fin de la vidéo : Konrad aborde un sujet clef : la communication sur ces pratiques de sol vivant et d'agroécologie. j'ai testé sur quelques maraichers : ils sous estiment l'impact que cette com peut avoir sur leur rentabilité. là aussi gros boulot de formation, sensibilisation. par contre le consommateur est preneur.bravo pour ce travail de formation ! continuez VdT prod. !!!!
Super intro de François Mulet, puis Thierry Rondeau du semencier. Ce qu'on comprend c'est qu'ils sont focalisés sur l'accélération des cycles de sélection, à courir derrière les changements climatiques. A aucun moment il ne dit que leurs essais se font/feront sur sols vivants, il ne semble pas comprendre que la pratique Sol Vivant modifie complètement le comportement du sol et des plantes qui y poussent. Comme le reste de l'agriculture du labour, ils connaissent les ravageurs uniquement du point de vue des conséquences (taupin...) mais pas de leur biologie au champ, non perturbé. Les principes de recherche de Marcel Bouché ne se répandent pas. C'est triste. François lui donne la méthodo sur un plateau, mais on sent qu'il n'écoute pas. C'est lui qui doit se former, pas l'inverse ! Si les semenciers n'intègrent pas les changements de pratiques dans leurs méthodologies de recherche, leurs plantes ne feront que baisser en performance. Puis Françis Bucaille démarre vers 1h10, passionnant. Il fait ce lien essentiel entre la santé des consommateurs de plantes malades et la santé du sol. A mettre en lien avec le sujet Redox, abordé sur la chaine en de multiples occasions. Ne pas rater à 1'42 la méthodo de correction de fertilité minérale du sol, puis juste après le focus sur la carence en Ca Puis Konrad à 2'44 sur le changement de l'itinéraire technique Merci les Vers !
Thierry Rondeau a été chez Demazière / Agrico au début de sa carrière. Son JOB valoriser les variétés qu'il produit. En pomme de terre sortir une variété c'est comme gagner le Prix de l'Arc de Triomphe. Donc pour gagner il va rester dans les Autoroutes! Pas dans des projets comme MSV sous paille en BIO ramassage à la main ! Une variété a la mode c'est obligatoirement une fortune à l'achat ! Sans aucune garantie de production et de valorisation. Une année de surproduction, vous allez rester avec. En MSV Agrico a la variété "MARKIES" une très belle friable a cycle long. Elle pousse sans irrigation, tardive de gros calibre. Avec vos sols le mildiou doit passer. Elle sort top sans reprise à la main d'une éplucheuse. En fritabilité elle est au top. Mac Cain l'avait mis en exclusivité. Elle a jamais vu le marché du Frais pourtant c'est une très bonne pomme de terre.
Beau résumé de la présentation. Je dit la même chose sur le semencier qui cours après une sélection de plus en plus résistance à la sécheresse, mais qui n'écoute pas François Mulet qui suggère de faire des essais sur sol vivant...
Hello... très très bien tout ça... juste un problème de son quand les gens du public s'expriment... un micro d'ambiance?... un micro tendu aux gens?... ajouter un sous titre après?...
A 2h09 Mildiou Calcium BUTTE Planche. Expression des anciens Avant 1990 on avait 100% en butte et 100% sans fraisage et 100% en buttage progressif. Donc plus d'aération et le mildiou à l'époque était plus cool! Les anciens : "Il faut que les pommes de terre entende sonner MIDI"
bonjour, je m'adresse à ver de terre production. Votre coeur de sujet est,, la production de végétaux "rentables" , par le nivaux, le sanitaire, le coût, la technique le sol vivant par la conservation et l'augmentation de la MO dans le sol. Je souhaite savoir si des intervenants propose des sujets développés sur l'étude de marché, le chalandise de la vente directe pour développer une production vendue, permettant de développer des transformations possibles donnant une forte valeur ajoutée à certaine production. Ceci pour garder dans les yeux ses consommateurs en circuit court. je n'ai trouvé cela que dans la présentation de Jean-martin , mettant ses techniques de production de côté même si l'expérience et les sujets sont importants, comme la préparation des récoltes et la mise à disposition aux consommateurs, moins coûteux en main d'oeuvre. Il est très intéressant de développer "les niches commerciales" qui valorisent les produits d'une grande qualité. J'espère que cette remarque positive, va dans le sens de sol vivant ? Merci Bertrand
Bonjour, nous allons vers un interdiction du mocap et autre insecticide contre le taupin. Je suis dans le nord 22 et celui ci est un problème, avez vous des réponses à apporter pour lutter contre ce ravageurs de manière plus écologique. Merci
le semencier du début de la vidéo avoue ne pas prendre en compte le sol et sa qualité pour faire ses semences !!!!!!!!!!!!!!!!! on a du boulot pour aller vers une chaine coordonnée et homogène d'acteurs qui auront un seul but : une nourriture saine avec un sol qui s'agrade et qui lutte contre le réchauffement climatique. mais les lobbys vont freiner des 4 fers !!!
le cahier des charges des catalogues variétaux officiels sont ridicule, c'est pour cette raison qu'aucune semence Kokopelli n'y est répertorié, les plantes doivent faire toutes la même taille la même couleur la même vitesse de croissance etc il y a un très fort taux de consanguinité dans les variétés moderne, c'est pour cette raison que dans le cas des hybrides dès la deuxième génération (F2) on a une dépression hybride, ce qui est avantageux pour les semenciers qui peuvent vendre leurs hybrides tous les ans mais un inconvénient pour l'évolution/adaptation variétale au camp et donc la résistance aux pathogènes car les pathogènes continuent d'évoluer eux. En 1950 on a créé des variétés championne mais il fallait des apports d'engrais conséquent, aujourd'hui le model de sélection est grossièrement le même (productivité rentabilité) la meilleure sélection reste selon moi la sélection massale en champ ouvert (à l'ancienne).
En fait aujourd'hui et dans la société actuelle,il faut que le fruit ou le légume soit beau a l'oeil du client,mais moi des légumes brillant je mange pas
les mecs, ils bossent 15 heures, 6 jours sur 7, , ils arrivent a la formation et au bout de 1 heure; les paupieres sont lourdes, mais lourdes, mais lourdes.... ahahahaha
@@remifasol3946 oui mais si tu as des déserts autour de toi et des agriculteurs qui travaillent dans un tas de sable,tu auras pas de précipitation donc pas d'eau ,un soleil qui tape sur un sol fait migrer l'eau en profondeur
Très bonne tentative de dialogue, l'intention est déjà une énergie, un premier pas... Merci Vers de Terre.
fin de la vidéo : Konrad aborde un sujet clef : la communication sur ces pratiques de sol vivant et d'agroécologie. j'ai testé sur quelques maraichers : ils sous estiment l'impact que cette com peut avoir sur leur rentabilité. là aussi gros boulot de formation, sensibilisation. par contre le consommateur est preneur.bravo pour ce travail de formation ! continuez VdT prod. !!!!
Super intro de François Mulet,
puis Thierry Rondeau du semencier. Ce qu'on comprend c'est qu'ils sont focalisés sur l'accélération des cycles de sélection, à courir derrière les changements climatiques.
A aucun moment il ne dit que leurs essais se font/feront sur sols vivants, il ne semble pas comprendre que la pratique Sol Vivant modifie complètement le comportement du sol et des plantes qui y poussent. Comme le reste de l'agriculture du labour, ils connaissent les ravageurs uniquement du point de vue des conséquences (taupin...) mais pas de leur biologie au champ, non perturbé. Les principes de recherche de Marcel Bouché ne se répandent pas. C'est triste. François lui donne la méthodo sur un plateau, mais on sent qu'il n'écoute pas. C'est lui qui doit se former, pas l'inverse ! Si les semenciers n'intègrent pas les changements de pratiques dans leurs méthodologies de recherche, leurs plantes ne feront que baisser en performance.
Puis Françis Bucaille démarre vers 1h10, passionnant. Il fait ce lien essentiel entre la santé des consommateurs de plantes malades et la santé du sol. A mettre en lien avec le sujet Redox, abordé sur la chaine en de multiples occasions. Ne pas rater à 1'42 la méthodo de correction de fertilité minérale du sol, puis juste après le focus sur la carence en Ca
Puis Konrad à 2'44 sur le changement de l'itinéraire technique
Merci les Vers !
Thierry Rondeau a été chez Demazière / Agrico au début de sa carrière. Son JOB valoriser les variétés qu'il produit. En pomme de terre sortir une variété c'est comme gagner le Prix de l'Arc de Triomphe.
Donc pour gagner il va rester dans les Autoroutes! Pas dans des projets comme MSV sous paille en BIO ramassage à la main !
Une variété a la mode c'est obligatoirement une fortune à l'achat ! Sans aucune garantie de production et de valorisation. Une année de surproduction, vous allez rester avec.
En MSV Agrico a la variété "MARKIES" une très belle friable a cycle long. Elle pousse sans irrigation, tardive de gros calibre. Avec vos sols le mildiou doit passer. Elle sort top sans reprise à la main d'une éplucheuse. En fritabilité elle est au top.
Mac Cain l'avait mis en exclusivité. Elle a jamais vu le marché du Frais pourtant c'est une très bonne pomme de terre.
Beau résumé de la présentation. Je dit la même chose sur le semencier qui cours après une sélection de plus en plus résistance à la sécheresse, mais qui n'écoute pas François Mulet qui suggère de faire des essais sur sol vivant...
Hello... très très bien tout ça... juste un problème de son quand les gens du public s'expriment... un micro d'ambiance?... un micro tendu aux gens?... ajouter un sous titre après?...
A 2h09 Mildiou Calcium BUTTE Planche. Expression des anciens
Avant 1990 on avait 100% en butte et 100% sans fraisage et 100% en buttage progressif. Donc plus d'aération et le mildiou à l'époque était plus cool!
Les anciens : "Il faut que les pommes de terre entende sonner MIDI"
bonjour, je m'adresse à ver de terre production. Votre coeur de sujet est,, la production de végétaux "rentables" , par le nivaux, le sanitaire, le coût, la technique le sol vivant par la conservation et l'augmentation de la MO dans le sol. Je souhaite savoir si des intervenants propose des sujets développés sur l'étude de marché, le chalandise de la vente directe pour développer une production vendue, permettant de développer des transformations possibles donnant une forte valeur ajoutée à certaine production. Ceci pour garder dans les yeux ses consommateurs en circuit court. je n'ai trouvé cela que dans la présentation de Jean-martin , mettant ses techniques de production de côté même si l'expérience et les sujets sont importants, comme la préparation des récoltes et la mise à disposition aux consommateurs, moins coûteux en main d'oeuvre. Il est très intéressant de développer "les niches commerciales" qui valorisent les produits d'une grande qualité. J'espère que cette remarque positive, va dans le sens de sol vivant ? Merci Bertrand
Bonjour, nous allons vers un interdiction du mocap et autre insecticide contre le taupin. Je suis dans le nord 22 et celui ci est un problème, avez vous des réponses à apporter pour lutter contre ce ravageurs de manière plus écologique. Merci
le semencier du début de la vidéo avoue ne pas prendre en compte le sol et sa qualité pour faire ses semences !!!!!!!!!!!!!!!!! on a du boulot pour aller vers une chaine coordonnée et homogène d'acteurs qui auront un seul but : une nourriture saine avec un sol qui s'agrade et qui lutte contre le réchauffement climatique. mais les lobbys vont freiner des 4 fers !!!
le cahier des charges des catalogues variétaux officiels sont ridicule, c'est pour cette raison qu'aucune semence Kokopelli n'y est répertorié, les plantes doivent faire toutes la même taille la même couleur la même vitesse de croissance etc il y a un très fort taux de consanguinité dans les variétés moderne, c'est pour cette raison que dans le cas des hybrides dès la deuxième génération (F2) on a une dépression hybride,
ce qui est avantageux pour les semenciers qui peuvent vendre leurs hybrides tous les ans mais un inconvénient pour l'évolution/adaptation variétale au camp et donc la résistance aux pathogènes car les pathogènes continuent d'évoluer eux.
En 1950 on a créé des variétés championne mais il fallait des apports d'engrais conséquent, aujourd'hui le model de sélection est grossièrement le même (productivité rentabilité)
la meilleure sélection reste selon moi la sélection massale en champ ouvert (à l'ancienne).
En fait aujourd'hui et dans la société actuelle,il faut que le fruit ou le légume soit beau a l'oeil du client,mais moi des légumes brillant je mange pas
les mecs, ils bossent 15 heures, 6 jours sur 7, , ils arrivent a la formation et au bout de 1 heure; les paupieres sont lourdes, mais lourdes, mais lourdes.... ahahahaha
Toujours finalement dans la même logique anthropocentrique : contrôler la nature !!!
si vs voulez de la pluie, il suffit de planter d arbres
La géo-ingénierie se charge de tourner le robinet ...chez moi 94% de forêt et pas d'eau !
@@remifasol3946 oui mais si tu as des déserts autour de toi et des agriculteurs qui travaillent dans un tas de sable,tu auras pas de précipitation donc pas d'eau ,un soleil qui tape sur un sol fait migrer l'eau en profondeur