Schubert - 48 Lieder : Ave Maria, Die Forelle.. + Presentation (Cent. rec. : Elisabeth Schumann)
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- เผยแพร่เมื่อ 20 พ.ค. 2024
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Franz Schubert (1797-1828) - 48 Lieder by Elisabeth Schumann / New Mastering.
Click to activate the English subtitles for the presentation (00:00-04:35)
1.Ave Maria D 839 (00:00) / Conductor : Leo Rosenek 2.An die Musik D 547 (04:37)
3.Im Abendrot D 799 (07:36) 4.Des Fischers Liebesglück D 933 (11:04)
5.Auf dem Wasser zu singen D 774 (14:21) 6.Du bis die Ruh’ D 776 (17:41)
7.Die Post D 911 (22:07) 8.Wohin ? D 975 (24:34)
9.Die Vögel D 691 (26:31) 10.Heindenröslein D 257 (27:26)
11.Das Lied im Grünen D 917 (29:26) 12.An die Nachtigall D 497 (31:58)
13.Liebhaber in allen Gestalten D 558 (33:26) 14.Frühlingsglaube D 686 (34:47)
15.Die Forelle D 550 (37:33) 16.Horch! Horch! die Lerche’ D 889 (39:22)
17.Der Jüngling an der Quelle D 300 (42:13) 18.Geheimes D 719 (43:32)
19.Der Musensohn D 764 (45:32) 20.Fischerweise D 881 (47:52)
21.Gretchen am Spinnrade D 118 (50:51) 23.Liebesbotschaft D 957 (54:20)
24.Litanei D 343 (56:58) 25.Nacht und Träume D 827 (1:00:11)
26.Seligkeit D 433 (1:03:15) 27.Nähe des Geliebten D 162 (1:04:45)
28.Lachen und Weinen D 777 (1:07:24) 29.Frühlingstraum D 911 (1:09:04)
30.Der Einsame D 800 (1:13:06) 31.Nachtviolen D 752 (1:17:01)
32.An die Geliebte D 303 (1:19:38) 33.Wiegenlied D 498 (1:21:35)
34.Der Schmetterling D 633 (1:24:10) 35.Des Baches Wiegenlied D 957 (1:25:41)
36.Der Hirt auf dem Felsen D 965 (1:29:43) 37.Der Jüngling und der Tod D 545 (1:38:35)
38.Das Heimweh D 456 (1:42:57) 39.Hin und wieder fliegen Pfeile D 239 (1:44:18)
40.Liebe schwärmt D 239 (1:45:39) 41.Dass sie her gewesen D 797 (1:46:58)
42.Der Vollmond strahlt D 797 (1:50:30) 43.Die Forelle D 550 (1:54:06)
44.Die junge Nonne D 828 (1:56:14) 45.Das Mädchen D 652 (2:00:58)
46.An mein Klavier D 342 (2:03:53) 47.Nur wer die Sehnsucht kennt D 877 (2:06:39)
48.So lasst mich scheinen D 877 (2:09:59) 49.Schweizerlied D 559 (2:13:50)
50.Hin und wieder fliegen Pfeile D 239 (2:15:27)
Piano : Karl Alwin, Elisabeth Coleman, Gerald Moore, George Reeves & Leo Rosenek.
Clarinet (36) : Reginald Kell
Sopran : Elisabeth Schumann
Recorded in 1927-49, at London
New Mastering in 2020 by AB
Find CMRR's recordings on Spotify: spoti.fi/3016eVr
COMMENTAIRE COMPLET : VOIR PREMIER COMMENTAIRE ÉPINGLÉ.
Les chansons de Schubert incluses ici sont les 48 qu'elle a enregistrées pour EMI entre 1927 et 1949 ; certaines sont restées inédites jusqu'à tout récemment. Elles sont présentées par ordre chronologique d'enregistrement et représentent un bon aperçu de ce qu'elle a offert lors de ses célèbres récitals. On y trouve un certain nombre de chansons qui étaient, du moins à l'époque, hors du répertoire habituel. Au total, même le dernier enregistrement, réalisé à l'âge de 61 ans, montre l'éclat et la clarté typiques de son timbre. À cela s'ajoutent une bouyance de style typique et une spontanéité qui lui sont propres. Nous sommes alors conscients de son souci des mots, de cette acuité verbale qui vient du fait qu'elle a l'allemand pour langue maternelle. Elle lui permet d'ajouter toutes sortes de nuances à ses interprétations.
Elle était tout aussi apte à la longue file d'attente et au contrôle ferme du souffle nécessaire pour Du bist die Ruh, à la touche éthérée pour Auf dem Wasser zu singen, à l'exaltation pour Seligkeit, à la mélancolie pour Der Jüngling und der Tod, à la beauté pure pour Nachtviolen, à la manière confiante pour Der Einsame. Der Hirt auf dem Felsen, la scène miniature avec clarinette obligée, est négociée avec une facilité déconcertante, habilement assistée par Reginald Kell à la clarinette. Les récits de Schumann sur les chansons de Mignon sont peut-être les meilleurs de tous ; d'une certaine manière, la fragilité du timbre de la soprano vers la fin de sa carrière saisit à la perfection les propos de Mignon, pauvre et vulnérable, qui ressemblent à des gestes de renonciation.
Dans son livre "German Song". (publié par Max Parrish en 1948), Elisabeth Schumann elle-même a commenté que "Schubert est pour nous l'incarnation même de l'esprit de la musique". Elle était un récipient dans lequel cet esprit était versé. Elle a cité l'hommage de Liszt à son grand prédécesseur : "La mélodie, la gaieté, la grâce, les rêveries, la passion, le réconfort, les larmes et les flammes jaillissaient des profondeurs et des hauteurs de ton cœur ; tu nous fais presque oublier la grandeur de ta maîtrise dans l'enchantement de ton esprit". On pourrait dire la même chose de l'un de ses plus grands interprètes. Ces interprétations seront certainement considérées parmi les grands enregistrements du gramophone tant que l'on appréciera l'interprétation de Schubert.
Franz Schubert PLAYLIST (reference recordings) : • Franz Schubert (1797-1... - เพลง
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Franz Schubert (1797-1828) - 48 Lieder by Elisabeth Schumann / New Mastering.
*Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-04:35)
1.Ave Maria D 839 (00:00) / Conductor : Leo Rosenek 2.An die Musik D 547 (04:37)
3.Im Abendrot D 799 (07:36) 4.Des Fischers Liebesglück D 933 (11:04)
5.Auf dem Wasser zu singen D 774 (14:21) 6.Du bis die Ruh’ D 776 (17:41)
7.Die Post D 911 (22:07) 8.Wohin ? D 975 (24:34)
9.Die Vögel D 691 (26:31) 10.Heindenröslein D 257 (27:26)
11.Das Lied im Grünen D 917 (29:26) 12.An die Nachtigall D 497 (31:58)
13.Liebhaber in allen Gestalten D 558 (33:26) 14.Frühlingsglaube D 686 (34:47)
15.Die Forelle D 550 (37:33) 16.Horch! Horch! die Lerche’ D 889 (39:22)
17.Der Jüngling an der Quelle D 300 (42:13) 18.Geheimes D 719 (43:32)
19.Der Musensohn D 764 (45:32) 20.Fischerweise D 881 (47:52)
21.Gretchen am Spinnrade D 118 (50:51) 23.Liebesbotschaft D 957 (54:20)
24.Litanei D 343 (56:58) 25.Nacht und Träume D 827 (1:00:11)
26.Seligkeit D 433 (1:03:15) 27.Nähe des Geliebten D 162 (1:04:45)
28.Lachen und Weinen D 777 (1:07:24) 29.Frühlingstraum D 911 (1:09:04)
30.Der Einsame D 800 (1:13:06) 31.Nachtviolen D 752 (1:17:01)
32.An die Geliebte D 303 (1:19:38) 33.Wiegenlied D 498 (1:21:35)
34.Der Schmetterling D 633 (1:24:10) 35.Des Baches Wiegenlied D 957 (1:25:41)
36.Der Hirt auf dem Felsen D 965 (1:29:43) 37.Der Jüngling und der Tod D 545 (1:38:35)
38.Das Heimweh D 456 (1:42:57) 39.Hin und wieder fliegen Pfeile D 239 (1:44:18)
40.Liebe schwärmt D 239 (1:45:39) 41.Dass sie her gewesen D 797 (1:46:58)
42.Der Vollmond strahlt D 797 (1:50:30) 43.Die Forelle D 550 (1:54:06)
44.Die junge Nonne D 828 (1:56:14) 45.Das Mädchen D 652 (2:00:58)
46.An mein Klavier D 342 (2:03:53) 47.Nur wer die Sehnsucht kennt D 877 (2:06:39)
48.So lasst mich scheinen D 877 (2:09:59) 49.Schweizerlied D 559 (2:13:50)
50.Hin und wieder fliegen Pfeile D 239 (2:15:27)
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Piano : Karl Alwin, Elisabeth Coleman, Gerald Moore, George Reeves & Leo Rosenek.
Clarinet (36) : Reginald Kell
Sopran : Elisabeth Schumann
Recorded in 1927-49, at London
New Mastering in 2020 by AB
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Alan Blyth : Aucun artiste ne s'est autant attaché à son public qu'Elisabeth Schumann. Le charme de ses manières est légendaire, tout comme l'attrait de sa voix argentée et de son style extraverti. Même ceux qui, comme moi, ne l'ont rencontrée qu'à la toute fin de sa longue carrière ont été touchés par sa présence rayonnante. Que ce soit dans ses représentations à l'opéra, principalement dans les œuvres de Mozart et de Richard Strauss, ou dans ses lieder, elle a naturellement captivé son public. Il semble que cela ait été le cas dès le début de sa carrière à Hambourg en 1909, alors qu'elle n'avait que 21 ans. Dès son enfance, elle avait déjà chanté à des concerts et sa famille était encouragée par la musique. Ainsi, lorsqu'elle a fait ses débuts dans le rôle du berger dans Tannhäuser, elle était prête pour la carrière appréciable qui l'attendait. D'autres petits rôles ont suivi avant qu'elle n'entreprenne Zerlina en 1911. L'année suivante, elle chante Cherubino dans une représentation de Figaro sous la direction de Klemperer ; cinq ans plus tard, elle passe à Susanna dans le même opéra, et chante alors Pamina. Elle s'est rendue à New York pour sa saison unique (1914-15) au Metropolitan, où elle a joué Papagena, Sophie, Gretel, Marzelline, Musetta et l'Oiseau des bois.
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Elle a fait la connaissance de Richard Strauss en 1917 - il a essayé de la persuader de chanter Salomé, une offre qu'elle a sagement refusée - et il a joué un rôle déterminant dans son déménagement à l'Opéra d'État de Vienne en 1919 (où il était sur le point de devenir co-directeur artistique, avec Schalk), date à laquelle elle a ajouté Despina et Ilia à son répertoire en pleine expansion. En 1921, Strauss l'emmène en tournée de récitals aux États-Unis - un triomphe pour les deux artistes. Peu à peu, les récitals prennent une place plus importante dans sa carrière. Parmi les nouvelles pièces jouées à Vienne, citons Norina, Micaela, Nedda, Marguerite et Mimi. Entre-temps, ses débuts prometteurs à Covent Garden - dans le rôle de Sophie dans Der Rosenkavalier sous la direction de Bruno Walter - ont lieu en 1924. Elle retourne régulièrement au Royal Opera House jusqu'en 1931, où elle chante Sophie (à plusieurs reprises), Blonde, Susanna, Zerlina, Eva, le Compositeur et Adéle. Pendant la même période, elle est très demandée aux festivals de Munich et de Salzbourg, mais Vienne reste sa base jusqu'à l'Anschluss de 1938. Entre-temps, elle multiplie les récitals, chantant avec autant de succès Mozart, Schubert, Schumann, Wolf et Strauss. Après la guerre, sa carrière se poursuit sur la scène des concerts. Elle retourne en Grande-Bretagne en 1945 et se produit au premier Festival d'Édimbourg en 1947, ainsi qu'au Mermaid Theatre de Londres en 1951. En effet, elle a continué à chanter presque jusqu'à sa mort prématurée en 1952. Lorsqu'elle est morte le 23 avril de cette année-là, son amie et contemporaine Lotte Lehmann a fait un commentaire : "À mon avis, elle était la dernière grande chanteuse de concert de la vieille tradition de l'âge d'or".
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Les chansons de Schubert incluses ici sont les 49 qu'elle a enregistrées pour EMI entre 1927 et 1949 ; certaines sont restées inédites jusqu'à tout récemment. Elles sont présentées par ordre chronologique d'enregistrement et représentent un bon aperçu de ce qu'elle a offert lors de ses célèbres récitals. On y trouve un certain nombre de chansons qui étaient, du moins à l'époque, hors du répertoire habituel. Au total, même le dernier enregistrement, réalisé à l'âge de 61 ans, montre l'éclat et la clarté typiques de son timbre (c'est la partie inférieure de sa voix qui s'est détériorée au cours de ses dernières années). À cela s'ajoutent une bouyance de style typique et une spontanéité qui lui sont propres. Nous sommes alors conscients de son souci des mots, de cette acuité verbale qui vient du fait qu'elle a l'allemand pour langue maternelle. Elle lui permet d'ajouter toutes sortes de nuances à ses interprétations.
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Elle était tout aussi apte à la longue file d'attente et au contrôle ferme du souffle nécessaire pour Du bist die Ruh, à la touche éthérée pour Auf dem Wasser zu singen, à l'exaltation pour Seligkeit, à la mélancolie pour Der Jüngling und der Tod, à la beauté pure pour Nachtviolen, à la manière confiante pour Der Einsame. Der Hirt auf dem Felsen, la scène miniature avec clarinette obligée, est négociée avec une facilité déconcertante, habilement assistée par Reginald Kell à la clarinette. Les récits de Schumann sur les chansons de Mignon sont peut-être les meilleurs de tous ; d'une certaine manière, la fragilité du timbre de la soprano vers la fin de sa carrière saisit à la perfection les propos de Mignon, pauvre et vulnérable, qui ressemblent à des gestes de renonciation.
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Dans son livre "German Song". (publié par Max Parrish en 1948), Elisabeth Schumann elle-même a commenté que "Schubert est pour nous l'incarnation même de l'esprit de la musique". Elle était un récipient dans lequel cet esprit était versé. Elle a cité l'hommage de Liszt à son grand prédécesseur : "La mélodie, la gaieté, la grâce, les rêveries, la passion, le réconfort, les larmes et les flammes jaillissaient des profondeurs et des hauteurs de ton cœur ; tu nous fais presque oublier la grandeur de ta maîtrise dans l'enchantement de ton esprit". On pourrait dire la même chose de l'un de ses plus grands interprètes. Ces interprétations seront certainement considérées parmi les grands enregistrements du gramophone tant que l'on appréciera l'interprétation de Schubert.
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Franz Schubert PLAYLIST (reference recordings) : th-cam.com/video/CQiG8bouUys/w-d-xo.html
Erinnerungen an meine Teeniezeit, hab sie alle studiert. Ein Kirchenmusikerin "Schwesterchen" (hochbegabt + blond) war meine Begleiterin. Wunderbar, dies alles hier wiederzufinden. Elisabeth Schumann adelt die Lieder, sie verströmt ihre Seele und ihr Herz in diese wunderbare Musik, die uns wiederum heutzutage so fremd geworden ist. Damals habe nicht alles verstanden, heute möchte ich in die Musik hineinkriechen. Lieber Gott, was haben wir alles verloren... und nichts dazu gewonnen.
Vielen Dank fuer diese herrliche Musik!
Wonderful and almost miraculous. One of the great Lieder singers of the past coming alive in an excellent remastering.
Thank you, Nature, for the great beauty of the human voice. I'm so happy to have discovered Elizabeth Schumann
My god, I love her so much - no one else has brought so much life to Schubert's songs
Hans Hotter?
I sang some of these in childhood and they are a part of my SOUL...........no one could appreciate them, today.....What control !
thank you so much ......
Thanks for this unbelievable remastering of recordings going back to 1927. Elizabeth Schumann comes back as a great soprano and her rendering is most appropriate to Schubert's romanticism. The piano and the voice do more that just complement each other; they create a musical atmosphere of their own. Specially lovely is the lied "Die Forelle" that is the seed of the very famous quintet of the same name. Schubert had a special love and a rare gift for the lieder, a form that is rarely used nowadays.
Her voice brought harmony to my soul; sublime
Pure gold. It seams that I'm now addicted for good to this beauty. Thank you CM/RR. More than usual.
Who hasn't heard Elisabeth Schumann sing Schubert's Lieder hasn't heard anything by Schubert. No singer, in fact, knew how to find the right tone in the famous clarinet scene ('Der hirt auf dem Felsen', immensely performed by Reginald Kell) where her timbre, justly renowned for its freshness and angelic purity, is so happily veiled by a tender melancholy that no one can resist. It is absolutely necessary to hear the whole of this album in their continuity to judge the art of Schumann, a tender and sensitive, luminous and supremely moving performer. It is a journey through time that constitutes a Schubertian testament.
Quien no ha escuchado a Elisabeth Schumann cantar los Lieder de Schubert no ha escuchado nada de Schubert. Ninguna cantante, de hecho, supo encontrar el tono adecuado en la famosa escena del clarinete ('Der hirt auf dem Felsen', inmensamente interpretada por Reginald Kell) donde su timbre, justamente reconocido por su frescura y pureza angelical, está tan felizmente velado por una tierna melancolía que nadie puede resistir. Es absolutamente necesario escuchar todo este álbum en su continuidad para juzgar el arte de Schumann, un intérprete tierno y sensible, luminoso y supremamente conmovedor. Es un viaje a través del tiempo que constituye un testamento Schubertiano.
エリザベート・シューマンが歌うシューベルトの歌曲を聴いたことがない人は、シューベルトの歌曲を聴いたことがない。実際、クラリネットの有名なシーン（レジナルド・ケルが絶賛演奏した「Der hirt auf dem Felsen」）では、その爽やかさと天使のような純粋さで有名な彼女の音色が、誰もが我慢できないほどの優しい哀愁に包まれていますが、どのようにして適切な音色を見つけるかは、どの歌手も知りませんでした。優しく、繊細で、光り輝く、最高に感動的な解釈者であるシューマンの芸術を判断するには、このアルバムの全曲を連続して聴くことが絶対に必要です。それはSchubertianの遺言を構成する時間の旅である。
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Thank you very much! I never heard this before. It's wonderful!
Gostei muito!
Agreed. I feel like I am listening to Schubert's Lieder for the first time in my life. This is a complete revelation.
Thank you so much!! ❤️💔
Thanks so much! I had forgotten Elisabeth Schumann. When I was a young Student I listened to her and other early 20th century Sopranos. Now I am listening again - to guide my own Lieder singing.
Simply marvelous, such a natural and spontaneous voice really brings out the spirit of the music... Mesmerizing.
What a welcome addition to the digital catalogue for lovers of Schubert. The remastering is extraordinary especially for those of us who know these recordings well. Over the decades after they were made, they became an immediate reference for all the great singers who embraced this searching repertoire. We can now understand more easily why. This is more than a Century's Recording, it is a significant milestone. Deep and heartfelt thanks to CMRR.
I agree. This is so much more than a century recording. Unparalleled masterpiece.
Bringt mich zurück in meine beste Jugendzeit, wo wir diese Lieder mal mit Hilfe der Klavier- oder Orgel Abteilung einstudiert haben. Wir waren brav.
Die Interpretation ist unaussprechlich perfekt, sie macht mich richtig glücklich, die Restauration ein Kunstwerk.
Eine wunderschöne Entdeckung. Danke ❤
Sublime!
Golden, golden, golden.
First heard her voice when I was a small child and have been a fan ever since.
I think this is the most beautiful Schubert-Album I ever heard in life. It´s just perfect, and so beautiful! love it.
Elisabeth Schumann est résolument une des très grandes interprètes du répertoire romantique. Le chevalier à la rose avec Heger, et notamment Lotte Lehmann, est l’un de mes disques de chevet ( chez Naxos ). Je connaissais mal Schubert par Schumann... mais ce que nous pouvons écouter ici me donne un tort considérable. Merci infiniment d’avoir mis en ligne ce trésor !
Prob the best I've heard
When Irmgard Seefried made her New York debut in a Liederabend in Town Hall, Elisabeth
Schumann was in attendance. Though first thinking that Seefried had a flock of white hair
(as had Elisabeth Schumann) and thinking that Seefried was imitating her, Schumann was
not sure of the opening lieder of Mozart but the second set of Schubert which Seefried
sang, Elisabeth wondered if she had ever been as good as Seefried in "Mein Herz ist
Schwer" from Goethe. Later when Seefried sang the Bartok songs, Schumann reportedly
said that she herself never could have done that. Indeed, many experts thought
that Seefried's very natural singing was very akin to the style of Schumann. After the
recital, Elisabeth Shumann went backstage and enfolded Seefried in herarms and
declared that Seefried was her successor. In general many experts considered
Schwarzkopf to be the successor or Lotte Lehmann. But alas, after Seefried
and Seefried retired from the concert hall, with the exception of Elly Amerling
no other soprano lieder specialists have surfaced who have been so
prominent in lieder though Bonney, Gruberova, Studer and others have essayed
occasional splendid lieder recitals.
Auf dem Wasser zu Singen and Chopin's Op. 60, the two greatest Barcarolles ever written.
Thank you. It's truly beautiful. Surly the best I have heard.
What a voice!
Maravillosa voz de Elisabeth!!; maravillosas canciones!!
Todavía recuerdo cuando compré la 2 cintas en un estuche de emi en 1989 en Dublín . Fui a casa y toda la tarde y noche estuve oyendo , repitiendol varias veces cada canción .Son 30 años admirando estos lied . No me canso de oírlos . Aunque tengo los CD todavía conservo esas cintas de emi con su estuche . Gracias elisabeth como pagarte tantas emociones ........
Magnificent performance, purest, divine voice!
I am delighted! Thank you very much! 💐💐💐✨💖💖💖
Thank you for sharing this unusual voice with us. She must have been very recognizable in her generation. I had a book of her favourite songs but my piano teacher borrowed it for somebody and I still miss it. Too late now..
Que hermosura!
A beautiful voice !💗👏👏👏
boa noite Classical Music. maravilhoso Schubert na voz magistral de Elisabeth Schumann. obrigada e sempre atenta as sugestões.
Thanks. I love this voice. Impressive. I hear my mother........
Same here. She was born 1902.
Oh, thank you! THANK YOU FOR THIS! In my mind Ave Maria has been wrecked so many times, by the choir I was in, and at Xmas in supermarkets. The worst recording of this was in our local supermarket one Xmas, and I thought I hated it forever. However, this recording of Ave Maria has restored my appreciation for this particular song (hymn).
Truly amazing performance and remarkably re-mastered.
Sensational.
Most charming, loveliest singer of all ...
Göttliche Musik himmlisch gesungen
The magic of the remastering! Good job
Die verbesserte Tonqualität wahrlich rettet die wunderschöne und bezaubernde Stimme dieser unvergleichlichen Sopranistin, obwohl der Aufführungsstil ein bisschen altmodisch ist. Danke für die mühsame Arbeit und fürs wertvolle Onlinestellen!
So altmodisch finde ich es eigentlich gar nicht. Ihr Stil erinnert mich ein bisschen an Irmgard Seefried oder Elisabeth Grümmer. Passenderweise singt sie nicht opernhaft sondern durchaus mit kammermusikalischer Zurückhaltung. Die Aufnahmen entstanden zu einer Zeit als Sänger meistens lieber mit Opern glänzten als Lieder zu singen. Sie kann sich durchaus mit Hans Hotter messen. Anders ausgedrückt, besser ist kaum denkbar!
@@geroelze929 Ganz Recht haben Sie !
Thank you!
Clear voice precise tempo excellent diction best of best-!!!
GREAT!
Une perfection !
Thank you very much sound magicians of Reference Recording to rescued for us this fascinating and so beautiful voice.
How nice to find you here my dear friend. Am missing your comments,
and am hoping all is well with you, Frans. Fondly . . . with hugs, Karin
@@mmbmbmbmb Thank you for your concern dear Karin. I st
@@mmbmbmbmb Thank you for your concern dear Karin, everything is ok. I still look out for your comments on David's channel believe me. Wonderful to see you on this channel. A big hug from your dedicated friend, Frans.
Muita bonita!
Viva!
Bravo!
👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻
FABULOSO, EXCELENTE, DESDE LA CIUDAD DE PANAMA, CANAL DE PANAMA
I love lirical soprano
Beautiful Lieders.
Wow, unexpectedly touched by this music. Thanks to whom remastered this.
Superb! Arta autentica!
Such wonderful well rounded tone, exquisite. I suppose, at the highest level, it lacks in interpretation a little. Schwarzkopf has the interpretation but without the sonorous tone. I could listen to them all day, however
Edit...some of these songs are wonderful in both tone and interpretation
Une des très grandes chanteuses du siècle dernier, lors de l’âge d’or.
I can’t listen to anyone else singing these songs. She is the only one.
Thanks a lot for these great and amazing recordings!!
Fantastic choice, as usual. Thanks for sharing your treasures!
Gracias por subir. Un gran regalo!
During her prime was there ever a lovelier soprano instrument for Lieder than Schumann‘s?
es una angelita cantandole a Virgen
Thanks. Fabulous. (There is a typo in the image: "Lieders").
Fantastic!
14:21 i don' t know why but reminds me a song "Windmills of your mind"....
Minor 2nd going to a forth is the same hook between the two....then they diverge, of course.
Gorgeous !!!
아래 댓글에 lied의 복수형은 lieder랍니다 . Lieders 는 한국사람들이 bag을 bag가방이라 부르는듯 konglish 식으로 독일어가 영어식으로 덧번역이 된거군요.......
Schubert would have perhaps been smitten, transported by the spiritual Gypsy allure of her natural unbridled beautiful power
Fyi she's not from Clara and Robert's family but she was on the same level of music perfection
Isto é demais, caramba!!!
Тихое счастье....
❤️❤️🙏❤️❤️
🙏❤️🇵🇹
I read that Strauss practically begged her to sing Salome, even offering to rescore it. Sort of funny to imagine
What is life ?! .. life is too heavy responsibility. where everyone hates to be responsible. where everyone wishes to be with no responsibility at all. just like the non-existent !!!!! 💔
♥️🌹♥️🌹♥️
Is she a direct descendant of Robert Schumann?
フランツ･シューベルトの全集です。なさ
Title incorrect. Should be SCHUBERT 48 LIEDER. LIEDER is the plural of LIED. NO S.
Don't be gross it doesn't matter
Yes indeed when we saw this error it was too trad, the 'S' appears only on the image of the video but not on the text and the image of presentation :-) but that shouldn't stop you from enjoying the music !!
Qui est le ou la pianiste? Sans lui, ou elle, pas de Lieder! Il faudrait l’indiquer.
009
"Lieders"?
Trotzdem, etwas mehr Sorgfalt bei den Texten wäre dem musikalischen Inhalt schon angemessen. Lieder und Hirt wäre schön.
Schlechte Aufnahme!
If you have a sharp sense of listening you can tell banality of present singers from the splendor of past ones like Elisabeth Schumann. Who dares to compare Schumann with Didonato whose voice is never attractive?