrée. Bienvenue dans les banlieue islamisées ou le rap est devenu un vomi à l’autotune ou les jeunes se shoot au ballons et au sirop pour la toux. Ou les racailles se bagarrent plus mais tabassent des vieilles à 15. Perso Je préférais l’epoque de la haine et j’ai honte d’avoir cru à l’époque qu’un quelconque vivre ensemble était possible et que les méchants c’était des fachos imaginaires, pourtant déjà inexistants à l’époque.
Le film parle de l'engrenage de la haine la haine attire la haine des deux cotés tu dit naimp
Ta même pas regarder le film