La maison du loup - ARTE Radio Podcasts
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- เผยแพร่เมื่อ 27 ม.ค. 2024
- Ils sont six hommes et femmes. Six thérapeutes : psychiatres, psychologues, sexologues, assistant sociaux, et criminologues. Ils ont entre 30 et 60 ans et toutes les semaines, ils se retrouvent pour parler de leurs patients. Des patients bien particuliers puisqu’il s’agit en grande majorité de pédocriminels. Lors de ces réunions hebdomadaires, les thérapeutes évoquent ensemble leurs cas, le chemin thérapeutique qui se fait ou pas, les difficultés personnelles qu’ils peuvent rencontrer. Ils discutent, échangent, ne sont pas toujours d’accord et rient aussi contre toute attente.
Ces thérapeutes travaillent au sein d'une structure spécialisée dans la prise en charge des auteurs d’infractions à caractère sexuel. Ce centre a été mis en place suite aux manquements révélés par l’affaire Dutroux - une affaire qui a laissé une trace indélébile en Belgique. Désormais, la sanction judiciaire pour les auteurs d’infractions à caractère sexuel s’accompagne d’un suivi thérapeutique sous contrainte. Ce ne sont pas des « Dutroux » qui sont pris en charge dans cet établissement, ceux-là sont plus rares qu’on ne le pense, ce sont des gens de toutes les catégories sociales, de tous les milieux, des adolescents jusqu’aux personnes âgées.
Nos six thérapeutes, Marie-Hélène, Jessica, Ludivine, Dorothée, Jean-Marc, Bertrand et Luca ainsi que leurs collègues Dorothée, Gauthier et Justine, se retrouvent dans la maison de Tournai en Wallonie. C’est là qu’ils font leurs consultations ou s’occupent d’une ligne téléphonique anonyme à destination de personnes qui se questionnent sur des comportements sexuels potentiellement inadéquats. C’est aussi là que se tient leur réunion hebdomadaire.
Ils sont passionnés par leur métier, par la conviction de sa nécessité, car prendre en charge des auteurs de violences sexuelles, c'est indispensable pour éviter de nouvelles victimes.
« En septembre 2021 est sorti Le loup, un livre pour enfants de Mai Lan Chapiron qui évoque l’inceste afin d’en briser le tabou et s’inspire de celui qu’elle a subi. En découvrant le livre, je suis sidérée. Je connais Mai Lan depuis toujours, nous ne sommes pas proches, mais nos familles sont liées depuis trois générations. Et il m’a toujours semblé impossible, inconcevable, inimaginable que dans mon entourage, il puisse y avoir des violences quelconques faites aux enfants. En découvrant le livre je suis aussi impressionnée par la réflexion et la maturité de Mai Lan car elle dit à propos du loup - et donc de son agresseur - que « pour apprendre à être moins sauvage et à ne plus attaquer les gens » lui aussi peut avoir de l’aide. Et je me demande : qui sont ces gens qui soignent les loups ? » Julie Gavras
Un documentaire de Julie Gavras
Mixage : Charlie Marcelet
Illustration : Yasmine Gateau
Montage vidéo et animation : Camille Evin
À retrouver sur : www.arteradio.com/son/6168225...
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Excellent documentaire, comme d'habitude. En revanche, j'ai quelques problèmes avec le dialogue de fin entre la thérapeute et la maman qui appelle pour reporter l'agression (enfin, on le devine puisque c'est inaudible) de son beau-fils adolescent commise sur son fils qui est enfant. La thérapeute semble minimiser les actes : c'est un ado, ce n'est pas grave, dites à vôtre fils de faire attention, de ne pas aller dans la chambre ni dans la salle de bain avec son frère,... surtout ne culpabilisez pas votre beau-fils... etc..
Étant donné qu'on ne sait pas ce qui a été fait, on ne peut pas bien comprendre. Ceci étant, si c'est assez grave pour que la maman le signale, je trouve cette réponse trop légère, de celles qu'on retouve dans les familles qui souhaitent ignorer les drames qui se jouent et minimisent les viols intrafamiliaux. Par ailleurs, si un ado commet des gestes déplacés sur son petit frère, ne faudrait-il pas s'inquiéter de savoir s'il n'a pas lui-même été victime d'attouchement ou de viol? Je suis perplexe.
J'ai eu beaucoup de mal avec cette discussion également !
Et finir le reportage sur ça, je trouve que tout le reste a perdu de sa valeur.
On ne retiendra que ça...
@@fatihafatiha-st5pt C'est dommage, en effet.
Comme vous le dites, on ne sait pas quels actes ont été rapportés par la maman. Je pense que si la professionnelle a eu cette réaction, ces conseils, c'est que ce sont les bons. Elle a plus d'expérience que nous en la matière.
@@lisapeyrard9236 J'espère que vous avez raison.
Donc selon vous cet enfant de 13 ans qui est rentré dans la salle de bain merite déjà la prison?
Vous ne voulez pas tenter au moins de comprensre ce qu'il fait (en l'occurence pour l'instant rien d'autre qu'une chose douteuse, qui justement lorsqu'elles ont été mise en lumière l'on rendu honteux) avant de l'emmener au poste de police tel un criminel? Là, vozs seriez sûr au moins qu'il se perçoivent comme un être mauvais, avec toutes les conséquences qu'une telle image de soi apporte.
Très mal à l’aise avec la conversation téléphonique de la fin. On comprend qu’il y a un ado avec une sexualité « déplacée », qui s’en prend à un enfant, et la réponse c’est « ils n’ont pas de copines à cet âge là, donc qu’est ce qu’ils font avec leurs pulsions ». C’est très problématique. C’est aux jeunes filles de prendre en charge ça, de servir de déversoir? On est pas loin de légitimer le viol.
Ce n'est pas ce qui est dit. Mais alors pas du tout. Ce qui est dit, c'est que c'est une période délicate mais que le comportement constaté ne fait pas de l'enfant de 13 ans en question un criminel sexuel ou un adulte déviant. Ça mérite attention, suivi, mais rien n'est joué.
D'après ce que j'ai compris ya pas eu d'histoire d'atouchement juste le gosse à bander dans la salle de bain
Ces une grande erreur de permettre à des femmes de faire la leçon a des garçons à propos de leurs sexualité
Tellement de gens qui, comme d'hab, réagissent seulement à travers leurs émotions primaires et non leur raisonnement et leur discernement dans les commentaires. *Soupir*.
J'ai du mal avec la dame au téléphone et ses conseils. Inclure les filles, les pulsions, etc. Dans l'équation, en espérant que ça s'améliore, c'est potentiellement mettre en danger autrui. Si un ado a des pulsions trop fortes, il faut pouvoir en parler sans rendre ça anodin.
100% d'accord avec vous.
Je suis d'accord, après nous n'entendons pas toute la conversation, nous ne savons pas quels sont les faits....!
C'est ce qui a été fait. Il a été mis devant le fait, en a eu honte, le téléphone a pour but de savoir quoi faire après. Et la réponse est : maintenir le lien, être attentif (aux signes de dérapage comme aux signes de normalisation), ne pas non plus paniquer et déjà le condamner sachant qu'aucun acte n'a été commis (l'enfant a dit non, et le non a été respecté), admettre qu'un enfant de 13 ans n'est pas mature et qu'il peut avoir des passages délicats qui ne préjugent pas de son devenir.
@@likornnoir Je suis à 100% d'accord
Quelle équipe fantastique !! C'est tellement rare dans le milieu. Merci pour ce reportage 🙏🏻
Super documentaire malgré la dureté du sujet! Plein de courage à ces professionnels 💪💜
J'ai bcp apprécié merci pour ces professionnels
Merci de traiter ce sujet important.
Hyper intéressant cette manière d'aborder les choses avec cette maman inquiète !
Passionnant ce documentaire, merci Arte❤
Pour ma part, j'ai été un peu choquée par la légèreté des conseils prodigués. On entend pas les faits donc on ne sait pas ce qui s'est passé exactement mais, s'il y a eu une agression, il faut faire quelque chose pour aider l'enfant et l'adolescent agresseur. Ça ne suffit pas de dire, ce sont les hormones, bla bla bla.
quel métier horriblement difficile! Il faut une empathie (attention: je n'ai pas dit "sympathie", il faut bien distinguer les deux concepts) incroyable.
L'humanité est souvent desespérante. En écoutant de telles personnes, on reprend espoir.
Merci pour cet excellent reportage intéressant qui montre la complexité du travail d'écoute de ces thérapeutes et la richesse de leurs échanges lors de leurs réunions hebdomadaires. Très intéressant aussi l'extrait de la communication téléphonique avec une maman. Merci à la réalisatrice et bravo à cette équipe qui fait un travail remarquable.
Je diffuse le lien à mes collègues psychologues et aussi à des proches.
JF psychologue clinicienne - hôpital AP-HP (Paris), à la retraite
P.S.
Avez-vous écrit, publié ? Si oui, comment avoir accès aux articles ?
"Ils sont emmenés par cette pulsion sexuelle qui est un état de conscience modifié'' (psychothérapeute du documentaire) .... Ressentir une émotion érotique n'a rien à voir avec '' un état de conscience modifié''. Cette narration revient à déresponsabiliser l'agresseur. Il a fait le choix d'agresser. Les responsabiliser de leurs comportements antisociaux est la base des mécanismes de culpabilité qui pourraient amener à de l'inhibition de l'action transgressive.
La question sous-jacente était justement qu'ils ne ressentent aucune émotion et nie la réalité. La culpabilisation n'est pas possible à ce stade là, il faut déjà reconnaitre que l'autre est en souffrance, ce que ces gens ne percoivent pas et nient. D'où la refléxion sur le pourquoi de cette imperception de la réalité.
Travail passionnant, loin d'être donné à tous
Le saucisson 😭😭
Cette phrase me choque profondément!!!!!! 7min 55: "Ils sont emmènes par cette pulsion sexuelle, qui est un état modifié de conscience. On sait tous que la sexualité nous pousse à faire des choses qu'on ne ferait pas en temps normal...." NON, ON NE SAIT PAS TOUS NI TOUTES! La sexualité doit etre consentie en fait....Justement on parle de plus en plus de CONSENTEMENT CAD s'assurer par un OUI CLAIR ET PRÉCIS que la personne à envie d'avoir des relations sexuelles...! Dire que les abuseurs sont "dans un état modifié de conscience" les déresponsabilisent complètement!!!! En plus un ENFANT, lui est influencé par l'adulte, il est IMPOSSIBLE qu'il donne un consentement pour ce genre de choses! L'hypnose est un état modifié de conscience, la méditation peut l'être mais la sexualité ça je n'ai jamais entendu!!!!!!
Je pense que la phrase sur la sexualité qui nous pousse à avoir des comportements inhabituels c'est pour parler de l'excitation qui, sur l'instant, nous fait désirer des choses que d'ordinaire les normes sociales nous font plutôt rejeter (adopter un langage tres cru, frapper certaines parties du corps, tenir par le cou, se déguiser, etc pour le cas courant)
Et que chez certaines personnes cette abolition des cadres et freins sociaux et moraux va bcp plus loin. Je ne pense pas que cette phrase soit à comprendre comme "on a tous eu des comportements légalement et moralement répréhensibles sous l'emprise du désir sexuel", c'est plus une manière de nous faire percevoir de quel état d'esprit il peut s'agir
Je viens de faire pause à ce moment même pour commenter en ce sens.
Je devine que la personne parlant à ce moment doit être d'obédience psychanalytique ...
L'agression sexuelle n'est pas une pulsion de désir, mais une pulsion de pouvoir. Ca commence à être assez bien documenté en plus. La "pulsion sexuelle plus forte que tout qui modifie la conscience" est un des mythes moderne qui nous fait à tous le plus de mal ...
Edit : cette même dame au téléphone avec la mère demandant conseil après des actes pédocriminels de son beaux fils sur son fils ... qui conseille de l'emmener faire du vélo, de lui demander comment ça va "avec les filles", et de surtout, surtout ne pas utiliser de mots qualifiants son acte.
Mais quelle prise en charge archaïque dans le déni de la nature des actes ! C'est insuportable à entendre.
@@carolinemoreau4044 J'ai pensé la meme chose que vous lorsque j'ai entendu la conversation téléphonique et je me suis demandée si c'était moi qui ne relativisait pas la situation et la rendait dramatique alors que cette professionnelle la prenait comme une bêtise que l'on va gérer pour l"agresseur avec une promenade à vélo. Je n'ai pas de réponse et je ne sais pas comment traiter cette information, faut-il dédramatiser et chacun continue son chemin avec un 'vilain' souvenir de "touche-pipi" (j"ai le sentiment que c'est ce que cette dame veut dire) ou considérer l'acte comme de qu'il est une agression sexuel qui ne doit pas être minimiser chez les enfants?
Et le "je ne sais pas où il en est avec les filles"...me fair penser à cette excuse donnée aux hommes agresseurs qui vivraient soi-disant une misère sexuelle ou cet argument que si les prêtres pouvaient se marier ils ne violeraient ou n'agresseraient pas...
Si c'etait une question de pulsion qui mene a un état modifié de la conscience, pourquoi les agresseurs disent a leurs victimes de garder le secret, pourquoi font ils attention a le faire dans des lieux privés, a choisir des enfants vulnérables, etc? Si il s'agissait de ca, ces agresseurs tenterait de commetre leurs actes au grand jour et sur n'importe quel enfant - apres tout, on voit bien des personnes dans des états modifiés de la conscience, du aux substances, faire toutes sortes de choses, veritablement sans penser aux consequences. Non, on va pas commencer a dire que ces pedocriminels ne pensent pas aux consequences, car ils se protegent eux. C'est comme les hommes dans les violences domestiques qui "perdent le controle" et cassent toutes les affaires de leur partenaire - si c'etait une veritable perte de controle, pourquoi n'ont ils pas cassé les affaires auquels ils tenait eux meme, pourquoi n'ont ils pas ces acces de colere au boulot. C'est bien que ce n'est pas une réelle perte de controle. Je pense a un monsieur d'une etude de cas qui a eu une tumeur au lobe frontal (la partie du cerveau qui inhibe les pulsions, qui a les 'fonctions exectutives") : resultat, il a commis des agressions sexuelles, mais une fois a l'hopital, il a continué a agresser les infirmieres, a harceler, tout ca en plein jour devant tout le monde. Dans le cas des pedocriminels, (hors cas exceptionnel puisqu'ils parlent de handicap mental au debut de l'emission, et encore on en sait pas assez pour en dire plus), ce n'est pas le cas. Ils n'approchent pas les enfants devant leurs parents par exemple. Donc stop au mythe de la pulsion sexuelle irresistible. Bref en tant que psychologue ces propos me choquent beaucoup, j'ai du mal a accepter que ce soit encore des choses que l'on dit aujourdhui.
Ici, il s'agit d'expliquer comment des gens normaux adoptent dans leur sexualité des comportements anormaux. Il n'est pas dit que cela les excuses ni même ne limite leur responsabilité, il est seulement dit que cela leur empêche d'en prendre conscience réellement. Et ça à un nom, le déni. Ce passage ne fait qu'expliquer cela du point de vue de la thérapeute.
Super intéressant d'avoir le point de vue des travailleureuses sociales! On aurait envie d'entendre ces personnes sur une série ! Je me demandais si vous aviez le projet d'aller interrogé les personnes qui travaillent dans les centres (peu nombreux) d'accueil pour auteur(ices?) de violence sexuelle intrafamiliales qui sont mineurs au moment des faits et de la condamnation : comment la prise en charge se fait dans ces âges là, quel lien à la famille, l'entourage, quelles perspectives une fois sortis de la structure...? Voilà. Merci pour la qualité de vos podcasts!
Tellement de gens qui vivent dans un monde de roses parfaifes avec des coeurs au premier degré. Punaise, sortez un peu de votre milieu et allez causer avec des gens d'autres classes, allez causer à autre chose qu'à ceux qui vivent comme vous. Ça vous fera découvrir que oui, rire est une obligation et que aider façe à l'horreur c'est dure, très dur.
T'ain quoi, ça me casse le cul toua ces biens pensants en commentaires qui réagissent sans avoir jamais rien fait.
MERCI !
Documentaire assez problématique je trouve... Concernant le premier patient, beaucoup de validisme dans l'attitude et les propos des professionels. On a l'impression qu'ils le méprisent plus parce qu'il est déficient mental que parce qu'il aurait commis un crime... Crime qui, d'ailleurs, n'est pas clair, on comprend que personne n'a vraiment voulu l'assister juridiquement. Beaucoup de remarques un peu étranges sur la sexualité dans le reste du doc aussi.
Je le pensais si fort ! Je me dis que leur sentiment d’impuissance avec ce jeune les rends juste plus humains, ils ont peut-être besoin de se dire que le souci ou l’incohérence vient d’en face, en mode défensif on diabolise ou critique ce qui nous met en sentiment d’echec… le seul souci ici c’est que l’individu se construit notamment via les regards/attitudes de l’Autre… j’espère que lui et son entourage ne se reconnaîtront pas dans tout ça
Merci. Je n'ai personnellement pas trop envie d'écouter la suite.. je n'en suis qu'à 7min, après cette fameuse discussion sur le premier patient, et j'ai surtout entendu des moqueries et du mépris. Ca me met en colère et je n'ai plus envie de continuer d'écouter. Notamment parce que ca me rappelle d'autres travailleur.euses sociales que j'ai croisées et qui malheureusement avaient le même genre de comportements, comme si iels étaient 'mieux' que ces personnes qu'iells doivent aider.
Je vous rejoins totalement. Je suis extrêmement choquée par les excuses que l'on donne aux protagonistes et à l'humour permanente autour de ces agissements. Je comprends qu'exercer un tel métier demande de relâcher la pression mais il y a des victimes et des personnes touchées à vie par ces actes.
Il n'y a aucun mépris ni dans les propos, ni dans les rires. Il y a par contre une réaction face à l'absurdité de la situation.
😅
état de conscience modifié....ah c'est un peu léger. Par contre les confidences par téléphone, pas mal du tout!
Si cest eux qui les soignent on a pas fini de croiser des perverts, la conversation téléphonique avec la dames qui demande conseil pour son demis fils n'a eu aucune suggestion ou bonne parole pour le bien être de la victime 😮😑
C'est quoi les réponses de la dame au téléphone à la fin ? Genre c'est pas bien grave, faut juste lui dire de pas le refaire, no soucis^^
Ah bah je l'ai vu ce reportage...
C'est déprimant
Trigger alerte
Je ne vois aucune raison de ne pas ouvrir cette clé usb.. sans pour autant mater les 10 saisons... juste savoir ce que c'est et comprendre son patient...
Peut être pour ne pas prendre le risque d'avoir un virus sur son ordinateur.
La raison selon moi est de ne pas rendre poreux le privé et le pro surtout dans le cadre d'une alliance thérapeutique telle que celle ci avec ce genre de public...
La clef elle va direct chez les flics ouaos
il n'y a aucun intérêt à cela@@francisscainlebref9609
Les personnes ont besoin de relations claires
Ici le cadre est celui du soin et il faut poser les limites notamment celles fixées par la loi.
On va follow UP et puis le check. Comme on sera ready pour le study de my ass.
Franchement, vous allez dire que je suis ignoble, mais pour moi ça ne sert a rien d'aider ce type de personne, on devrait juste remettre la peine de mort pour les agressions sexuelles sur mineurs.
Peut etre que des peines aussi expeditives permettrait une plus grande peur du passage a l'acte, et ainsi éviter que des gamins soit tromatisé a vie, ça permettra aussi de ne risquer aucune recidives des protagonistes, car quand quelqu'un fait ce genre de choses, ce n'est jamais une seul fois, ils le ferront tant qu'il est possible pour eux de le faire.
Ces gens ne réalisent pas ce qu'ils commettent. Cela n'est pas une excuse, mais la peur de la condamnation ne joue aucun rôle si l'on pense agir dans la normalité. Ce qui est malheureusement le cas bien que cela soit évidemment absurde.
Par ailleurs, ces gens souvent ne tuent pas leur victime, la peine de mort >dans votre système de pensée< perdrait alors tout effet repoussoir : en cas d'abus, autant devenir meurtrier, la peine serait la même mais le risque de capture inférieur (sans témoin).
Prison pour eux, moins de victimes c'est tout
La peur d'une punition n'est suffisante pour éviter le passage à l'acte que si elle est plus forte que les pulsions. Or justement, et c'est toute la problématique, les actes criminels se déroulent toujours quand la personne dépasse le cadre de ce qui est admissible, très précisément parce que les pulsions prennent le dessus sur sa capacité rationnelle à admettre que les actes ont des conséquences (pour la victime, pour la société etc...). Ne pas aider ces personnes à parler calmement de leurs pulsions et simplement agiter la peur d'une punition, aussi terrible soit elle, ne changerait rien, et aurait même comme conséquence probable d'aggraver la situation : au lieu de leur permettre de travailleur sur eux-mêmes et de prendre de la distance avec leurs pulsions, on les pousserait à les cacher d'autant plus que la punition serait forte, et donc encore plu de tabou, encore plus de silence, encore plus difficile pour les victimes (surtout les plus jeunes) à alerter.
Il est démontré que ça n'est pas efficace du tout en plus d'être inhumain
Cela demande précisions sur la phrase « la sexualité nous poussent à faire des choses qu’on ne feraient pas en temps ordinaire » . Ma question est « est ce l’envie naturelle d’un acte sexuel ou bien l’éducation sexuelle reçue avec tous ces viols psychiques que nous subissons par le biais des différents multimédias et autres moyens subversifs et insidieux et pour d’autres avec également des viols physiques ?
Tellement cringe , mélangés miazaki et des hentai, je pense que c'est gens sont aussi fous que les gens qu'ils "soignent "
Euh pour le coup dans porco Rosso, le perso principal il est attiré par une gamine mineure, donc bon pas si fou que ça hein hahaha 😅 elle l'embrasse d'ailleurs à la fin et il rougis. C'était une autre époque on dira 🙄
Après les avoir castré je serai prête à les écouter, pas avant, non désolé j'en aurai pas la distance professionnelle.
Heureusement que tu ne fais pas se métier alors
@@ArseneLapin-rc7qs Je suis éducatrice d'enfants handicapées... Chacun son métier.
@@ArseneLapin-rc7qs Félicitation ? Une médaille pour projeter tes préjugés sur autrui ? C'est bizarre je pensais qu'avec ta profession tu aurais la capacité d'accepter un opinion différent du tiens ... Autant pour moi, j'ai dû me tromper de compétence.
Ah le progressisme ! 👏
Ha, la beaufitude.
@@vegaluciani8928 Parce que Feur
Sinon, vous avez des arguments pour la réinsertions des ped os? Ou juste une idéologie ? @@Ismael-ox5nx
Ah oui, encore la gauche...
Oh lalalal mais le niveau de condescendance de la part des soignants oO ils sont censée les aider pas dire que leur tatoo est ignoble et se moquer d eux
Waw le niveau intellectuel, a vomir
Merci pour cet excellent reportage intéressant qui montre la complexité du travail d'écoute de ces thérapeutes et la richesse de leurs échanges lors de leurs réunions hebdomadaires. Très intéressant aussi l'extrait de la communication téléphonique avec une maman. Merci à la réalisatrice et bravo à cette équipe qui fait un travail remarquable.
Je diffuse le lien à mes collègues psychologues et aussi à des proches.
JF psychologue clinicienne - hôpital AP-HP (Paris), à la retraite
P.S.
Avez-vous écrit, publié ? Si oui, comment avoir accès aux articles ?