Les parents fuit les classes remplies de perturbateurs et de racailles à qui le système public trouve toutes les excuses. Comment ne pas le comprendre ?
@@Cyiel568ce n’est pas ce que vous venez de faire vous-même ? Vous êtes incapable de comprendre cet argument? A la place de l’idéologie, essayez donc la réflexion et l’honnêteté. Vous sortirez vous aussi du niveau pilier de comptoir.
@@gillederoy1402 Parce que ce n'est pas faire justement de l'idéologie de faire une généralisation en disant que les classes sont "remplis" de perturbateurs ? Qui est donc malhonnête ? Qui fait dans l'hyperbole ? Vous n'apportez rien à la problématique. On ne solutionne pas les problèmes que peuvent poser quelques éléments perturbateurs, qui sont minoritaires, à coup de bâton et d'exclusions. Ça n'a jamais marché et ça ne marchera jamais.
Il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes. L'ecole privée est favorisée financièrement par rapport à l'école publique. Les "riches" à l'ecole privée et les "pauvres" à l'école publique ? On tend vers cela malheureusement.
@@pierroh1k Les profs plus faibles dans le public ? La blague ! Ce sont eux qui gèrent les élèves les plus difficiles. Facile d'être "fort" quand tu fais face à des bisounours.
@@pierroh1k La différence entre les deux c'est que dans le privé la hiérarchie soutient mieux les profs et a le pouvoir de renvoyer les élèves, alors que dans le public, la sanction est bien moins forte et se dilue puisque l'élève doit obligatoirement être scolarisé. Un gamin qui capte les rouages du système peut très facilement le pousser à bout avant qu'il ne se passe vraiment quelque chose. C'est beaucoup plus facile d'avoir de l'autorité quand elle est suivie de vraies conséquences. Ce ne sont pas les profs du public qui sont faibles, mais l'institution.
J’ai mis mon enfant dans le privé pour 100 € / mois. Les impôts que je paie et dont une partie va à une éducation publique que je n’utilise pas devraient aider à améliorer les ressources budgétaites de l’école publique , non ?
Débat parigo-parisien et zéro mot sur l'immigration et les enfants qui en sont issus, premier ou au moins deuxième facteur poussant à se tourner vers le privé.
C est pas tant le privé qui gagne la bataille, qu une volonté politique de faire perdre le public. Le financement d organismes privés et/ou religieux par nos impots créé une concurrence asymétrique. Bizarrement ceux qui sont en faveur de ces organismes privés ont des amis/familles à la tête de ces établissements...
C'est la mauvaise question: il y a 30 ans, le probleme etait moins criant, et l ecole publique attirait les CSP + pour des raisons de niveau, d autorite, de presence; aujourd hui, force est de constater que l ecole publique doit se reveiller et se remettre en cause!
Depuis 2008 les profs ont alerté sur cette école à deux vitesses qui allait surgir. Il aura fallu 15 ans aux journalistes pour se saisir du sujet, et encore, parce qu'il y a eu polémique suite à des propos de ministre. C'est étrange comme, en quelques années voire quelques mois tant c'est proche, le débat a changé. Aujourd'hui on parle manque de profs, privé/public, sur tous les plateaux. Il y a à peine 3 ans, on parlait prise d'otage à chaque grève, revendication sur les salaires... Et aucun n'ose dire qu'en écoutant simplement les profs et en tenant compte de leur avis, on aurait pu éviter cela.
Baisse de niveau. Problématique comportementale . Rupture sociale. Etc etc. Le terrain le voit depuis longtemps. Lorsque les gens parlent et qu'ils ont 55 - 60 ou un peu plus bon leur fait comprendre qu'ils sont has beenc est ce qubon à fait avec moi pour qje me taise.
a force de laminer par le bas avec l escuse de l égalité des chances merci la gauche d avoir aidé à détruire l instruction publique l égalité des chances c est l emulation et la competition entre les eleves et aussi d arrêter de devaloriser les metiers manuels
Experience des 2 systèmes avec mes enfants: sur le niveau scolaire aucune différence, médiocre pour les 2. Sauf que la médiocrité est payante dans un cas. Les enseignants sont meilleurs dans le public mais démotivés par une sociologie d'élèves de plus en plus défavorable à un enseignement de qualité. Abandonnons ce critère démagogique de 80% de bacheliers, donnons des vraies perspectives de formation et d'acquisition d'un métier pour ceux qui ne veulent pas arriver au bac, virons les mouches du coche, et nous retrouverons un enseignement de qualité
Chèque éducation pour choisir son établissement Ne soyons pas hypocrites Le privé marche mieux car elle instruit et à une certaine discipline L’école publique doit accepter des perturbateurs . Elle devrait marcher par objectifs avec les parents et mettre en internat ceux qui continuent à saboter les cours
Egalités des chances ? Il y a 40 ans, n'importe qui pouvait aller en classe, suivre des cours sans chahut, passer des examens et être admis en prépa ou école d'ingénieur. Ce n'est plus le cas aujourd'hui ? Pourquoi ?
À cause de la massification voulue par les tenants de l'égalité des chances comme vous, qui ont amené sur les bancs de l'école des jeunes qui n'ont rien à y faire
@@michelginestous4500 Vous dites qu'il n'y a plus d'égalité des chances parce que même les élèves qui n'ont rien à faire à l'école y vont ? Je ne comprends pas. En quoi le nombre fait qu'il est plus difficile maintenant qu'avant d'aller dans une école d'ingénieur pour un élève? Et pourquoi être contre l'égalité des chances ? Tout le monde avait des chances de faire des études d'ingénieurs il y a 40 ans. Aujourd'hui, qu'est-ce qui empêche les jeunes de faire des études ? En quoi l'égalité des chances d'il y a 40 ans a-t-elle changé aujourd'hui ? Qui est favorisé ? Qui est désavantagé ? Tant qu'on travaille, on a les mêmes chances que tout le monde, non ?
@@michelginestous4500si le problème vient du manque d'exigence des lycées publiques, alors le problème vient des parents d'élèves qui veulent des bonnes notes pour leurs enfants même si ces derniers sont médiocres, des profs qui laissent faire par peur ou lâcheté, et du rectorat qui ne supporte pas l'excellence car c'est fasciste. Il suffit donc de rétablir l'exigence dans les lycées publiques et voilà.
@@sergeh.3640il n'y a pas d'égalité des chances et il n'y en aura jamais parce que les enfants de.csp+ sont tout simplement plus doués. Et les enfants doués de familles pauvres ne peuvent pas progresser à cause d'élèves inaptes et/ou perturbateurs qui plombent le niveau. Quant à rétablir l'exigence et l'élitisme, bon courage avec les mammouths laineux de la rue de Grenelle!
Il y a 40 ans le collège unique était encore très récent et il y avait encore des classes de niveau. Et puis la gauche a poussé l'hétérogénéité maximale, et le culte du consumérisme et de la facilité. Tout le monde pouvait tout faire, l'effort et l'excellence sont devenus réac. Sans parler de l'immigration de niveau abyssal qui s'est amplifiée depuis. Le résultat est sous nos yeux.
c'est marrant que la ministre se fasse taper sur les doigts qd elle dit qu'elle a mis ses enfants dans le privé à cause des grèves... Alors que les vraies raisons sont une volonté d''entresoi et ne pas être mélangé avec les populations à problèmes. Mais bon ça ne se dit pas...
Elle se fait taper sur les doigts car un démenti a été opposé à son affirmation : il n'y a apparemment pas eu de grève lorsque son enfant est resté 6 mois dans le public, seulement une absence de trois jours et les élèves avaient été mis sous la responsabilité d'un autre professeur. En réalité, elle voulait faire sauter une classe à son fils qui avait déjà été accepté avant l'âge légal et l'école s'y était opposé. En outre, elle a mis ses trois enfants dans une école privée religieuse très rigoriste contre laquelle est menée une enquête pour homophobie, sexisme et harcèlement sexuel. Les deux premiers griefs sont déjà avérés car il y a eu des fuites avant le compte rendu d'enquête. Enfin, c'est elle qui est maintenant en charge du dossier de cette enquête et cela crée un conflit d'intérêt.
Il ne faut pas mesurer les inégalités au sein du système scolaire uniquement à l'aide de la répartition des élèves entre établissement public et établissement privé. Il faut plutôt regarder le taux de réussite aux examens et de mentions dans ces deux types d'établissement et enfin tenir compte aussi de la qualité des établissements publics en fonction de leur situation géographique. On sait très bien que les lycées réputés et sélectifs se trouvent dans les grandes villes, les campagnes étant totalement abandonnées ; mais aussi que dans les grandes villes, les meilleurs établissements sont dans les quartiers chics où l'immobilier est très cher. Ainsi, que les gens riches mettent ou non leurs enfants dans le privé, ils restent les plus favorisés au regard de l'offre d'enseignement et de sa qualité. Personne ne s'y trompe. En France, tu nais pauvre, tu resteras pauvre quels que soient les efforts que tu fourniras par ailleurs ou les études que tu te donneras la peine de faire !!!
La dernière affirmation est fausse, il est possible de changer de strates sociales lorsqu’on est pauvre, mais cela nécessite d’avoir un parcours réfléchi.
Vous inversez la causalité. C'est en grande partie parce que les enfants de cadres, de professions libérales et d'enseignants sont de bons éléments à la base que les établissements qu'ils fréquentent sont bons, beaucoup plus que le contraire.
@@michelginestous4500 Je serais d'accord avec vous mais pour pouvoir vraiment savoir d'ou vient la causalité il serait nécessaire de remonter a la création des dits etablissements privés. Actuellement il y a une dynamique qui est deja en place depuis longtemps et les nouveaux venus dans ces etablissements ne font que s'inscrire dans cette dynamique historique.
@@xxd3m0nk1ds mettez des cas sociaux de ZEP dans les meilleurs lycées parisiens et vous briserez cette dynamique en deux semaines xD On sait d'où vient la causalité. Regardez quelques vidéos sur le QI, récemment il y a eu un livre de Robert Plomin et il a fait plein de vidéos Yt (en anglais). Pour 95% des élèves, l'établissement fréquenté n'a pratiquement aucun effet sur la réussite. Il y a juste des enfants doués et d'autres qui ne le sont pas.
On dirait une présentation faite au Québec... le débat est le même, le discours est identique et la polarisation autour des subventions également... et tout cela se passe simultanément ici au Québec et chez vous en France. Il n'y a donc aucun moyen de miser sur l'expérience de l'autre pays pour trouver des solutions! Très intéressant... c'est la convergence autour de la divergence privé VS public!
La difference entre l ecole publique est l ecole privée n est pas.causee par un manque de moyens mais par une différence de.mentalite l ecole privee privilégie les élèves l ecole publique privilégie le moins d implication possible de la part des enseignants on oublie que beaucoup d argent est gaspillé tous les ans dans l enseignement public travaux realises dans des classesqui sont fermees2 ans apres leur ouverture entre autre la gestion est mieux effectuee dans le prive
La logique voudrait que le privé sous contrat et le public soient gérés avec les mêmes règles ce qui autoriserait une concurrence loyale. Pour cela, on pourrait : - Mettre en place le "chèque éducation" qui financerait avec le même montant l'année élève des deux types d'établissement dans sa globalité (du salaire du professeur à la cantine en passant par les bâtiments ou le CPE). Ce serait l'occasion de décentraliser vraiment et complétement l'éducation nationale et au passage de débureaucratiser ce ministère qui, à l'instar de la santé, comporte une surcouche administrative très excessive. Ce serait aussi l'occasion de mieux compenser la perte de la taxe d'habitation dans les recettes des collectivités locales. - Dans les deux écoles il y aurait obligation de respecter un programme et obligation d'accueillir tous les élèves qui se présentent. Mais dans les deux cas, il y aurait liberté pédagogique totale (avec possibilité de faire ou non des groupes de niveau par exemple). Je pense que la mise en place de groupes de niveau est de nature à limiter l'évitement vers le privé (dans le cas où l'enfant est un bon élève). Mais ce qui est important, c'est de permettre de rétablir la discipline, condition de réussite de l'enseignement. On doit pouvoir exclure un élève perturbateur et on doit protéger les enseignants parfois contre les parents. Il faut enfin créer dans tous les départements des établissements spécialisés accueillant les élèves les plus violents.
Aujourd'hui, mettre son enfant dans le privé, c'est espérer plus d'ordre, plus de respect envers les professeurs, plus d'autorité de l'école et donc éviter que des parents viennent pourrir l'école pour un ci ou un ça. En tant que parent, ce qui est souhaité pour son enfant, c'est un cadre où son enfant pourra apprendre à vivre en société, acquérir les connaissances de base pour se construire, et notamment devenir un citoyen émancipé.
l intervenant se trompe : ce n'est pas une subvention à l'enseignment privé... Le budget de l'EN est toujours financé par les contribuables/parents qui peuvent choisir entre 2 filières d'éducation, financées toutes les 2 par leurs impôts : - le public où les profs étaient souvent communistes, et maintenant sont en majorité des NUPES wokes sociétaux ( voir les résultats des élections professionnelles et leurs syndicats ) - le privé ... qui a échappé à ces dérives D ailleurs, si le privé n'existait plus demain, le public serait bien incapable de scolariser ces éléves... faute de locaux.
@@rntablette9388 C'était vrai, il y a encore une quinzaine d'années. C'est très différent désormais. L'effet du réel, sans doute ... D'ailleurs, de par mon expérience dans ce milieu, j'ai remarqué que les plus à gauche sont souvent les plus âgés. Les plus jeunes, qui ont souvent atterri là par défaut, savent à quoi s'en tenir, et déblatèrent beaucoup moins d'inepties gauchisantes que leurs ainés.
@@gotenks6113 regardez les textes étudiés dans le public en cours d anglais de 2e 1e et Terminale : la pollution, l esclavage, les native americans, Black Live Matters, LGBTQ genré he/she/they ... et on reprend une autre séquence sur un de ces 5 sujets . Des textes sur la libération de la France le 6-6-1944 ? comment des méchants mâles blancs américains pourraient faire quelque chose de biens pour notre liberté ? Shakespeare ? non, trop culturel bourgeois ... L abolition de l esclavage des africains EN afrique et au Magreb grâce à la colonisation ? non, contraire à la propagande Taubira.. La guerre froide et la protection de l Europe contre l URSS ? La guerre d' indochine et du Vietnam qui se termine par Pol-Pot et les boat people ? non, on s arrête à US-GO-HOME ... Des textes sur la démographie ? non, il ne faut pas perturber ces têtes blondes ( qui votent pour certains ) avec la réalité du monde Le vote VOICE en Ausralie, oú la propagande woke a convaincu les électeurs de voter contre ? des textes sur la démocratie en Angleterre ? non, le peuple vote mal quand il vote pour le Brexit ... Le choix des sujets EST un endoctrinement permanent
@@julienguillaume9008 @rntablette9388 J'imagine que cela dépend vraiment des établissements. Les profs du privé sont sont sans doute plus à droite aujourd'hui (ce n'était pas le cas lorsque j'étais moi même lycéenne dans le privé catho...) Je suis prof depuis 20 ans à Paris et banlieue. Je suis passée par environ 15 établissements publics. 90% de bons gauchistes pro immigration alors même que nos élèves issus de l'immigration nous pourrissent la vie (bcp de profs sont en dissonance cognitive / déni de la réalité... je pense en effet que le gauchisme est une maladie mentale !). En salle des profs, on sent bien la haine de certains profs âgés pour les bourgeois / personnes qui réussissent. On sent la mentalité coco. Dès qu'il y a une sortie ciné, c'est pour voir un film lgbt... Les profs sont tous mondialistes, BLM, haine des blancs. En revanche, les profs N ou A sont moins dans le délire lgbt. Le programme national est déjà très woke... alors si en plus les profs eux mêmes le sont...
Je ne viens pas d'une famille avec de l'argent. Famille monoparentale, bourse.... Mais pour ma mère l'école privée était un sacrifice nécessaire parce qu'elle voulait de la sécurité, une éducation qui n'est pas dérangée par les grèves, un programme qui est terminé en fin d'année et des classes en bon état, beaucoup de livre et de ressources au CDI et des activités organisées par l'école. Effectivement en école privé c'était 8h - 17h tu ne sortais que pour aller déjeuner. Pour ma mère c'était rassurant d'aller au travail et de savoir que ton enfant n'est pas en train de sécher les cours avec on ne sait qui. Les règles étaient strictes, "oui monsieur, oui madame", quand les notes chutent le prof principal convoque les parents, la remise des bulletins est un événement on devait se lever quand le directeur nous appellait et il parlait de notre travail devant tout le monde et il y avait le classement. De la pression mais à côté les profs sont remplacés en cas d'absence et pas d'absentéisme pour les élèves. Je peux pas rediscuter le choix de ma mère du privé, c'est vrai que tu te retrouves avec des gens qui sont aisés et toi tu as une vie très différente mais à côté ça m'a donné de bonnes bases, j'a jmais manqué de jours de fac ou de travail, la préparation que je dois faire avant d'aller au travail et toujours faite. Je pense que j'avais de bonnes bases pour entrer dans le supérieur aussi.
je viens de quitter le navire. Le sinistre de l education est complet entre les collegues qui se sont resignes et les confortes dans leur privilege il reste quelques volontaires. J etais dans le milieu professionnel nous n avons meme pas un moteur qui fonctionne mais ils viennent de remplacer le simulateur qui fonctionnait tres bien pour un autre...j ai retrouve plus de 3000 e d automates qui dormaient dans une armoire un prof les a achete mais n a jamais reussi a s en servir et ce parceque les ports usb sont bloques. J ai demander des pc mais je les attends encore J etais oblige de ramener du materiel perso. Mes collegues voient des pannes quand ils y a juste un disjoncteur a rearmer ou une temperature a regler sur un regulateur. C est une catastrophe
Le nivellement par le bas des établissements publiques fait que les établissements privés, qui ont juste gardé leurs niveaux, fait qu'on aura bien de meilleur résultats
Quand on sait que les enseignants du privé passent le même concours que ceux du public, c’est risible cette différenciation… et que des inspecteurs se permettent de demander à des enseignants du privé de revoir des copies sous prétexte que la note n’est pas assez élevée, ne croyez pas ce qu’on essaie de vous vendre…
Mais les enseignants du public sont absents plus souvent que ceux du privé... et quand les parents en ont les moyens ils choisissent l'environnement privé !!
Si les profs du public (avec eux le rectorat) rétablissent les critères d'exigences d'il y a 40 ans, alors les lycées publiques seront aussi bons que les lycées privés, comme il y a 40 ans (d'ailleurs à cette époque, on envoyait dans le privé ceux qui ne suivaient pas dans le public, mais pas seulement je vous l'accorde).
En fait c'est plutôt simple, depuis les années 90 on fait des économies sur les familles... L'éducation en première ligne, on a simplement arrêté de rémunérer correctement les enseignants la suite on la connaît... Puis on a enquillé les réformes d'allègement des programmes pour compenser le recrutements dégradé... la spirale infernale est inarrêtable... Pour les absences dans le privé... De mon temps que les moins de 20 ans... il n'y avait pas de remplacement mais des heures obligatoires de permanence pour les journées pour les absences sur plusieurs jours je n'ai pas connu
Tout est dit en ce qui concerne l'eterogeneite sociale et culturelle des classes d'enfants. On ne peut pas en vouloir aux enseignants débordés par une multitude de problèmes à résoudre qui dépassent leur formation et les familles concernées par l'éducation et l'instruction de leurs enfants se tournent vers l'école privée.
Dans le privé les professeurs respectent les eleves et les élèves respectent les professeurs on ne se tutoie pas entre eleves et professeurs cela inspire le respect et reciproquemententre les uns et les autres
J'habite dans une commune balnéaire favorisée près d'une ville de taille moyenne. Le collège de ma commune est un collège sans gros problèmes, à 800 mètres de la maison. Toutefois, l'une des raisons qui pourrait pencher la balance vers le collège privé à 20km c'est l'absence régulière perlée des enseignants. Chaque semaine il y en a au moins un qui n'est pas là. Un enseignant travaille depuis plusieurs années à mi-temps annualisé. Concrètement, il fait comme s'il travaillait à temps plein de septembre aux vacances Noël et ensuite, il s'en va dans les îles pour 6 mois. En 2023, les enfants n'ont pas eu de cours pour sa matière pour le restant de l'année. Cette année ça recommence. Soit disant faute de remplaçant. C'est surtout faute de fermeté pour ne pas accorder de pareils emplois du temps pour convenance.
Le privé a toujours gagné la bataille de l'éducation, c'est pour ça que beaucoup de parents ont préféré nous mettre dans ce type d'établissement. Jamais d'absence ou très rarement, quoi qu'il en soit les cours ont toujours été remplacés par d'autres. JAMAIS de grève. Professeurs excellents et ça se voit à travers l'instruction et la discipline qu'ils nous inculquent. Pas de racaille ou de perturbateur, de tout de manière ce genre d'élève ne faisait pas long feu. Ça ne date pas d'hier, et ça continuera. Le public a toujours perdu et perdra toujours face au privé, excepté des lycées comme Henry IV, Louis Le Grand, Monet etc. , qui se doivent de rester des publics afin que les meilleurs même venant de quartiers défavorisés puissent y accéder. Mais soyons honnête, tout le monde n'a pas le potentiel pour entrer dans ce genre de lycée, surtout qu'ils virent tous ceux qui pourraient potentiellement foirer leurs pourcentage au BAC.
Manque de moyen, devinette combien d'enfants par classe aujourd'hui? Je suis intervenu dans un lycee de la region parisienne -> 37 élèves par classes...
En lycée dans les années 90, nous étions 38 par classe, et on entendait les mouches voler. Le problème, ce sont les élèves qui sont aujourd'hui mal élevés, individualistes et paresseux...
@@gillederoy1402 ""Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l'autorité et n'ont aucun respect pour l'âge."" aristote 322 avant JC. Vous avez du oublier d'évoluer depuis 2000 ans.
@@lannesromain1453 vous avez dû oublier qu’entre temps il y a eu les écrans, les jeux vidéos, les portables et des tests de capacités cognitives menés sur plusieurs générations. Je ne parle pas de morale ou de social mais de dégénérescence intellectuelle liée au physique. Elle ne concerne pas tous les jeunes bien sûr mais si vous n’êtes pas au courant des effets délétères de ces technologies demander donc des conseils aux ingénieurs de la Silicon Valley qui écartent leurs enfants de tout écran avant leur 12 ans…
J’ai justement mis mes enfants dans le privé à Paris à cause de Affelnet qui ne permet plus aux excellents élèves non boursiers d’aller dans les excellents lycées publics
Par ailleurs, des parents ont changé leurs enfants du public vers le privé dès l’école primaire pour s’assurer des places de plus en plus durs à obtenir et s’accentuant avec la réforme Affelnet de 2021
@@antonin1477 Dans l’ancien système les excellents boursiers auraient été pris dans les excellents lycées publics de toute façon si leurs notes au collège étaient à la hauteur (mon propre exemple et d’autres que je connais), dans une proportion moindre certes mais au moins le niveau restait élevé dans plusieurs lycées publics (ce qui sera de moins en moins le cas, Affelnet accentue cette tendance)
Affelnet est une application nationale et non pas parisienne. Les journalistes et les politiques ont tendance à penser que la société française commence et s'arrête à la capitale.
Autonomie de tous les établissements, fin du statut fonctionnaire de tous les professeurs et nous aurons d’excellents résultats à PISA et il y aura une véritable égalité, comme avant. Les mauvaises écoles avec leurs mauvais profs laisseront la place aux bons! Pas besoin de moyens, juste du courage!
Et concernant la possibilité de « charter school »? Des écoles avec grande autonomie de l’équipe dirigeante, toujours considérée comme publique et qui viserait un public plus défavorisé? Avec une équipe enseignante qui pourrait mettre en place les outils nécessaires à la réussite des élèves.
Il y a une majorité d ecoles privees en.bretagne. dans les grandes villes la proximité de cités aussi ne donne pas envie de laisser les enfants au college public...au fait messieurs de France Inter oû sont scolarisés vos enfants? Je connais des profs du public et directeurs qui ont mis leur momes dans le privé. Dzns le privé catholique il existe un cadre educatif de respect qui.est aussi une aide dans l education d ados
Et alors mes trois enfants sont allés dans le privé à partir de 1986 bon suivi Belle transmission ensuite ce sont Mes petits fils l un deux a rejoint le publique catastrophe une de mes petites filles a rejoint le lycée publique En 2023 seconde nous verrons
Pourquoi poser cette question si à l'heure actuelle, une personne qui enseigne dans le public doit aussi enseigner dans le privé et dans les associations hors temps scolaire pour pouvoir vivre de son métier ?
Il n y a quasiment plus de redoublement , il faudrait actualiser ses connaissances pour l universitaire de Montpellier Quant a la gestion de l heterogeneite il faudrait aussi qu elle se renseigne sur le nombre d eleves par classes en Europe La France ayant le ratio le plus eleve.....
Et si la hiérarchie de l’éducation nationale était rémunéré en fonction du classement Pisa?🤔 Et si les enseignants étaient payés en fonction des résultats de leurs élèves?🤔
@@rahotep8094 c’est vrai, les profs les plus diplômés et(ou) avec le plus d’expérience ne veulent pas aller dans ces zones!🤔🤫 C’est là preuve que ces zones ne sont pas du tout prioritaires pour l’éducation nationale!🫣🤥🫡
Que dire des élèves qui protestent parce que l'enseignante, en conformité avec les directives, illustre son cours de français par des tableaux de la Renaissance montrant des jeunes femmes peu vêtues ? (Actéon rencontre Diane au bain).?. C'est notre culture, c' est une réalité, les élèves et leurs familles ne doivent pas intervenir.
Il est reconnu par les classes privilégiées, .... Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais . Si éloigné de l'esprit du général de Gaulle et son ascenseur social a travers l'instruction
L'enseignement privé l'emportera toujours devant l'enseignement public tant que ne sera pas remis en place une carence de 3 jours non payés en cas d'absence pour "petits bobos"... L'absentéisme dans l'enseignement public est le principal problème...
Encore une fois l’Etat donne de l’argent public au privé sans réelle contrepartie… on voit l’exemple espagnol où les établissements privés sous contrat n’ont pas la main sur leur recrutement, c’est la contrepartie.
@@oliviertroubadour7543Pour les gauchiste, y a ceux qui payent et ceux qui palpent(eux). Toi, tu dois payer sans jamais avoir de retour de tes impôts.
@@06250chrisje serais encore plus catégorique. Il ne devrait avoir qu une seule et même école. Ça évitera les écoles religieuses qui endocrine les gosses.
vous croyez vraiment qu'ils n'y a que les gens du privé (20% des gens en france) qui paient des impôts ? les 80 % restant vivent des aides selon vous ?@@06250chris
@@miko57916 aucune raison à ça. Les citoyens contribuent tous au service public puis peuvent préférer un service privé s'il le souhaite. C'est comme ça pour le transport, ça devrait être pareil pour l'instruction D'ailleurs même les élèves passés par le privé profitent de vivre dans un pays instruit.
L’école n’est pas le transport , car elle va au-delà de sa mission qui est d’instruire et non pas de servir une idéologie politique ( wokisme , inclusion diversité… ) que je ne partage pas. Dans ces conditions que l’Etat paie le salaire des enseignants du privé est une compensation aux impôts que je paie .
Les parents fuit les classes remplies de perturbateurs et de racailles à qui le système public trouve toutes les excuses. Comment ne pas le comprendre ?
Oui
C'est beau de faire des généralisations digne d'un pilier de comptoir.
@@Cyiel568ce n’est pas ce que vous venez de faire vous-même ? Vous êtes incapable de comprendre cet argument? A la place de l’idéologie, essayez donc la réflexion et l’honnêteté. Vous sortirez vous aussi du niveau pilier de comptoir.
@@gillederoy1402 Parce que ce n'est pas faire justement de l'idéologie de faire une généralisation en disant que les classes sont "remplis" de perturbateurs ? Qui est donc malhonnête ? Qui fait dans l'hyperbole ? Vous n'apportez rien à la problématique. On ne solutionne pas les problèmes que peuvent poser quelques éléments perturbateurs, qui sont minoritaires, à coup de bâton et d'exclusions. Ça n'a jamais marché et ça ne marchera jamais.
@@Cyiel568 certaines le sont c tout, réveillez vous.
Il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes. L'ecole privée est favorisée financièrement par rapport à l'école publique. Les "riches" à l'ecole privée et les "pauvres" à l'école publique ? On tend vers cela malheureusement.
@@pierroh1k Les profs plus faibles dans le public ? La blague ! Ce sont eux qui gèrent les élèves les plus difficiles. Facile d'être "fort" quand tu fais face à des bisounours.
Non pas forcément… pleins d’école privé catho coûtent 100€-200€ l’année
@@pierroh1k La différence entre les deux c'est que dans le privé la hiérarchie soutient mieux les profs et a le pouvoir de renvoyer les élèves, alors que dans le public, la sanction est bien moins forte et se dilue puisque l'élève doit obligatoirement être scolarisé. Un gamin qui capte les rouages du système peut très facilement le pousser à bout avant qu'il ne se passe vraiment quelque chose.
C'est beaucoup plus facile d'avoir de l'autorité quand elle est suivie de vraies conséquences. Ce ne sont pas les profs du public qui sont faibles, mais l'institution.
J’ai mis mon enfant dans le privé pour 100 € / mois.
Les impôts que je paie et dont une partie va à une éducation publique que je n’utilise pas devraient aider à améliorer les ressources budgétaites de l’école publique , non ?
@@miko57916 Les impôts que tout le monde paye servent aussi a rémunérer les enseignants du privé sous contrat.
L'ecole publique, comme la France et l'Europe agonise. 😊
Débat parigo-parisien et zéro mot sur l'immigration et les enfants qui en sont issus, premier ou au moins deuxième facteur poussant à se tourner vers le privé.
C est pas tant le privé qui gagne la bataille, qu une volonté politique de faire perdre le public.
Le financement d organismes privés et/ou religieux par nos impots créé une concurrence asymétrique.
Bizarrement ceux qui sont en faveur de ces organismes privés ont des amis/familles à la tête de ces établissements...
C est surtout la qualité de l enseignement privé qui attire les familles qui veulent donner plus de chances de reussir à leurs enfants
@@marie-francemartin3357 arrêtons les financements publics de ces institutions religieuses privées et on en reparlera de la "qualité" 😅
C'est la mauvaise question: il y a 30 ans, le probleme etait moins criant, et l ecole publique attirait les CSP + pour des raisons de niveau, d autorite, de presence; aujourd hui, force est de constater que l ecole publique doit se reveiller et se remettre en cause!
Le séparatisme à l'oeuvre. Séparatisme de classe.
Le séparatisme existe déjà déjà le public car défini par la carte scolaire. Dans le privé les parents plus modestes tentent de la déjouer.
Depuis 2008 les profs ont alerté sur cette école à deux vitesses qui allait surgir. Il aura fallu 15 ans aux journalistes pour se saisir du sujet, et encore, parce qu'il y a eu polémique suite à des propos de ministre. C'est étrange comme, en quelques années voire quelques mois tant c'est proche, le débat a changé. Aujourd'hui on parle manque de profs, privé/public, sur tous les plateaux. Il y a à peine 3 ans, on parlait prise d'otage à chaque grève, revendication sur les salaires...
Et aucun n'ose dire qu'en écoutant simplement les profs et en tenant compte de leur avis, on aurait pu éviter cela.
Baisse de niveau. Problématique comportementale . Rupture sociale. Etc etc. Le terrain le voit depuis longtemps. Lorsque les gens parlent et qu'ils ont 55 - 60 ou un peu plus bon leur fait comprendre qu'ils sont has beenc est ce qubon à fait avec moi pour qje me taise.
a force de laminer par le bas avec l escuse de l égalité des chances merci la gauche d avoir aidé à détruire l instruction publique l égalité des chances c est l emulation et la competition entre les eleves et aussi d arrêter de devaloriser les metiers manuels
Experience des 2 systèmes avec mes enfants: sur le niveau scolaire aucune différence, médiocre pour les 2. Sauf que la médiocrité est payante dans un cas. Les enseignants sont meilleurs dans le public mais démotivés par une sociologie d'élèves de plus en plus défavorable à un enseignement de qualité. Abandonnons ce critère démagogique de 80% de bacheliers, donnons des vraies perspectives de formation et d'acquisition d'un métier pour ceux qui ne veulent pas arriver au bac, virons les mouches du coche, et nous retrouverons un enseignement de qualité
Chèque éducation pour choisir son établissement
Ne soyons pas hypocrites
Le privé marche mieux car elle instruit et à une certaine discipline
L’école publique doit accepter des perturbateurs .
Elle devrait marcher par objectifs avec les parents et mettre en internat ceux qui continuent à saboter les cours
Egalités des chances ? Il y a 40 ans, n'importe qui pouvait aller en classe, suivre des cours sans chahut, passer des examens et être admis en prépa ou école d'ingénieur. Ce n'est plus le cas aujourd'hui ? Pourquoi ?
À cause de la massification voulue par les tenants de l'égalité des chances comme vous, qui ont amené sur les bancs de l'école des jeunes qui n'ont rien à y faire
@@michelginestous4500 Vous dites qu'il n'y a plus d'égalité des chances parce que même les élèves qui n'ont rien à faire à l'école y vont ? Je ne comprends pas. En quoi le nombre fait qu'il est plus difficile maintenant qu'avant d'aller dans une école d'ingénieur pour un élève?
Et pourquoi être contre l'égalité des chances ? Tout le monde avait des chances de faire des études d'ingénieurs il y a 40 ans. Aujourd'hui, qu'est-ce qui empêche les jeunes de faire des études ? En quoi l'égalité des chances d'il y a 40 ans a-t-elle changé aujourd'hui ? Qui est favorisé ? Qui est désavantagé ? Tant qu'on travaille, on a les mêmes chances que tout le monde, non ?
@@michelginestous4500si le problème vient du manque d'exigence des lycées publiques, alors le problème vient des parents d'élèves qui veulent des bonnes notes pour leurs enfants même si ces derniers sont médiocres, des profs qui laissent faire par peur ou lâcheté, et du rectorat qui ne supporte pas l'excellence car c'est fasciste. Il suffit donc de rétablir l'exigence dans les lycées publiques et voilà.
@@sergeh.3640il n'y a pas d'égalité des chances et il n'y en aura jamais parce que les enfants de.csp+ sont tout simplement plus doués. Et les enfants doués de familles pauvres ne peuvent pas progresser à cause d'élèves inaptes et/ou perturbateurs qui plombent le niveau. Quant à rétablir l'exigence et l'élitisme, bon courage avec les mammouths laineux de la rue de Grenelle!
Il y a 40 ans le collège unique était encore très récent et il y avait encore des classes de niveau. Et puis la gauche a poussé l'hétérogénéité maximale, et le culte du consumérisme et de la facilité. Tout le monde pouvait tout faire, l'effort et l'excellence sont devenus réac. Sans parler de l'immigration de niveau abyssal qui s'est amplifiée depuis. Le résultat est sous nos yeux.
c'est marrant que la ministre se fasse taper sur les doigts qd elle dit qu'elle a mis ses enfants dans le privé à cause des grèves...
Alors que les vraies raisons sont une volonté d''entresoi et ne pas être mélangé avec les populations à problèmes. Mais bon ça ne se dit pas...
Elle habite dans le sixième arrondissement de Paris, je doute qu'il y ait beaucoup d' enfants à problèmes..
C'est ça, c'est toujours la faute des profs, pas du tout des conditions de travail, du salaire et de l'augmentation du nombre d'élèves par classe.
Elle se fait taper sur les doigts car un démenti a été opposé à son affirmation : il n'y a apparemment pas eu de grève lorsque son enfant est resté 6 mois dans le public, seulement une absence de trois jours et les élèves avaient été mis sous la responsabilité d'un autre professeur. En réalité, elle voulait faire sauter une classe à son fils qui avait déjà été accepté avant l'âge légal et l'école s'y était opposé. En outre, elle a mis ses trois enfants dans une école privée religieuse très rigoriste contre laquelle est menée une enquête pour homophobie, sexisme et harcèlement sexuel. Les deux premiers griefs sont déjà avérés car il y a eu des fuites avant le compte rendu d'enquête.
Enfin, c'est elle qui est maintenant en charge du dossier de cette enquête et cela crée un conflit d'intérêt.
@@matthieulamiable4757 Le plus grave dans l' histoire, c'est le conflit d' intérêts..
@@jardiecolotu peux préciser
Il ne faut pas mesurer les inégalités au sein du système scolaire uniquement à l'aide de la répartition des élèves entre établissement public et établissement privé. Il faut plutôt regarder le taux de réussite aux examens et de mentions dans ces deux types d'établissement et enfin tenir compte aussi de la qualité des établissements publics en fonction de leur situation géographique. On sait très bien que les lycées réputés et sélectifs se trouvent dans les grandes villes, les campagnes étant totalement abandonnées ; mais aussi que dans les grandes villes, les meilleurs établissements sont dans les quartiers chics où l'immobilier est très cher. Ainsi, que les gens riches mettent ou non leurs enfants dans le privé, ils restent les plus favorisés au regard de l'offre d'enseignement et de sa qualité. Personne ne s'y trompe. En France, tu nais pauvre, tu resteras pauvre quels que soient les efforts que tu fourniras par ailleurs ou les études que tu te donneras la peine de faire !!!
La dernière affirmation est fausse, il est possible de changer de strates sociales lorsqu’on est pauvre, mais cela nécessite d’avoir un parcours réfléchi.
Vous inversez la causalité. C'est en grande partie parce que les enfants de cadres, de professions libérales et d'enseignants sont de bons éléments à la base que les établissements qu'ils fréquentent sont bons, beaucoup plus que le contraire.
@@michelginestous4500 Je serais d'accord avec vous mais pour pouvoir vraiment savoir d'ou vient la causalité il serait nécessaire de remonter a la création des dits etablissements privés. Actuellement il y a une dynamique qui est deja en place depuis longtemps et les nouveaux venus dans ces etablissements ne font que s'inscrire dans cette dynamique historique.
Que l’application des idées de la gauche française mène à l’inverse des idéaux de la gauche est effectivement une réalité
@@xxd3m0nk1ds mettez des cas sociaux de ZEP dans les meilleurs lycées parisiens et vous briserez cette dynamique en deux semaines xD On sait d'où vient la causalité. Regardez quelques vidéos sur le QI, récemment il y a eu un livre de Robert Plomin et il a fait plein de vidéos Yt (en anglais). Pour 95% des élèves, l'établissement fréquenté n'a pratiquement aucun effet sur la réussite. Il y a juste des enfants doués et d'autres qui ne le sont pas.
On dirait une présentation faite au Québec... le débat est le même, le discours est identique et la polarisation autour des subventions également... et tout cela se passe simultanément ici au Québec et chez vous en France. Il n'y a donc aucun moyen de miser sur l'expérience de l'autre pays pour trouver des solutions! Très intéressant... c'est la convergence autour de la divergence privé VS public!
La difference entre l ecole publique est l ecole privée n est pas.causee par un manque de moyens mais par une différence de.mentalite l ecole privee privilégie les élèves l ecole publique privilégie le moins d implication possible de la part des enseignants on oublie que beaucoup d argent est gaspillé tous les ans dans l enseignement public travaux realises dans des classesqui sont fermees2 ans apres leur ouverture entre autre la gestion est mieux effectuee dans le prive
La logique voudrait que le privé sous contrat et le public soient gérés avec les mêmes règles ce qui autoriserait une concurrence loyale. Pour cela, on pourrait :
- Mettre en place le "chèque éducation" qui financerait avec le même montant l'année élève des deux types d'établissement dans sa globalité (du salaire du professeur à la cantine en passant par les bâtiments ou le CPE). Ce serait l'occasion de décentraliser vraiment et complétement l'éducation nationale et au passage de débureaucratiser ce ministère qui, à l'instar de la santé, comporte une surcouche administrative très excessive. Ce serait aussi l'occasion de mieux compenser la perte de la taxe d'habitation dans les recettes des collectivités locales.
- Dans les deux écoles il y aurait obligation de respecter un programme et obligation d'accueillir tous les élèves qui se présentent. Mais dans les deux cas, il y aurait liberté pédagogique totale (avec possibilité de faire ou non des groupes de niveau par exemple).
Je pense que la mise en place de groupes de niveau est de nature à limiter l'évitement vers le privé (dans le cas où l'enfant est un bon élève).
Mais ce qui est important, c'est de permettre de rétablir la discipline, condition de réussite de l'enseignement. On doit pouvoir exclure un élève perturbateur et on doit protéger les enseignants parfois contre les parents. Il faut enfin créer dans tous les départements des établissements spécialisés accueillant les élèves les plus violents.
Je partage votre opinion !
@@CG-li3gzla liberté avant tout
La réalité est tout autre malheureusement
Aujourd'hui, mettre son enfant dans le privé, c'est espérer plus d'ordre, plus de respect envers les professeurs, plus d'autorité de l'école et donc éviter que des parents viennent pourrir l'école pour un ci ou un ça. En tant que parent, ce qui est souhaité pour son enfant, c'est un cadre où son enfant pourra apprendre à vivre en société, acquérir les connaissances de base pour se construire, et notamment devenir un citoyen émancipé.
l intervenant se trompe : ce n'est pas une subvention à l'enseignment privé...
Le budget de l'EN est toujours financé par les contribuables/parents qui peuvent choisir entre 2 filières d'éducation, financées toutes les 2 par leurs impôts :
- le public où les profs étaient souvent communistes, et maintenant sont en majorité des NUPES wokes sociétaux ( voir les résultats des élections professionnelles et leurs syndicats )
- le privé ... qui a échappé à ces dérives
D ailleurs, si le privé n'existait plus demain, le public serait bien incapable de scolariser ces éléves... faute de locaux.
Mdr… vous n’êtes jamais allés dans une salle des profs… les profs sont beaucoup plus réactionnaires que vous le pensez.
@@julienguillaume9008 alors pourquoi votent ils en majorité pour des syndicats NUPES et wokes ? ... cherchez l erreur ...
@@rntablette9388 C'était vrai, il y a encore une quinzaine d'années. C'est très différent désormais.
L'effet du réel, sans doute ...
D'ailleurs, de par mon expérience dans ce milieu, j'ai remarqué que les plus à gauche sont souvent les plus âgés. Les plus jeunes, qui ont souvent atterri là par défaut, savent à quoi s'en tenir, et déblatèrent beaucoup moins d'inepties gauchisantes que leurs ainés.
@@gotenks6113 regardez les textes étudiés dans le public en cours d anglais de 2e 1e et Terminale : la pollution, l esclavage, les native americans, Black Live Matters, LGBTQ genré he/she/they ... et on reprend une autre séquence sur un de ces 5 sujets .
Des textes sur la libération de la France le 6-6-1944 ? comment des méchants mâles blancs américains pourraient faire quelque chose de biens pour notre liberté ? Shakespeare ? non, trop culturel bourgeois ... L abolition de l esclavage des africains EN afrique et au Magreb grâce à la colonisation ? non, contraire à la propagande Taubira.. La guerre froide et la protection de l Europe contre l URSS ? La guerre d' indochine et du Vietnam qui se termine par Pol-Pot et les boat people ? non, on s arrête à US-GO-HOME ... Des textes sur la démographie ? non, il ne faut pas perturber ces têtes blondes ( qui votent pour certains ) avec la réalité du monde
Le vote VOICE en Ausralie, oú la propagande woke a convaincu les électeurs de voter contre ? des textes sur la démocratie en Angleterre ? non, le peuple vote mal quand il vote pour le Brexit ...
Le choix des sujets EST un endoctrinement permanent
@@julienguillaume9008 @rntablette9388
J'imagine que cela dépend vraiment des établissements. Les profs du privé sont sont sans doute plus à droite aujourd'hui (ce n'était pas le cas lorsque j'étais moi même lycéenne dans le privé catho...)
Je suis prof depuis 20 ans à Paris et banlieue. Je suis passée par environ 15 établissements publics.
90% de bons gauchistes pro immigration alors même que nos élèves issus de l'immigration nous pourrissent la vie (bcp de profs sont en dissonance cognitive / déni de la réalité... je pense en effet que le gauchisme est une maladie mentale !).
En salle des profs, on sent bien la haine de certains profs âgés pour les bourgeois / personnes qui réussissent. On sent la mentalité coco.
Dès qu'il y a une sortie ciné, c'est pour voir un film lgbt...
Les profs sont tous mondialistes, BLM, haine des blancs.
En revanche, les profs N ou A sont moins dans le délire lgbt.
Le programme national est déjà très woke... alors si en plus les profs eux mêmes le sont...
Pour le privée à fond !
Je ne viens pas d'une famille avec de l'argent. Famille monoparentale, bourse.... Mais pour ma mère l'école privée était un sacrifice nécessaire parce qu'elle voulait de la sécurité, une éducation qui n'est pas dérangée par les grèves, un programme qui est terminé en fin d'année et des classes en bon état, beaucoup de livre et de ressources au CDI et des activités organisées par l'école.
Effectivement en école privé c'était 8h - 17h tu ne sortais que pour aller déjeuner. Pour ma mère c'était rassurant d'aller au travail et de savoir que ton enfant n'est pas en train de sécher les cours avec on ne sait qui.
Les règles étaient strictes, "oui monsieur, oui madame", quand les notes chutent le prof principal convoque les parents, la remise des bulletins est un événement on devait se lever quand le directeur nous appellait et il parlait de notre travail devant tout le monde et il y avait le classement.
De la pression mais à côté les profs sont remplacés en cas d'absence et pas d'absentéisme pour les élèves. Je peux pas rediscuter le choix de ma mère du privé, c'est vrai que tu te retrouves avec des gens qui sont aisés et toi tu as une vie très différente mais à côté ça m'a donné de bonnes bases, j'a jmais manqué de jours de fac ou de travail, la préparation que je dois faire avant d'aller au travail et toujours faite. Je pense que j'avais de bonnes bases pour entrer dans le supérieur aussi.
je viens de quitter le navire. Le sinistre de l education est complet entre les collegues qui se sont resignes et les confortes dans leur privilege il reste quelques volontaires. J etais dans le milieu professionnel nous n avons meme pas un moteur qui fonctionne mais ils viennent de remplacer le simulateur qui fonctionnait tres bien pour un autre...j ai retrouve plus de 3000 e d automates qui dormaient dans une armoire un prof les a achete mais n a jamais reussi a s en servir et ce parceque les ports usb sont bloques. J ai demander des pc mais je les attends encore J etais oblige de ramener du materiel perso. Mes collegues voient des pannes quand ils y a juste un disjoncteur a rearmer ou une temperature a regler sur un regulateur. C est une catastrophe
Le nivellement par le bas des établissements publiques fait que les établissements privés, qui ont juste gardé leurs niveaux, fait qu'on aura bien de meilleur résultats
C'est l'objectif depuis longtemps !!!
Quand on sait que les enseignants du privé passent le même concours que ceux du public, c’est risible cette différenciation… et que des inspecteurs se permettent de demander à des enseignants du privé de revoir des copies sous prétexte que la note n’est pas assez élevée, ne croyez pas ce qu’on essaie de vous vendre…
Mais les enseignants du public sont absents plus souvent que ceux du privé... et quand les parents en ont les moyens ils choisissent l'environnement privé !!
Si les profs du public (avec eux le rectorat) rétablissent les critères d'exigences d'il y a 40 ans, alors les lycées publiques seront aussi bons que les lycées privés, comme il y a 40 ans (d'ailleurs à cette époque, on envoyait dans le privé ceux qui ne suivaient pas dans le public, mais pas seulement je vous l'accorde).
En fait c'est plutôt simple, depuis les années 90 on fait des économies sur les familles... L'éducation en première ligne, on a simplement arrêté de rémunérer correctement les enseignants la suite on la connaît...
Puis on a enquillé les réformes d'allègement des programmes pour compenser le recrutements dégradé... la spirale infernale est inarrêtable...
Pour les absences dans le privé... De mon temps que les moins de 20 ans... il n'y avait pas de remplacement mais des heures obligatoires de permanence pour les journées pour les absences sur plusieurs jours je n'ai pas connu
Le public pour les gueux , le privé pour l oligarchie
Tout est dit en ce qui concerne l'eterogeneite sociale et culturelle des classes d'enfants. On ne peut pas en vouloir aux enseignants débordés par une multitude de problèmes à résoudre qui dépassent leur formation et les familles concernées par l'éducation et l'instruction de leurs enfants se tournent vers l'école privée.
Dans le privé les professeurs respectent les eleves et les élèves respectent les professeurs on ne se tutoie pas entre eleves et professeurs cela inspire le respect et reciproquemententre les uns et les autres
J'habite dans une commune balnéaire favorisée près d'une ville de taille moyenne. Le collège de ma commune est un collège sans gros problèmes, à 800 mètres de la maison.
Toutefois, l'une des raisons qui pourrait pencher la balance vers le collège privé à 20km c'est l'absence régulière perlée des enseignants. Chaque semaine il y en a au moins un qui n'est pas là. Un enseignant travaille depuis plusieurs années à mi-temps annualisé. Concrètement, il fait comme s'il travaillait à temps plein de septembre aux vacances Noël et ensuite, il s'en va dans les îles pour 6 mois. En 2023, les enfants n'ont pas eu de cours pour sa matière pour le restant de l'année. Cette année ça recommence. Soit disant faute de remplaçant. C'est surtout faute de fermeté pour ne pas accorder de pareils emplois du temps pour convenance.
@@MikaRomeo certes. Mais dans le privé les profs sont là et font cours.
Le privé a toujours gagné la bataille de l'éducation, c'est pour ça que beaucoup de parents ont préféré nous mettre dans ce type d'établissement. Jamais d'absence ou très rarement, quoi qu'il en soit les cours ont toujours été remplacés par d'autres. JAMAIS de grève. Professeurs excellents et ça se voit à travers l'instruction et la discipline qu'ils nous inculquent. Pas de racaille ou de perturbateur, de tout de manière ce genre d'élève ne faisait pas long feu. Ça ne date pas d'hier, et ça continuera. Le public a toujours perdu et perdra toujours face au privé, excepté des lycées comme Henry IV, Louis Le Grand, Monet etc. , qui se doivent de rester des publics afin que les meilleurs même venant de quartiers défavorisés puissent y accéder. Mais soyons honnête, tout le monde n'a pas le potentiel pour entrer dans ce genre de lycée, surtout qu'ils virent tous ceux qui pourraient potentiellement foirer leurs pourcentage au BAC.
Manque de moyen, devinette combien d'enfants par classe aujourd'hui? Je suis intervenu dans un lycee de la region parisienne -> 37 élèves par classes...
J’espère que ce n’était pas pour des cours de Français… 👀
En lycée dans les années 90, nous étions 38 par classe, et on entendait les mouches voler.
Le problème, ce sont les élèves qui sont aujourd'hui mal élevés, individualistes et paresseux...
C’est pareil dans les privés modestes en terme de nombre d’élèves, car les gens se battent pour échapper à la carte scolaire, ça s’entasse
@@gillederoy1402 ""Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l'autorité et n'ont aucun respect pour l'âge."" aristote 322 avant JC. Vous avez du oublier d'évoluer depuis 2000 ans.
@@lannesromain1453 vous avez dû oublier qu’entre temps il y a eu les écrans, les jeux vidéos, les portables et des tests de capacités cognitives menés sur plusieurs générations. Je ne parle pas de morale ou de social mais de dégénérescence intellectuelle liée au physique. Elle ne concerne pas tous les jeunes bien sûr mais si vous n’êtes pas au courant des effets délétères de ces technologies demander donc des conseils aux ingénieurs de la Silicon Valley qui écartent leurs enfants de tout écran avant leur 12 ans…
J’ai justement mis mes enfants dans le privé à Paris à cause de Affelnet qui ne permet plus aux excellents élèves non boursiers d’aller dans les excellents lycées publics
Par ailleurs, des parents ont changé leurs enfants du public vers le privé dès l’école primaire pour s’assurer des places de plus en plus durs à obtenir et s’accentuant avec la réforme Affelnet de 2021
C'est vrai ! Les élèves boursiers n'ont qu'à rester dans leur lycée pourri de banlieue. 😂😂😂
@@antonin1477 alors la question à se poser ne serait-elle "pourquoi le lycée de banlieu est "pourri?" "
@@antonin1477Réponse inepte
@@antonin1477 Dans l’ancien système les excellents boursiers auraient été pris dans les excellents lycées publics de toute façon si leurs notes au collège étaient à la hauteur (mon propre exemple et d’autres que je connais), dans une proportion moindre certes mais au moins le niveau restait élevé dans plusieurs lycées publics (ce qui sera de moins en moins le cas, Affelnet accentue cette tendance)
Formidable la ségrégation sociale a diminué et le niveau s'est écroulé, c'est une belle réussite dans mille ans on engrangera les bénéfices.
Toute l’assemblée et le ministère devraient avoir leurs enfants en école publique, c’est le seul moyen d’avoir une école publique de qualité.
Affelnet est une application nationale et non pas parisienne. Les journalistes et les politiques ont tendance à penser que la société française commence et s'arrête à la capitale.
Autonomie de tous les établissements, fin du statut fonctionnaire de tous les professeurs et nous aurons d’excellents résultats à PISA et il y aura une véritable égalité, comme avant. Les mauvaises écoles avec leurs mauvais profs laisseront la place aux bons! Pas besoin de moyens, juste du courage!
Je suis contre des secteurs privé qui sont ni foi ni loi parfois y compris l'école privé, les niveaux d'enseignement n'est pas meilleur
hôpitaux, santé, sécurité, éducation, si on regarde bien tous les pions avancent dans le même but, privatisation, capitalisation
Et concernant la possibilité de « charter school »? Des écoles avec grande autonomie de l’équipe dirigeante, toujours considérée comme publique et qui viserait un public plus défavorisé? Avec une équipe enseignante qui pourrait mettre en place les outils nécessaires à la réussite des élèves.
Il y a une majorité d ecoles privees en.bretagne. dans les grandes villes la proximité de cités aussi ne donne pas envie de laisser les enfants au college public...au fait messieurs de France Inter oû sont scolarisés vos enfants? Je connais des profs du public et directeurs qui ont mis leur momes dans le privé. Dzns le privé catholique il existe un cadre educatif de respect qui.est aussi une aide dans l education d ados
L'enseignement est beaucoup subventionné par l'état il faudrait peut-être changer aussi tout cela.
Et alors mes trois enfants sont allés dans le privé à partir de 1986 bon suivi
Belle transmission ensuite ce sont
Mes petits fils l un deux a rejoint le publique catastrophe une de mes petites filles a rejoint le lycée publique
En 2023 seconde nous verrons
Si vous pouviez interroger les parents d’élèves concernés ?
A voir avant toute discussion sur le sujet. Il y a tout, l'historique, les chiffres, les conséquences.
Pourquoi poser cette question si à l'heure actuelle, une personne qui enseigne dans le public doit aussi enseigner dans le privé et dans les associations hors temps scolaire pour pouvoir vivre de son métier ?
La bataille de l éducation...
Parce que le service publique est monté sur le ring àun moment ? 😂😂😂
Il n y a quasiment plus de redoublement , il faudrait actualiser ses connaissances pour l universitaire de Montpellier
Quant a la gestion de l heterogeneite il faudrait aussi qu elle se renseigne sur le nombre d eleves par classes en Europe
La France ayant le ratio le plus eleve.....
Les lois se suivent et favorisent le privé...😢
Comme en Suède un pécule dont les parents disposent à leur guise : 100% réussite et pas de gaspillage comme on le voit ici.
Quasiment tous les journalistes contournent la carte scolaire et mettent leurs enfants dans des bons établissements...que des hypocrites....
L’hétérogénéité à 35 élèves par classe c’est ingérable.
Réduisons les effectifs par classe et l’hétérogénéité sera beaucoup mieux gérée.
Pas etonnant quand on voit comment fonctionne l enseignement public qui est plus intéressé par les grèves et les manifestations que par les élèves
On peut être dans un mauvais établissement ce n'est pas grave si on a des parents qui ne lâchent pas l'enfant et c'est plutôt cela le problème.
C'est l'inverse : enseignement public est en train de s'enfoncer
Et si la hiérarchie de l’éducation nationale était rémunéré en fonction du classement Pisa?🤔
Et si les enseignants étaient payés en fonction des résultats de leurs élèves?🤔
Alors il n'y aurait plus personne à aller enseigner en zone prioritaire
@@rahotep8094 c’est vrai, les profs les plus diplômés et(ou) avec le plus d’expérience ne veulent pas aller dans ces zones!🤔🤫
C’est là preuve que ces zones ne sont pas du tout prioritaires pour l’éducation nationale!🫣🤥🫡
Que dire des élèves qui protestent parce que l'enseignante, en conformité avec les directives, illustre son cours de français par des tableaux de la Renaissance montrant des jeunes femmes peu vêtues ? (Actéon rencontre Diane au bain).?.
C'est notre culture, c' est une réalité, les élèves et leurs familles ne doivent pas intervenir.
On va dans le privé pour pas être mélangé et freiné par du cas soc
Belle solidarité !
je reve, le gars a coupé le micro de l'intervenante à 32:47
C’était intéressant par contre le professeur donne trop de dates on s’y perd dans son explication…
on ne veut pas des cours woke pour nos enfants
Il est reconnu par les classes privilégiées, ....
Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais
. Si éloigné de l'esprit du général de Gaulle et son ascenseur social a travers l'instruction
La vraie bataille c’est contre l’Islam conquérant
Quel est le rapport avec une école en perte de vitesse un niveau en mathématiques et en français très bas???
Ça aussi vous allez le mettre sur le dos de l’islam ?? Ridicule 😂
En gros.... c'est mal barré.
Tant mieux si c’est le cas.
J ai fait le public et je suis sur que je suis meilleur que plein qui ont fait prive
Surtout en Orthografe
avoir son mot à dire
Le choix du privé c'est aussi a
entre-soi ? mais noooo
Rétablissez l'exigence dans les écoles publiques. Alors il n'y aura plus de différence entre les pauvres et les riches.
L'enseignement privé l'emportera toujours devant l'enseignement public tant que ne sera pas remis en place une carence de 3 jours non payés en cas d'absence pour "petits bobos"... L'absentéisme dans l'enseignement public est le principal problème...
Encore une fois l’Etat donne de l’argent public au privé sans réelle contrepartie… on voit l’exemple espagnol où les établissements privés sous contrat n’ont pas la main sur leur recrutement, c’est la contrepartie.
Mais non les gens du privé payent des impôts dont ils doivent retrouver la contre partie à l'école de leur choix
@@oliviertroubadour7543Pour les gauchiste, y a ceux qui payent et ceux qui palpent(eux). Toi, tu dois payer sans jamais avoir de retour de tes impôts.
@@06250chrisje serais encore plus catégorique. Il ne devrait avoir qu une seule et même école. Ça évitera les écoles religieuses qui endocrine les gosses.
vous croyez vraiment qu'ils n'y a que les gens du privé (20% des gens en france) qui paient des impôts ? les 80 % restant vivent des aides selon vous ?@@06250chris
@@oliviertroubadour7543 et les gens du public eux ils ne paient pas d'impôts et ne doivent recevoir aucune contrepartie ?
Quel titre honteux. Ce n'est pas une bataille, c'est une escroquerie. L'argent public doit aller aux ecoles publiques.
… Ok si une partie des impôts des parents qui mettent leurs enfants dans le privé leur est remboursé.
@@miko57916 aucune raison à ça. Les citoyens contribuent tous au service public puis peuvent préférer un service privé s'il le souhaite. C'est comme ça pour le transport, ça devrait être pareil pour l'instruction
D'ailleurs même les élèves passés par le privé profitent de vivre dans un pays instruit.
L’école n’est pas le transport , car elle va au-delà de sa mission qui est d’instruire et non pas de servir une idéologie politique ( wokisme , inclusion diversité… ) que je ne partage pas.
Dans ces conditions que l’Etat paie le salaire des enseignants du privé est une compensation aux impôts que je paie .
J'ai payé des impôts toute ma vie. Donc je ne vois pas pourquoi mon impôt n'aiderait pas le privé?
@@miko57916la liberté avant tout