Si peu de vues, de like et de commentaires pour un sujet tellement important quel dommage ! Bravo pour ce travail et cette tentative de pédagogie ! J’espère que les partages sont nombreux ❤
Bravo les amis vous êtes juste les meilleurs. Respect a vous tous, merci pour nous, pour nos enfants, merci pour les générations futures. Si seulement ses pratiques agroécologique se généraliser dans le monde.
Quel "apport massif" d informations capitales dans cette vidéo ! Merci infiniment à vous deux pour votre contribution à diffuser de manière très pédagogique du savoir et de la pratique sur le maraîchage sur sol vivant . Il n y a pas que le sol qui a un " beau profil " en profondeur à Cagnolle ! Félicitations pour ce que vous faites et ce que vous êtes ! Apres ce concentré et condensé exposé "y a plus qu'à " carburer à carbonner. Je n ai plus aucun doute sur le bien fondé de cette impérieuse nécessité mais sur la méthode je m'interroge encore. Dans cette vidéo François insiste sur la nécessité de ne pas enfouir la matière organique. J'avais cru comprendre dans d autres vidéos ( notamment celles de François Mulet de Ver de Terre Production ) qu au démarrage il fallait booster le processus en incorporant la MO . Je me pose donc les questions suivantes : Quantité de MO à l hectare au démarrage ? Type de MO : Broyats de déchetterie uniquement ou apport aussi de fumier ? Enfouis ou non et si oui sur quelle profondeur et à quel moment de l'année et en bâchant ou non ? Combien de temps attendre avant de commencer une première culture ? Quelle première culture ? Fabacés ? Cucurbitacees ? .... Comment gérer la faim d azote de démarrage ? Et ensuite, une fois que le processus " sol vivant " fonctionne quelle quantité annuelle ou interculture de MO à l hectare est necessaire pour nourrir le sol ? Oui Benoît, je suis " mûr " pour m inscrire à un stage car j ai bien conscience que ce n est pas possible de répondre ici ds les commentaires . A bientôt donc à Cagnolle ! 😉
Si intégration de la mo dans le sol, attention de le faire au printemps quand l’activité biologique redémarre (Temperature),surtout dans un sol hydromorphe afin d’éviter l’anaérobiose. C’est du vécu...Rajouter du compost ou quelque-chose de bien azoté pour nourrir la culture et éviter la fin d’azote.
oui la nature a tout prévu ; elle a la solution pour réintégrer et stocker le CO2 dans le sol tout en restaurant une fertilité que les pratiques agricoles mal contrôlées ont contribué à appauvrir et ceci sans polluer ! toutefois la pratique des intrants massifs est une solution qui doit être utilisée avec précaution, cette pratique doit être temporaire pour restaurer rapidement la fertilité et la biodiversité du sol ; elle doit également être appliquée sur des surfaces réduites (maraichage et potagers) pour ne pas prélever de façon intensive la matière organique sur les prairies ou les champs céréaliers (paille et foin) ; l'épandage des broyats d'élagage étant bien sûr la solution idéale et préférable à l'écobuage avec en complément l'utilisation des engrais verts en interculture, et toutes les autres techniques de permaculture (couvert permanent, semi direct........) sous peine de déshabiller Pierre pour habiller PAUL. Donc la nature ayant tout prévu, il faut stopper par tous les moyes l'idée lumineuse de certains milliardaires (que je ne nommerai pas) d'investir dans des usines (à gaz) pour capter le CO2 de l'air et l'injecter en profondeur dans le sous-sol ; ce qui revient à gaspiller de l'énergie et polluer pour dépolluer !!!!! ou comment ne pas apprendre de ses erreurs ?
Je suis étudiant en école d'ingénieur en agronomie et j'ai une question par rapport à la technique d'agroforesterie qui est mise en place à la ferme de cagnolle, comme vous l'avez dit dans la vidéo les sols sont peu profond. On nous apprend que nous devons pas faire d'agroforesterie sur ce type de sol car les racines des arbres ne pourraient pas traverser la Roche mère et que ces racines capteraient l'eau non pas en profondeur mais en surface au niveau des parcelles de culture... L'impact de ces arbres seraient donc négatif car en plus de capter l'eau, les nutriments seraient eux aussi absorbés et ne seraient plus disponible pour la culture en place, pourquoi est ce que l'agriforesterie fonctionne à la ferme de cagnolle ?
Merci beaucoup François pour cette analyse très intéressante. Petite question, du coup, pour les sangliers, comment fait la ferme de Cagnolle pour les repousser ? Merci !
Si peu de vues, de like et de commentaires pour un sujet tellement important quel dommage !
Bravo pour ce travail et cette tentative de pédagogie !
J’espère que les partages sont nombreux ❤
Bravo les amis vous êtes juste les meilleurs. Respect a vous tous, merci pour nous, pour nos enfants, merci pour les générations futures. Si seulement ses pratiques agroécologique se généraliser dans le monde.
Bravo pour l'intérêt que vous donnez au sol.
Très bonne explication, tu as éclairé ma lanterne.
Excellent ! Hyper intéressant merci pour toutes ces explications sur la vie du sol👍
Bis répétition : BRAVO et MERCI à VOUS, pour nous Tous ! 🤩🤩🤩👍
Quel "apport massif" d informations capitales dans cette vidéo !
Merci infiniment à vous deux pour votre contribution à diffuser de manière très pédagogique du savoir et de la pratique sur le maraîchage sur sol vivant . Il n y a pas que le sol qui a un " beau profil " en profondeur à Cagnolle ! Félicitations pour ce que vous faites et ce que vous êtes !
Apres ce concentré et condensé exposé "y a plus qu'à " carburer à carbonner. Je n ai plus aucun doute sur le bien fondé de cette impérieuse nécessité mais sur la méthode je m'interroge encore.
Dans cette vidéo François insiste sur la nécessité de ne pas enfouir la matière organique. J'avais cru comprendre dans d autres vidéos ( notamment celles de François Mulet de Ver de Terre Production ) qu au démarrage il fallait booster le processus en incorporant la MO .
Je me pose donc les questions suivantes :
Quantité de MO à l hectare au démarrage ?
Type de MO : Broyats de déchetterie uniquement ou apport aussi de fumier ?
Enfouis ou non et si oui sur quelle profondeur et à quel moment de l'année et en bâchant ou non ?
Combien de temps attendre avant de commencer une première culture ?
Quelle première culture ? Fabacés ? Cucurbitacees ? ....
Comment gérer la faim d azote de démarrage ?
Et ensuite, une fois que le processus " sol vivant " fonctionne quelle quantité annuelle ou interculture de MO à l hectare est necessaire pour nourrir le sol ?
Oui Benoît, je suis " mûr " pour m inscrire à un stage car j ai bien conscience que ce n est pas possible de répondre ici ds les commentaires .
A bientôt donc à Cagnolle ! 😉
Si intégration de la mo dans le sol, attention de le faire au printemps quand l’activité biologique redémarre (Temperature),surtout dans un sol hydromorphe afin d’éviter l’anaérobiose. C’est du vécu...Rajouter du compost ou quelque-chose de bien azoté pour nourrir la culture et éviter la fin d’azote.
@@jeanlucb8814
Merci !
Merci 💛😉👍 je diffuse dans *Tv Alternative*
Un grand merci ,,ya plus qu'à !!
Tout est dit et bien expliqué super👍
oui la nature a tout prévu ; elle a la solution pour réintégrer et stocker le CO2 dans le sol tout en restaurant une fertilité que les pratiques agricoles mal contrôlées ont contribué à appauvrir et ceci sans polluer ! toutefois la pratique des intrants massifs est une solution qui doit être utilisée avec précaution, cette pratique doit être temporaire pour restaurer rapidement la fertilité et la biodiversité du sol ; elle doit également être appliquée sur des surfaces réduites (maraichage et potagers) pour ne pas prélever de façon intensive la matière organique sur les prairies ou les champs céréaliers (paille et foin) ; l'épandage des broyats d'élagage étant bien sûr la solution idéale et préférable à l'écobuage avec en complément l'utilisation des engrais verts en interculture, et toutes les autres techniques de permaculture (couvert permanent, semi direct........) sous peine de déshabiller Pierre pour habiller PAUL.
Donc la nature ayant tout prévu, il faut stopper par tous les moyes l'idée lumineuse de certains milliardaires (que je ne nommerai pas) d'investir dans des usines (à gaz) pour capter le CO2 de l'air et l'injecter en profondeur dans le sous-sol ; ce qui revient à gaspiller de l'énergie et polluer pour dépolluer !!!!! ou comment ne pas apprendre de ses erreurs ?
merci beaucoup
Excellent.
Je suis étudiant en école d'ingénieur en agronomie et j'ai une question par rapport à la technique d'agroforesterie qui est mise en place à la ferme de cagnolle, comme vous l'avez dit dans la vidéo les sols sont peu profond.
On nous apprend que nous devons pas faire d'agroforesterie sur ce type de sol car les racines des arbres ne pourraient pas traverser la Roche mère et que ces racines capteraient l'eau non pas en profondeur mais en surface au niveau des parcelles de culture...
L'impact de ces arbres seraient donc négatif car en plus de capter l'eau, les nutriments seraient eux aussi absorbés et ne seraient plus disponible pour la culture en place, pourquoi est ce que l'agriforesterie fonctionne à la ferme de cagnolle ?
Merci beaucoup François pour cette analyse très intéressante.
Petite question, du coup, pour les sangliers, comment fait la ferme de Cagnolle pour les repousser ? Merci !