BAUDELAIRE - Faut-il exclure de l'art la laideur, la souffrance, et l’immoralité ? Les Fleurs du mal

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  • เผยแพร่เมื่อ 8 ก.ย. 2024

ความคิดเห็น • 13

  • @mediaclasse
    @mediaclasse 3 ปีที่แล้ว +9

    Excellente vidéo, où l'on voit toutes les nuances de la pensée de Baudelaire sur cette question passionnante, bravo !

  • @Omar-rb5mp
    @Omar-rb5mp 2 ปีที่แล้ว +4

    Merci beaucoup pour cette vidéo géniale qui m’aide beaucoup pour mon bac !

  • @noecourmont8498
    @noecourmont8498 2 ปีที่แล้ว +1

    meilleure vidéo pour le bac Français !

  • @rhapsodiemusique7158
    @rhapsodiemusique7158 2 ปีที่แล้ว +2

    Vous êtes génial . J’aurais aimé vous écouter quand je suivais mes études à l’université ! 🌈

  • @paulbigot9039
    @paulbigot9039 2 ปีที่แล้ว +1

    Cette vidéo est parfaite !! Merci beaucoup pour tous les documents. Tout est précieux !

    •  2 ปีที่แล้ว

      Merci ! J'espère que les deux autres vous intéresseront également !

  • @denisbroniax1699
    @denisbroniax1699 3 ปีที่แล้ว +1

    Merci pour ce travail d'une grande utilité pour l'étudiant que je suis (et pour d'autres sans doutes !). C'est un plaisir de découvrir certaines références - qu'elles soient littéraires ou picturales.
    Bon courage pour la suite de cette série, et pour le reste.

  • @gallermaez
    @gallermaez ปีที่แล้ว +1

    Le rôle de l'artiste c'est d'exprimer des émotions afin de les partager avec le public , Si le beau est source d'émotion ( l'admiration) tout ce qui provoque une émotion est aussi matière pour l'artiste , en particulier l'émotion de la nouveauté : ce qui est étonnant voire shocking imprègne l'art moderne , mais une fois la surprise passée que reste-t-il ? De l'ennui !

  • @grosseteub
    @grosseteub 3 ปีที่แล้ว +1

    superbe vidéo

  • @antoinemas9159
    @antoinemas9159 ปีที่แล้ว

    Merci pour cette vidéo encore une fois super intéressante !
    Petite question néanmoins : n'y a t il pas des cas où l'esthétique classique représente la souffrance, la laideur morale ? Si on prend par exemple Oedipe roi de Sophocle ?

    •  ปีที่แล้ว

      Bonjour. Déjà tout dépend de ce que l'on appelle "classique"... Pour Sophocle, je dirais qu'effectivement il y a une représentation massive de la douleur, donc il ne fait pas partie de l'esthétique de la "beauté morale" dont je parle dans la vidéo pour l'opposer à celle de Baudelaire. Néanmoins, chez Sophocle il n'y a pas d'esthétisation du mal au sens de la perversité morale. Dans ce sens il ne fait pas partie de ce que Baudelaire appelle l'esthétique moderne.

    • @antoinemas9159
      @antoinemas9159 ปีที่แล้ว

      ​@ Merci pour cette réponse !
      Au sens de classique je me référais à l'antiquité et non pas au 17ème.
      Mon commentaire visait à exprimer mon incompréhension face à la phrase que vous citez lorsque vous évoquez ces esthétiques : " Jusque vers un point assez avancé des temps modernes, l'art, poésie et musique surtout n'a eu pour but que d'enchanter l'esprit en lui présentant des tableaux de béatitude " Or, je doute ( sauf erreur de ma part !) que les tragédies "antiques" enchantent l'esprit en présentant des tableaux de béatitude, d'où mon incompréhension face à cette phrase !
      De plus, pourriez-vous préciser l'idée de votre commentaire selon laquelle " il n y a pas d'esthétisation du mal au sens de perversité morale " chez Sophocle s'il vous plaît ? ( ou plus généralement chez tous les auteurs avant les "temps modernes " ?)

    •  ปีที่แล้ว

      @@antoinemas9159 A propos de la notion de perversité, c'est l'objet de ma 3ème vidéo sur Baudelaire, je vous conseille de la regarder. Sophocle par ex. n'aurait jamais considéré qu'il est beau de représenter le mal pour le mal. Pour ce qui concerne votre première question, oui la phrase citée de Baudelaire est assez excessive (remarquez quand même qu'il dit que cela s''applique surtout à la poésie et à la musique, pas à la tragédie), sauf si on considère que le sens profond de cette phrase, c'est qu'encore une fois il ne s'agissait pas dans l'esthétique à laquelle Baudelaire s'oppose d'extraire de la beauté à partir du mal au sens de la volonté de faire le mal (=perversité).