Éloge du quiet quitting

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  • เผยแพร่เมื่อ 6 ก.พ. 2025
  • Le quiet quitting, c'est le fait que les salariés de font "plu" que ce pour quoi ils sont payés... j'entends quelques commentateurs parler d'un mouvement de flemme... il n'en est rien. Nous assistons actuellement à un rééquilibrage du rapport de force employeurs/employés et, à mon sens, nous ne pouvons que nous en réjouir.
    MIEUX, ce mouvement est une opportunité pour les entreprises qui l'utiliserait pour entamer des transformations qui iront dans le sens de l'intérêt commun. Comment ? En 3 étapes :
    1️⃣ Valider le fait que le rapport au travail a changé (Richard Branson : la vie perso ne s’adapte plus à la vie pro : flexibilité totale
    2️⃣ Valider le fait que l’on passe en mode projet sur tout
    3️⃣ Valider le fait que le management de proximité est au cœur de tout

ความคิดเห็น • 15

  • @daphne9559
    @daphne9559 ปีที่แล้ว +5

    Vous avez changé ma vision sur ma collègue et aidé à accepter ses longues pauses alors que je n en prends jamais 😂

    • @happy-work
      @happy-work  ปีที่แล้ว

      trop bien !!!! Merci Daphné !

  • @philippeh.1374
    @philippeh.1374 2 ปีที่แล้ว +5

    Bonjour Gaël,
    Dans l’entreprise précédente j’ai quitté manager et managers de proximité. Tous faisaient du micro management.
    Merci pour ces bons conseils.
    Bonne journée.

    • @happy-work
      @happy-work  2 ปีที่แล้ว +1

      Bonne journée Philippe

    • @diophelene9584
      @diophelene9584 2 ปีที่แล้ว +1

      Pour avoir une vision projective et donner du sens il faut être sur le micro, meso, macro .

  • @virginiepernot6973
    @virginiepernot6973 2 ปีที่แล้ว +3

    Eh bien on a une belle marge de progression dans ce domaine !!!!

  • @18Jeepoune
    @18Jeepoune หลายเดือนก่อน +2

    Le problème de faire sa luste de tache quotidienne en 1h est que cette liste va sallonger inexorablement. Le manager va s'en rendre compte et va charger le salarié avec d'avantage de projets/ d'affaires.
    Résultat, le salarié aura une liste de tache plus longue, plus de travail repetitif, plus de pression , plys de charge, ... Jusqu'au burn out.
    Regardez ces réseaux est un moyen de décompresser sur son lieu de travail, sans faire voir au manager que jai fini ma liste de tâches... Pour ainsi eviter d'en reprendre une couche.

    • @happy-work
      @happy-work  หลายเดือนก่อน +1

      Vous soulevez un point intéressant ! Une liste de tâches bien remplie peut parfois être perçue comme un indicateur de performance, mais cela peut vite devenir un piège. La surcharge progressive et la pression constante sont des facteurs connus de burn-out. Trouver des moyens discrets de "décompresser", comme regarder les réseaux sociaux, peut sembler être une solution temporaire, mais cela souligne surtout un besoin de repenser l’organisation du travail et le dialogue avec les managers pour éviter ces spirales contre-productives. Vous avez bien raison de pointer cet équilibre délicat !

  • @wtfunkamfg9709
    @wtfunkamfg9709 9 หลายเดือนก่อน +1

    Merci!

    • @happy-work
      @happy-work  9 หลายเดือนก่อน

      Avec plaisir !

  • @angeyoung6410
    @angeyoung6410 2 ปีที่แล้ว +2

    Ce que j'aimerais que cela soit appliqué, malheureusement, dans l'administration, les agents d'accueil sont obligés de recevoir les citoyens à n'importe quelle heure dans le temps des horaires bien sûr.
    ...donc pour nous, travailleurs sociaux et responsable de coordination de projet comme moi, on ne nous permettra pas, le fait de partir...si on a fini...alors le présentiel pour rien a de longues années encore devant lui...🙄

    • @happy-work
      @happy-work  2 ปีที่แล้ว +2

      Je sais :-( espérons que cela change un jour

  • @celinehd2099
    @celinehd2099 2 ปีที่แล้ว +1

    Vrai, mais attention! En ne faisant que le strict minimum, il ne faut pas, en retour, demander d’augmentation significative (au delà des enveloppes annuelles).

    • @happy-work
      @happy-work  2 ปีที่แล้ว +9

      .... si nous faisons très bien ce pour quoi nous sommes payés... pourquoi pas ? il faut changer les mentalités, sinon nous resterons le pays champiion du burn-out