Salut ! J'ai tellement apprécié les prestations des différents intervenants mettant en place différentes stratégies d'apprentissage. En fait ce qui m'a touché le plus c'est cette conviction et cet attachement des enseignantes qui veulent à tout prix mener à bien leur action pédagogique. J'ai pû visionner la vidéo plusieurs fois et chaque je trouve du plaisir à suivre les intentions et propos des pedagogues. Grand Merci à vous tous. Bien à vous.
Merci Thomas, Kévin et Timothée! Votre documentaire fait réagir le mamouth! Etonnante la réaction longue, très longue de Monsieur Lars.....qui apparemment maîtrise la philosophie, la psychologie, la pédagogie, les neurosciences...et on en oublie sûrement...En voyant les pédagogies de Finlande (que vous connaissez sûrement), vous devez à proprement parlé HALLUCINER ....et rappelez moi...quel est leur classement sur l'échelle PISA?
Bjr!! Suis bien intèressée. J'ai une Licence Professionnelle en Sciences de l'Éducation. J'ai donc éffectuer un travail de recherche sur l'éducabilité des intelligences multiples et developpement des aptitudes scolaires
Première phrase, premier mensonge. L'école n'est pas une obligation en France, c'est l'instruction qui l'est. Les parents ont tout à fait le droit d'enseigner à leurs enfants avec ou sans cours par correspondance jusqu'à 16 ans. Bravo la télé !!!
Bonjour, sauf erreur de ma part mais à 48 mn, la personne interviewé parle d'intelligence visuel. il me semble pourtant que celà relève du "neuromythe". certes, il peut avoir des préférences d'apprentissage (auditive, visuel...)mais celà ne joue pas sur une meilleure capacité d'apprentissage.
Tout ici est neuromythe, Ils ont une nouvelle religion révélée et essaie de se persuader qu'ils ont découvert la lune alors que les solutions proposées sont vieilles comme le monde...
S'il n'y a pas d'âge pour apprendre et développer son cerveau peut-on espérer une semi restauration du cerveau lorsqu'on est atteint de démence? On ne parle que de prévention. Mon père à la démence, il a 70 ans, c'est jeune. Y a-t-il des nouvelles données, des nouveaux éléments qui peuvent également s'appliquer dans cette situation ? Maladie dégénérative du cerveau.
Je trouve hyper grave que des étudiants aient eu besoin des neurosciences pour arrêter d'étiquettee des élèves comme ''nuls'' ou ''incapables d'apprendre''! Combien de gamins envoyés à la casse par la connerie de ces enseignants ???!!!
Dès le départ, le ton est donné : enfonçage de portes ouvertes et redécouvertes de l'eau chaude le tout sur un ton très condescendant avec les "anciennes pédagogies des années 50" . Qui a jamais dit que le cerveau était figé et qu'on ne pouvait le faire évoluer ? Personne à l'école en tout cas, justement puisqu'elle repose sur le principe même de la plasticité des intelligences. La "plasticité", Rousseau appelait cela la perfectibilité au XVIIIème s. et ses idées sur l'éducation (apprendre en faisant, en privilégiant l'expérience vécue, en s'appuyant sur le déjà connu etc.) sont largement appliquées depuis le XIX et surtout à partir de la deuxième moitié du XXème s.. On apprend ensuite que le goût pour une discipline peut ne pas apparaître tout de suite ? Quelle découverte ! Comme si "dans les années 50" (jusqu'à la fin des années 80) on ne faisait justement pas redoubler les enfants pour cette raison même : pour leur donner le temps de progresser à leur rythme. Aujourd'hui, pour ne pas "traumatiser" les enfants, on ne les fait plus redoubler et comme ça ils passent à côté de de l'essentiel de leur scolarité, ça coûte "moins cher" que le redoublement. Mais au moins Rousseau gardait un minimum de cohérence, en partant non d'une image stéréotypée de l'élève moyen pour considérer que tous devraient s'y conformer, mais en tenant compte de certains invariants de la nature humaine (par exemple un enfant devient facilement orgueilleux s'il acquière le sentiment que tout lui est du) et en adoptant des stratégies globales à adapter ensuite au cas par cas. Là on nous dit au contraire qu'il y a "des milliards de manières d'apprendre" mais c'est quand même l'enseignant qui a la "responsabilité" de l'intelligence de l'enfant dans un tel méli-mélo... Au bout de 15 mn, pas encore le commencement d'une piste réelle pour voir comment innover réellement et concrètement dans le travail de l'enseignant, malgré ce que suggère le titre. Il me semble que mon cerveau, comme celui des élèves en général (pardon de ne pas tomber dans le "tous différents" de l'individualisme dominant), a besoin d'éléments significatifs assez vite pour donner sens à l'effort de continuer d'écouter un discours... Au bout de 16 min. : la grande idée, parler avec l'élève de ses difficultés et essayer de voir comment améliorer les choses... bon...
+Christian Lars Avez-vous terminé votre visionnage ? Je serais ravi de discuter de tout cela avec vous, même si je ne suis pas un grand spécialiste, mais je préférerais attendre que vous en ayez vu plus de 20 minutes.
9 ปีที่แล้ว +2
+Christian Lars Alors tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, si l’Ecole sait déjà tout, et applique déjà tout, d'un point de vue scientifique en terme d'apprentissage et de mémoire ? :)
+Kévin Halter Non, mais je dis que comme enseignant et avant comme élève, je n'ai jamais entendu un enseignant dire à un élève "tu es bête et tu le resteras" ou bien "tu es une fille, donc tu peux moins apprendre" ou encore "il suffit d'enregistrer une lecture de son cours et se le passer la nuit pour le connaître correctement le lendemain matin". Et pourtant j'étais loin comme élève d'être très bon dans toutes les disciplines. Ces idées là, certes fausses, sont peut-être présentes dans la population mais je dis juste qu'on ne les entend pas dans le milieu enseignant parce qu'au fond, c'est une nécessité professionnelle avant d'être scientifique, que de postuler que les élèves qu'on a en face de soi sont tous capables d'apprendre à des degrés divers. Si on n'est loin d'être dans le meilleur des mondes aujourd'hui à l'Ecole, c'est justement parce que des recherches scientifiques authentiques donnent lieu à des interprétations, des raccourcis et des facilités idéologiques qui conduisent finalement à nier l'autorité, c'est-à-dire la compétence des enseignants : "vous ne pouvez pas être bons parce que vous ne connaissez pas encore la dernière mode pédago-politico-socio-psycho-neurologique". Quand les politiques, leurs conseillers puis finalement les parents et les élèves eux-mêmes dénient aux enseignants le savoir-enseigner, il ne faut pas s'étonner que l'autorité des enseignants soit bafouée et ainsi que les apprentissages soient de plus en plus difficiles. Un cerveau normal désire apprendre ce qui lui permet de s'adapter au mieux à son environnement et il est même prêt à faire des efforts pour cela, soit. Mais si on fait massivement passer le message que bien qu'ils aient déjà largement appris à apprendre comme en témoignent leurs diplômes, les enseignants doivent surtout "_modifier la manière dont ils enseignent et faciliter les apprentissages chez les enfants_" : on dévalorise complètement ce qu'a pu observer l'enseignant par lui-même, en s'appuyant sur son expérience et sa réflexion propres en faisant croire qu'il existerait des outils magiques pour apprendre facilement, et finalement sans effort. Si donc votre enfant ne travaille pas bien à l'école, c'est parce que son prof n'a pas encore assez étudié la neuropédagogie ! On n'a pas attendu les neurosciences pour avoir des Montaigne, Rousseau, Lamartine, Pasteur, Poincaré. En revanche, je ne pense pas s'ils auraient si bien progressé dans la connaissance si on leur avait fait croire dès l'enfance que leurs enseignants ne savaient pas bien enseigner et qu'ils ne devraient pas avoir d'efforts à faire pour étudier et même trouver du plaisir dans ces études puisqu'il existerait des "outils" neurologiques voire informatiques pour apprendre sans effort ! Vous admettez qu'il faut reconnaître l'autorité des enseignants et la nécessité de faire des efforts pour apprendre ? Eh bien j'affirme qu'il y a dans la compréhension et l'acceptation de ces évidences l'essentiel de ce qui caractérise encore la réussite scolaire actuelle quand elle parvient à émerger, quels que soient les niveaux sociaux. Car si ceux qui sont favorisés socialement trouveront forcément une place dans la société, on ne compte pas le nombre de bacheliers ignares, rattrapés par pure complaisance, qu'on trouve dans ces milieux. En revanche, il y a toujours, même s'ils deviennent de plus en plus rares, des "défavorisés sociaux" qui réussissent très bien à l'école. L'échec global de l'école, c'est l'incompréhension ou le refus de ces évidences : ayant appris à maîtriser les disciplines qui leur ont permis d'avoir leurs diplômes et concours, les enseignants savent comment ils ont appris ces disciplines et donc comment les enseigner pour l'essentiel : par l'ouverture d'esprit, l'effort et donc aussi la reconnaissance de sa propre responsabilité "d'apprenant". La faute des enseignants, d'un nombre certain d'enseignants, c'est surtout de s'être laissé accroire qu'ils n'étaient pas suffisamment en mesure d'enseigner leur discipline et qu'un élève arrivant dans son cours démotivé voire fier de son ignorance, c'était d'abord de sa faute à lui.
+Christian Lars De toute évidence, vous n'avez pas daigné continuer le visionnage, ce qui explique votre compréhension biaisée de la production. Nous ne mettons pas ici en cause les connaissances et savoir faire des enseignants, mais nous voulons mettre en évidence les idées reçues, les mythes inscrits profondément dans notre culture qui même si on ne le fait pas consciemment nous influencent et changent notre jugement ainsi que nos actions. Ils sont d'autant plus dangereux que si on ne met pas le doigt dessus, ils continuent d'exercer leur influence pernicieuse sur nous. On ne remet donc pas en cause l'autorité des enseignants, mais on reconnaît celle des pédagogues et neuroscientifiques, qui pourrait permettre aux enseignants d'atteindre un niveau de compétence encore plus élevé que celui qu'ils ont actuellement. D'ailleurs, toutes ces idées reçues sur l'intelligence et les capacités des enfants sont certes présentes chez les enseignants dans une certaine mesure, mais plus encore dans les familles et la société en général. On ne s'adresse donc pas uniquement aux enseignants, mais à tout le monde. Que vous personnellement n'ayez jamais été de près ou de loin impliqué dans une situation où un élève se retrouve rabaissé, plus ou moins directement, ou sa confiance en soi est sapée par des méthodes qui ne lui conviennent pas et caetera, tant mieux ! Cependant vous ne pouvez pas rejeter la réalité de ces situation, même pour de "bons" élèves. Ce serait comme dire : "Je n'ai jamais tué personne, je n'ai jamais vu personne être tué, donc le meurtre n'existe pas.". Les neurosciences ne prétendent pas qu'il existe des outils magiques, mais qu'il existe un état d'esprit et une approche optimaux pour le bien être des élèves, dont la qualité d'apprentissage et surtout d'intégration des notions dépend. Au contraire, le GRENE et les intervenants que nous avons vus mettent bien en garde contre les recettes toutes faites. Par ailleurs, l'argument selon lequel on n'a pas attendu d'améliorer nos connaissances sur la pédagogie et le fonctionnement du cerveau pour avoir des génies est totalement fallacieux. Il l'est à peu près autant que dire qu'on n'a pas attendu les recherches récentes en médecine pour soigner des patients. Il y a de plus fort à parier que ces génies que vous citez n'ont pas tout appris de leur professeurs mais ont su trouver leur fonctionnement propre et tirer partie de leurs affinités et intérêts pour arriver à un niveau d'excellence. La réussite scolaire que vous citez, avec un ton emprunt de mélancolie, de nostalgie et de fatalisme est en effet encore bien présente, et ce que nous aimerions, ce que les personnes avec qui nous avons travaillé ont pour objectif, c'est de l'étendre à tout un chacun, de faire en sorte qu'absolument tous les élèves et étudiants trouvent leur compte dans les études et s'y épanouissent. Que ces études ne soient pas simplement l'obtention du sacro-saint diplôme tant convoité, mais un parcours vers la connaissance de soi et l'amélioration en tant que personne à travers les enseignements dispensés. Pour ce faire, il est indispensable de comprendre ce qui différencie ceux qui réussissent des autres, et de se remettre en cause, sans quoi on n'arrivera jamais à rien. Le rejet de l'Ecole ne vient pas de nulle part, il a une source dans les représentants, la mauvaise image qu'on en a a pour origine le mal être de nombreux élèves au sein du système. Connaître un sujet, une matière sur le bout des doigts ne rend pas particulièrement capable de transmettre ces connaissances et cet amour pour le sujet en question. Affirmer le contraire serait rejeter le travail des pédagogues. C'est bien ce qui fait qu'enseigner est un métier, un dur métier. Il demande une remise en question et une adaptation constante. C'est à l'enseignement d'épouser la forme de l'élève, et non à l'élève de se tordre sous la pression de l'enseignement. Ce que les travaux du GRENE montrent est que dans l'apprentissage, l'apprenant et l'enseignant ont une responsabilité partagée. Mais dans cette responsabilité l'enseignant doit être le guide qui mène l'apprenant vers la connaissance de soi et des sujets, qui sont indissociables en réalité. Si l'enseignant guide l'apprenant en tenant de compte des particularités de l'un et de l'autre, il ne reste alors à l'apprenant que de s'ouvrir aux enseignements. Si l'un ou l'autre n'accomplit pas son rôle, il y aura difficulté voire dysfonctionnement. En étant au courant des travaux neuroscientifiques, les enseignants échoueront toujours, parfois, dans leur mission, mais ils auront essayé, et auront tout mis en oeuvre. Si et seulement si l'enseignant a vraiment tout mis en oeuvre pour ouvrir ses enseignements à l'élève, en s'adaptant à lui, alors il pourra prétendre n'avoir aucune responsabilité dans l'éventuel échec. Dans le cas contraire, il en aura toujours forcément un peu. Le but n'est pas du tout ici de culpabiliser ou blâmer qui que ce soit, mais d'ouvrir la voie à l'amélioration conjointe de l'enseignement et de l'apprentissage, de son adaptation à la réalité d'aujourd'hui, et aux connaissances dont nous disposons en terme de fonctionnement neurologique et de pédagogie.
+Thomas Dufraine Ce qui est remarquable, c'est cette faculté que vous avez, vous et les pédagogistes en général, d'expliquer que vous ne voulez pas culpabiliser ou remettre en cause l'autorité des enseignants tout en expliquant en long, en large et en travers que l'école serait rejetée à cause du passéisme nostalgique des enseignants qui ne vous suivent pas et que c'est à l'enseignant "d'épouser la forme de l'élève" (comme c'est beau) et non à l'élève "de se tordre sous la pression de l'enseignant" (comme c'est vilain). Mais avec cette idéologie, car en l'occurrence c'est vous qui ne remettez pas en cause ces façons de voir dominantes qui sont à l'oeuvre dans l'administration de l'éducation nationale depuis les années 70 avec le grand moment de "l'élève au centre du système éducatif" de la loi d'orientation de 89, vous ne voyez pas que vous conduisez le professeur à "se tordre sous la pression" des appétits naturellement partisan du moindre effort de l'élève, ce que toute personne qui a été élève reconnaît habituellement de bonne foi, tandis que l'élève, quant à lui, continue principalement d'épouser sa propre forme "d'apprenant" à ne pas apprendre de façon approfondie et rigoureuse, voire à mépriser ces enseignants qui n'assument pas leur supériorité en termes de savoir. Et pour cause, l'élève n'a plus à s'élever au savoir de l'enseignant, c'est l'enseignant qui doit s'abaisser au fonctionnement de l'élève-"apprenant" ! Pour préparer mes cours, je commence par répondre à des exigences de logique et de méthode, puis je passe le résultat au crible d'un travail d'empathie par lequel j'essaye de voir ce qui peut passer auprès des élèves et ce qui ne peut les atteindre. Pas besoin de neuropédagogie pour cela mais je n'ai pas dit non plus, comme vous vous plaisez à le croire, qu'il suffisait de maîtriser une discipline pour l'enseigner correctement : il faut et il a toujours fallu aussi de la réflexion. Et mes élèves savent et comprennent très bien pour la grande majorité que c'est à eux en cours et après les cours de faire l'effort de comprendre, de s'approprier et de remobiliser ce que je leur enseigne. Ils viennent donc avec des désirs, des questionnements et aussi beaucoup d'idées préconçues et illusoires qu'il s'agit de discuter en s'appuyant sur le raisonnement et non sur la référence paresseuse à des autorités quelconques. Mais à aucun moment je ne leur fais croire que raisonner de façon critique et correctement documentée serait quelque chose qu'ils possèdent déjà à égalité avec moi. Après je ne rejette nullement les apports possibles des neurosciences pour améliorer les choses, vous avez bien compris si vous êtes de bonne foi que ce que je rejette, c'est l'idéologie pédagogiste qui s'en sert pour justifier la destructuration complète de l'enseignement en faisant de l'élève un "apprenant" qui construit pour l'essentiel son propre savoir tandis que l'enseignant ne serait plus qu'un référant au service de l'élève : en faisant de l'élève le maître de l'enseignant, vous et les pédagogistes détruisez avec les meilleures intentions du monde sûrement les fondements de tout apprentissage réussi. J'ai commencé ma carrière en apprenant à l'IUFM que la façon de faire de mes anciens enseignants était nulle, la plupart de mes collègues, par conformisme ou par facilité se sont laissé impressionner et ont appliqué ces nouvelles méthodes. Résultat, les élèves ont à plus 90% le bac, mais il n'y en a pas 10% qui savent faire l'effort de construire une véritable problématique, logique et progressive et je ne parle pas des 60% qui sont incapables de produire un texte sans fautes d'orthographe et de grammaire à toutes les pages.
L'art bien français de se focaliser sur les erreurs et non sur le positif. Le plus dramatique est de voir le nombre de commentaires du même acabit... Ce qui signifie que ces personnes ne regardent même pas si cela a déjà été spécifié. Ou pire, ils estiment peut être qu'il est fondamental de réitérer le propos... Pour information, à partir de cette année il sera de plus en plus difficile de ne pas fréquenter d'établissement scolaire et de faire cours à la maison. Le but étant de formater les jeunes esprits, le gouvernement ne souhaite pas laisser libre court à une éducation créative basée sur le questionnement et l'analyse critique.
ben non puisque ce sont bientôt des produits à vendre aux parents donc c'est de la propagande pour avoir le marché et donc des sources de financements !!!!
Salut !
J'ai tellement apprécié les prestations des différents intervenants mettant en place différentes stratégies d'apprentissage. En fait ce qui m'a touché le plus c'est cette conviction et cet attachement des enseignantes qui veulent à tout prix mener à bien leur action pédagogique.
J'ai pû visionner la vidéo plusieurs fois et chaque je trouve du plaisir à suivre les intentions et propos des pedagogues.
Grand Merci à vous tous.
Bien à vous.
Des nouvelles connexions entre les neurones sont toujours en train de s'établir. et à tout age,. C'est magnifique!
Merci pour ce documentaire, l'école se bouge c'est super pour les futurs enfants ! :)
C'est vraiment magnifique et génial
Très intéressant. Merci pour ce reportage
Merci à vous !
Super interessant !!! Merci beaucoup 🙏🙏🙏 🌸 !!!
Merci Thomas, Kévin et Timothée! Votre documentaire fait réagir le mamouth! Etonnante la réaction longue, très longue de Monsieur Lars.....qui apparemment maîtrise la philosophie, la psychologie, la pédagogie, les neurosciences...et on en oublie sûrement...En voyant les pédagogies de Finlande (que vous connaissez sûrement), vous devez à proprement parlé HALLUCINER ....et rappelez moi...quel est leur classement sur l'échelle PISA?
+Maël MAILLET Merci ! Par contre, pas de Kévin mais une Emeline dans l'équipe ;)
Contresens complet. La France a commencé à dégringoler dans le classement Pisa à partir du moment où elle a adhéré à l'approche par compétences...
Bjr!! Suis bien intèressée. J'ai une Licence Professionnelle en Sciences de l'Éducation.
J'ai donc éffectuer un travail de recherche sur l'éducabilité des intelligences multiples et developpement des aptitudes scolaires
lit dans tes pensées 🤣🤣
C'est un mythe
Bravo pour ce reportage !
Bonjour,
A t-on aujourd'hui des publications sur les sources étudiées, les protocoles employés et les résultats observés?
Merci.
Vous devez rechercher du côté des travaux d'Antoine de la Garanderie, Guy Sonnois.
L' intelligence multiple est un neuromythe, c'est une théorie développée par Howard Gardner et il a lui-même avoué qu'il s'était trompé.
Le cerveau est en modelage permanent .
Première phrase, premier mensonge. L'école n'est pas une obligation en France, c'est l'instruction qui l'est. Les parents ont tout à fait le droit d'enseigner à leurs enfants avec ou sans cours par correspondance jusqu'à 16 ans. Bravo la télé !!!
C'est de moins en moins vrai surtout depuis cette année. Cela va être de plus en plus compliqué de ne pas fréquenter d'établissement scolaire
Bon ça commence mal, ça 'est pas l'ecole qui est obligatoire mais l'instruction... je reviens demain pour voir la suite.
Bonjour, sauf erreur de ma part mais à 48 mn, la personne interviewé parle d'intelligence visuel. il me semble pourtant que celà relève du "neuromythe". certes, il peut avoir des préférences d'apprentissage (auditive, visuel...)mais celà ne joue pas sur une meilleure capacité d'apprentissage.
Tout ici est neuromythe, Ils ont une nouvelle religion révélée et essaie de se persuader qu'ils ont découvert la lune alors que les solutions proposées sont vieilles comme le monde...
Hyper enrichissant!
Merci beaucoup! 😁
Top! Vraiment.... Bravo.
S'il n'y a pas d'âge pour apprendre et développer son cerveau peut-on espérer une semi restauration du cerveau lorsqu'on est atteint de démence? On ne parle que de prévention. Mon père à la démence, il a 70 ans, c'est jeune. Y a-t-il des nouvelles données, des nouveaux éléments qui peuvent également s'appliquer dans cette situation ? Maladie dégénérative du cerveau.
Très intéressant
Bonjour, une précision par contre...L'école n'est pas obligatoire en France... C'est l'instruction....
Oui, grrrrrrr comme ça m'a gonflé d'entendre ça, vive l'IEF !!!!!
Ambrinette G oui j'allais dire la même chose. Première phrase FAUSSE
Libre d'apprendre vive l'IEF ✌
C'est exact, mais rien ne remplace l'école pour se préparer à la vie en société !
@@FDLproductions mais quelle société exactement? celle des bobos? celle des quartier chaud?
Est ce que je peux travailler ce thème pour mon mémoire ?vous pouvez m'aider ?merci beaucoup j'ai trop aimé la vidéo
Elle fait plus de musique Annie cordie?
Je trouve hyper grave que des étudiants aient eu besoin des neurosciences pour arrêter d'étiquettee des élèves comme ''nuls'' ou ''incapables d'apprendre''! Combien de gamins envoyés à la casse par la connerie de ces enseignants ???!!!
Mettez-vous à leur place au lieu de juger.
@@clincpb8903 dès qu'ils se mettront à la place de leurs élèves au lieu de les étiquetter ''bons à rien''
c'est la voix de Axolot non ????!!!
+nicolas morlot Oui, il a accepté d'être notre voix off !
intéressant
Merci bcq pour cette vidéo
Je comprends pourquoi j ai raté mes années d école ils s intéressé pas moi et moi non plus je ne m intéressé pas a ce qu ils disaient.
C'est un neuromythe les intelligences multiples.
Dès le départ, le ton est donné : enfonçage de portes ouvertes et redécouvertes de l'eau chaude le tout sur un ton très condescendant avec les "anciennes pédagogies des années 50" . Qui a jamais dit que le cerveau était figé et qu'on ne pouvait le faire évoluer ? Personne à l'école en tout cas, justement puisqu'elle repose sur le principe même de la plasticité des intelligences. La "plasticité", Rousseau appelait cela la perfectibilité au XVIIIème s. et ses idées sur l'éducation (apprendre en faisant, en privilégiant l'expérience vécue, en s'appuyant sur le déjà connu etc.) sont largement appliquées depuis le XIX et surtout à partir de la deuxième moitié du XXème s..
On apprend ensuite que le goût pour une discipline peut ne pas apparaître tout de suite ? Quelle découverte ! Comme si "dans les années 50" (jusqu'à la fin des années 80) on ne faisait justement pas redoubler les enfants pour cette raison même : pour leur donner le temps de progresser à leur rythme. Aujourd'hui, pour ne pas "traumatiser" les enfants, on ne les fait plus redoubler et comme ça ils passent à côté de de l'essentiel de leur scolarité, ça coûte "moins cher" que le redoublement.
Mais au moins Rousseau gardait un minimum de cohérence, en partant non d'une image stéréotypée de l'élève moyen pour considérer que tous devraient s'y conformer, mais en tenant compte de certains invariants de la nature humaine (par exemple un enfant devient facilement orgueilleux s'il acquière le sentiment que tout lui est du) et en adoptant des stratégies globales à adapter ensuite au cas par cas. Là on nous dit au contraire qu'il y a "des milliards de manières d'apprendre" mais c'est quand même l'enseignant qui a la "responsabilité" de l'intelligence de l'enfant dans un tel méli-mélo...
Au bout de 15 mn, pas encore le commencement d'une piste réelle pour voir comment innover réellement et concrètement dans le travail de l'enseignant, malgré ce que suggère le titre. Il me semble que mon cerveau, comme celui des élèves en général (pardon de ne pas tomber dans le "tous différents" de l'individualisme dominant), a besoin d'éléments significatifs assez vite pour donner sens à l'effort de continuer d'écouter un discours...
Au bout de 16 min. : la grande idée, parler avec l'élève de ses difficultés et essayer de voir comment améliorer les choses... bon...
+Christian Lars Avez-vous terminé votre visionnage ? Je serais ravi de discuter de tout cela avec vous, même si je ne suis pas un grand spécialiste, mais je préférerais attendre que vous en ayez vu plus de 20 minutes.
+Christian Lars Alors tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, si l’Ecole sait déjà tout, et applique déjà tout, d'un point de vue scientifique en terme d'apprentissage et de mémoire ? :)
+Kévin Halter Non, mais je dis que comme enseignant et avant comme élève, je n'ai jamais entendu un enseignant dire à un élève "tu es bête et tu le resteras" ou bien "tu es une fille, donc tu peux moins apprendre" ou encore "il suffit d'enregistrer une lecture de son cours et se le passer la nuit pour le connaître correctement le lendemain matin". Et pourtant j'étais loin comme élève d'être très bon dans toutes les disciplines. Ces idées là, certes fausses, sont peut-être présentes dans la population mais je dis juste qu'on ne les entend pas dans le milieu enseignant parce qu'au fond, c'est une nécessité professionnelle avant d'être scientifique, que de postuler que les élèves qu'on a en face de soi sont tous capables d'apprendre à des degrés divers.
Si on n'est loin d'être dans le meilleur des mondes aujourd'hui à l'Ecole, c'est justement parce que des recherches scientifiques authentiques donnent lieu à des interprétations, des raccourcis et des facilités idéologiques qui conduisent finalement à nier l'autorité, c'est-à-dire la compétence des enseignants : "vous ne pouvez pas être bons parce que vous ne connaissez pas encore la dernière mode pédago-politico-socio-psycho-neurologique". Quand les politiques, leurs conseillers puis finalement les parents et les élèves eux-mêmes dénient aux enseignants le savoir-enseigner, il ne faut pas s'étonner que l'autorité des enseignants soit bafouée et ainsi que les apprentissages soient de plus en plus difficiles.
Un cerveau normal désire apprendre ce qui lui permet de s'adapter au mieux à son environnement et il est même prêt à faire des efforts pour cela, soit. Mais si on fait massivement passer le message que bien qu'ils aient déjà largement appris à apprendre comme en témoignent leurs diplômes, les enseignants doivent surtout "_modifier la manière dont ils enseignent et faciliter les apprentissages chez les enfants_" : on dévalorise complètement ce qu'a pu observer l'enseignant par lui-même, en s'appuyant sur son expérience et sa réflexion propres en faisant croire qu'il existerait des outils magiques pour apprendre facilement, et finalement sans effort. Si donc votre enfant ne travaille pas bien à l'école, c'est parce que son prof n'a pas encore assez étudié la neuropédagogie !
On n'a pas attendu les neurosciences pour avoir des Montaigne, Rousseau, Lamartine, Pasteur, Poincaré. En revanche, je ne pense pas s'ils auraient si bien progressé dans la connaissance si on leur avait fait croire dès l'enfance que leurs enseignants ne savaient pas bien enseigner et qu'ils ne devraient pas avoir d'efforts à faire pour étudier et même trouver du plaisir dans ces études puisqu'il existerait des "outils" neurologiques voire informatiques pour apprendre sans effort !
Vous admettez qu'il faut reconnaître l'autorité des enseignants et la nécessité de faire des efforts pour apprendre ? Eh bien j'affirme qu'il y a dans la compréhension et l'acceptation de ces évidences l'essentiel de ce qui caractérise encore la réussite scolaire actuelle quand elle parvient à émerger, quels que soient les niveaux sociaux. Car si ceux qui sont favorisés socialement trouveront forcément une place dans la société, on ne compte pas le nombre de bacheliers ignares, rattrapés par pure complaisance, qu'on trouve dans ces milieux. En revanche, il y a toujours, même s'ils deviennent de plus en plus rares, des "défavorisés sociaux" qui réussissent très bien à l'école.
L'échec global de l'école, c'est l'incompréhension ou le refus de ces évidences : ayant appris à maîtriser les disciplines qui leur ont permis d'avoir leurs diplômes et concours, les enseignants savent comment ils ont appris ces disciplines et donc comment les enseigner pour l'essentiel : par l'ouverture d'esprit, l'effort et donc aussi la reconnaissance de sa propre responsabilité "d'apprenant". La faute des enseignants, d'un nombre certain d'enseignants, c'est surtout de s'être laissé accroire qu'ils n'étaient pas suffisamment en mesure d'enseigner leur discipline et qu'un élève arrivant dans son cours démotivé voire fier de son ignorance, c'était d'abord de sa faute à lui.
+Christian Lars De toute évidence, vous n'avez pas daigné continuer le visionnage, ce qui explique votre compréhension biaisée de la production. Nous ne mettons pas ici en cause les connaissances et savoir faire des enseignants, mais nous voulons mettre en évidence les idées reçues, les mythes inscrits profondément dans notre culture qui même si on ne le fait pas consciemment nous influencent et changent notre jugement ainsi que nos actions. Ils sont d'autant plus dangereux que si on ne met pas le doigt dessus, ils continuent d'exercer leur influence pernicieuse sur nous.
On ne remet donc pas en cause l'autorité des enseignants, mais on reconnaît celle des pédagogues et neuroscientifiques, qui pourrait permettre aux enseignants d'atteindre un niveau de compétence encore plus élevé que celui qu'ils ont actuellement. D'ailleurs, toutes ces idées reçues sur l'intelligence et les capacités des enfants sont certes présentes chez les enseignants dans une certaine mesure, mais plus encore dans les familles et la société en général. On ne s'adresse donc pas uniquement aux enseignants, mais à tout le monde. Que vous personnellement n'ayez jamais été de près ou de loin impliqué dans une situation où un élève se retrouve rabaissé, plus ou moins directement, ou sa confiance en soi est sapée par des méthodes qui ne lui conviennent pas et caetera, tant mieux ! Cependant vous ne pouvez pas rejeter la réalité de ces situation, même pour de "bons" élèves. Ce serait comme dire : "Je n'ai jamais tué personne, je n'ai jamais vu personne être tué, donc le meurtre n'existe pas.". Les neurosciences ne prétendent pas qu'il existe des outils magiques, mais qu'il existe un état d'esprit et une approche optimaux pour le bien être des élèves, dont la qualité d'apprentissage et surtout d'intégration des notions dépend. Au contraire, le GRENE et les intervenants que nous avons vus mettent bien en garde contre les recettes toutes faites.
Par ailleurs, l'argument selon lequel on n'a pas attendu d'améliorer nos connaissances sur la pédagogie et le fonctionnement du cerveau pour avoir des génies est totalement fallacieux. Il l'est à peu près autant que dire qu'on n'a pas attendu les recherches récentes en médecine pour soigner des patients. Il y a de plus fort à parier que ces génies que vous citez n'ont pas tout appris de leur professeurs mais ont su trouver leur fonctionnement propre et tirer partie de leurs affinités et intérêts pour arriver à un niveau d'excellence. La réussite scolaire que vous citez, avec un ton emprunt de mélancolie, de nostalgie et de fatalisme est en effet encore bien présente, et ce que nous aimerions, ce que les personnes avec qui nous avons travaillé ont pour objectif, c'est de l'étendre à tout un chacun, de faire en sorte qu'absolument tous les élèves et étudiants trouvent leur compte dans les études et s'y épanouissent. Que ces études ne soient pas simplement l'obtention du sacro-saint diplôme tant convoité, mais un parcours vers la connaissance de soi et l'amélioration en tant que personne à travers les enseignements dispensés. Pour ce faire, il est indispensable de comprendre ce qui différencie ceux qui réussissent des autres, et de se remettre en cause, sans quoi on n'arrivera jamais à rien. Le rejet de l'Ecole ne vient pas de nulle part, il a une source dans les représentants, la mauvaise image qu'on en a a pour origine le mal être de nombreux élèves au sein du système. Connaître un sujet, une matière sur le bout des doigts ne rend pas particulièrement capable de transmettre ces connaissances et cet amour pour le sujet en question. Affirmer le contraire serait rejeter le travail des pédagogues. C'est bien ce qui fait qu'enseigner est un métier, un dur métier. Il demande une remise en question et une adaptation constante. C'est à l'enseignement d'épouser la forme de l'élève, et non à l'élève de se tordre sous la pression de l'enseignement.
Ce que les travaux du GRENE montrent est que dans l'apprentissage, l'apprenant et l'enseignant ont une responsabilité partagée. Mais dans cette responsabilité l'enseignant doit être le guide qui mène l'apprenant vers la connaissance de soi et des sujets, qui sont indissociables en réalité. Si l'enseignant guide l'apprenant en tenant de compte des particularités de l'un et de l'autre, il ne reste alors à l'apprenant que de s'ouvrir aux enseignements. Si l'un ou l'autre n'accomplit pas son rôle, il y aura difficulté voire dysfonctionnement. En étant au courant des travaux neuroscientifiques, les enseignants échoueront toujours, parfois, dans leur mission, mais ils auront essayé, et auront tout mis en oeuvre. Si et seulement si l'enseignant a vraiment tout mis en oeuvre pour ouvrir ses enseignements à l'élève, en s'adaptant à lui, alors il pourra prétendre n'avoir aucune responsabilité dans l'éventuel échec. Dans le cas contraire, il en aura toujours forcément un peu.
Le but n'est pas du tout ici de culpabiliser ou blâmer qui que ce soit, mais d'ouvrir la voie à l'amélioration conjointe de l'enseignement et de l'apprentissage, de son adaptation à la réalité d'aujourd'hui, et aux connaissances dont nous disposons en terme de fonctionnement neurologique et de pédagogie.
+Thomas Dufraine Ce qui est remarquable, c'est cette faculté que vous avez, vous et les pédagogistes en général, d'expliquer que vous ne voulez pas culpabiliser ou remettre en cause l'autorité des enseignants tout en expliquant en long, en large et en travers que l'école serait rejetée à cause du passéisme nostalgique des enseignants qui ne vous suivent pas et que c'est à l'enseignant "d'épouser la forme de l'élève" (comme c'est beau) et non à l'élève "de se tordre sous la pression de l'enseignant" (comme c'est vilain).
Mais avec cette idéologie, car en l'occurrence c'est vous qui ne remettez pas en cause ces façons de voir dominantes qui sont à l'oeuvre dans l'administration de l'éducation nationale depuis les années 70 avec le grand moment de "l'élève au centre du système éducatif" de la loi d'orientation de 89, vous ne voyez pas que vous conduisez le professeur à "se tordre sous la pression" des appétits naturellement partisan du moindre effort de l'élève, ce que toute personne qui a été élève reconnaît habituellement de bonne foi, tandis que l'élève, quant à lui, continue principalement d'épouser sa propre forme "d'apprenant" à ne pas apprendre de façon approfondie et rigoureuse, voire à mépriser ces enseignants qui n'assument pas leur supériorité en termes de savoir. Et pour cause, l'élève n'a plus à s'élever au savoir de l'enseignant, c'est l'enseignant qui doit s'abaisser au fonctionnement de l'élève-"apprenant" !
Pour préparer mes cours, je commence par répondre à des exigences de logique et de méthode, puis je passe le résultat au crible d'un travail d'empathie par lequel j'essaye de voir ce qui peut passer auprès des élèves et ce qui ne peut les atteindre. Pas besoin de neuropédagogie pour cela mais je n'ai pas dit non plus, comme vous vous plaisez à le croire, qu'il suffisait de maîtriser une discipline pour l'enseigner correctement : il faut et il a toujours fallu aussi de la réflexion. Et mes élèves savent et comprennent très bien pour la grande majorité que c'est à eux en cours et après les cours de faire l'effort de comprendre, de s'approprier et de remobiliser ce que je leur enseigne. Ils viennent donc avec des désirs, des questionnements et aussi beaucoup d'idées préconçues et illusoires qu'il s'agit de discuter en s'appuyant sur le raisonnement et non sur la référence paresseuse à des autorités quelconques. Mais à aucun moment je ne leur fais croire que raisonner de façon critique et correctement documentée serait quelque chose qu'ils possèdent déjà à égalité avec moi.
Après je ne rejette nullement les apports possibles des neurosciences pour améliorer les choses, vous avez bien compris si vous êtes de bonne foi que ce que je rejette, c'est l'idéologie pédagogiste qui s'en sert pour justifier la destructuration complète de l'enseignement en faisant de l'élève un "apprenant" qui construit pour l'essentiel son propre savoir tandis que l'enseignant ne serait plus qu'un référant au service de l'élève : en faisant de l'élève le maître de l'enseignant, vous et les pédagogistes détruisez avec les meilleures intentions du monde sûrement les fondements de tout apprentissage réussi. J'ai commencé ma carrière en apprenant à l'IUFM que la façon de faire de mes anciens enseignants était nulle, la plupart de mes collègues, par conformisme ou par facilité se sont laissé impressionner et ont appliqué ces nouvelles méthodes. Résultat, les élèves ont à plus 90% le bac, mais il n'y en a pas 10% qui savent faire l'effort de construire une véritable problématique, logique et progressive et je ne parle pas des 60% qui sont incapables de produire un texte sans fautes d'orthographe et de grammaire à toutes les pages.
je te kiffe jean-marie patard! :D
;)
Diversité constructive
Plasticité permet l integration
un lien auquel je ne n'avais pas songé ^^
Lol,les professeurs sont formés ???
On est à la ramasse dans ce domaine.
#INSPE, ces planqués démagos
1ère phrase 1ère erreur, l’école n’est pas obligatoire !!! L’instruction l’est !
L'art bien français de se focaliser sur les erreurs et non sur le positif. Le plus dramatique est de voir le nombre de commentaires du même acabit... Ce qui signifie que ces personnes ne regardent même pas si cela a déjà été spécifié. Ou pire, ils estiment peut être qu'il est fondamental de réitérer le propos... Pour information, à partir de cette année il sera de plus en plus difficile de ne pas fréquenter d'établissement scolaire et de faire cours à la maison. Le but étant de formater les jeunes esprits, le gouvernement ne souhaite pas laisser libre court à une éducation créative basée sur le questionnement et l'analyse critique.
Evidemment qu'il y a une (légère) différence garçons-filles
différence socialement construite.
Mais quel blabla.... on n'apprend pas grand chose
ben non puisque ce sont bientôt des produits à vendre aux parents donc c'est de la propagande pour avoir le marché et donc des sources de financements !!!!
👎🏾👎🏾👎🏾👎🏾c est pourrl