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Trivial.
France
เข้าร่วมเมื่อ 30 พ.ย. 2018
Chaîne d'exemples et d'exercices d'oraux sur les mathématiques de licence/prépa.
Oral Mines : Deux exos très simples à savoir faire rapidement.
Deux exercices qui ont été posés à l'oral des Mines. L'idée c'est de voir que l'on connait bien son cours, et qu'on peut l'utiliser rapidement. N'hésitez pas à revenir sur ces exercices qui conviennent à toutes les sections de prépas, et à les faire rapidement, et les yeux fermés !
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วีดีโอ
Exercice Centrale : Une inégalité intégrale (exo de sup)
มุมมอง 3.5K2 หลายเดือนก่อน
Enfin une nouvelle vidéo sur cette chaîne. Un exercice plutôt classique où l'on doit démontrer une inégalité intégrale. Désolé pour les petites erreurs (oubli de racines, de dt), je m'en rends compte toujours trop tard.
Des intégrales chaudes pour l'été -- Oral de l'X
มุมมอง 12K6 หลายเดือนก่อน
Deux intégrales à calculer, une facile, une plus dure. Un peu comme dans la vie. Time code : 00:00 Introduction qui ne sert pas à grand chose mais qui fait toujours plaisir 01:26 Générique 01:49 Premier exercice 05:00 Deuxième exercice La musique d'intro est "Pretty Ballerina" de Robert Bruce (et j'ai payé les droits donc voilà quoi) Pour l'énoncé d'oral Centrale (Spoilers) : 1)On peut déjà fai...
Oral Centrale - Suites récurrentes : Plus dur que l'X ?
มุมมอง 15K8 หลายเดือนก่อน
Un exercice assez compliqué d'étude d'une suite récurrente réelle ! L'idée est de passer par une équation différentielle. Il y a plus court, mais c'est beaucoup moins clair aussi. Alors on passe par la sueur et le sang des calculs un peu pénibles pour appliquer une méthode plus générale.
Un exercice des Mines en 3 minutes
มุมมอง 4K8 หลายเดือนก่อน
Tout est plus simple quand on sait ce qu'il faut faire. La difficulté principale de cet exercice est de trouver de quoi il traite !
Deux exercices sur la continuité (Sup)
มุมมอง 1.1K9 หลายเดือนก่อน
Time codes : 00:00 Introduction 00:36 Premier exercice 5:59 Deuxième exercice ATTENTION ! Pour le premier exercice, je n'insiste pas assez sur le fait que si on peut supposer que f est croissante ou décroissante, c'est bien parce qu'elle est continue et bijective sur un intervalle. Sinon, ça ne marche plus !
Suite récurrente : un exercice de Polytechnique
มุมมอง 8K10 หลายเดือนก่อน
Un exercice de Polytechnique sur les suites récurrentes un peu plus théorique. Il est tiré d'un oral de filière MP, mais on peut le simplifier un petit peu pour obtenir un exercice abordable pour d'autres filières. 00:00 Générique 00:20 Exercice sur [0,1] 16:54 Exercice pour MP sur [0,1]^d
Oral des Mines : Exercice Ultraclassique sur les suites.
มุมมอง 20K10 หลายเดือนก่อน
Un exercice à bien connaître, notamment la méthode pour trouver un équivalent de la suite. Crédits pour l'animation de l'attracteur de Lorenz : German A. Chernykh & Irian A. Chernykh (Creative Commons) L'image de la courbe de la fonction liée à l'attracteur étrange est issu de l'article de Guckenheimer et Williams, Structural stability of Lorenz attractors, Publications mathématiques de l’I.H.É...
Oral Polytechnique : Une somme EFFRAYANTE, mais en fait non.
มุมมอง 2.5K11 หลายเดือนก่อน
Dans cette vidéo on apprend à dépasser nos peurs, notamment celle sur les sommes doubles alternées portant sur des parties d'un ensemble à n éléments, peur bien commune qui peut nous pourrir la vie.
Sous-espaces vectoriels de R^n
มุมมอง 25811 หลายเดือนก่อน
Quelques exemples d'espaces de R^n où l'on détermine leurs bases.
Oral des Mines : Diagonalisation
มุมมอง 3.3K11 หลายเดือนก่อน
Un exercice des Mines de diagonalisation à la cool.
Domaine de définition de fonctions : trois exemples.
มุมมอง 295ปีที่แล้ว
Dans cette vidéo, nous déterminons trois domaines de définitions de fonctions données explicitement. La troisième va vous surprendre !!
Super !
Parfait
Ce deuxième exercice est vraiment récurrent. On le retrouve dans le Sujet A 2024 de l'ENS, ou encore CCINP PSI 2023 et même encore aujourd'hui je suis tombé par hasard sur une telle matrice dans un exercice sur les espaces préhibertiens. En général il faut avoir le réflexe de bien observer ses matrices avant de se lancer dans des calculs de déterminant ou de système. Certaines valeurs propres sautent aux yeux et les combinaisons linéaires qui annulent les colonnes d'une matrice donnent des vecteurs propres sans calculer de système.
C'est ce que j'essaie d'apprendre à mes élèves aussi, mais la plupart des étudiants se rue sur les méthodes calculatoires.
Joli !
Super vidéo ! Des explications très claires pour les élèves. L'exemple en dimension 3 donne l'intuition pour comprendre la démarche. J'aurais alors ajouté (pour être sûr que tout le monde suive) que : si 𝐸 est de dimension 3 et que 𝐴 et 𝐵 sont de dimensions au moins 2, alors leur intersection est non nulle parce que si elle était nulle, on aurait alors 𝐸 inclus dans la somme directe 𝐴+𝐵, mais 𝐴+𝐵 serait de dimension au moins 4, ce qui est absurde. Donc l'intersection est bien non nulle. Il ne faut pas oublier que certains élèves n'ont pas les bons réflexes en algèbre !
C'est pourquoi qu'il a fait les grandes écoles et pas moi. Malgré mon déficit éducatif, je gagne bien ma vie et vis près de la mer en Amérique. Comme quoi, faire les prépas ou pas, c'est le résultat final qui compte,
Cool pour toi 👍
Va manger ton mcdo et laisse nous devenir l’avenir fructueux de la France
Depuis quand le bonheur est simplement matériel c’est pas parce que tu ne prend pas plaisir à réfléchir que les autres n’ont pas ce plaisir dans la vie.
Tu m’étonnes que t’as un déficit vu comment t’écris
@@pouletcurry8559 😅😅😂 bien dit
bizarrement ça me manque maintenant :(
Si l'on considère le minimum de ∫f ' ^2 / ∫f ^2 pour tout les fonctions avec f[1] = 0 ,on peut montrer que le minimum est attaint pour f[x]= cos[π/2*x] ,cequi donne le valeur π^2/4 >2 .Cette valeur est le valeur propre v du problème u'' + v*u =0,u'[0]=0 ,u[1]=0. L'expression ∫f ' ^2 / ∫f ^2 est appelée Raylegh-Quotient et joue un role important pour la théorie des ''eigenvalue - problems '' .
Merci! Elle me fait vraiment penser à l’inégalité d’olech-opial
Désolé pour les petites erreurs (oubli de racines, de dt), je m'en rends compte toujours trop tard. Je conseille à tout le monde d'essayer la méthode proposée par @lumpi806 (commentaire épinglé). Elle est plus élégante !
Plus simple : on part de f(t) = - intégrale de f '(t) entre t et 1, car f(1) = 0. Puis on applique Cauchy-Schwarz une seule fois.
Je ne l'avais tout simplement pas vu ! Comme souvent, il y a plusieurs manières d'arriver au résultat, la vôtre est effectivement plus directe.
@@trivial01199 Euh, ça m'arrive souvent de faire plus compliqué que prévu, moi aussi. Mais quelquefois la solution compliquée se généralise à d'autres problèmes, alors que la simple, non. En fait il faut connaitre toutes les méthodes, et c'est ce qui est difficile en prépa...
Montre moi comme Ça marche ! Je ne crois pas que c'est possible .
merci
7:04 il faudrait que l'intégrale sur [0,1] de f² soit plus grand ou égale à 1, sinon ça marche pas Exemple : sqrt(0,25)=0,5>0,25
Si je ne me trompe pas, l'inégalité qu'il écrit ne porte que sur le terme à l'intérieur de la racine donc elle est valable puis en passant à la racine (qui est croissante sur R+) on a bien que la racine de l'intégrale de 0 à t est plus petite que la racine de l'intégrale de 0 à 1. Après, cela fait longtemps que je n'ai pas fait de maths je peux me tromper
@@JulienRenard-yy4hy Oui c'est cela, mais j'ai arrêté ma racine un peu trop tôt, ce qui prête à confusion.
C’est une dinguerie parce qu’en 2e année là aujourd’hui, le prof nous a parlé du critère de d’Alembert qui part aussi du principe qu’il y a une analogie entre les dérivées et la soustraction entre deux termes consécutifs d’une suite, et comme par hasard je tombe sur ça sur TH-cam, une dinguerie Je me suis demandé si on ne pouvait pas utiliser le critère de d’Alembert sauf que lorsqu’on étudie le quotient bah la limite du quotient quand n tend vers l’infini c’est 1, soit le pire résultat qu’on puisse avoir avec le critère de d’Alembert parce qu’en fait on ne peut rien dire…😭 Moi qui pensais être l’élu en pouvant utiliser cette méthode que mon prof trouve quasiment inutilisable dans tous les exercices car trop situationnel…😭
nadii
on ne peut pas faire comme suit? Rn-1[X] est un espace vectoriel de dimension n, or la famille (P(X),P(X+1),...,P(X+n)) est liée car contient un élément de plus que la dimension de l'espace.
J'ai l'impression que tu démontres la propriété où nos quantificateurs sont inversés. Tu vas trouver pour chaque polynôme un n-1-uplet mais pas forcément un qui correspond pour tout le monde.
sinon ca donne envie de faire un récurrence mais bon en prenant la somme en n+1 il faut distinguer plusieurs paquets et je ne suis pas sur que ça simplifie tellement. Autre idée rigolote pour trouver un lien avec la formule du crible en probabilités : en notant m=Min(x1,...,xn), M=Max(x1,...,xn), k=(M-m) (on suppose M>m sinon ca n'a pas un grand intérêt). Alors en notant pi=(xi-m)/k, tous les pi sont des réels compris entre 0 et 1. On peut imaginer une expérience aléatoire ou les pi sont les probabilités associées à des évènements emboités, alors en substituant les pi au xi dans la relation, le terme à droite de l'égalité est la probabilité de la réunion des évènements et le terme de gauche est la formule du crible. On remultiplie par k et on ajoute m et on est pas mal.
Bonne vidéo. Toutefois, ne fallait-il démontrer que les changements de variables étaient bien des C1-diffémorphismes de ... sur ... dans un oral X ? Et l'inversion séries-intégrales, ne demanderait-il pas quelques explications supplémentaires, du genre convergence séries géométriques et je pense qu'il faudrait expliquer ce qu'il se passe en v=1(presque partout ou on joue sur [0;1[...) ou est ce que ces résultats sont considérés comme évident. Par contre , Fubini-Tonelli, je suppose avec mesure de comptage, ne serait-plutôt à Beppo-Levi que vous pensiez dans l'anecdocte ?
Dans un oral, tu peux te permettre d'aller plus vite, et si l'examinateur te demandes les détails (exemple : prouver qu'un le changement de variable est un C1 diffeomorphisme..) bah tu lui donnes. Et d'ailleurs à ce niveau ils ne connaissent pas la théorie de la mesure.
Pour la première intégrale le changement de variable u = 1/t fonctionne très bien. Cela nous donne intégrale sur R+ de u²/(1+u²)² du. Puis par linéarité de l'intégrale, 2I = integrale sur R+ de 1/(1+u²) du. On reconnaît l'arctan donc 2I = π/2 d'où I = π/4
19:24 😂😂😂
"Cet exercice de malade ment(al)" coupé sur le final, cela redouble l'effet surréel genre Griffins et ça rajoute quelque chose de méta 🤔 Bref, j'ai beaucoup aimé
Concernant l'intro de deux minutes, jsuis en prepa moi, t'as cru que j'avais le temps? 😂
Une que j'aime, c'est double intégrale sur [0,1]^2 dxdy/(1+xy)
Bonheur cette petite vidéo ! Merci pour ça. J'aurais aimé une petite propriété du roi pour conclure concernant J l'intégrale de cos²(u) sur le segment [0, pi/2] :( Ainsi 2J vaut l'intégrale de cos²(u) + sin²(u) sur [0, pi/2], donc on intègre juste 1 entre 0 et pi/2. En résulte 2J = pi/2, donc J = pi/4 !
Le goat a parlé
Parfois je souhaite etre une integrale sous tes yeux
Très bonne vidéo. Néanmoins, petite question à l'exercice 2 : Pourquoi ne peut-on pas développer directement en série entière 1/u^2-1 avant de faire le cdv u=1/v ? Merci d'avance
Pour la deuxième integrale, on pouvait poser 1+t = exp(u), puis faire apparaitre 1/(1-exp(-u)), que l'on développe en série entière, on intervertit la somme et l'integrale (on utilise les gros théorème d'analyse en spé), et on tombe sur le résultat plus rapidement.
Merci mais pourquoi écrire en rouge
ftg
Pour la deuxième intégrale, comme je n'aime pas manipuler des séries plus que nécessaire, je commence par remarquer que integrale de log(x)/(x^2-1),x=0,1 est égal à intégrale de log(x)/(x-1),x=0,1 moins integrale de x*log(x)/(x^2-1),x=0,1 dans la seconde intégrale on fait le changement de variable u=x^2, à la fin on se retrouve avec 3/4 fois integrale de log(x)/(x-1),x=0,1. Soit on sait que cette dernière intégrale vaut Pi^2/6 soit on se tape le développement en série entière pour montrer que cette intégrale est égale à zeta(2). Mais il faudra bien admettre une valeur à un moment donné.
Pour la seconde intégrale c'est un changement de variable important à connaître u=1/(1+x) qui permet de ramener l'intervalle d'intégration [0,infini] à [0,1]. Les changements de variable u=x/(1+x), u=x/(1-x) et surtout u=(1-x)/(1+x) sont, selon moi, indispensables à connaître. Le dernier changement de variable laisse invariant l'intervalle [0,1] et u=(1-x)/(1+x) implique x=(1-u)/(1+u).
Pour la deuxième intégrale votre justification de la continuité de l'intégrande en 0 est un peu fausse me semble-t-il. la fonction x->log(1+x)/x peut être prolongée continûment en 0 car la limite en 0 de cette expression est égale à un nombre dérivé (celui de la fonction x->log(1+x) en 0 c'est-à-dire que ce nombre dérivé est 1) et le facteur 1/sqrt(1+x) n'a pas de problème de continuité sur l'intervalle [0,infini]
Pour l'intégrale 1/(1+x^2)^2,x=0,infini, on commence par couper l'intégrale en deux, sur l'intervalle 0 à 1 et sur l'intervalle de 0 à l'infini dans la seconde intégrale on fait le changement de variable u=1/x, ce qui veut dire que la seconde intégrale vaut intégrale de u^2/(1+u^2)^2,u=0,1 et la première intégrale est égale à, intégrale de 1/(1+x^2),x=0,1 moins l'intégrale de x^2/(1+x^2)^2,x=0,1 ce qui veut dire que l'intégrale initiale est égale à intégrale de 1/(1+x^2),x=0,1 qui vaut Pi/4 par un calcul simple de primitive. La technique dans le début de mon message est ultra-classique dans ce domaine-là.
Des techniques de calcul d'intégrales il en existe tellement que ce serait fastidieux d'en faire la liste et je pense qu'elle ne serait jamais exhaustive. Une technique usuelle qui n'est pas mentionnée dans votre vidéo mais très utilisée: l"introduction d'un paramètre.
Feynman trick comme les anglais
@@janisaiad9505 C'est une technique connue depuis très longtemps. Cela remonte au moins à Leibnitz
Pour la première intégrale, peut-on conclure directement grâce à une décomposition en élément simples ?
Je me posais la même question. On aurait un truc du genre (at+b)/(1+t²) + (ct+d)/(1+t²)² non ?
C'est le cas, la fraction rationnelle est un élément simple avec a=b=c=0, et d=1
Une de mes chaines de maths préférées...
Salut, on a un théorème de cours sur les intégrales impropres qui permet l’échange série intégrale (même avec une borne infinie), je ne comprends donc pas l’intérêt du changement de variable u=1/t. Peux-tu m’éclairer ?
La série ln(1+t) = ∑ (-1)^(k+1) t^k / k converge uniquement si |t|<1 ou t=1 or t varie entre 0 et +∞. En revanche avec le changement de variable u=1/t, on aura u entre 0 et 1 donc la série sera convergente.
le développement en série entière nécessite que |x|<1 donc on doit se ramener à ce domaine ci afin de faire apparaitre notre DSE
Ok merci à vous
Un débat passionant dès le début de la vidéo : une suite est-elle un objet dynamique ou objet statique ? Je vous renvoie à cette vidéo th-cam.com/video/bPm71S8oQcQ/w-d-xo.html&pp=ygUQamFjcXVlcyB2YXV0aGllcg%3D%3D (à partir de 10mn15) qui explique le problème ou à la page wikipédia concernant les systèmes dynamiques.
Superbe travail. Svp quels logiciels utilisez vous pour la presentation?. Merci
Bonjour, merci. J'utilise une tablette graphique XPen et ensuite je travaille sur Word en m'enregistrant sur OBS. Pour le montage, c'est Wondershare Filmora.
que va t il se passer si : 0 < U(0) < 1
la suite n’est plus très bien définie. On remarque bien que u1<1 mais rien nous dit que u1>0
10>1. 1/0 1+1 2>1
6=12 1+2=3
j'ai absolument rien compris à la vidéo
ON peut le faire d une maniere tres simple d utiliser la formule des differences finis d une fonction et puit aplique la formule generale pour la composition n ieme de cette operateur et puit remarque que apres chaque composition le degre du polynome obtenue diminue de 1 dans ce cas on peut expliciter les coefficient
8'40: comment dS devient dV dans le changement de variable?
Comme v=u(s), après dérivation on obtient u'(s)ds = dv.
Appliquer le théorème de Stolz bon son
Au maroc si sa tombe on est hereux
Utiliser cette méthode c’est un peu se prendre la tête pour rien mais ça fonctionne aussi
Égalité ssi c'est vrai pour P = X^k; de proche en proche on trouve que (a_k)=v est solution si cest la solution de Av =b avec A de type Vandermonde V(0,1 2,....,n-1) et b = (1, n, n^2, n^3,..., n^(n-1)). A est invertibl, donc v solution existe. En plus on trouve que a_k = (n sur k) (-1)^(n-k-1)
Il y une erreur à 3;38 on ne peut affirmer que l=1 est absurde car ce serait mal comprendre la notion de limite , prendre un = 1+1/n+1 qui tend vers 1 sans jamais "l'atteindre"
Il a juste fait un passage à la limite dans une égalité, il n'y a rien d'incorrect là dedans
@@paol3642 l va être supérieure ou égal à 1 et on pourrait raisonner pa l'absurde dans le cas l = 1 pour conclure mais on ne peut pas conclure directement comme il l'a fait
Bon, u(n+1)=u(n)+ln(u(n)) Tu peux l'écrire comme un encadrement : u(n)+ln(u(n))<=u(n+1)<=u(n)+ln(u(n)) Supposons u(n) tend vers l fixé dans R Alors u(n)+ln(u(n)) tend vers l+ln(l) Par theoreme des gendarmes, on a u(n+1) qui tend vers l+ln(l) Or on a supposé que u(n+1) tendait vers l (j'avais posé u(n) tend vers l mais ça implique u(n+1) tend vers l évidemment) Donc par unicité de la limite l=l+ln(l) Maintenant tu sauras pourquoi on peut passer à la limite dans les égalités ^^
La suite est croissante donc la limite est supérieure ou égale à u0 qui est strictement supérieur à 1 donc l > 1, ce n'est pas un passage à la limite dans une inégalité stricte qu'il a fait (je t'accorde qu'il est peut être passé un peu vite sur la justification)
Mais pas besoin de faire un raisonnement par l'absurde
“On se dit qu’il a pété câble “ 😂🤣