Un peu marre du "sentiment de"... Quand on agressé dans la rue, quand un flic tabasse, quand des manifestantes sont jetées par terre et tirées par les cheveux, c'est pas des sentiments, c'est des faits. "Légitime" dans "violence legitime de l'etat" est un mot inapproprié. "Violence legale" peut etre .. couverte par la loi que l'etat lui meme décrète. Et on sait tres bien que les doctrines de maintien de l'ordre ont évoluée dans un sens oppressif plutôt que vers de l'apaisement. Honnêtement, quelle est la plus grande violence entre bruler une poubelle et éborgner ou amputer au LBD ?
Les manifestants? Les militants? Militant / Militaire... La gauche qui appelle à la GUERRE civile! La gauche qui appelle à la LUTTE! La gauche qui veut gagner un COMBAT! Vous me faites marrer à gauche! Vous cherchez les coups pour faire de la propagande sur la violence reçue!
Aucun contrat social passée de gré ou de force n'annule les effets de la violence d'Etat dite à tort, "légitime" ... Dans un État de droit nul ne devrait subir de violence unilatérale ! L' idéologie de la violence, c'est la meilleure de l'année, elle cartonne celle-la, on ressent le formatage de l'individu qui ne va pas au bout du raisonnement et des faits 😀! Quand on a des mutilés, des eborgnes, des gens battus, non armés, on est très éloigné du sentiment de violence, au contraire elle relève et révèle une violence caractérisée.
Dommage j'ai l'impression qu'il part du principe que l'état est neutre alors que c'est discutable, malheureusement on est pas tous égaux devant la justice, la police. Suffit de voir comment l'homme le plus riche de France se sort facilement de ces déboires judiciaire en payant de grosse sommes
Et pas que, il suffit de suivre les déboires des fils de messieurs et mesdames les députés pour voir qu’il n’y a rien de juste et que finalement ce qui prévaut c’est le fric et que certains passeront toujours au travers des filets parce que leurs parents ou eux ont de l’argent
Porter plainte contre la violence d'état, ce gouvernement est un danger pour notre société qui violente des manifestants et qui légitimise cette violence, ce n'est plus acceptable.
C’est la grande mode en ce moment de reprendre le concept de « monopole de la violence légitime » que l’Etat détiendrai de facto. Max Weber ne nous dis pas que celle-ci reviendrai sans questionnements à l’Etat, mais bien que l’Etat se revendique de ce monopole de la violence, ce qui est bien différent. Oui, la Police est violente, c’est le bras armé de l’Etat, ça n’est pas un sentiment, c’est un fait. Le contre-pouvoir qui est censé punir les fautes ne fonctionne pas et est détenu par des policiers. Oui, l’Etat dans le choix de ses Politiques publiques et sociales est violent, faire travailler 2 ans de plus des millions de personnes, souvent précaires, c’est de la violence, symbolique, mais bien réelle dans son application et dans les morts prématurées qu’elle causera.
0:30 M. Frédéric Worms, philosophe et universitaire expert dans l'époque contemporaine, exagère peut-être sur les signes de la violence politique [institutionnelle].
Dommage ça aurait pu être hyper interessant mais finalement encore une fois qu’est ce qu’il se passe on ne fait pas l’état porter la responsabilité qu’il a dans l’augmentation de la violence parce que si il est responsable quand il agit injustement 🙏🏻
Premier probleme la definition de la violence. Vous dite que c'est une action de detruire intentionnelement par la force quelqu'un qui est une menace ou qu'on considere comme une menace. Qu'en est t'il de la violence pendant les harcelment ou il y a un rapport de force entre deux individu.
Ah l’ENS ! Peut -t-on dire absolument ce que l’on veut quand on est directeur de l’ENS ? brider sa liberté de penser contre la gloire et le statut ? J’ai l’imprévision qu’il relativise la violence actuelle moi … Le philosophe est avant tout un aventurier de la pensée !
J'ai mal pour la philosophie du XXI e siècle. Il serait préférable de retourner dans les bibliothèques de l'ENS ou de la Sorbonne plutôt que de s'exprimer aussi platement sur des enjeux aussi importants. Le capitalisme, la démocratie, le cadre et les systèmes politiques sont fondés sur le contrôle, la peur et la violence. Déléguer à une instance supérieure la gestion de sa propre vie ne se fait que par méfiance de soi envers les autres et aussi envers soi. Nous vivons au quotidien dans des généralités qui écrasent des particularités, parce que particularité et généralité s'opposent, contrairement à la singularité qui ne peut s'exprimer que dans l'universel. Ce rigolo prétend que la solution est de contrôler l'Etat qui exerce déjà un abus de contrôle ? Que les généralités des lois et des représentations politiques qui étouffent sans arrêt les aspirations des individus sont un cadre structurant et que cela est bon ? Je crois que notre cher Frédéric (dont l'étymologie du prénom signifie "roi de la paix" mdr) a oublié de soulever quelques présupposés dans sa définition de la violence, et du conflit.
Effectivement sa définition de la violence est très simpliste. Je peux te demander comment toi tu la définirais ? La fin de ton commentaire laisse supposer que tu as une idée.
Merci pour l'intérêt que tu portes à ma réflexion. Ta question est difficile... d'autant plus que la posture que j'adopte à ce sujet peut être vite mal interprétée. En tout cas je vais essayer de développer ce que je pense dans ce commentaire. Excuse moi si ce n'est pas très clair. Si on reprend la définition de la violence donnée par notre philosophe à la solde de l'Etat et de la sacrosainte démocratie, il dit à peu de choses près ceci : "la violence est l´acte de vouloir détruire intentionnellement et par la force une personne que l'on identifie comme une menace." Ça ne va pas du tout. Le premier présupposé est que la destruction peut être séparée de la création. Cette séparation a l'avantage de rendre la réflexion simple car on serait alors en mesure a priori d'identifier clairement des cas où il n'y aurait que destruction et donc apparition du néant, du rien - l'idée d'une totalité vide, qui ne serait que vide et rien d'autre est en effet effrayante, mais intuitivement j'ai quelques doutes sur la pertinence d'une telle conception. En effet, on peut citer une litanie d'exemples où la destruction et la violence amènent à débloquer des situations ou même des tensions affectives et psychologiques, dont le déblocage est indubitablement bénéfique. Attention cependant, je ne dis certainement pas que la violence est "bonne" pour m'opposer à la médiocre posture de Worms qui hérite de la bien-pensance républicaine et bourgeoise selon laquelle la violence c'est "mal". Par delà bien et mal, je cherche à enlever à la violence tous les préjugés moraux que l'on a trop vite tendance à accoler à cette notion et qui servent justement à réprimer et oppresser davantage ceux qui cherchent la révolte et l'espoir. J'insiste sur ce point pour ne pas être assimilé à un défenseur du machisme, du racisme, du fascisme, ou du virilisme, ou de tout autre attitude dégueulasse qui s'épanouit uniquement dans le rapport violent de la domination envers autrui. Je prends deux exemples qui pour moi explicitent assez bien ma pensée (mais j'espère que tu ne les trouveras pas hors sujet). Le lézard pris au piège par un prédateur qui chercherait à le dévorer à le réflexe somatique de se couper de sa propre queue pour échapper à la prise dudit prédateur. Peut-on parler de destruction sans création ici ? Pour ma part, il m'apparait clairement que la violence infligée à son propre corps permet au lézard de se préserver... on pourrait me contester en disant que ce n'est pas vraiment une destruction puisque cette capacité est en quelque sorte déjà prévue par l'organisme de l'animal et donc intégrée à son fonctionnement. Cette intégration serait en cela un argument qui nierait la dimension destructrice de cet acte de mutilation. Personnellement je trouve qu'un tel argument est très désobligeant envers notre ami le lézard haha. Car certes cette mutilation est un mécanisme de son propre corps, mais je fais l'hypothèse que ça reste très couteux pour lui, déjà en terme de douleur (après j'en sais rien je ne suis pas un lézard après tout haha),mais surtout en terme de motricité et d'équilibrioception. Pour rester dans l'exemple de l'amputation, on pourra facilement imaginer d'autres cas où il faut, pour un humain, amputer une partie du corps pour préserver le reste. Ou encore, en cas de plaie et de forte hémorragie, la pratique du garrot qui prive de sang tout un membre est particulièrement violente pour le corps et pourtant salvatrice. Mais tous ces exemples ne sont pas encore pleinement convaincants car ils s'en tiennent au domaine biologique et physique. Qu'en est-il de la pensée et du psychisme ? Je t'invite à regarder à ce sujet la série The End of the F***ing world dont la saison 1 est incroyable (la saison 2 est pourrie par contre). Deux adolescents complètement névrosés et malheureux dans leurs vies d'obéissance et de docilité face à l'autorité parentale d'adultes pathétiques, oppressants, et dominateurs tous à leur manière, décident de fuguer en volant la voiture du père du garçon - qui lui met au passage un coup de point émancipateur. Leur fugue tourne très mal. Ils se confrontent aux pires tentatives de domination et d'oppression, dont le viol, la manipulation, la délation, et la répression policière armée. Face à ces menaces, ils ont recourt tous les deux à la violence (jusqu'à commettre l'irréparable), pour pouvoir continuer d'avancer et se défendre, et dans cette lutte et cette fuite ou tout semble hors de contrôle, les deux personnages tombent amoureux, et se sentent chacun d'eux devenir plus vivant et heureux qu'ils ne l'ont jamais été. Tout ceci me conduit à réfléchir ainsi : ce n'est pas la violence qui est le problème en soi. Tout évènement d'une vie peut revêtir un caractère violent malgré sa dimension émancipatrice ou féconde. Deleuze sur ce point, dans Différence et Répétition, parle de la pensée elle-même comme quelque chose qui se met en route suite à l'irruption de quelque chose dans notre vie que l'on ne voulait pas nécessairement et qui nous fait violence en ce qu'il nous force à penser. En cela il s'oppose à des philosophies métaphysiques comme celle de Platon où l'on tient pour acquis le fait que l'homme aime penser, qu'il le fait naturellement et sans aucun accros. Ce qui pose problème selon moi, est bien plutôt la répression et la domination que la violence. La répression et la domination, qui est l'essence de la morale par ailleurs, sont en effet violentes, mais toute violence n'est pas dominatrice et et répressive. La domination et la répression ont au contraire pour but de maintenir autrui dans des situations inextricables en les privant de leur possibilité de faire violence, de casser, de détruire, de faire le vide pour qu'à nouveau circulent les possibilités de devenir. En un sens, je serais tenté de dire que la domination et la repression désignent la violence tournée sur elle-même. Elles désignent le fait d'être violent envers la violence sous toutes ses manifestations, de vouloir la détruire intentionnellement car elle est perçue comme une menace. En faisant ainsi, on essaye d'empêcher toute forme de violence (ce qui est hyper violent) sauf pour une minorité d'individus (en l'occurence la police) chargée d'appliquer la violence sur les gens récalcitrants qui ne s'appliquent pas la violence à eux-même et sur leurs désirs de violence. En gros, la police réprime ceux qui ne se répriment pas d'eux-mêmes. Pour ajouter une note personnelle, je dirai que, dans ma vie, des individus qui ne se sentaient pas menacés profondément par des manifestions de violence m'ont permis de me rassurer et de développer ma capacité à ne pas aveuglément craindre la violence, ce qui permet paradoxalement, en la laissant s'exprimer, de ne pas être moi-même trop violent dans ma défense et mon besoin de conservation. Cela permet à terme d'arriver à vivre malgré la violence (qui comme le dit Monsieur ver-de-terre est de toute façon difficile, si ce n'est impossible, à faire disparaître) et non d'attendre d'avoir le contrôle sur toute forme de violence pour commencer à vivre. Dans le second cas, je crois que l'humain, par le contrôle qu'il exerce, engendre bien plus de violence, de destruction et de néant dans le formatage et la norme qu'il force sur autrui et sur le monde, qu'il n'en efface. (Un peu comme si tu avais un gros brownie informe, et que tu décides de planter en lui un moule en forme de coeur, par là tu conserves une belle partie formatée, et tu détruits tout le reste. Dans le cas du brownie cependant il n'ya pas de menace, donc ce n'est pas violent, mais que se passe-t-il lorsque cette démarche s'applique à des êtres vivants ?) Voilà, j'espère que ma réponse t'a, à défaut de te convaincre, au moins aidé dans la réflexion. Je crois que toute posture prise in abstracto, conduit à des généralités normatives et moralisantes qui sont à bannir, et que le choix ou non d'empêcher tel ou tel comportement ne peut se faire par des règles, des lois ou des principes, mais que dans la participation politique commune (ce qui rend la chose bien difficile). Il y a d'autres présupposés à soulever, comme l'idée de la violence comme acte "intentionnel" par exemple. Mais je crois que mon message est bien trop long mdr.
"Dans un état démocratique on considère" C'est contraire même à l'idée de la démocratie puisqu'on assume un accord tacite, on ne demande l'avis de personne car "tout le monde est d'accord". La violence "légitime" (parce-que légale) contre la violence illégitime (parce-qu'elle est illégale). Sauf que une fois de plus, la volonté n'est pas et ne peut pas (doit pas) être universelle. Il est particulier également de légitimer une violence sémantique, un féminicide n'est pas la mort d'une femme par un homme, discours qui stigmatise l'homme dans son ensemble de la réalité sémantique, un féminicide est la mort d'une femme parce-que c'est une femme. À Montréal, il y a eu l'attentat de l'école polytechnique qui est un féminicide de masse où des femmes ont été tuées car elles étaient des femmes. Bref, ce brave monsieur donneur de leçons ne fait que par son discours nous expliquer que selon lui des violences sont acceptables car légitime quand d'autres doivent être combattues... selon sa propre perspective mais qu'il présente avec un discours universaliste. En gros, de la démagogie.
😂😂😂 il vie dans quel monde ??? Y a toujours la guerre Indochine,kosovov,irak,Afghanistan, lybie ,ranwda, Afrique du Sud ect... et la violence fait partie de la vie , si ya pas violence, y a pas paix . Juste pour manger les êtres vivants tuent autres être vivants pour manger . ( enfin sa dépend quel partie du monde , y a toujours une tribu cannibale qui traîne lool) ( les sentinelles 😂😂😂) T'es droits ,ta liberté, tes vacances payés ,ta retraite tu le dois à la violence du peuple contre le gouvernement qui durcit les lois contre son peuple même si il a raison . Et pour la police non la police ne sont pas tous violents, mais y a complicité de non dénonciation d un délit d agent assermenté. Dans les années 40 ont appelé ça un collobo. La fonction première de la police est de protégés le peuple avant le gouvernement. Regardez les images de macron , la police fait l inverse . L état de macron est condamné pour humiliations, intoxication et non respect de la démocratie par la commission européenne, ou est la police pour nous protégés. Quand le groupe en renaissance propose des avantages de postes ou envellopes pour avoir une voix de vote de plus . Ou est la police ? Devant la porte pour empêcher que le peuple rentre dans l hémicycle pour dénoncé ses traites de la France qui a vendu une grandes partie de France. Comme autoroutes, française des jeux( rappelons que la française des jeux à été créé pour aidés à payés les retraites des militaires et macron la bradé à son copain comme l autoroute ) , airbus,le chapeau de Napoléon avec sa feuille d or ect... Nos politiciens gauche ,droite,centre suivent tous le nouvelle ordre mondial, mais les peuples ont t ils votés pour nouvelle ordre mondial. Qui est obligés d utilisé la violence pour atteindre son objectif qui est la domination mondiale couvert par la démocratie, le sois disant camps du bien . C est quand même dans un pays démocratie quil à le plus de civiles sans être en guerre sur son territoire. Les États-Unis avec la vendent légale d armes dans ses rues. Et les pays européens font confiance au projet américains du nouvelle ordre mondial, alors qu'ils ont souvent mentir , vietnam, irak , tests de drogue sur peuple français, volent d or pendant la 2 guerres mondiale aux français ect... La violence gouvernementale est plus violente pour le peuple que pour eux qui sont protégés par leurs lois . Sarkozy a juste un bracelet électronique, le peuple pour les fait aurait eu 10ans . Balkany bracelet qui a sonnés plus 100 fois , le peuple au bout 2-3fois tu retournes en prison . Les lois sont faites pour le peuple ,pas pour les élites. Jérôme calzulac ministre du budget condamné à 2 ans fermes à fait que du bracelet électronique pour fraude fiscale . Le peuple va en prison et doit rembourser sa dette . Ils ne risquent plus rien car Sarkozy a enlevés la haute trahission, c'est pour ça que Isabelle borne engage personnellement son gouvernement quand ils appliques le 49.3. Ça parole n'a aucune valeur juridique. 😂😂😂 Les gouvernements sont violent d abord verbalement avec des : j ai très envie d emmerdés les nons vaccinés, sait des gaulois réfractaires, des gueux,tu pourrais rajoutés quelques white quelques blancos,des sans dents , ont va vous nettoyer a coup karcher , et si vous rajoutés à ça le bruit et l odeur. Mangez des pommes 😂😂😂mitterand était plus discret il utilisé les hommes grenouilles pour faire couler le bateau des écologistes un mort .( Le rainbow warrior) Et le gouvernement utilise la violence physique d ou le nom FORCE de l ordre . Donc le peuple n'a pas choix d utilisé la violence contre le gouvernement corrompu . ( le plus drôle c'est que la police sont les enfants du peuple qui tapent sur leurs grandes mères,enfants,femmes,mari ,oncle ,tante ect... alors qu'ils z ont mêmes intérêt vivre dans la paix , avec des lois plus justes. Et qu'ils arrêtent ceux qui vendent la France derrière leurs dos.) Et la phrase; aimez vous les uns des autres . C'est pas possible déjà même dans sa propre famille , y a des discordes 😂😂😂 mais essayons de vivre dans le respect de chacun .
Ce monsieur ne parle pas de l'expérience de la violence, seulement de la peur de la violence. Par exemple 1 enfant sur 10 vitime d'inceste, ce n'est pas lié au sentiment sous jacent de la lutte contre la mort. C'est de la perversion. Point.
Un peu marre du "sentiment de"...
Quand on agressé dans la rue, quand un flic tabasse, quand des manifestantes sont jetées par terre et tirées par les cheveux, c'est pas des sentiments, c'est des faits.
"Légitime" dans "violence legitime de l'etat" est un mot inapproprié. "Violence legale" peut etre .. couverte par la loi que l'etat lui meme décrète.
Et on sait tres bien que les doctrines de maintien de l'ordre ont évoluée dans un sens oppressif plutôt que vers de l'apaisement.
Honnêtement, quelle est la plus grande violence entre bruler une poubelle et éborgner ou amputer au LBD ?
Et un lbd qui peut éborgner et un cocktail molotov qui tue ? C’est quoi le mieux ?
@@linconnu938 le mieux c'est quand l'Etat n'a pas besoin de la violence pour se maintenir.
Les manifestants? Les militants? Militant / Militaire...
La gauche qui appelle à la GUERRE civile!
La gauche qui appelle à la LUTTE!
La gauche qui veut gagner un COMBAT!
Vous me faites marrer à gauche! Vous cherchez les coups pour faire de la propagande sur la violence reçue!
@@onauratouvu7 et que les gens ne confondent pas état et fdo car taper sur du fdo l'état s'en fout c'est pas eux que ca atteignent
@@linconnu938 peut etre que les fdo devraient commencer à s'interroger sur la legitimite des ordres qu'ils reçoivent .
J'aime beaucoup ce nouveau format !
🙏 'La violence, elle fait partie de la vie. Ce que je ne supporte pas, c'est l'humiliation.' Juliette Gréco
Aucun contrat social passée de gré ou de force n'annule les effets de la violence d'Etat dite à tort, "légitime" ...
Dans un État de droit nul ne devrait subir de violence unilatérale !
L' idéologie de la violence, c'est la meilleure de l'année, elle cartonne celle-la, on ressent le formatage de l'individu qui ne va pas au bout du raisonnement et des faits 😀! Quand on a des mutilés, des eborgnes, des gens battus, non armés, on est très éloigné du sentiment de violence, au contraire elle relève et révèle une violence caractérisée.
Dommage j'ai l'impression qu'il part du principe que l'état est neutre alors que c'est discutable, malheureusement on est pas tous égaux devant la justice, la police. Suffit de voir comment l'homme le plus riche de France se sort facilement de ces déboires judiciaire en payant de grosse sommes
Et pas que, il suffit de suivre les déboires des fils de messieurs et mesdames les députés pour voir qu’il n’y a rien de juste et que finalement ce qui prévaut c’est le fric et que certains passeront toujours au travers des filets parce que leurs parents ou eux ont de l’argent
Porter plainte contre la violence d'état, ce gouvernement est un danger pour notre société qui violente des manifestants et qui légitimise cette violence, ce n'est plus acceptable.
Amen !
Merci mon Père pour ce prêche contre la violence. Les évidences se fardent de lumière lorsqu'elles sortent de votre bouche.
Conflits sans violence possible (ou même nécessaire) alors là je vois pas....
FORCE de l'ORDRE...faut pas chercher plus loin.
C’est la grande mode en ce moment de reprendre le concept de « monopole de la violence légitime » que l’Etat détiendrai de facto.
Max Weber ne nous dis pas que celle-ci reviendrai sans questionnements à l’Etat, mais bien que l’Etat se revendique de ce monopole de la violence, ce qui est bien différent.
Oui, la Police est violente, c’est le bras armé de l’Etat, ça n’est pas un sentiment, c’est un fait. Le contre-pouvoir qui est censé punir les fautes ne fonctionne pas et est détenu par des policiers.
Oui, l’Etat dans le choix de ses Politiques publiques et sociales est violent, faire travailler 2 ans de plus des millions de personnes, souvent précaires, c’est de la violence, symbolique, mais bien réelle dans son application et dans les morts prématurées qu’elle causera.
0:30 M. Frédéric Worms, philosophe et universitaire expert dans l'époque contemporaine, exagère peut-être sur les signes de la violence politique [institutionnelle].
Dommage ça aurait pu être hyper interessant mais finalement encore une fois qu’est ce qu’il se passe on ne fait pas l’état porter la responsabilité qu’il a dans l’augmentation de la violence parce que si il est responsable quand il agit injustement 🙏🏻
Premier probleme la definition de la violence.
Vous dite que c'est une action de detruire intentionnelement par la force quelqu'un qui est une menace ou qu'on considere comme une menace.
Qu'en est t'il de la violence pendant les harcelment ou il y a un rapport de force entre deux individu.
Hmm quelle est votre def de la violence?
@@Selxxz51pgm Abus de la force physique (larousse)
Il suffit de regarder dans un dictionnaire plutot que d'inventer des sens.
Difficile de l'écouter sans avoir envie de lui tendre un mouchoir....
Il se peut qu’il ait sniffé une autoroute de Coke 🤣🤣🤣
Ah l’ENS ! Peut -t-on dire absolument ce que l’on veut quand on est directeur de l’ENS ? brider sa liberté de penser contre la gloire et le statut ?
J’ai l’imprévision qu’il relativise la violence actuelle moi …
Le philosophe est avant tout un aventurier de la pensée !
J'ai mal pour la philosophie du XXI e siècle. Il serait préférable de retourner dans les bibliothèques de l'ENS ou de la Sorbonne plutôt que de s'exprimer aussi platement sur des enjeux aussi importants. Le capitalisme, la démocratie, le cadre et les systèmes politiques sont fondés sur le contrôle, la peur et la violence. Déléguer à une instance supérieure la gestion de sa propre vie ne se fait que par méfiance de soi envers les autres et aussi envers soi. Nous vivons au quotidien dans des généralités qui écrasent des particularités, parce que particularité et généralité s'opposent, contrairement à la singularité qui ne peut s'exprimer que dans l'universel. Ce rigolo prétend que la solution est de contrôler l'Etat qui exerce déjà un abus de contrôle ? Que les généralités des lois et des représentations politiques qui étouffent sans arrêt les aspirations des individus sont un cadre structurant et que cela est bon ? Je crois que notre cher Frédéric (dont l'étymologie du prénom signifie "roi de la paix" mdr) a oublié de soulever quelques présupposés dans sa définition de la violence, et du conflit.
Effectivement sa définition de la violence est très simpliste. Je peux te demander comment toi tu la définirais ? La fin de ton commentaire laisse supposer que tu as une idée.
Merci pour l'intérêt que tu portes à ma réflexion. Ta question est difficile... d'autant plus que la posture que j'adopte à ce sujet peut être vite mal interprétée. En tout cas je vais essayer de développer ce que je pense dans ce commentaire. Excuse moi si ce n'est pas très clair.
Si on reprend la définition de la violence donnée par notre philosophe à la solde de l'Etat et de la sacrosainte démocratie, il dit à peu de choses près ceci : "la violence est l´acte de vouloir détruire intentionnellement et par la force une personne que l'on identifie comme une menace."
Ça ne va pas du tout. Le premier présupposé est que la destruction peut être séparée de la création. Cette séparation a l'avantage de rendre la réflexion simple car on serait alors en mesure a priori d'identifier clairement des cas où il n'y aurait que destruction et donc apparition du néant, du rien - l'idée d'une totalité vide, qui ne serait que vide et rien d'autre est en effet effrayante, mais intuitivement j'ai quelques doutes sur la pertinence d'une telle conception. En effet, on peut citer une litanie d'exemples où la destruction et la violence amènent à débloquer des situations ou même des tensions affectives et psychologiques, dont le déblocage est indubitablement bénéfique. Attention cependant, je ne dis certainement pas que la violence est "bonne" pour m'opposer à la médiocre posture de Worms qui hérite de la bien-pensance républicaine et bourgeoise selon laquelle la violence c'est "mal". Par delà bien et mal, je cherche à enlever à la violence tous les préjugés moraux que l'on a trop vite tendance à accoler à cette notion et qui servent justement à réprimer et oppresser davantage ceux qui cherchent la révolte et l'espoir. J'insiste sur ce point pour ne pas être assimilé à un défenseur du machisme, du racisme, du fascisme, ou du virilisme, ou de tout autre attitude dégueulasse qui s'épanouit uniquement dans le rapport violent de la domination envers autrui.
Je prends deux exemples qui pour moi explicitent assez bien ma pensée (mais j'espère que tu ne les trouveras pas hors sujet). Le lézard pris au piège par un prédateur qui chercherait à le dévorer à le réflexe somatique de se couper de sa propre queue pour échapper à la prise dudit prédateur. Peut-on parler de destruction sans création ici ? Pour ma part, il m'apparait clairement que la violence infligée à son propre corps permet au lézard de se préserver... on pourrait me contester en disant que ce n'est pas vraiment une destruction puisque cette capacité est en quelque sorte déjà prévue par l'organisme de l'animal et donc intégrée à son fonctionnement. Cette intégration serait en cela un argument qui nierait la dimension destructrice de cet acte de mutilation. Personnellement je trouve qu'un tel argument est très désobligeant envers notre ami le lézard haha. Car certes cette mutilation est un mécanisme de son propre corps, mais je fais l'hypothèse que ça reste très couteux pour lui, déjà en terme de douleur (après j'en sais rien je ne suis pas un lézard après tout haha),mais surtout en terme de motricité et d'équilibrioception. Pour rester dans l'exemple de l'amputation, on pourra facilement imaginer d'autres cas où il faut, pour un humain, amputer une partie du corps pour préserver le reste. Ou encore, en cas de plaie et de forte hémorragie, la pratique du garrot qui prive de sang tout un membre est particulièrement violente pour le corps et pourtant salvatrice.
Mais tous ces exemples ne sont pas encore pleinement convaincants car ils s'en tiennent au domaine biologique et physique. Qu'en est-il de la pensée et du psychisme ? Je t'invite à regarder à ce sujet la série The End of the F***ing world dont la saison 1 est incroyable (la saison 2 est pourrie par contre). Deux adolescents complètement névrosés et malheureux dans leurs vies d'obéissance et de docilité face à l'autorité parentale d'adultes pathétiques, oppressants, et dominateurs tous à leur manière, décident de fuguer en volant la voiture du père du garçon - qui lui met au passage un coup de point émancipateur. Leur fugue tourne très mal. Ils se confrontent aux pires tentatives de domination et d'oppression, dont le viol, la manipulation, la délation, et la répression policière armée. Face à ces menaces, ils ont recourt tous les deux à la violence (jusqu'à commettre l'irréparable), pour pouvoir continuer d'avancer et se défendre,
et dans cette lutte et cette fuite ou tout semble hors de contrôle, les deux personnages tombent amoureux, et se sentent chacun d'eux devenir plus vivant et heureux qu'ils ne l'ont jamais été.
Tout ceci me conduit à réfléchir ainsi : ce n'est pas la violence qui est le problème en soi. Tout évènement d'une vie peut revêtir un caractère violent malgré sa dimension émancipatrice ou féconde. Deleuze sur ce point, dans Différence et Répétition, parle de la pensée elle-même comme quelque chose qui se met en route suite à l'irruption de quelque chose dans notre vie que l'on ne voulait pas nécessairement et qui nous fait violence en ce qu'il nous force à penser. En cela il s'oppose à des philosophies métaphysiques comme celle de Platon où l'on tient pour acquis le fait que l'homme aime penser, qu'il le fait naturellement et sans aucun accros.
Ce qui pose problème selon moi, est bien plutôt la répression et la domination que la violence. La répression et la domination, qui est l'essence de la morale par ailleurs, sont en effet violentes, mais toute violence n'est pas dominatrice et et répressive. La domination et la répression ont au contraire pour but de maintenir autrui dans des situations inextricables en les privant de leur possibilité de faire violence, de casser, de détruire, de faire le vide pour qu'à nouveau circulent les possibilités de devenir.
En un sens, je serais tenté de dire que la domination et la repression désignent la violence tournée sur elle-même. Elles désignent le fait d'être violent envers la violence sous toutes ses manifestations, de vouloir la détruire intentionnellement car elle est perçue comme une menace. En faisant ainsi, on essaye d'empêcher toute forme de violence (ce qui est hyper violent) sauf pour une minorité d'individus (en l'occurence la police) chargée d'appliquer la violence sur les gens récalcitrants qui ne s'appliquent pas la violence à eux-même et sur leurs désirs de violence. En gros, la police réprime ceux qui ne se répriment pas d'eux-mêmes.
Pour ajouter une note personnelle, je dirai que, dans ma vie, des individus qui ne se sentaient pas menacés profondément par des manifestions de violence m'ont permis de me rassurer et de développer ma capacité à ne pas aveuglément craindre la violence, ce qui permet paradoxalement, en la laissant s'exprimer, de ne pas être moi-même trop violent dans ma défense et mon besoin de conservation. Cela permet à terme d'arriver à vivre malgré la violence (qui comme le dit Monsieur ver-de-terre est de toute façon difficile, si ce n'est impossible, à faire disparaître) et non d'attendre d'avoir le contrôle sur toute forme de violence pour commencer à vivre. Dans le second cas, je crois que l'humain, par le contrôle qu'il exerce, engendre bien plus de violence, de destruction et de néant dans le formatage et la norme qu'il force sur autrui et sur le monde, qu'il n'en efface. (Un peu comme si tu avais un gros brownie informe, et que tu décides de planter en lui un moule en forme de coeur, par là tu conserves une belle partie formatée, et tu détruits tout le reste. Dans le cas du brownie cependant il n'ya pas de menace, donc ce n'est pas violent, mais que se passe-t-il lorsque cette démarche s'applique à des êtres vivants ?)
Voilà, j'espère que ma réponse t'a, à défaut de te convaincre, au moins aidé dans la réflexion. Je crois que toute posture prise in abstracto, conduit à des généralités normatives et moralisantes qui sont à bannir, et que le choix ou non d'empêcher tel ou tel comportement ne peut se faire par des règles, des lois ou des principes, mais que dans la participation politique commune (ce qui rend la chose bien difficile).
Il y a d'autres présupposés à soulever, comme l'idée de la violence comme acte "intentionnel" par exemple.
Mais je crois que mon message est bien trop long mdr.
Plus facile de la ressentir
"Dans un état démocratique on considère"
C'est contraire même à l'idée de la démocratie puisqu'on assume un accord tacite, on ne demande l'avis de personne car "tout le monde est d'accord".
La violence "légitime" (parce-que légale) contre la violence illégitime (parce-qu'elle est illégale).
Sauf que une fois de plus, la volonté n'est pas et ne peut pas (doit pas) être universelle.
Il est particulier également de légitimer une violence sémantique, un féminicide n'est pas la mort d'une femme par un homme, discours qui stigmatise l'homme dans son ensemble de la réalité sémantique, un féminicide est la mort d'une femme parce-que c'est une femme.
À Montréal, il y a eu l'attentat de l'école polytechnique qui est un féminicide de masse où des femmes ont été tuées car elles étaient des femmes.
Bref, ce brave monsieur donneur de leçons ne fait que par son discours nous expliquer que selon lui des violences sont acceptables car légitime quand d'autres doivent être combattues... selon sa propre perspective mais qu'il présente avec un discours universaliste.
En gros, de la démagogie.
😂😂😂 il vie dans quel monde ??? Y a toujours la guerre Indochine,kosovov,irak,Afghanistan, lybie ,ranwda, Afrique du Sud ect... et la violence fait partie de la vie , si ya pas violence, y a pas paix . Juste pour manger les êtres vivants tuent autres être vivants pour manger . ( enfin sa dépend quel partie du monde , y a toujours une tribu cannibale qui traîne lool) ( les sentinelles 😂😂😂)
T'es droits ,ta liberté, tes vacances payés ,ta retraite tu le dois à la violence du peuple contre le gouvernement qui durcit les lois contre son peuple même si il a raison .
Et pour la police non la police ne sont pas tous violents, mais y a complicité de non dénonciation d un délit d agent assermenté. Dans les années 40 ont appelé ça un collobo.
La fonction première de la police est de protégés le peuple avant le gouvernement. Regardez les images de macron , la police fait l inverse .
L état de macron est condamné pour humiliations, intoxication et non respect de la démocratie par la commission européenne, ou est la police pour nous protégés.
Quand le groupe en renaissance propose des avantages de postes ou envellopes pour avoir une voix de vote de plus . Ou est la police ? Devant la porte pour empêcher que le peuple rentre dans l hémicycle pour dénoncé ses traites de la France qui a vendu une grandes partie de France. Comme autoroutes, française des jeux( rappelons que la française des jeux à été créé pour aidés à payés les retraites des militaires et macron la bradé à son copain comme l autoroute ) , airbus,le chapeau de Napoléon avec sa feuille d or ect...
Nos politiciens gauche ,droite,centre suivent tous le nouvelle ordre mondial, mais les peuples ont t ils votés pour nouvelle ordre mondial. Qui est obligés d utilisé la violence pour atteindre son objectif qui est la domination mondiale couvert par la démocratie, le sois disant camps du bien .
C est quand même dans un pays démocratie quil à le plus de civiles sans être en guerre sur son territoire. Les États-Unis avec la vendent légale d armes dans ses rues.
Et les pays européens font confiance au projet américains du nouvelle ordre mondial, alors qu'ils ont souvent mentir , vietnam, irak , tests de drogue sur peuple français, volent d or pendant la 2 guerres mondiale aux français ect...
La violence gouvernementale est plus violente pour le peuple que pour eux qui sont protégés par leurs lois . Sarkozy a juste un bracelet électronique, le peuple pour les fait aurait eu 10ans . Balkany bracelet qui a sonnés plus 100 fois , le peuple au bout 2-3fois tu retournes en prison .
Les lois sont faites pour le peuple ,pas pour les élites.
Jérôme calzulac ministre du budget condamné à 2 ans fermes à fait que du bracelet électronique pour fraude fiscale . Le peuple va en prison et doit rembourser sa dette .
Ils ne risquent plus rien car Sarkozy a enlevés la haute trahission, c'est pour ça que Isabelle borne engage personnellement son gouvernement quand ils appliques le 49.3.
Ça parole n'a aucune valeur juridique. 😂😂😂
Les gouvernements sont violent d abord verbalement avec des : j ai très envie d emmerdés les nons vaccinés, sait des gaulois réfractaires, des gueux,tu pourrais rajoutés quelques white quelques blancos,des sans dents , ont va vous nettoyer a coup karcher , et si vous rajoutés à ça le bruit et l odeur. Mangez des pommes 😂😂😂mitterand était plus discret il utilisé les hommes grenouilles pour faire couler le bateau des écologistes un mort .( Le rainbow warrior)
Et le gouvernement utilise la violence physique d ou le nom FORCE de l ordre . Donc le peuple n'a pas choix d utilisé la violence contre le gouvernement corrompu .
( le plus drôle c'est que la police sont les enfants du peuple qui tapent sur leurs grandes mères,enfants,femmes,mari ,oncle ,tante ect... alors qu'ils z ont mêmes intérêt vivre dans la paix , avec des lois plus justes. Et qu'ils arrêtent ceux qui vendent la France derrière leurs dos.)
Et la phrase; aimez vous les uns des autres . C'est pas possible déjà même dans sa propre famille , y a des discordes 😂😂😂 mais essayons de vivre dans le respect de chacun .
👍⭐️⭐️⭐️👏
Interessant et pas con sauf pour l'histoire de "l'etat francais va bien"...
...et "n'est pas violent" ... et sa police "n'est pas toujours ,toujours non-violente" alors qu'elle l'est rarement , rarement
😅
Le "sentiment de violence" ce n'est pas la violence. Le déni c'est util pour certains mais contre-productif.
Ce monsieur ne parle pas de l'expérience de la violence, seulement de la peur de la violence. Par exemple 1 enfant sur 10 vitime d'inceste, ce n'est pas lié au sentiment sous jacent de la lutte contre la mort. C'est de la perversion. Point.
Je suis pas du tout d'accord avec ce monsieur.
Ah bon alors si on peut la dire ça va quoi 😒
th-cam.com/video/3w4m9vPk36k/w-d-xo.html souvenir ,souvenir de notre police des années 60ans et vous découvrez les violence policières en 2023 ans 😂😂😂
chien de garde
Franchement décevant comme discours... Et comme positionnement de "pensée"