C'est bizarre cette question introductive de je suis très bien dans ma vie avec mon modèle monogame mais comme c'est beaucoup trop mainstream peut être que je pourrai être plus heureuse dans une autre configuration... Ça fait un peu penser à de l'optimisation de bonheur personnel parce qu'il faut rentabiliser la vie que j'ai YOLO. A mon avis il faudrait plutôt déconstruire cette idée de maximisation de bonheur perso et si t'es heureuse dans ta vie avec ton mec et tes enfants c'est déjà bien. Dixit une polyamoureuse a moitié au chômage xD
Ca pose les bonnes questions même s'il n'y a jamais de réponse idéale :) Il faut accepter que la nature humaine est trop complexe pour vivre sans aléas.
Bonjour, je trouve ce questionnement très prégnant à notre époque, notamment dans ma propre vie et dans mes conversations avec de nombreuses personnes, autour de la quarantaine et plus jeunes. Pour ma part, une profonde et relativement lente, ainsi que par moments douloureuse déconstruction du modèle très idéalisé du couple, plutôt hétérosexuel avec enfants, de la famille, avec cette image de cocon, chaleureux, réconfortant et rassurant. Ne plus répondre à ce modèle a pu être une grande souffrance et source d'angoisse pour moi, et l'occasion d'un nécessaire "deuil". Plus j'avance dans ce cheminement, plus je trouve en moi-même ce réconfort, cette chaleur humaine, cette paix, tranquillité que le lien avec l'autre m'apportait avant. Pour ma part, ce qui est très personnel, ma dépendance au modèle du couple au long cours (monogame ou "libre", ou plutôt : exclusif ou non) a été très liée à une insécurité intérieure profonde dont je n'avais pas conscience. Aujourd'hui, plus j'accueille mon "vide intérieur", plus je me sens bien avec et dedans, et moins je ressens le besoin d'avoir un.e ou des partenaire.s amoureux.se.s/romantique.s/sexuel.le.s, ou la douleur, tristesse, frustration de ne pas en "avoir". C'est un cheminement en cours, avec énormément moins de certitudes à mesure que je le suis... J'ignore où il me mènera. Pour le moment en tous cas, je suis très contente, ressens une vraie joie, soulagement, et une pointe de fierté quand je peux répondre que "je n'ai personne dans ma vie" (si c'est la tournure que la question a prise. Je l'ai vécu hier), ou que "je suis seule". Pour moi, c'est l'illustration que je vais mieux, et que j'ai beaucoup "avancé, progressé" sur la voie de l'indépendance, de l'autonomie. Je m'en réjouis. Pour autant, je ne rejette pas l'idée de rencontrer quelqu'un avec qui j'aurai envie de tisser une relation amoureuse à deux, sur la durée, autour de certaines valeurs communes, mais, plus j'avance, plus il m'apparaît comme évident que cette relation ne pourrait pas s'inscrire dans un modèle préétabli, mais devrait s'édifier de façon empirique, par choix successifs, en communiquant, en trouvant l'équilibre entre nos aspirations respectives, si on attribue à cette relation une valeur assez importante pour qu'elle influence certains de nos principes individuels. Concernant les enfants, c'est effectivement une question centrale, je trouve. Ça pose la question de la déclinaison du couple, le couplé parental étant-il de nature à se "confondre" avec le "couple tout court"? On a déjà vu au cours de l'Histoire (selon les époques, les classes sociales aussi, les traditions, cultures, civilisations) qu'il n'y a pas de réponse unique ni universelle à cette question-là. En tous cas je trouve sain et enrichissant que les questions se posent et que chacun.e puisse être amené.e à observer ses fonctionnements, pour pouvoir entreprendre de faire des choix plus éclairés, conscients, cohérents, intègres. Merci pour votre contribution à cette réflexion.
Ta réflexion est très intéressante et pertinente. Mais je trouve que justement même s'il n'y a pas un modèle familial préétabli, il y a des fonctions nécessaires dans chacunes des familles, ou plutôt dans chaque modèle familial. Cette idée que la famille est un cocon chaleureux et réconfortant est la base même de la famille. La famille est une société, et dans chaque société chaque individu doit se sentir en sécurité, utile, réconforter, et aimer. Bien sûr, ce n'est pas une exigence "sine qua non" à ce qu'est une famille, ou ce qu'elle doit être. Et j'ai l'impression que toi, dans ton cheminement, tu décides d'avancer "seule" tout en essayant de chercher tous les sentiments d'affection, de sécurité et d'amour que procure la famille au fond de toi. Mais dès lors, il n'y a plus de famille, tu ne peux pas être une famille à toi toute seule, à moins que c'est justement cette conception que tu veux remettre en cause. Mais dans ce cas est-ce une famille ? N'est-ce pas autre chose ???
@@a.casanovajean-pierre8178 Waw, merci, c'est très intéressant. Ça enrichit ma réflexion et c'est une belle mise en perspective. "un cocon chaleureux et réconfortant", "une société [dans laquelle] chaque individu doit se sentir en sécurité, utile, réconforté et aimé" (je mets au participe passé, mais peut-être que tes infinitifs étaient intentionnels et ça fait sens aussi. De toutes façons, l'un implique l'autre entre membres d'une famille, telle que tu en donnes la définition). Je n'ai pas regardé dans des dictionnaires la définition, ni l'étymologie du mot famille, et déjà, ça me donne envie de le faire, pour commencer et en effet bien situer ce dont il s'agit. Ensuite ça me permet de mettre en perspective deux choses : - mon ressenti actuel à propos de mon expérience ou mes expériences de la famille - opérer un retour aussi objectif que possible sur ces expériences, afin de voir dans quelle mesure mon ressenti et les croyances que j'en tire sont justes. Je n'ai pas encore de réponse aux questions que tu me poses à la fin. Je vais y réfléchir, laisser infuser. Merci en tous cas, je sens que c'est l'occasion d'une ouverture et de mises à jour nécessaires dans mes perceptions et idées sur le sujet.
J'ai beaucoup apprécié le troisième paragraphe, qui retrace par effet miroir ma propre expérience avec une personne qui est devenue centrale dans ma vie, mais par spontanéité, discussion, confiance construite au fur et à mesure des expériences positives partagées ensemble. Rien n'est jamais acquis, tout est paramétrable (présentation à l'entourage, voyages ensemble, degré d'intimité sexuelle, émotionnelle, affective, exclusivité, etc) et doit se faire dans le consentement joyeux, pour peu qu'on en parle et qu'on s'écoute. Parallèlement, comme si c'était écrit, j'ai découvert l'anarchie relationnelle ce qui m'a permis d'enrichir mes relations, tant que mes questionnements et ma déconstruction intellectuelle d'un modèle qu'en réalité j'avais déjà compris, ne me correspond pas et me fera toujours plis de mal qu'autre chose. Parce que oui, c'est facile et rassurant de se laisser aller à l'idée du couple. Pourtant ce n'est qu'un leurre pour une terre de misère. C'est le couple, l'idée que je ne serait heureuse que aux travers de celui-ci, qui m'a rendu malheureuse. C'est le célibat en réalité qui m'a forcé à prendre conscience de ma propre valeur individuelle, de reconnaître que l'amour que j'ai pour moi même est bien au delà de l'amour que les autres me porte. Et le couple, avec son idée qu'on devrait remettre son bonheur dans les bras d'un.e autre est alléchant, mais c'est un terrible obstacle à cette auto satisfaction qui en réalité, paradoxalement nous rend réellement plus aimable, plus aimé et plus aimant, car quand nous aimons en dehors de l'idée de complémentarité, nous aimons sincèrement. Les autres deviennent des plus et non plus des besoins. Et puis, à la remarque "tu es seule" on ne peut que rire, car non seulement entouré de tout son amour propre, on sait que l'amour ne se résume pas qu'à la personne avec qui on partage son toit, son lit. L'amour existe bien au delà; nous avons des amis, une famille, des partenaires, des soeurs et des frères de combats pour un jour, des voisin.e.s souriants, etc. Souvent, on est même en réalité bien moins seul.e.s que les autres.
@@kerplunk1992liveOn peut aussi imaginer une vision du couple sortie de la codépendance, où chaque partenaire trouve son autonomie émotionnelle et est l'acteur principal de l'assouvissement de ses propres besoins. Je crois profondément que la connaissance de soi et l'accomplissement personnel ne sont pas incompatibles avec la relation de couple, mais il faut questionner et déconstruire les schémas relationnels normatifs. Le couple se construit alors par des choix successifs, où l'abandon de soi et la fusion avec l'autre ne sont plus recherchés, où les limites de chacun sont explorées, définies puis respectées, et où l'indépendance affective est encouragée et protégée.
@@elisabethgomes8370 Je veux bien, mais cela me semble compliqué en raison de l'historique de la notion et couple et même sémantiquement parlé. Une des raisons pour lesquelles je me dit anarel et pas en couple et pas PolyA, c'est parce que ce sont des statuts et par définition les statuts sont catégorisés. Si je peux être en couple en toute autonomie, alors forcément que la notion d'exclusivité disparaît (l'exclusivité de principe* étant une réduction de l'autonomie et du pouvoir d'être et d'agir), donc théoriquement je peux avoir des relations sentimentales, sexuelles, affectives romantiques ou qu'importe avec d'autres personnes. On est donc plus tellement dans un couple sémantiquement parlant puisque le couple veut dire "à deux", par définition cela intègre l'exclusion. J'imagine bien que des personnes trouvent aujourd'hui le moyen de développer une autonomie suffisante dans le couple, mais cette autonomie par définition est limitée par le statut. Exclusif sexuellement ou pas, y a cette notion de limites et d'attendus.
Je trouve ce podcast vraiment triste à entendre. Tant mieux si les gens seuls sont heureux, c'est tout ce que je leur souhaite, sincèrement. J'aime tellement le couple, les traditions, les valeurs, la persévérance , la compréhension, la fidélité, l'homme et la femme sont superbement complémentaires. C'est tellement beau quand c'est partagé sainement. Aujourd'hui, les gens ne veulent plus aucune contraintes, sont impatients, dénué de valeurs, ils ne veulent que du plaisir et de l'instantané. Pourquoi donner une aussi mauvaise image du couple ?
ahh il y a plein de commentaires positifs et je m'attendais à un super podcast. Mais je suis restée sur ma faim. Rien de nouveau, pas de conclusion, tout à vrac
Je suis d’accord avec une bonne partie. Le couple doit se réinventer. Mariée depuis 11 ans, deux enfants donc dans les « standard » mais heureuse avec mes petits malheurs. Beaucoup de communication et bcp de liberté, nous permettent à chacun d’avoir notre place (sans forcément être seul). C’est clair qu’être seule, faire comme on veut ça peut faire rêver certains... mais on peut le faire dans un couple sain qui communique! Et on est des animaux sociaux on se construit aussi via nos liens. en conclusion laissez nous les comédies romantiques j’adore pleurer en les regardant !
Je suis d'accord avec toi, même si je suis seule je pourrais faire ce que je fais dans un couple sain mais je n'ai pas rencontré la personne ! Je ne trouve pas que le couple soit une idéologie, en revanche la liberté sexuelle et la déconstruction le sont.
Je n'ai jamais été le type de femme qui cherchait des relations. Mais quand j'ai trouvé mon âme sœur, j'ai pas hésité du tout. Un amour très improbable (Chacun vivait dans un autre pays et on s'était rencontré en ligne mais sans app de rencontres) avec un historique plutôt chargé (plusieurs voyages pour aller rendre visite à l'autre; première fois, différences culturelles etc) , c'est la base même de mon couple actuel. Et c'est marrant car plus on entre dans la routine à présent, plus on se sent en sécurité. Hâte de passer cette dure période de pandémie avec l'amour de ma vie. Cela sera notre second confinement. En espérant qu'il se déroulera aussi bien que le premier.
je me demande si passer du couple monogame malheureux aux variantes de couples autres c'est pas déplacer le probléme sans l'avoir fait avancer... on passe d'un "nous" monolithique et figé à un "je" qui peut être tout aussi monolithique.... et si une des solutions était d’arrêter de se percevoir et de percevoir les autres comme figés, mais de commencer à nous percevoir comme des êtres avec une identité (générale, pas que de genre) qui fluctue, évolue, mute, change. L'amour de soi et de l’autre et des autres serait alors l'amour de ce que l'on devient, de comment on évolue et pas une tentative de soigner des blessures narcissiques de l'enfance ou des lignées familiales... en tous cas c'est ma vision du couple :) et ça fonctionne pour l'instant (alors que banalement monogame et hétéro ! ha ha ha ! )
@@Maëlys5673 c'est une observation très pertinente qui est partagée par un bon nombre de personnes qui comme moi se sont orientées vers la non monogamie. J'y vois la définition et le cœur même de l'anarchie relationnelle : les relations sont avant tout vivantes. :)
@@kerplunk1992live c'est drôle parce que justement je me pense anarchiste, mais pas sur le plan relationnel. Ou alors si ; en constant émerveillement et accueil de ce que je deviens et de ce qu'il devient. Quitte à un jour, peut-être, que ça se finisse. Mais aimer, c'est aimer au-dela de soi, non ? Merci pour votre réponse qui me fait réfléchir
@@Maëlys5673 Probablement, mais c'est un argument que satisfait totalement les deux bords. Pour moi, il est justement impensable de "restreindre" l'expression de l'autre, notamment de cellui que j'aime, donc je me vois pas mettre des règles et encore moins des règles de "principes" à mes relations, à celleux que j'aime. C'est aussi pour cela que je suis assez d'accord sur le fait que ça ne résous en rien les "problèmes" inhérents aux relationnel. Simplement, le traitement qu'on en fait est différent et plus raccord avec certaines valeurs qui peuvent nous être très chères (pour moi l'authenticité, la congruence, la liberté et l'auto détermination).
Je suis tout à fait d'accord avec Marcela ! Il faut apprendre à être heureux seul avec soi-même, avant d'envisager de se mettre en couple, car ce n'est pas une fin en soi... C'est pourtant encore tellement difficile à entendre pour les hommes, la plupart ont besoin qu'on ait besoin d'eux, alors que je dis souvent à mon compagnon qu'il a la chance que je l'aime gratuitement, sans aucune attente, juste pour ce qu'il est, pas pour ce qu'il pourrait m'apporter...
C’est difficile car c’est dans leur nature de se sentir utile à quelqu’un et de se dépasser et se bouger pour cette personne. Ça se ressent profondément en eux cette motivation. C’est pas juste un caprice.
Hummm... Peut on vraiment être heureux seul avec soit même ? Avez-vous déjà fait l'expérience de pensé suivante ? Imaginez vous seul, vraiment seul, pas d'ami, pas de famille, pas de compagnon de vie. Pourriez vous êtes heureux ? Savez vous que statistiquement les femmes mariées sont en moyenne plus heureuse en vieillissant ? Et cela augmente en plus lorsqu'elles ont un enfant. En tant qu'animal social est-ce étrange d'imaginer que notre bonheur dépend grandement d'autrui ? Autres étude intéressante, un enfant élevé dans la solitude présente de très forte chance de développer de nombreux troubles mentaux. Savez-vous que l'une des premières cause de souffrance chez les personnes âgées c'est la solitude ? Alors je réitère ma question, peut-on vraiment être heureux seul avec soit même ? Alors oui il reste les amis la famille et les collègues pour combler l'absence d'une relation de couple. Mais est-ce équivalent ? Quand tous vos amis et votre fratrie finiront par fonder leur famille loins de chez vous, quand vos parents finiront par quitter ce monde, penserez vous toujours la solitude de la même manière ? On dit souvent il vaut mieux vivre seul que mal accompagné, mais vaut mieux t-il vivre seul que médiocrement accompagné ? Certes le compagnon n'est pas parfait, il y a pas mal de bas et quelques hauts, mais est-ce là pire que la solitude ? Ma réponse est celà dépend de vous, mais pour la majorité des être humain la dur vérité c'est que non. Tant d'hommes et de femmes qui reste en couple même si c'est souvent morose, peut être sont ils masochiste, ou peut être craignent ils d'avantage la solitude que les turpitudes de la vie de couple.
@@micksensei2259 saviez-vous que selon une étude britannique, les femmes âgées sont globalement plus heureuses après la mort de leur mari ? Pas parce qu'elles sont contentes de se débarrasser de lui mais tout simplement parce le poids de la charge mentale d'une femme est tellement élevé, que lorsqu'elles n'ont enfin plus que besoin de s'occuper d'elles-mêmes, leurs soucis diminuent considérablement
@@mmooiiiiiiiii : je ne sais pas si c'est une étude sérieuse mais c'est de mauvais goût. D'autant plus que cela peut s'expliquer par la maladie, les personnes vieillissante deviennent de plus en plus dépendantes et dans des pays où le système social est défaillant (comme dans les pays anglo-saxons) l'épouse comme l'épou qui est en meilleure santé se retrouve à prendre soin de leur compagnon, alors même que cela demanderait le travail d'un aide soignant ou d'un infirmier... Et si on rajoute à cela que du fait des métiers en moyenne plus difficiles exercé par les hommes leur santé se dégrade en général plus vite que pour leur femme, et bien ce sont elles qui prennent le plus souvent cette charge trop grande par amour. Cela n'est pas comparable à un couple ordinaire en bonne santé.
@@micksensei2259 j'ai 26 ans, je n'ai jamais été en couple. J'en ai souffert de mes 12 à 24 ans. Je suis extrêmement heureux depuis que j'ai appris à m'aimer! C'est d'ailleurs pour ça que je ne me suis jamais mis en couple, je ne pouvais pas aimer une femme avant de m'aimer moi. Je penses qu'on peut être heureux seul, mais avec des amis.
Peut-être que ce modèle dit "traditionnel" plait et convient à certaines personnes, ces personnes doivent être respectées pour cela. Je suis contre la deconstruction pour tous, c'est chercher à conformer des personnes qui ne se sentent pas à "l'aise avec le modèle dit "moderne".
Très bien dit! C'est comme avec le système (notre société). Être anti système, ou devenir communiste parce qu'on se sent mal dans la capitalisme n'est pas forcément la solution. "L'inverse" d'un schéma malade sur le plan théorique, n'est pas forcément un schéma sain.
@@Vevemusic la deconstruction c’est une remise en question qui t’assure juste de faire tes choix pour toi même et en connaissance de cause, il ne s’agit pas d’adopter un mode de vie spécifique
@@jemecalmesijeveux9440 une forêt qui pousse fait moins de bruit qu’un arbre qui tombe. On entend juste + parler des tocars mais je pense vraiment qu’il y a de bonnes personnes que des mauvaise (quand il s’agit d’infidélité caché bien sûr)
J'ai 61 ans, j'ai vraiment percu la liberte sexuelle et ce qui se oasse actuellement comme des injonctions. Quand jnetais adolescente on nous teaitait de ''cathos'' si on resistait a ces ideologies, meme si tu n'etais jamais alle dans une eglise. De nos jours on est traité de ''mono''. Ce qui me derange c'est la materialite de xes choses, le cote aussi de devoir etre ''bousculé'', je ne voulais pas non plus d'un couple organise autour de roles sexues, de la famille et des enfants. Je trouve que les gens ne reflechissent pas a ce qu'ils veulent c'est piur ca qu'il y a toutes xes ideologies.
La vie en commun, et d'autant plus la vie à deux, n'est pas le naturel de l'homme moderne. Entretenir son couple demande un travail quotidien et une implication émotionnelle que notre mode de vie contemporain rend particulièrement difficiles, je trouve, et les confinements n'ont fait que renforcer ce principe. Je vois autour de moi de nombreux couples se désagréger à petit feu et j'assiste à la mort du couple de mes parents depuis plusieurs années maintenant, sans savoir quoi faire, terrorisé par l'idée que ma propre relation puisse finir ainsi.
Dans mon couple, le confinement a été une révélation. Hétéro, exclusif, on a une petite fille mais on n'habite pas ensemble usuellement pour nos études. Télétravail, on en a profité pour se rapprocher physiquement et moins se prendre la tête sur les questions materielles. On a pris le temps de vivre ensemble.
Vivre avec soi même, et si l'on ne s'aime qu'à travers le regard de l'autre. Vivre avec soi même, et attendre la voisine pour boire un verre Vivre avec soi-même et chercher un jouet pour cette nuit Il me semble qu'il faut prendre le temps, enfants travail... Et vers la cinquantaine ou plus, nous avons un recul, un savoir faire, une écoute, un peu d'humour et de désordre. Être plus souple, plus philosophe, en fait plus cool....
Combien de vies sont détruites et d'enfants traumatisés par l'égoïsme de parents qui voudraient simplement retrouver leur jeunesse en étant à nouveau à la mode... On met toujours la construction de ce schéma sur le dos des hommes Et toutes les femmes qui s'y retrouvent seraient aujourd'hui opprimés et victimes de ces relations dites "standards" et devraient s'en libérer Faites ce que vous voulez tout simplement, ça évitera de vous faire du mal à vous et votre entourage
J'ai remis la monogamie en question pendant des années, après de multiples échecs amoureux, sensations d'être malheureuse... Jusqu'à ce que je rencontre la personne avec qui je partage ma vie actuellement. 3 ans de vie commune, dans le respect, dans la communication, sans l'injection sexuelle et la pression qu'elle engendre... Beaucoup de remise en question. Nous sommes tous les deux des personnes épanouis SEULS avant d'être ensemble. Et j'ai envie de ce schémas classique d'avoir des enfants, une maison ensemble et vieillir à ses côtés pour la première fois de ma vie. On se laisse la liberté nécessaire à tous les deux. Et j'espère que tout cela va durer. Des années encore. Et si c'est pas le cas, alors tant pis
la societe tend de plus en plus vers l'individualisme (MON bonheur, MA carriere, MA sexualite, MES besoins) alors que d'etre en couple et encore plus avec des enfants c'est avant tout un sacrifice de soi.
Se sacrifier n'est pas la solution selon moi. Lorsqu'on est malheureux, les enfants le voient et si on se sacrifie pour les préserver, ça leur met une dette sur les épaules et ça leur donne un mauvais exemple pour la suite de leur vie. Moi je ne veux pas que mes filles plus tard se sentent redevables vis à vis de moi de m'être sacrifiée pour elles, et je ne veux pas qu'elles se sacrifient à leur tour et soient malheureuses. Vouloir être heureux est légitime, être un peu égoïste est vital. Il faut juste mesurer le pour et le contre, pour soi : si je reste en couple avec cette personne, est-ce que ça m'apporte plus que si je me sépare d'elle?
@@gaelleb.3718 Je trouve ce discours, que l'on entend partout, assez dangereux. Sous prétexte de ne pas montrer un exemple de "sacrifice" à ses enfants, on détruit leur famille. On détruit leurs fondations, ce qui est pire que d'avoir vu sa mère un peu frustrée (qu'elle aille voir ailleurs en cachette si ça lui chante, mais qu'elle ne bousille pas la vie de ses enfants). Le premier besoin des enfants est une famille stable. Du moment qu'on ne se fait pas tabasser, je ne trouve pas de justification à tout détruire. Ma famille a été détruite par le divorce, et par l'immaturité de nos parents. Nos relations avec notre père ont été durablement altérées, ce qui engendre des problèmes encore aujourd'hui à l'âge adulte. J'aurais préféré que ma mère se sacrifie un peu plus pour ses enfants, qu'elle avait choisi d'avoir après tout. Nous aurions eu une enfance beaucoup plus heureuse, même avec une mère frustrée.
Et ben j'ai fais une grosse 🙏🏽 au bon Dieu et à Saint Tanguy 😇qui est le saint du jour, et Doudou a fait tout ce que je ne voulais pas faire! En prime il a eu un gros bisou et ce soir il aura une petite récompense, s'il continue à bien se tenir!🤣💐Merci mon Dieu, merci Saint Tanguy!🕊
La question que je me pose c’est est-ce que les gens qui sortent du schéma traditionnel du couple sont heureux ? surfent ils sur une vague de voguer constante où font face à des hauts et des bas comme tout le monde ?
Effectivement, très bonne question. Pour moi il y a une pathologie du lien en général, on n'arrive plus à avoir des relations epanouissantes, de couple ou autre d'ailleurs, et la solitude devient le refuge de ces êtres ne sachant plus créer de liens 😢
Lisa c'est un peu l'amie de ta femme mariée et divorcée plusieurs fois qui vient expliquer à ta femme que " la vie de couple c'est nulle donc divorce". Donc sans se rendre compte elle te crée une nouvelle norme en te disant qu'il faut briser les normes. Bref chacun doit trouver sa voie sans se préoccuper des normes.
Les models traditionnelle ne correspondent pas à tout le monde et sont basé autour de la satisfaction masculine. Il existe des femmes à qui ça ne convient pas et veulent vivre pour elles. Les deux peuvent coexister, votre condescendance est bien dommage, ce qui fonctionne et est important pour vous n’est pas forcément pareil pour votre voisin. C’est dommage de vouloir imposer votre manière de fonctionner et concevoir vos relations aux autres. Nous ne vous forçons pas à suivre une autre manière de faire, seulement on vous informe que d’autres options existe. Agissez de même en respectant les autres s’il vous plaît. C’est du savoir vivre. Si jamais vous souhaitez vous informer et ne pas rester idiot(e) je vous conseille le podcast « le cœur sur la table ». Belle journée à vous en souhaitant que vous réussirez à apaiser votre cœur bien aigri.
Pour ceux qui imagine que la seule alternative au couple, c'est l'absence de lien aux autres, ou encore que questionner le couple, c'est aller contre notre nature de singe, je tiens à préciser que des alternatives au couple monogame, il y en a plein. Les plus évidents sont la famille polygame et la famille élargie, mais on pourrait également envisager des sociétés organisées en clans, en tribus, en corporations (imaginez des situations où un enfant souhaitant devenir agriculteur soit pris en charge par des groupes reconnus capables de lui apprendre l'agriculture), en hordes, en monastères... Au bout de la déconstruction du couple monogame, il se pourrait donc bien qu'il y ait la constitution de nouvelles institutions sociales. On peut encore varier les organisations en jouant sur la composition des genres des gens (on peut ajouter autant de genres qu'on veut et organiser une société de pleins de manières différentes avec), ou encore sur leur biologie (notamment, les questions de génie génétique, de transhumanisme, de robotique...).
Des pistes de réflexion fort intéressantes. Toutefois à combiner avec la dureté d'un monde de plus en plus contraint, voire effondré, et de plus en plus rigide voire obscurantiste sur le plan religieux.
@@sobova1703 Alors, oui, évidemment, là la question est de questionner ce que les relations humaines devraient être, il y a toute la question de comment on met fin à des oppressions de manière raisonnablement simple avec les outils qu'on a à notre disposition. Après, si je pense que je serais toujours d'accord avec ce que j'ai dit il y a deux ans, mon point de vue sur le podcast et le féminisme en général n'est plus tout à fait le même, notamment parce que depuis, je me suis révélé transgenre (non-binaire, assigné homme à la naissance) et que je me suis pas mal politisé comme anar (ou plutôt, je me suis rendu compte que j'étais politisé, ou un peu des deux). Du coup, c'est assez drôle de revenir sur ces vieux commentaires. Je ferais beaucoup plus attention au paradoxe de l'intolérance aujourd'hui, et de ne dirais pas qu'on puisse envisager des solutions consensuelles au patriarcat. Construire une nouvelle société, c'est pas juste un débat, ça implique que l'on renverse les rapports de pouvoir pour tout mettre à plat et imposer une égalité. Savoir ce qu'on veut demandera de longes discussions, et la reconnaissance de plusieurs communautés, mais sur ce qu'on ne veut pas, on a largement de quoi se mettre ensemble et faire pression.
Cette obsession pour la quête du bonheur est un carcan intellectuel bien pire, que celui de la famille nucléaire. C'est elle qui pourrit tout! Nous recherchons le bonheur à travers nos relations? comme si une quelconque chose pouvait nous l'apporter de façon durable... Le seul résultat c'est que le bonheur nous échappe (comme il le fait toujours), tout comme nos relations devenues périssables.
Peut être avant de « repenser » comment un couple devrait procéder, il serait bon d’offrir un historique des raisons pour lesquelles les hommes et les femmes ont cette envie de se mettre en couple? Ce n’est pas uniquement pour des raisons de construction sociale. Et l’auteur qui pense qu’être en couple avec soi-même devrait être examinée par un expert psychiatre pour déterminer son niveau d’égoïsme... l’espèce humaine est avant tout une espèce sociale. Donc, le besoin et l’envie d’aimer autrui est ancrée dans notre biologie. Ce qui est pathologique est le désir de ne pas former de lien affectif puissant avec autrui sur le long-terme. Ce genre de personne souffre souvent de la peur de l’échec...
L'être humain n'est pas monogame. Il y a en effet une réaction hormonale qui fait qu'on a un désir d'exclusivité durant les 2-3 premières années, mais rien au delà n'indique une monogamie sexuelle et affective telle qu'on nous la présente. De fait, les relations sont plurielles et divers. Il suffit de faire un micro trottoir avec la question "qu'est ce que l'exclusivité ?" ou "quest ce qui est de l'infidélité" pour se rendre compte de l'inconsistance des notions qui définisse le couple dans notre sociétés. Quand les limites sont aussi floues et nuancée, ce n'est ni intemporel ni universelle, c'est qu'il y a de bonne chance que ça soit très largement influencé par des conceptions sociales. Bien des sociétés d'ailleurs ont ou avaient des organisations sociales très différentes, sans famille nucléaire (où par exemple la communauté prend en charge les enfants de tout le monde de manière indifférencié), où la monogamie, si elle existe, se manifeste très différemment. De même, contrairement à cette triste idée que vous semblez partager, la relations sécurisantes et épanouissante se construisent au delà du couple aussi; nous pouvons avoir des amis, des parents, des frères, de soeurs, etc Concernant les accusations d'égoïsme, je pense qu'il est bien plus égoïste d'attendre de ses relations qu'elles nous amènent le bonheur que de chercher en soi pour le trouver et ainsi voir ses relations comme un plus plutôt que comme un besoin à combler. J'ai jamais pu adhérer au couple moderne, parce que justement pour moi c'est on concepts qui transpire l'égoïsme; on exige et impose des choses de l'autre par principe, on le bride (exclusivité sexuelle, sentimentale, présenter à son entourage, habiter ensemble, partir en vacances ensemble), , sans jamais se questionner sur ses réels envies et souhaits, sa véritable intériorité, ses failles, ses insécurité, ses blessures, ses rêves, son individualité quoi.
Ce qui me pose question dans la plupart des modèles de couples non monogames c'est qu'est-ce que deviennent les personnes collatérales, surtout si c'est construit quand même autour d'un seul couple entre deux personnes. C'est ça qui est difficile je trouve. Mais c'est vraiment intéressant comme remise en question...
L'amour c'est un triangle avec trois points indispensables, sexualité, amitié et responsabilités. C'est clair que une génération coincée dans son crise du développement oral-anale ne devront jamais devenir une génération qui est capable assumer la responsabilité et profiter de l'amour sur trois pieds. Car la société infantile se manipule mieux. Assumer son choix et évoluer dans son développement psychologique et compris à deux au lieux de régresser.C'est clair qu'il faut déjà reconnaître sa propre responsabilité et définir ses propres limites.Transformer ou lieux de détruire c'est mon choix. Choisir et assumer je prend dans mon panier.Merci pour cette réflexion💞.
je ne comprends pas le besoin actuel de deconstruction. De tout.. d'ailleurs.. deconstruction du couple, de la famille, de la societe, de l'education, de l'histoire etc.. deconstruction qui sonne plutot avec destruction...
La majorité des couples se sentent bien et sont heureux ensemble, voilà la raison, il faut déconstruire le bonheur des gens, parce que des gens heureux ne consommes pas beaucoup. Un couple séparé, c'est deux maison, deux voitures, deux lits par enfants, etc...
@@teddyboyat3109 : Comment ça égalitaire, les riches seront moins riches et les pauvres seront moins pauvres ? Il faut déconstruire ce qui ne fonctionne pas, comme la pauvreté par exemple, je vous promet que ça ne rend pas les gens heureux, donc déconstruire les inégalités financière, oui. En revanche, déconstruire la familles, le fait de faire des enfants, je trouve ça ridicule puisque c'est ainsi que l'humanité s'est faite, comme tout les animaux.
Je pense que pour les femmes il y a un énorme boulot de déconstruction d ' une tonne de clichés qui nous écrasent. J ai 52 ans et j ai toujours vécu en couple. ( différents couples ) et depuis quelques années j' ai décidé de ne plis vivre en couple et ne plus espérer qui que ce soit de ce côté là et je me rends compte à quel point le couple me prenait tout ! À quel point mon temps était consacré à faire notre nid un truc love- love sympa bobo.. à accueillir les potes , à être la nana sympa à ses yeux.. etc. Je sais pas comment dire : à jouer le rôle de la nana en couple . Enfin bref quel temps perdu pdt lequel j ' aurais pu faire ce qu ' aujourd'hui je peux choisir. Même sexuellement je me rend compte que les hommes aiment avoir une femme avant tout pour pas se retrouver en manque sexuel . C' est tout .
Personnellement j'ai beaucoup questionne la question de la monogamie, et en fait je pense que je serais incapable d'accepter que mon conjoint aille voir ailleurs, ou expérimenté d'autre chose avec d'autre comme je serais incapable d'aller voir ailleurs, ayant des instruit beaucoup de chose dans ma vie celle ci est pour moi la plus compliqué/ impossible à faire, je ne me vois pas autrement que dans une relation monogame
Je me cherche encore mais ayant tenté le couple monogame plusieurs fois, je dois dire que ça ne m'a jamais convenu ... Pour moi, l'injonction à la fidélité c'est surtout source de culpabilité. Ben oui, où commence un comportement déplacé? Un regard ou un calin un peu trop long c'est déjà beaucoup ... Et en quoi le fait de désirer quelqu'un d'autre est mal? Mon désir d'un autre n'a rien à voir avec la morale. Par contre, blesser l'autre c'est immoral. Je conçois que ça peut être douloureux pour l'autre si cette règle est un pilier du couple. Donc, dans mon couple, il n'y a plus cette règle, à la place il y a des discussions, de l'honnêteté et des hésitations. Pas facile de trouver la bonne formule. J'ai du mal à concevoir que l'on pluisse être avec quelqu'un, tromper cette personne et par conséquent risquer de la blesser, et pourtant continuer. Mais j'ai vu ce shéma autant voir plus de fois que des couples authentiquement fidèles. Dans tous les cas l'amour n'est pas le problème, mais la notion de fidélité ne convient pas à tout le monde.
Le "couple" : sujet extrêmement complexe et par essence multifactoriel. Les catégorisations ici seraient très mal venues car complètement à côté de la plaque. Chaque individu dans son histoire verticale et horizontale est différent donc la complexité du couple est proche de l'infini.
Je comprends ce besoin de recherche de bonheur qui pousse à sortir de la norme "hetero-beauf". Mais c'est aussi un déni et l'expression de l'illusion du bonheur stable. Le couple et la relation avec autrui,dans l'altérité est probablement le laboratoire le plus fantastique et réel de la vie. Le couple avec soi-même est une réponse, une construction. A la base est toujours là relation, l'autre, la famille. Ça n'empêche que l'image sociale du célibat reste à être embelli. Le célibat c'est génial, le couple aussi. Les trucs intermédiaires sont souvent expression de déni, de peurs inavouées..
Je comprends pas le lien entre vieux modèle et hétérosexualité. La question c’est le couple pas l’orientation. Pcq rester en couple et se forcer à le rester en couple homosexuel c’est ça la modernité ?
Ayant beaucoup souffert des deux séparations et multiples déménagements de mes parents, de leur haine mutuelle, j'ai une vision assez catastrophique du couple depuis toute petite. Pour moi le couple est synonyme d'une dégradation et d'une lassitude inévitable, d'un emprisonnement mutuel. Il y a aussi l'aspect "travail" du couple qui me dérange, l'idée qu'il faudrait l'entretenir car l'amour ne suffit plus. Pourtant cette idée "le couple est une vieille voiture d'occasion qu'il faut réparer tout au long de sa vie" apparaît comme une solution. Pour moi c'est d'un ennui profond et tout sauf naturel. Mais j'essaie de déconstruire cette vision là. Néanmoins, en ce qui concerne les enfants, je pense qu'une solution possible pour à la fois être femme/homme et parents c'est de dissocier les deux. Pourquoi pas faire un enfant avec un ami de longue date avec qui on partage l'envie d'avoir un enfant et l'éducation voulue pour l'enfant. Cela supposerait vivre séparément mais à proximité pour le bien de l'enfant, et se voir ensemble en tant que famille ou tous les deux en tant qu'ami. De fait on dissocie notre rôle de femme/homme et celui de parent, sans oublier un des deux rôles. L'avantage aussi c'est que les enfants ne peuvent pas souffrir de la mauvaise entente des parents puisqu'ici ce sont des amis. Les parents ne sont donc pas confrontés aux problèmes de couple. Sans compter que les enfants ne souffriront pas de la séparation puisqu'elle a toujours été là. Et une semaine sur deux l'un des parents est libre professionnellement et sentimentalement dans sa vie. Enfin bref je réfléchis de plus en plus à cette façon de voir mon rôle de femme et de mère. Cela peut paraître complètement étrange mais on a tous un passé différent avec des choses que l'on ne souhaite pas reproduire pour soi et ses (futurs) enfants. L'avez-vous déjà envisagé voire même appliqué ? Bref les avis m'intéressent.
La vie est pour l'essentiel du travail, rien au monde ne demande jamais l'application à la tâche, c'est le biais de l'économie qui fait penser que tout est à portée de main, il n'en est rien. L'accession sans la tâche au moyen de subsistance (sens large, je parle aussi la substance de la relation amoureuse) est possible que dans un contexte fortement périssable, celui de l'économie actuelle. Je partage ta vision sur le fait d'élever un enfant en foyer séparé, on revient aux systèmes ancestraux où l'éducation de l'enfant se faisant d'avantage par la tribut que par le foyer, c'était particulièrement fonctionnel. On continue comme ça dans l'idée avec l'éducation nationale, avec la spécialisation et la réduction des figures éducatives; moins d'adultes dans la cour de récrée que dans la tribut. Le soucis avec cette approche est de mettre à la marge l'enfant élevé dans un tel contexte puisqu'il n'a aucun pouvoir sur les normes sociales et sera jugé (et auto-jugé) sur les préceptes communs, donc y'a un risque qu'il subisse cette situation (conflit mimétique). À moins de grandir dans un milieu clos où tout le monde vit comme ça, comme le feraient les Amish.
@@slals merci pour ton commentaire super intéressant. Je comprends ce que tu dis dans le dernier paragraphe et en même temps, est-ce que c'est réellement possible de grandir sans se faire juger sur quelque chose ? Je doute et en plus, ça forge. Et je pense même qu'en grandissant et en voyant ses camarades être tristes parce-que leurs parents ne s'entendent plus ou se séparent, il se rendra peut-être compte de la chance qu'il a. Bien sûr cette façon de voir le foyer et la famille n'empêche pas d'être un mauvais parent ou que l'enfant soit malheureux. Mais je pense sincèrement que c'est le meilleur équilibre pour l'enfant d'avoir un foyer séparé, à condition que tout soit fait pour que ce soit pratique pour lui, et qu'il se sente bien dans les deux foyers et non dans une situation d'instabilité. Mais ce sont des problèmes auxquels on n'échappent pas qu'on soit parents séparés ou parent-ami. C'est possible effectivement que l'on revienne à la forme ancestrale de la famille, ou en tout cas que cela se développe ! Mais je n'avais pas fait le rapprochement avec la forme familiale du passé. Par contre, ça suppose d'avoir les moyens pour que les parents puissent s'équiper en double, ce qui n'est pas très écologique en plus :/
J'ai depuis quelques semaines exactement les même réflexions que vous. Fille unique de parents divorcés, j'ai enchaîné les relations de couple de plusieurs mois à plusieurs années mais ça ne marche pas car il y a cette pression de la famille, vivre ensemble, fonder une famille, c'est trop stressant et ça gâche l'amour, sa spontanéité, sa légèreté. Alors oui, effectivement, pourquoi ne pas avoir d'enfant avec un ami ? J'ai l'impression que cela me soulagerait d'une grosse pression qui tue le couple.
J'ai 4 filles dont 3 de am première conjointe et la dernière (6ans). Je suis séparée de mes deux ex conjointe mais je dois dire que la dernière, nous vivions chacun de notre côté et a la fin dans un climat convivial qui perdure. Je vois la différence avec ma dernière fille et mes premières par la. Je veux dire qu'importe dans votre idée que cela soit un ami ou un amoureux, tant que le lien - couple parental est serein. Pour moi, plusieurs couples peuvent marcher parallèlement : le parental , l'amoureux, le spirituel, professionnel (j'ai mon associé depuis 25 ans:)
Pourquoi faudrait il forcément se "déconstruire" pour être heureux ? J'ai l'impression que l'auteurice mène une vie qui lui convient, elle a la "chance" d'avoir une vie de famille qui semble équilibrée , des enfants aimants, un mari ouvert. Bref c'est pas un peu de manière globale le problème de la société occidentale ? À force de tout avoir à sa disposition, en abondance, on oublie l'essentiel et on se crée de faux problèmes pour se sentir exister ? Et si la solution ce n'étais pas : chacun fait ce qu'il veut. Si certains sont heureux dans une vie de famille "classique" mononucleaire, d'autres dans une vie de polyamour ou l'échangisme, grand bien leur fasse :)! Pourquoi chacun ne pourrait il pas juste vivre comme il se sent le mieux ? On dirait que l'auteurice culpabilise de ne pas être assez "woke" pas assez ouverte, pas assez moderne. :/
Je ne comprends pas pourquoi on devrait tout "déconstruire". Si on est bien comme ça, et bien on reste comme ça. Les humains appartiennent à des sociétés ayant des codes, et c'est normal, il n'y a pas toujours besoin de tout casser.
Si j'ai sauté sur ce podcast, c'est que je viens de m'engueuler avec Doudou, ! J'ai eu le malheur de dire NON et avec moi quand c'est NON c'est NON, c'est pas négociable!🤣 Je vous dis pas les hurlements de "Doudou" et les reproches en cascades , mais j'en profite pour poliment remettre les pendules à l'heure et je ne recule pas d'un pas, j'attends que ça se calme, mais je ne ferai pas ce que je ne veux pas faire, attention, les hurlements de Doudou et ses reproches injustes, il faut contrer, mais surtout faire très attention à ce que l'on dit ,ne pas faire de reproches en retour, et ne pas s'exposer dangereusement aux coups! C'est arrivé...TOUS DES MACHOS ET DANGEREUX, or il faut impérativement vivre sa vie de femme, comme on l'entend, il y va de son intérêt et de l'intérêt de toutes et tous.Merci Arte 🧙🏽♀🐈🦉🙏🏽🕊
Le couple classique est une recette qui fonctionne. Le fait que les deux parents soient ensembles jusqu'à l'âge adulte de leurs enfants et qu'il étalent leur éducation sur tout le long de cette durée permet aux enfants un meilleur développement et stabilité mentale. Détruire ce couple classique reviens a détruire une société, les autres peuples qui garderont cette recette créeront des générations plus solides capables de survivre au futur. Il faut pas oublié que le monde n'est pas un lieu de paix et d'arc en ciel, les temps de guerre sont aussi fréquent que les temps de paix.
Résumé : un couple est au lit. Monsieur regarde on ne sait quoi sur un ordinateur ; madame lit un livre sur King Kong en rêvant d'un fringant officier.
Pourquoi pas la multiplicité mais ...pas compatible avec le fait d'avoir des mômes. Et même sans enfant, la jalousie et la possession pèsent très lourd.
La variétoche ça c'est sûr faut arrêter d'écouter , déprimant ! Écoute Saez par exemple Moi mieux je comprends ce qui m'entoure , mieux je me sens Mariée 2 enfants majeurs Un couple qui n'a quasiment jamais fonctionner Pas grave ! Au fond je pense que je n'ai jamais été faite pour vivre en couple Et aujourd'hui toujours dans ce couple je vis en solitaire et on n'aime ça . Pour moi c'est ça mon bonheur Un échange dans lequel on se fiche royalement la paix !
C'est sûr que les films et chansons d'amour c'est une horreur... Je me rends de plus en plus compte à quel point ça fait du mal, cette vision complètement fausse de ce que doit être l'amour...
Enfoncer des portes ouvertes... Je n' ai pas trouvé le reportage intéressant, assez neuneuf et simpliste. Puis le therme hétéro bof utiliser à tout vas , sa décrit clairement la médiocrité intellectuelle de ce reportage.
37:32 "qui n'arrive plus à être un parl-être, un être tout entier de paroles" (Pierre Zaoui)... Ouch... ça donne vraiment envie ça? dans un monde déjà si bruyant de blabla futiles, a-t-on vraiment toujours besoin de remplir le vide de paroles ? la richesse ne serait-elle pas d'arriver à partager ensemble du silence, partager des moments de grâce et de paix ? Ce n'est pas parce que Pierre Zaoui juge que les couples au restaurant qui ne se parlent pas sont des couples malheureux, que cela est vrai. Mais peut-être sont-ils les plus heureux car satisfaits du moment présent (le partage d'un bon repas ensemble). Et n'ont nul besoin d'autre distraction ou de remplir le vide de small-talks insipides, non ?
Les couples LOL, la plus belles utopie et pertes de temps. Ils n'y a plus que des personnes débauchés et les sois-disant "couples ouvert" la nouvelles tendance depuis une décennie, ou des personnes mariés,... brefs je suis fermé à tous, mieux vaut rester concentré sur le boulot et se fermé à toutes proposition, il n'y a plus rien de valable.
Nul. En resumé, on n'est jamais content avec rien, traditionnel ou libéral. Je pense que c'est plutôt subjectif et propre à ton histoire personnelle. Il y a des gens qui voient tout comme un fardeau. C'est triste.
Rien de tel que de se poser ces questions pour meubler la vacuité de son existence. Un vrai tue l'amour ce questionnement incessant...et d'où vient cette obsession à tout vouloir déconstruire ? Faudrait penser un peu à construire à la place... histoire d'avancer !
@@reaktiv1408 : Exactement, construisons, valorisons la famille, le fait de faire des enfants et de les élevé à deux, dans de bonnes condition, avec leur papa et leur maman, pour qu'ils deviennent à leur tour de bonnes personnes. Mais non, il faut déconstruire. Je pense que ceux et celles qui veulent déconstruire ne doivent pas être heureuses, c'est évident. Mais moi qui suit heureux, heureux en couple, heureux en tant que papa, est que je peux garder ce monde, celui qui a conçus toute l'humanité ?
Vos vies sont intéressantes pourquoi mettre de la lumière sur ces gens, mais surtout pourquoi Arte continue a donner du crédit à ce genre d’exemples de médiocrité crasse ?
La jeune génération après avoir vu leurs parents se séparer ou vivre ensemble dans la mauvaise entante, ne croit plus beaucoup au couple voire à l'amour qui dure. Alors quand je vois votre définition du couple, ça me rend morose sur quelque chose qui ne m'est pas encore arrivée.
Les humains sont pourtant fait pour vivre à plusieurs et concevoir une famille, comme beaucoup d'animaux. Je pense que si il y a une décomposition, c'est qu'il n'y a pas remise en question de soi, pas de dialogue, pas assez d'intelligence. C'est pour ça que certains couples s'en sorte à merveille, et d'autres s'écroule. On va dire que c'est la sélection naturelle qui continue son oeuvre, pour que chaque personne en capacité de faire couple puisse accéder à la descendance.
C'est malheureux de voir une si médiocre émission sur votre chaîne Arte que j'apprécie beaucoup d'ailleurs Déjà peu de paroles données aux hommes .. peu de paroles données aux couples hétéro traditionnels .. le semblant de "j'ai raison car j'incarne le rejet du traditionnel" .. ect .. ect .. ect .. C'est tellement médiocre que ça m'a fait vraiment doute que j'étais sur la chaîne "Arte" .. Mais ça a le mérite de montrer que si on est en crise !!! De compréhension du sujet déjà ..
Il faut ajouter Cette structure a été imposée par l'église d'abord puis par les politiques pour créer la famille Faire bosser l'homme pour nourrir sa famille Voir avec des histoiriens!!!!!!
C'est bizarre cette question introductive de je suis très bien dans ma vie avec mon modèle monogame mais comme c'est beaucoup trop mainstream peut être que je pourrai être plus heureuse dans une autre configuration... Ça fait un peu penser à de l'optimisation de bonheur personnel parce qu'il faut rentabiliser la vie que j'ai YOLO. A mon avis il faudrait plutôt déconstruire cette idée de maximisation de bonheur perso et si t'es heureuse dans ta vie avec ton mec et tes enfants c'est déjà bien. Dixit une polyamoureuse a moitié au chômage xD
"Tout couple n'est connais qu'une valeur morale, la obligation de se parler" ... Une phrase très belle à retenir ♥️
Ca pose les bonnes questions même s'il n'y a jamais de réponse idéale :) Il faut accepter que la nature humaine est trop complexe pour vivre sans aléas.
Bonjour, je trouve ce questionnement très prégnant à notre époque, notamment dans ma propre vie et dans mes conversations avec de nombreuses personnes, autour de la quarantaine et plus jeunes. Pour ma part, une profonde et relativement lente, ainsi que par moments douloureuse déconstruction du modèle très idéalisé du couple, plutôt hétérosexuel avec enfants, de la famille, avec cette image de cocon, chaleureux, réconfortant et rassurant.
Ne plus répondre à ce modèle a pu être une grande souffrance et source d'angoisse pour moi, et l'occasion d'un nécessaire "deuil".
Plus j'avance dans ce cheminement, plus je trouve en moi-même ce réconfort, cette chaleur humaine, cette paix, tranquillité que le lien avec l'autre m'apportait avant.
Pour ma part, ce qui est très personnel, ma dépendance au modèle du couple au long cours (monogame ou "libre", ou plutôt : exclusif ou non) a été très liée à une insécurité intérieure profonde dont je n'avais pas conscience.
Aujourd'hui, plus j'accueille mon "vide intérieur", plus je me sens bien avec et dedans, et moins je ressens le besoin d'avoir un.e ou des partenaire.s amoureux.se.s/romantique.s/sexuel.le.s, ou la douleur, tristesse, frustration de ne pas en "avoir".
C'est un cheminement en cours, avec énormément moins de certitudes à mesure que je le suis... J'ignore où il me mènera.
Pour le moment en tous cas, je suis très contente, ressens une vraie joie, soulagement, et une pointe de fierté quand je peux répondre que "je n'ai personne dans ma vie" (si c'est la tournure que la question a prise. Je l'ai vécu hier), ou que "je suis seule".
Pour moi, c'est l'illustration que je vais mieux, et que j'ai beaucoup "avancé, progressé" sur la voie de l'indépendance, de l'autonomie. Je m'en réjouis.
Pour autant, je ne rejette pas l'idée de rencontrer quelqu'un avec qui j'aurai envie de tisser une relation amoureuse à deux, sur la durée, autour de certaines valeurs communes, mais, plus j'avance, plus il m'apparaît comme évident que cette relation ne pourrait pas s'inscrire dans un modèle préétabli, mais devrait s'édifier de façon empirique, par choix successifs, en communiquant, en trouvant l'équilibre entre nos aspirations respectives, si on attribue à cette relation une valeur assez importante pour qu'elle influence certains de nos principes individuels.
Concernant les enfants, c'est effectivement une question centrale, je trouve. Ça pose la question de la déclinaison du couple, le couplé parental étant-il de nature à se "confondre" avec le "couple tout court"? On a déjà vu au cours de l'Histoire (selon les époques, les classes sociales aussi, les traditions, cultures, civilisations) qu'il n'y a pas de réponse unique ni universelle à cette question-là.
En tous cas je trouve sain et enrichissant que les questions se posent et que chacun.e puisse être amené.e à observer ses fonctionnements, pour pouvoir entreprendre de faire des choix plus éclairés, conscients, cohérents, intègres.
Merci pour votre contribution à cette réflexion.
Ta réflexion est très intéressante et pertinente.
Mais je trouve que justement même s'il n'y a pas un modèle familial préétabli, il y a des fonctions nécessaires dans chacunes des familles, ou plutôt dans chaque modèle familial.
Cette idée que la famille est un cocon chaleureux et réconfortant est la base même de la famille.
La famille est une société, et dans chaque société chaque individu doit se sentir en sécurité, utile, réconforter, et aimer.
Bien sûr, ce n'est pas une exigence "sine qua non" à ce qu'est une famille, ou ce qu'elle doit être.
Et j'ai l'impression que toi, dans ton cheminement, tu décides d'avancer "seule" tout en essayant de chercher tous les sentiments d'affection, de sécurité et d'amour que procure la famille au fond de toi.
Mais dès lors, il n'y a plus de famille, tu ne peux pas être une famille à toi toute seule, à moins que c'est justement cette conception que tu veux remettre en cause.
Mais dans ce cas est-ce une famille ? N'est-ce pas autre chose ???
@@a.casanovajean-pierre8178
Waw, merci, c'est très intéressant. Ça enrichit ma réflexion et c'est une belle mise en perspective.
"un cocon chaleureux et réconfortant", "une société [dans laquelle] chaque individu doit se sentir en sécurité, utile, réconforté et aimé" (je mets au participe passé, mais peut-être que tes infinitifs étaient intentionnels et ça fait sens aussi. De toutes façons, l'un implique l'autre entre membres d'une famille, telle que tu en donnes la définition).
Je n'ai pas regardé dans des dictionnaires la définition, ni l'étymologie du mot famille, et déjà, ça me donne envie de le faire, pour commencer et en effet bien situer ce dont il s'agit.
Ensuite ça me permet de mettre en perspective deux choses :
- mon ressenti actuel à propos de mon expérience ou mes expériences de la famille
- opérer un retour aussi objectif que possible sur ces expériences, afin de voir dans quelle mesure mon ressenti et les croyances que j'en tire sont justes.
Je n'ai pas encore de réponse aux questions que tu me poses à la fin. Je vais y réfléchir, laisser infuser.
Merci en tous cas, je sens que c'est l'occasion d'une ouverture et de mises à jour nécessaires dans mes perceptions et idées sur le sujet.
J'ai beaucoup apprécié le troisième paragraphe, qui retrace par effet miroir ma propre expérience avec une personne qui est devenue centrale dans ma vie, mais par spontanéité, discussion, confiance construite au fur et à mesure des expériences positives partagées ensemble. Rien n'est jamais acquis, tout est paramétrable (présentation à l'entourage, voyages ensemble, degré d'intimité sexuelle, émotionnelle, affective, exclusivité, etc) et doit se faire dans le consentement joyeux, pour peu qu'on en parle et qu'on s'écoute. Parallèlement, comme si c'était écrit, j'ai découvert l'anarchie relationnelle ce qui m'a permis d'enrichir mes relations, tant que mes questionnements et ma déconstruction intellectuelle d'un modèle qu'en réalité j'avais déjà compris, ne me correspond pas et me fera toujours plis de mal qu'autre chose. Parce que oui, c'est facile et rassurant de se laisser aller à l'idée du couple. Pourtant ce n'est qu'un leurre pour une terre de misère. C'est le couple, l'idée que je ne serait heureuse que aux travers de celui-ci, qui m'a rendu malheureuse. C'est le célibat en réalité qui m'a forcé à prendre conscience de ma propre valeur individuelle, de reconnaître que l'amour que j'ai pour moi même est bien au delà de l'amour que les autres me porte. Et le couple, avec son idée qu'on devrait remettre son bonheur dans les bras d'un.e autre est alléchant, mais c'est un terrible obstacle à cette auto satisfaction qui en réalité, paradoxalement nous rend réellement plus aimable, plus aimé et plus aimant, car quand nous aimons en dehors de l'idée de complémentarité, nous aimons sincèrement. Les autres deviennent des plus et non plus des besoins.
Et puis, à la remarque "tu es seule" on ne peut que rire, car non seulement entouré de tout son amour propre, on sait que l'amour ne se résume pas qu'à la personne avec qui on partage son toit, son lit. L'amour existe bien au delà; nous avons des amis, une famille, des partenaires, des soeurs et des frères de combats pour un jour, des voisin.e.s souriants, etc.
Souvent, on est même en réalité bien moins seul.e.s que les autres.
@@kerplunk1992liveOn peut aussi imaginer une vision du couple sortie de la codépendance, où chaque partenaire trouve son autonomie émotionnelle et est l'acteur principal de l'assouvissement de ses propres besoins. Je crois profondément que la connaissance de soi et l'accomplissement personnel ne sont pas incompatibles avec la relation de couple, mais il faut questionner et déconstruire les schémas relationnels normatifs. Le couple se construit alors par des choix successifs, où l'abandon de soi et la fusion avec l'autre ne sont plus recherchés, où les limites de chacun sont explorées, définies puis respectées, et où l'indépendance affective est encouragée et protégée.
@@elisabethgomes8370 Je veux bien, mais cela me semble compliqué en raison de l'historique de la notion et couple et même sémantiquement parlé. Une des raisons pour lesquelles je me dit anarel et pas en couple et pas PolyA, c'est parce que ce sont des statuts et par définition les statuts sont catégorisés. Si je peux être en couple en toute autonomie, alors forcément que la notion d'exclusivité disparaît (l'exclusivité de principe* étant une réduction de l'autonomie et du pouvoir d'être et d'agir), donc théoriquement je peux avoir des relations sentimentales, sexuelles, affectives romantiques ou qu'importe avec d'autres personnes. On est donc plus tellement dans un couple sémantiquement parlant puisque le couple veut dire "à deux", par définition cela intègre l'exclusion.
J'imagine bien que des personnes trouvent aujourd'hui le moyen de développer une autonomie suffisante dans le couple, mais cette autonomie par définition est limitée par le statut. Exclusif sexuellement ou pas, y a cette notion de limites et d'attendus.
Je trouve ce podcast vraiment triste à entendre. Tant mieux si les gens seuls sont heureux, c'est tout ce que je leur souhaite, sincèrement. J'aime tellement le couple, les traditions, les valeurs, la persévérance , la compréhension, la fidélité, l'homme et la femme sont superbement complémentaires. C'est tellement beau quand c'est partagé sainement. Aujourd'hui, les gens ne veulent plus aucune contraintes, sont impatients, dénué de valeurs, ils ne veulent que du plaisir et de l'instantané. Pourquoi donner une aussi mauvaise image du couple ?
ahh il y a plein de commentaires positifs et je m'attendais à un super podcast. Mais je suis restée sur ma faim. Rien de nouveau, pas de conclusion, tout à vrac
Je suis d’accord avec une bonne partie. Le couple doit se réinventer. Mariée depuis 11 ans, deux enfants donc dans les « standard » mais heureuse avec mes petits malheurs. Beaucoup de communication et bcp de liberté, nous permettent à chacun d’avoir notre place (sans forcément être seul). C’est clair qu’être seule, faire comme on veut ça peut faire rêver certains... mais on peut le faire dans un couple sain qui communique! Et on est des animaux sociaux on se construit aussi via nos liens. en conclusion laissez nous les comédies romantiques j’adore pleurer en les regardant !
Bref tu va coucher dehors avec d'autre gars...
Et merci pour le baratin
Être seul ça veut dire avoir des amis qui peuvent aider. Sinon être vraiment seul c’est la galère si il arrive quelque chose de grave
Je suis d'accord avec toi, même si je suis seule je pourrais faire ce que je fais dans un couple sain mais je n'ai pas rencontré la personne !
Je ne trouve pas que le couple soit une idéologie, en revanche la liberté sexuelle et la déconstruction le sont.
Grand merci Arte radio de nous enrichir chaque jour.🙏🏻
C’est vrai
Jolie composition merci pour ce bon moment
Trop stylé ❤️ La belle théorie du couple est une théorie vivante! Le mouvement est tout, et apparemment le dialogue et les marteaux piqueurs aussi!!
Je n'ai jamais été le type de femme qui cherchait des relations. Mais quand j'ai trouvé mon âme sœur, j'ai pas hésité du tout. Un amour très improbable (Chacun vivait dans un autre pays et on s'était rencontré en ligne mais sans app de rencontres) avec un historique plutôt chargé (plusieurs voyages pour aller rendre visite à l'autre; première fois, différences culturelles etc) , c'est la base même de mon couple actuel. Et c'est marrant car plus on entre dans la routine à présent, plus on se sent en sécurité.
Hâte de passer cette dure période de pandémie avec l'amour de ma vie. Cela sera notre second confinement. En espérant qu'il se déroulera aussi bien que le premier.
C' est beau, on dirait " les courriers du coeur" haha
Quelle chance ! Je vous souhaite tout le bonheur du monde. 🙏🏿😘
Que du bonheur ❤️
Merci à vous ❤️ je vous souhaite de trouver l'amour également
@@JustinDBKidrauhl 2 ans plus tard?
Ça y est c'est fini les foutaises?
Toi aussi tu étais dans une relation toxique avec pn ?
je me demande si passer du couple monogame malheureux aux variantes de couples autres c'est pas déplacer le probléme sans l'avoir fait avancer... on passe d'un "nous" monolithique et figé à un "je" qui peut être tout aussi monolithique.... et si une des solutions était d’arrêter de se percevoir et de percevoir les autres comme figés, mais de commencer à nous percevoir comme des êtres avec une identité (générale, pas que de genre) qui fluctue, évolue, mute, change. L'amour de soi et de l’autre et des autres serait alors l'amour de ce que l'on devient, de comment on évolue et pas une tentative de soigner des blessures narcissiques de l'enfance ou des lignées familiales... en tous cas c'est ma vision du couple :) et ça fonctionne pour l'instant (alors que banalement monogame et hétéro ! ha ha ha ! )
Très vrai !
@@Maëlys5673 c'est une observation très pertinente qui est partagée par un bon nombre de personnes qui comme moi se sont orientées vers la non monogamie.
J'y vois la définition et le cœur même de l'anarchie relationnelle : les relations sont avant tout vivantes.
:)
@@kerplunk1992live c'est drôle parce que justement je me pense anarchiste, mais pas sur le plan relationnel. Ou alors si ; en constant émerveillement et accueil de ce que je deviens et de ce qu'il devient. Quitte à un jour, peut-être, que ça se finisse. Mais aimer, c'est aimer au-dela de soi, non ? Merci pour votre réponse qui me fait réfléchir
@@Maëlys5673 Probablement, mais c'est un argument que satisfait totalement les deux bords. Pour moi, il est justement impensable de "restreindre" l'expression de l'autre, notamment de cellui que j'aime, donc je me vois pas mettre des règles et encore moins des règles de "principes" à mes relations, à celleux que j'aime.
C'est aussi pour cela que je suis assez d'accord sur le fait que ça ne résous en rien les "problèmes" inhérents aux relationnel. Simplement, le traitement qu'on en fait est différent et plus raccord avec certaines valeurs qui peuvent nous être très chères (pour moi l'authenticité, la congruence, la liberté et l'auto détermination).
Je suis tout à fait d'accord avec Marcela ! Il faut apprendre à être heureux seul avec soi-même, avant d'envisager de se mettre en couple, car ce n'est pas une fin en soi... C'est pourtant encore tellement difficile à entendre pour les hommes, la plupart ont besoin qu'on ait besoin d'eux, alors que je dis souvent à mon compagnon qu'il a la chance que je l'aime gratuitement, sans aucune attente, juste pour ce qu'il est, pas pour ce qu'il pourrait m'apporter...
C’est difficile car c’est dans leur nature de se sentir utile à quelqu’un et de se dépasser et se bouger pour cette personne. Ça se ressent profondément en eux cette motivation. C’est pas juste un caprice.
Hummm... Peut on vraiment être heureux seul avec soit même ?
Avez-vous déjà fait l'expérience de pensé suivante ? Imaginez vous seul, vraiment seul, pas d'ami, pas de famille, pas de compagnon de vie.
Pourriez vous êtes heureux ?
Savez vous que statistiquement les femmes mariées sont en moyenne plus heureuse en vieillissant ?
Et cela augmente en plus lorsqu'elles ont un enfant.
En tant qu'animal social est-ce étrange d'imaginer que notre bonheur dépend grandement d'autrui ?
Autres étude intéressante, un enfant élevé dans la solitude présente de très forte chance de développer de nombreux troubles mentaux.
Savez-vous que l'une des premières cause de souffrance chez les personnes âgées c'est la solitude ?
Alors je réitère ma question, peut-on vraiment être heureux seul avec soit même ?
Alors oui il reste les amis la famille et les collègues pour combler l'absence d'une relation de couple. Mais est-ce équivalent ?
Quand tous vos amis et votre fratrie finiront par fonder leur famille loins de chez vous, quand vos parents finiront par quitter ce monde, penserez vous toujours la solitude de la même manière ?
On dit souvent il vaut mieux vivre seul que mal accompagné, mais vaut mieux t-il vivre seul que médiocrement accompagné ? Certes le compagnon n'est pas parfait, il y a pas mal de bas et quelques hauts, mais est-ce là pire que la solitude ?
Ma réponse est celà dépend de vous, mais pour la majorité des être humain la dur vérité c'est que non. Tant d'hommes et de femmes qui reste en couple même si c'est souvent morose, peut être sont ils masochiste, ou peut être craignent ils d'avantage la solitude que les turpitudes de la vie de couple.
@@micksensei2259 saviez-vous que selon une étude britannique, les femmes âgées sont globalement plus heureuses après la mort de leur mari ? Pas parce qu'elles sont contentes de se débarrasser de lui mais tout simplement parce le poids de la charge mentale d'une femme est tellement élevé, que lorsqu'elles n'ont enfin plus que besoin de s'occuper d'elles-mêmes, leurs soucis diminuent considérablement
@@mmooiiiiiiiii : je ne sais pas si c'est une étude sérieuse mais c'est de mauvais goût.
D'autant plus que cela peut s'expliquer par la maladie, les personnes vieillissante deviennent de plus en plus dépendantes et dans des pays où le système social est défaillant (comme dans les pays anglo-saxons) l'épouse comme l'épou qui est en meilleure santé se retrouve à prendre soin de leur compagnon, alors même que cela demanderait le travail d'un aide soignant ou d'un infirmier...
Et si on rajoute à cela que du fait des métiers en moyenne plus difficiles exercé par les hommes leur santé se dégrade en général plus vite que pour leur femme, et bien ce sont elles qui prennent le plus souvent cette charge trop grande par amour.
Cela n'est pas comparable à un couple ordinaire en bonne santé.
@@micksensei2259 j'ai 26 ans, je n'ai jamais été en couple. J'en ai souffert de mes 12 à 24 ans.
Je suis extrêmement heureux depuis que j'ai appris à m'aimer! C'est d'ailleurs pour ça que je ne me suis jamais mis en couple, je ne pouvais pas aimer une femme avant de m'aimer moi.
Je penses qu'on peut être heureux seul, mais avec des amis.
Peut-être que ce modèle dit "traditionnel" plait et convient à certaines personnes, ces personnes doivent être respectées pour cela. Je suis contre la deconstruction pour tous, c'est chercher à conformer des personnes qui ne se sentent pas à "l'aise avec le modèle dit "moderne".
Très bien dit!
C'est comme avec le système (notre société).
Être anti système, ou devenir communiste parce qu'on se sent mal dans la capitalisme n'est pas forcément la solution. "L'inverse" d'un schéma malade sur le plan théorique, n'est pas forcément un schéma sain.
Je questionne tout ! Et cela paraît sein
@@Vevemusic comparaison idiote.
@@Vevemusic la deconstruction c’est une remise en question qui t’assure juste de faire tes choix pour toi même et en connaissance de cause, il ne s’agit pas d’adopter un mode de vie spécifique
Mais évidemment, il faut simplement savoir que le modèle proposé par la société, n'est pas l'unique modèle possible !
Je suis amoureuse de la monogamie et de la fidélité ❤️. Une vie différente ce serait une vie sans valeur pour moi
Malheureusement ce n’est pas le cas des hommes ,(hormis exceptions )et les hommes qui n’ont aucune chance physiquement..
@@jemecalmesijeveux9440 une forêt qui pousse fait moins de bruit qu’un arbre qui tombe. On entend juste + parler des tocars mais je pense vraiment qu’il y a de bonnes personnes que des mauvaise (quand il s’agit d’infidélité caché bien sûr)
Incroyable, merci pour ce podcast d'une immense qualité ! Vivement la suite 💜
J'ai 61 ans, j'ai vraiment percu la liberte sexuelle et ce qui se oasse actuellement comme des injonctions. Quand jnetais adolescente on nous teaitait de ''cathos'' si on resistait a ces ideologies, meme si tu n'etais jamais alle dans une eglise. De nos jours on est traité de ''mono''.
Ce qui me derange c'est la materialite de xes choses, le cote aussi de devoir etre ''bousculé'', je ne voulais pas non plus d'un couple organise autour de roles sexues, de la famille et des enfants.
Je trouve que les gens ne reflechissent pas a ce qu'ils veulent c'est piur ca qu'il y a toutes xes ideologies.
Clairement pas d'accord avec tout mais j'aime bien le dernier intervenant et sa conclusion sur le thème de la discussion. Enfin je crois...
0avenue de faire 0quelque l airmĺo maxôté m9o99o99999999mom To0 a ôoo 99ème à toi et et et mo9m90ô0
ça fait tellement de bien de vous écouter, vous êtes rassurant @arteradiopodcast MERCI
P
D'une très grande pertinence !!! Merci de partager votre questionnement qui fait écho ..... A très vite pour la suite
Être tout simplement
Être soi
Être entier
Les étiquettes, la deconstruction pour tous non merci
J'ai adoré ! Merci ❤
@arteradio encore un super podcast, lachez rien!
Trop fort!
Whouaw merci ^^
Quel bon podcast !!!!
💚💔❤️💜🖤💙💛
C'est extraordinaire.
Excellent👍
La vie en commun, et d'autant plus la vie à deux, n'est pas le naturel de l'homme moderne. Entretenir son couple demande un travail quotidien et une implication émotionnelle que notre mode de vie contemporain rend particulièrement difficiles, je trouve, et les confinements n'ont fait que renforcer ce principe. Je vois autour de moi de nombreux couples se désagréger à petit feu et j'assiste à la mort du couple de mes parents depuis plusieurs années maintenant, sans savoir quoi faire, terrorisé par l'idée que ma propre relation puisse finir ainsi.
Dans mon couple, le confinement a été une révélation. Hétéro, exclusif, on a une petite fille mais on n'habite pas ensemble usuellement pour nos études. Télétravail, on en a profité pour se rapprocher physiquement et moins se prendre la tête sur les questions materielles. On a pris le temps de vivre ensemble.
Vivre avec soi même, et si l'on ne s'aime qu'à travers le regard de l'autre.
Vivre avec soi même, et attendre la voisine pour boire un verre
Vivre avec soi-même et chercher un jouet pour cette nuit
Il me semble qu'il faut prendre le temps, enfants travail... Et vers la cinquantaine ou plus, nous avons un recul, un savoir faire, une écoute, un peu d'humour et de désordre.
Être plus souple, plus philosophe, en fait plus cool....
Je retiendrai le fait de se mettre en couplé avec soi même, très bonne idée cette façon de voir.
très chouette podcast. une réflexion intelligente. merci.
Combien de vies sont détruites et d'enfants traumatisés par l'égoïsme de parents qui voudraient simplement retrouver leur jeunesse en étant à nouveau à la mode...
On met toujours la construction de ce schéma sur le dos des hommes
Et toutes les femmes qui s'y retrouvent seraient aujourd'hui opprimés et victimes de ces relations dites "standards" et devraient s'en libérer
Faites ce que vous voulez tout simplement, ça évitera de vous faire du mal à vous et votre entourage
J'ai remis la monogamie en question pendant des années, après de multiples échecs amoureux, sensations d'être malheureuse... Jusqu'à ce que je rencontre la personne avec qui je partage ma vie actuellement. 3 ans de vie commune, dans le respect, dans la communication, sans l'injection sexuelle et la pression qu'elle engendre... Beaucoup de remise en question. Nous sommes tous les deux des personnes épanouis SEULS avant d'être ensemble. Et j'ai envie de ce schémas classique d'avoir des enfants, une maison ensemble et vieillir à ses côtés pour la première fois de ma vie.
On se laisse la liberté nécessaire à tous les deux. Et j'espère que tout cela va durer. Des années encore. Et si c'est pas le cas, alors tant pis
la societe tend de plus en plus vers l'individualisme (MON bonheur, MA carriere, MA sexualite, MES besoins) alors que d'etre en couple et encore plus avec des enfants c'est avant tout un sacrifice de soi.
Je n'aurais pas dit mieux. Le problème est peut être là en réalité.
Se sacrifier n'est pas la solution selon moi. Lorsqu'on est malheureux, les enfants le voient et si on se sacrifie pour les préserver, ça leur met une dette sur les épaules et ça leur donne un mauvais exemple pour la suite de leur vie. Moi je ne veux pas que mes filles plus tard se sentent redevables vis à vis de moi de m'être sacrifiée pour elles, et je ne veux pas qu'elles se sacrifient à leur tour et soient malheureuses. Vouloir être heureux est légitime, être un peu égoïste est vital. Il faut juste mesurer le pour et le contre, pour soi : si je reste en couple avec cette personne, est-ce que ça m'apporte plus que si je me sépare d'elle?
@@gaelleb.3718 je valide
hmmm... sacrifice... je dirais plutôt... consécration
@@gaelleb.3718 Je trouve ce discours, que l'on entend partout, assez dangereux. Sous prétexte de ne pas montrer un exemple de "sacrifice" à ses enfants, on détruit leur famille. On détruit leurs fondations, ce qui est pire que d'avoir vu sa mère un peu frustrée (qu'elle aille voir ailleurs en cachette si ça lui chante, mais qu'elle ne bousille pas la vie de ses enfants). Le premier besoin des enfants est une famille stable.
Du moment qu'on ne se fait pas tabasser, je ne trouve pas de justification à tout détruire.
Ma famille a été détruite par le divorce, et par l'immaturité de nos parents. Nos relations avec notre père ont été durablement altérées, ce qui engendre des problèmes encore aujourd'hui à l'âge adulte. J'aurais préféré que ma mère se sacrifie un peu plus pour ses enfants, qu'elle avait choisi d'avoir après tout. Nous aurions eu une enfance beaucoup plus heureuse, même avec une mère frustrée.
Et ben j'ai fais une grosse 🙏🏽 au bon Dieu et à Saint Tanguy 😇qui est le saint du jour, et Doudou a fait tout ce que je ne voulais pas faire! En prime il a eu un gros bisou et ce soir il aura une petite récompense, s'il continue à bien se tenir!🤣💐Merci mon Dieu, merci Saint Tanguy!🕊
La question que je me pose c’est est-ce que les gens qui sortent du schéma traditionnel du couple sont heureux ? surfent ils sur une vague de voguer constante où font face à des hauts et des bas comme tout le monde ?
Effectivement, très bonne question. Pour moi il y a une pathologie du lien en général, on n'arrive plus à avoir des relations epanouissantes, de couple ou autre d'ailleurs, et la solitude devient le refuge de ces êtres ne sachant plus créer de liens 😢
Lisa c'est un peu l'amie de ta femme mariée et divorcée plusieurs fois qui vient expliquer à ta femme que " la vie de couple c'est nulle donc divorce". Donc sans se rendre compte elle te crée une nouvelle norme en te disant qu'il faut briser les normes.
Bref chacun doit trouver sa voie sans se préoccuper des normes.
Mener sa barque sans comparer à tort ou à raison en gardant contact avec soi même sans ce trahir .
Oui c'est surtout un poison pour son couple
👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍
très intéressant, merci pour la piste de réflexions
Deconstruire les relations hommes et femmes, Deconstruire les modèles traditionnels Deconstruire la vie aussi... N'importe quoi
Les models traditionnelle ne correspondent pas à tout le monde et sont basé autour de la satisfaction masculine.
Il existe des femmes à qui ça ne convient pas et veulent vivre pour elles.
Les deux peuvent coexister, votre condescendance est bien dommage, ce qui fonctionne et est important pour vous n’est pas forcément pareil pour votre voisin. C’est dommage de vouloir imposer votre manière de fonctionner et concevoir vos relations aux autres.
Nous ne vous forçons pas à suivre une autre manière de faire, seulement on vous informe que d’autres options existe.
Agissez de même en respectant les autres s’il vous plaît.
C’est du savoir vivre.
Si jamais vous souhaitez vous informer et ne pas rester idiot(e) je vous conseille le podcast « le cœur sur la table ».
Belle journée à vous en souhaitant que vous réussirez à apaiser votre cœur bien aigri.
Il y a des gens qui se marient par intérêt, qui aiment un compte en banque, un statut social
Pour ceux qui imagine que la seule alternative au couple, c'est l'absence de lien aux autres, ou encore que questionner le couple, c'est aller contre notre nature de singe, je tiens à préciser que des alternatives au couple monogame, il y en a plein. Les plus évidents sont la famille polygame et la famille élargie, mais on pourrait également envisager des sociétés organisées en clans, en tribus, en corporations (imaginez des situations où un enfant souhaitant devenir agriculteur soit pris en charge par des groupes reconnus capables de lui apprendre l'agriculture), en hordes, en monastères... Au bout de la déconstruction du couple monogame, il se pourrait donc bien qu'il y ait la constitution de nouvelles institutions sociales. On peut encore varier les organisations en jouant sur la composition des genres des gens (on peut ajouter autant de genres qu'on veut et organiser une société de pleins de manières différentes avec), ou encore sur leur biologie (notamment, les questions de génie génétique, de transhumanisme, de robotique...).
C’est la fête dans ta tête 😂
@@jemecalmesijeveux9440 Si tu souhaites y participer, soit le bienvenu ! Je serais curieux de connaître celle se déroulant en la tienne !
Des pistes de réflexion fort intéressantes. Toutefois à combiner avec la dureté d'un monde de plus en plus contraint, voire effondré, et de plus en plus rigide voire obscurantiste sur le plan religieux.
@@sobova1703 Alors, oui, évidemment, là la question est de questionner ce que les relations humaines devraient être, il y a toute la question de comment on met fin à des oppressions de manière raisonnablement simple avec les outils qu'on a à notre disposition. Après, si je pense que je serais toujours d'accord avec ce que j'ai dit il y a deux ans, mon point de vue sur le podcast et le féminisme en général n'est plus tout à fait le même, notamment parce que depuis, je me suis révélé transgenre (non-binaire, assigné homme à la naissance) et que je me suis pas mal politisé comme anar (ou plutôt, je me suis rendu compte que j'étais politisé, ou un peu des deux). Du coup, c'est assez drôle de revenir sur ces vieux commentaires. Je ferais beaucoup plus attention au paradoxe de l'intolérance aujourd'hui, et de ne dirais pas qu'on puisse envisager des solutions consensuelles au patriarcat. Construire une nouvelle société, c'est pas juste un débat, ça implique que l'on renverse les rapports de pouvoir pour tout mettre à plat et imposer une égalité. Savoir ce qu'on veut demandera de longes discussions, et la reconnaissance de plusieurs communautés, mais sur ce qu'on ne veut pas, on a largement de quoi se mettre ensemble et faire pression.
"Tout couple est une voiture d'occasion qu'on passe sa vie à réparer." *^*
Peut être vaut il mieux se déplacer à vélo ou à pied alors :)
Il parle d’amour comme il parle des voiture.
Mon mec à moi Patricia kaas
Merci pour cette anatomie de la vie de couple 😊
Moi j'ai mis des jantes alu MOMO sur ma femme
Arte, merci
Cette obsession pour la quête du bonheur est un carcan intellectuel bien pire, que celui de la famille nucléaire. C'est elle qui pourrit tout! Nous recherchons le bonheur à travers nos relations? comme si une quelconque chose pouvait nous l'apporter de façon durable... Le seul résultat c'est que le bonheur nous échappe (comme il le fait toujours), tout comme nos relations devenues périssables.
Il faut chercher du sens dans ce que l'on fait au lieu de chercher le bonheur
Peut être avant de « repenser » comment un couple devrait procéder, il serait bon d’offrir un historique des raisons pour lesquelles les hommes et les femmes ont cette envie de se mettre en couple? Ce n’est pas uniquement pour des raisons de construction sociale. Et l’auteur qui pense qu’être en couple avec soi-même devrait être examinée par un expert psychiatre pour déterminer son niveau d’égoïsme... l’espèce humaine est avant tout une espèce sociale. Donc, le besoin et l’envie d’aimer autrui est ancrée dans notre biologie. Ce qui est pathologique est le désir de ne pas former de lien affectif puissant avec autrui sur le long-terme. Ce genre de personne souffre souvent de la peur de l’échec...
On peut aimer ses enfants, ses amis à vie😉
L'être humain n'est pas monogame. Il y a en effet une réaction hormonale qui fait qu'on a un désir d'exclusivité durant les 2-3 premières années, mais rien au delà n'indique une monogamie sexuelle et affective telle qu'on nous la présente. De fait, les relations sont plurielles et divers. Il suffit de faire un micro trottoir avec la question "qu'est ce que l'exclusivité ?" ou "quest ce qui est de l'infidélité" pour se rendre compte de l'inconsistance des notions qui définisse le couple dans notre sociétés. Quand les limites sont aussi floues et nuancée, ce n'est ni intemporel ni universelle, c'est qu'il y a de bonne chance que ça soit très largement influencé par des conceptions sociales. Bien des sociétés d'ailleurs ont ou avaient des organisations sociales très différentes, sans famille nucléaire (où par exemple la communauté prend en charge les enfants de tout le monde de manière indifférencié), où la monogamie, si elle existe, se manifeste très différemment.
De même, contrairement à cette triste idée que vous semblez partager, la relations sécurisantes et épanouissante se construisent au delà du couple aussi; nous pouvons avoir des amis, des parents, des frères, de soeurs, etc
Concernant les accusations d'égoïsme, je pense qu'il est bien plus égoïste d'attendre de ses relations qu'elles nous amènent le bonheur que de chercher en soi pour le trouver et ainsi voir ses relations comme un plus plutôt que comme un besoin à combler. J'ai jamais pu adhérer au couple moderne, parce que justement pour moi c'est on concepts qui transpire l'égoïsme; on exige et impose des choses de l'autre par principe, on le bride (exclusivité sexuelle, sentimentale, présenter à son entourage, habiter ensemble, partir en vacances ensemble), , sans jamais se questionner sur ses réels envies et souhaits, sa véritable intériorité, ses failles, ses insécurité, ses blessures, ses rêves, son individualité quoi.
"Être un couple en chantier " une idée qui devrait faire rêver
Ce qui me pose question dans la plupart des modèles de couples non monogames c'est qu'est-ce que deviennent les personnes collatérales, surtout si c'est construit quand même autour d'un seul couple entre deux personnes. C'est ça qui est difficile je trouve. Mais c'est vraiment intéressant comme remise en question...
L'amour c'est un triangle avec trois points indispensables, sexualité, amitié et responsabilités.
C'est clair que une génération coincée dans son crise du développement oral-anale ne devront jamais devenir une génération qui est capable assumer la responsabilité et profiter de l'amour sur trois pieds.
Car la société infantile se manipule mieux.
Assumer son choix et évoluer dans son développement psychologique et compris à deux au lieux de régresser.C'est clair qu'il faut déjà reconnaître sa propre responsabilité et définir ses propres limites.Transformer ou lieux de détruire c'est mon choix.
Choisir et assumer je prend dans mon panier.Merci pour cette réflexion💞.
Et Michael Scott, il est heureux lui ? Qui pense à lui ? I love u Mike.
😂
je ne comprends pas le besoin actuel de deconstruction. De tout.. d'ailleurs.. deconstruction du couple, de la famille, de la societe, de l'education, de l'histoire etc.. deconstruction qui sonne plutot avec destruction...
La majorité des couples se sentent bien et sont heureux ensemble, voilà la raison, il faut déconstruire le bonheur des gens, parce que des gens heureux ne consommes pas beaucoup.
Un couple séparé, c'est deux maison, deux voitures, deux lits par enfants, etc...
@@mickaelegalite8335 vous avez clairement pas compris ce qu'est la deconstruction
Déconstruction pour reconstruire plus sainement et de façon plus égalitaire
@@teddyboyat3109 : Comment ça égalitaire, les riches seront moins riches et les pauvres seront moins pauvres ?
Il faut déconstruire ce qui ne fonctionne pas, comme la pauvreté par exemple, je vous promet que ça ne rend pas les gens heureux, donc déconstruire les inégalités financière, oui.
En revanche, déconstruire la familles, le fait de faire des enfants, je trouve ça ridicule puisque c'est ainsi que l'humanité s'est faite, comme tout les animaux.
Je pense que pour les femmes il y a un énorme boulot de déconstruction d ' une tonne de clichés qui nous écrasent. J ai 52 ans et j ai toujours vécu en couple. ( différents couples ) et depuis quelques années j' ai décidé de ne plis vivre en couple et ne plus espérer qui que ce soit de ce côté là et je me rends compte à quel point le couple me prenait tout ! À quel point mon temps était consacré à faire notre nid un truc love- love sympa bobo.. à accueillir les potes , à être la nana sympa à ses yeux.. etc. Je sais pas comment dire : à jouer le rôle de la nana en couple . Enfin bref quel temps perdu pdt lequel j ' aurais pu faire ce qu ' aujourd'hui je peux choisir. Même sexuellement je me rend compte que les hommes aiment avoir une femme avant tout pour pas se retrouver en manque sexuel . C' est tout .
Bravo 👏
Personnellement j'ai beaucoup questionne la question de la monogamie, et en fait je pense que je serais incapable d'accepter que mon conjoint aille voir ailleurs, ou expérimenté d'autre chose avec d'autre comme je serais incapable d'aller voir ailleurs, ayant des instruit beaucoup de chose dans ma vie celle ci est pour moi la plus compliqué/ impossible à faire, je ne me vois pas autrement que dans une relation monogame
Qui t'assure a 100% que ton homme (femme) n'est pas déjà aller ailleurs plusieurs fois ??🤔🤔🤔🤔
@@khalihh84 absolument rien, mis a part la confiance et la communication que j'ai dans mon couple
Une des difficultés est que l'éducation d'enfants impose une stabilité dans le couple. La sexualité est elle concernée ?
Je me cherche encore mais ayant tenté le couple monogame plusieurs fois, je dois dire que ça ne m'a jamais convenu ... Pour moi, l'injonction à la fidélité c'est surtout source de culpabilité. Ben oui, où commence un comportement déplacé? Un regard ou un calin un peu trop long c'est déjà beaucoup ... Et en quoi le fait de désirer quelqu'un d'autre est mal? Mon désir d'un autre n'a rien à voir avec la morale. Par contre, blesser l'autre c'est immoral. Je conçois que ça peut être douloureux pour l'autre si cette règle est un pilier du couple. Donc, dans mon couple, il n'y a plus cette règle, à la place il y a des discussions, de l'honnêteté et des hésitations. Pas facile de trouver la bonne formule. J'ai du mal à concevoir que l'on pluisse être avec quelqu'un, tromper cette personne et par conséquent risquer de la blesser, et pourtant continuer. Mais j'ai vu ce shéma autant voir plus de fois que des couples authentiquement fidèles. Dans tous les cas l'amour n'est pas le problème, mais la notion de fidélité ne convient pas à tout le monde.
Le "couple" : sujet extrêmement complexe et par essence multifactoriel. Les catégorisations ici seraient très mal venues car complètement à côté de la plaque. Chaque individu dans son histoire verticale et horizontale est différent donc la complexité du couple est proche de l'infini.
Je comprends ce besoin de recherche de bonheur qui pousse à sortir de la norme "hetero-beauf". Mais c'est aussi un déni et l'expression de l'illusion du bonheur stable. Le couple et la relation avec autrui,dans l'altérité est probablement le laboratoire le plus fantastique et réel de la vie. Le couple avec soi-même est une réponse, une construction. A la base est toujours là relation, l'autre, la famille. Ça n'empêche que l'image sociale du célibat reste à être embelli. Le célibat c'est génial, le couple aussi. Les trucs intermédiaires sont souvent expression de déni, de peurs inavouées..
Pourquoi est-ce que c’est forcément la marge qui doit être expression de déni? C’est la marge qui se fait encadrée, d’être dégénérée.
La pathologie de la jalousie, les cas de divorce multiple, la violence conjugale, et ça, ça ressemble à quoi pour vous?
Vie de privilégiée, questionnement de privilégiée
Je comprends pas le lien entre vieux modèle et hétérosexualité. La question c’est le couple pas l’orientation. Pcq rester en couple et se forcer à le rester en couple homosexuel c’est ça la modernité ?
Ayant beaucoup souffert des deux séparations et multiples déménagements de mes parents, de leur haine mutuelle, j'ai une vision assez catastrophique du couple depuis toute petite. Pour moi le couple est synonyme d'une dégradation et d'une lassitude inévitable, d'un emprisonnement mutuel. Il y a aussi l'aspect "travail" du couple qui me dérange, l'idée qu'il faudrait l'entretenir car l'amour ne suffit plus. Pourtant cette idée "le couple est une vieille voiture d'occasion qu'il faut réparer tout au long de sa vie" apparaît comme une solution. Pour moi c'est d'un ennui profond et tout sauf naturel. Mais j'essaie de déconstruire cette vision là.
Néanmoins, en ce qui concerne les enfants, je pense qu'une solution possible pour à la fois être femme/homme et parents c'est de dissocier les deux. Pourquoi pas faire un enfant avec un ami de longue date avec qui on partage l'envie d'avoir un enfant et l'éducation voulue pour l'enfant. Cela supposerait vivre séparément mais à proximité pour le bien de l'enfant, et se voir ensemble en tant que famille ou tous les deux en tant qu'ami. De fait on dissocie notre rôle de femme/homme et celui de parent, sans oublier un des deux rôles. L'avantage aussi c'est que les enfants ne peuvent pas souffrir de la mauvaise entente des parents puisqu'ici ce sont des amis. Les parents ne sont donc pas confrontés aux problèmes de couple. Sans compter que les enfants ne souffriront pas de la séparation puisqu'elle a toujours été là. Et une semaine sur deux l'un des parents est libre professionnellement et sentimentalement dans sa vie.
Enfin bref je réfléchis de plus en plus à cette façon de voir mon rôle de femme et de mère. Cela peut paraître complètement étrange mais on a tous un passé différent avec des choses que l'on ne souhaite pas reproduire pour soi et ses (futurs) enfants. L'avez-vous déjà envisagé voire même appliqué ? Bref les avis m'intéressent.
La vie est pour l'essentiel du travail, rien au monde ne demande jamais l'application à la tâche, c'est le biais de l'économie qui fait penser que tout est à portée de main, il n'en est rien. L'accession sans la tâche au moyen de subsistance (sens large, je parle aussi la substance de la relation amoureuse) est possible que dans un contexte fortement périssable, celui de l'économie actuelle.
Je partage ta vision sur le fait d'élever un enfant en foyer séparé, on revient aux systèmes ancestraux où l'éducation de l'enfant se faisant d'avantage par la tribut que par le foyer, c'était particulièrement fonctionnel. On continue comme ça dans l'idée avec l'éducation nationale, avec la spécialisation et la réduction des figures éducatives; moins d'adultes dans la cour de récrée que dans la tribut.
Le soucis avec cette approche est de mettre à la marge l'enfant élevé dans un tel contexte puisqu'il n'a aucun pouvoir sur les normes sociales et sera jugé (et auto-jugé) sur les préceptes communs, donc y'a un risque qu'il subisse cette situation (conflit mimétique). À moins de grandir dans un milieu clos où tout le monde vit comme ça, comme le feraient les Amish.
@@slals merci pour ton commentaire super intéressant. Je comprends ce que tu dis dans le dernier paragraphe et en même temps, est-ce que c'est réellement possible de grandir sans se faire juger sur quelque chose ? Je doute et en plus, ça forge. Et je pense même qu'en grandissant et en voyant ses camarades être tristes parce-que leurs parents ne s'entendent plus ou se séparent, il se rendra peut-être compte de la chance qu'il a. Bien sûr cette façon de voir le foyer et la famille n'empêche pas d'être un mauvais parent ou que l'enfant soit malheureux. Mais je pense sincèrement que c'est le meilleur équilibre pour l'enfant d'avoir un foyer séparé, à condition que tout soit fait pour que ce soit pratique pour lui, et qu'il se sente bien dans les deux foyers et non dans une situation d'instabilité. Mais ce sont des problèmes auxquels on n'échappent pas qu'on soit parents séparés ou parent-ami.
C'est possible effectivement que l'on revienne à la forme ancestrale de la famille, ou en tout cas que cela se développe ! Mais je n'avais pas fait le rapprochement avec la forme familiale du passé. Par contre, ça suppose d'avoir les moyens pour que les parents puissent s'équiper en double, ce qui n'est pas très écologique en plus :/
J'ai depuis quelques semaines exactement les même réflexions que vous. Fille unique de parents divorcés, j'ai enchaîné les relations de couple de plusieurs mois à plusieurs années mais ça ne marche pas car il y a cette pression de la famille, vivre ensemble, fonder une famille, c'est trop stressant et ça gâche l'amour, sa spontanéité, sa légèreté. Alors oui, effectivement, pourquoi ne pas avoir d'enfant avec un ami ? J'ai l'impression que cela me soulagerait d'une grosse pression qui tue le couple.
J'ai 4 filles dont 3 de am première conjointe et la dernière (6ans). Je suis séparée de mes deux ex conjointe mais je dois dire que la dernière, nous vivions chacun de notre côté et a la fin dans un climat convivial qui perdure. Je vois la différence avec ma dernière fille et mes premières par la. Je veux dire qu'importe dans votre idée que cela soit un ami ou un amoureux, tant que le lien - couple parental est serein. Pour moi, plusieurs couples peuvent marcher parallèlement : le parental , l'amoureux, le spirituel, professionnel (j'ai mon associé depuis 25 ans:)
@@fabricesimondi7106 Merci pour votre témoignage, ça donne de l'espoir ☺️
Pourquoi faudrait il forcément se "déconstruire" pour être heureux ?
J'ai l'impression que l'auteurice mène une vie qui lui convient, elle a la "chance" d'avoir une vie de famille qui semble équilibrée , des enfants aimants, un mari ouvert. Bref c'est pas un peu de manière globale le problème de la société occidentale ? À force de tout avoir à sa disposition, en abondance, on oublie l'essentiel et on se crée de faux problèmes pour se sentir exister ? Et si la solution ce n'étais pas : chacun fait ce qu'il veut. Si certains sont heureux dans une vie de famille "classique" mononucleaire, d'autres dans une vie de polyamour ou l'échangisme, grand bien leur fasse :)! Pourquoi chacun ne pourrait il pas juste vivre comme il se sent le mieux ?
On dirait que l'auteurice culpabilise de ne pas être assez "woke" pas assez ouverte, pas assez moderne. :/
Quel est le titre de la chanson du début s'il vous plaît ?
I will survive - Gloria Gaynor :)
@@sacharay3852 aaaah enfin! Merci beaucoup, tu viens de faire ma soirée !
Tout ça c'est bien joli, mais pour ce poser ces questions, il faudrait déjà être fichu de rencontrer quelqu'un....
Parfait
Le problème c'est lorsqu'il faut éduquer son mec à la vie quotidienneen couple. C'est chiant.
Décider d'être seul c'est surtout choisir la facilité de ne composer qu'avec soi même, c'est tellement + simple que de composer avec un autre...
Je ne comprends pas pourquoi on devrait tout "déconstruire". Si on est bien comme ça, et bien on reste comme ça. Les humains appartiennent à des sociétés ayant des codes, et c'est normal, il n'y a pas toujours besoin de tout casser.
Si j'ai sauté sur ce podcast, c'est que je viens de m'engueuler avec Doudou, ! J'ai eu le malheur de dire NON et avec moi quand c'est NON c'est NON, c'est pas négociable!🤣 Je vous dis pas les hurlements de "Doudou" et les reproches en cascades , mais j'en profite pour poliment remettre les pendules à l'heure et je ne recule pas d'un pas, j'attends que ça se calme, mais je ne ferai pas ce que je ne veux pas faire, attention, les hurlements de Doudou et ses reproches injustes, il faut contrer, mais surtout faire très attention à ce que l'on dit ,ne pas faire de reproches en retour, et ne pas s'exposer dangereusement aux coups! C'est arrivé...TOUS DES MACHOS ET DANGEREUX, or il faut impérativement vivre sa vie de femme, comme on l'entend, il y va de son intérêt et de l'intérêt de toutes et tous.Merci Arte 🧙🏽♀🐈🦉🙏🏽🕊
Ce qui sauverait le couple serait il pas que les hommes traitent leurs compagnes comme des coloc et pas comme des bonnes.... #chargementale
Le couple classique est une recette qui fonctionne. Le fait que les deux parents soient ensembles jusqu'à l'âge adulte de leurs enfants et qu'il étalent leur éducation sur tout le long de cette durée permet aux enfants un meilleur développement et stabilité mentale.
Détruire ce couple classique reviens a détruire une société, les autres peuples qui garderont cette recette créeront des générations plus solides capables de survivre au futur.
Il faut pas oublié que le monde n'est pas un lieu de paix et d'arc en ciel, les temps de guerre sont aussi fréquent que les temps de paix.
Pas con le couple avec soit même (c'est un peu ce que je vis). Encore faut-il bien se connaitre ;-)
Je suis un maître du couple avec moi même depuis 29 ans, prenez en de la graine x)
@@Operationnickel Au moins on s'engueule pas pour savoir qui choisit le programme à la télé ! ;P
Résumé : un couple est au lit. Monsieur regarde on ne sait quoi sur un ordinateur ; madame lit un livre sur King Kong en rêvant d'un fringant officier.
Marcela Lacub 🙏🏻
Obligation de ce parlee en couple
6:40
Pourquoi pas la multiplicité mais ...pas compatible avec le fait d'avoir des mômes. Et même sans enfant, la jalousie et la possession pèsent très lourd.
Beaucoup de poncifs, dommage
En gros le podcast n'apporte aucunes reponse a la question " es ce qui pourrait sauver le couple" ?
Mais comment le détruire c'est certain
Personellement mes parent etai poliamoureux le sens quil couchee avec diferente personne femme comme homme
c'est sale
Les relation avec les autres, ce n'est pas virtal... tout cela me laisse perplex...
Le couple est une norme sociale. D'ailleurs c'est pas naturel mais culturel.
le couple en France c'est has been
Pourquoi c’est mieux en Arabie? Ou en Afrique ?
La variétoche ça c'est sûr faut arrêter d'écouter , déprimant !
Écoute Saez par exemple
Moi mieux je comprends ce qui m'entoure , mieux je me sens
Mariée 2 enfants majeurs
Un couple qui n'a quasiment jamais fonctionner
Pas grave !
Au fond je pense que je n'ai jamais été faite pour vivre en couple
Et aujourd'hui toujours dans ce couple je vis en solitaire et on n'aime ça .
Pour moi c'est ça mon bonheur
Un échange dans lequel on se fiche royalement la paix !
Ma mer et ma grand mer mon toujour dit de restee seul sans homme que seul je suis plus fort quavec un homme
C'est autant valable pour les hommes
C'est sûr que les films et chansons d'amour c'est une horreur... Je me rends de plus en plus compte à quel point ça fait du mal, cette vision complètement fausse de ce que doit être l'amour...
Enfoncer des portes ouvertes...
Je n' ai pas trouvé le reportage intéressant, assez neuneuf et simpliste.
Puis le therme hétéro bof utiliser à tout vas , sa décrit clairement la médiocrité intellectuelle de ce reportage.
37:32 "qui n'arrive plus à être un parl-être, un être tout entier de paroles" (Pierre Zaoui)...
Ouch... ça donne vraiment envie ça? dans un monde déjà si bruyant de blabla futiles, a-t-on vraiment toujours besoin de remplir le vide de paroles ? la richesse ne serait-elle pas d'arriver à partager ensemble du silence, partager des moments de grâce et de paix ?
Ce n'est pas parce que Pierre Zaoui juge que les couples au restaurant qui ne se parlent pas sont des couples malheureux, que cela est vrai. Mais peut-être sont-ils les plus heureux car satisfaits du moment présent (le partage d'un bon repas ensemble). Et n'ont nul besoin d'autre distraction ou de remplir le vide de small-talks insipides, non ?
Tu réfléchis trop!! meuf!
Les couples LOL, la plus belles utopie et pertes de temps. Ils n'y a plus que des personnes débauchés et les sois-disant "couples ouvert" la nouvelles tendance depuis une décennie, ou des personnes mariés,... brefs je suis fermé à tous, mieux vaut rester concentré sur le boulot et se fermé à toutes proposition, il n'y a plus rien de valable.
À la base c'est une nana heureuse qui se créé des problèmes et qui en devient malheureuse 😢
Arrête de te poser trop de questions et vis TA vie.
Nul. En resumé, on n'est jamais content avec rien, traditionnel ou libéral. Je pense que c'est plutôt subjectif et propre à ton histoire personnelle. Il y a des gens qui voient tout comme un fardeau. C'est triste.
Quelle propagande
Rien de tel que de se poser ces questions pour meubler la vacuité de son existence. Un vrai tue l'amour ce questionnement incessant...et d'où vient cette obsession à tout vouloir déconstruire ?
Faudrait penser un peu à construire à la place... histoire d'avancer !
@@reaktiv1408 : Exactement, construisons, valorisons la famille, le fait de faire des enfants et de les élevé à deux, dans de bonnes condition, avec leur papa et leur maman, pour qu'ils deviennent à leur tour de bonnes personnes.
Mais non, il faut déconstruire.
Je pense que ceux et celles qui veulent déconstruire ne doivent pas être heureuses, c'est évident.
Mais moi qui suit heureux, heureux en couple, heureux en tant que papa, est que je peux garder ce monde, celui qui a conçus toute l'humanité ?
@@mickaelegalite8335 ça sent le polo rose ici
@@klem1684 : Je ne comprend pas votre commentaire, pouvez-vous détailler s'il vous plait ?
@@mickaelegalite8335 retourne voir ta famille et ton chien plutôt
Mais arrêtez de vouloir faire sucent l'amour vie et mal plutôt au beaucoup souvent longuement et bien ! Faites du tantra
C’est incompréhensible ton commentaire ,faudrait reformuler ta pensée 😊
Vos vies sont intéressantes pourquoi mettre de la lumière sur ces gens, mais surtout pourquoi Arte continue a donner du crédit à ce genre d’exemples de médiocrité crasse ?
Stop je vous prie
La mort
Le couple : Se décomposer dans la lassitude
La jeune génération après avoir vu leurs parents se séparer ou vivre ensemble dans la mauvaise entante, ne croit plus beaucoup au couple voire à l'amour qui dure. Alors quand je vois votre définition du couple, ça me rend morose sur quelque chose qui ne m'est pas encore arrivée.
Les humains sont pourtant fait pour vivre à plusieurs et concevoir une famille, comme beaucoup d'animaux.
Je pense que si il y a une décomposition, c'est qu'il n'y a pas remise en question de soi, pas de dialogue, pas assez d'intelligence.
C'est pour ça que certains couples s'en sorte à merveille, et d'autres s'écroule.
On va dire que c'est la sélection naturelle qui continue son oeuvre, pour que chaque personne en capacité de faire couple puisse accéder à la descendance.
Il suffit d'arrêter de croire dans l'idéologie progressiste...
Bonsoir.Jesus sauve ..de la destruction..de. tout
Lisez la b i b l e.
Amitie
Vous avez tout faux, vous avez pas tout faux.
C'est malheureux de voir une si médiocre émission sur votre chaîne Arte que j'apprécie beaucoup d'ailleurs
Déjà peu de paroles données aux hommes .. peu de paroles données aux couples hétéro traditionnels .. le semblant de "j'ai raison car j'incarne le rejet du traditionnel" .. ect .. ect .. ect ..
C'est tellement médiocre que ça m'a fait vraiment doute que j'étais sur la chaîne "Arte" ..
Mais ça a le mérite de montrer que si on est en crise !!! De compréhension du sujet déjà ..
Il faut ajouter
Cette structure a été imposée par l'église d'abord puis par les politiques pour créer la famille
Faire bosser l'homme pour nourrir sa famille
Voir avec des histoiriens!!!!!!