Bonjour,je suis chef d'équipe,et je rencontre un problème avec un collaborateur avec qui tout se passait bien, j'ai demandé que mon service se consulté pour se mettre en accord avec les congés de la Toussaint... cette personne souhaitant le 12 novembre et la semaine du 02 au 05 novembre...je lui ai dit que ça ne sera pas possible d'avoir 2 jours fériés... elle n'a pas compris, car elle était la 1 ère. Malgré mes explications, rien n'y fait et m'a parlé avec insubordination, manque de respect...je ne me sens pas soutenu par ma hiérarchie et la RH a pris parti pour elle... nous sommes 4 et forcément c'est 50/50.. merci pour cette vidéo qui m'a bien éclairé.
Recadrer un collaborateur. Le mot recadrer est déjà un terme très condescendant et cache une énorme condescendance infantilisante, insupportable de nos jours. Le collaborateur ne se recadre pas. Il se respecte en tant que personne. Et personnellement je renvoie son mépris à celui qui cherche à me faire une morale à deux balles dont je ne lui reconnais aucune légitimité. J'ai été moi-même encadrant dans un système hiérarchique, et je m'y sentais très mal-à-l'aise car le respect de l'individu et de son intégrité n'y a plus vraiment cours. En effet, recadrer veut dire vouloir manipuler pour obliger à obéir à l'autorité plus ou moins contestable d'un petit chef plus ou moins susceptible et narcissique. C'est écraser, ni plus ni moins. La prétendue bienveillance mise dans un recadrage est hypocrite et intéressée, et ne s'inscrit que dans des techniques faussement attentionnées. Quelqu'un qui essaie de recadrer ne devrait jamais y gagner au change, sauf si le collaborateur évidemment a la légitimité objective de fait et de droit pour le faire. Car cela veut dire vouloir mettre le collaborateur dans un cadre, dans une boîte, dans des cases, comme un bon petit mouton. Recadrer un collaborateur ne peut avoir comme conséquence que de le démobiliser et l'énerver, ou lui faire dire uniquement ce que le chef veut entendre (en tout cas, ce serait mon cas). La communication non violente n'empêche pas l'hypocrisie et la manipulation, bien au contraire, ce sont même ses tenants obligés. Cela ne peut mener qu'à la frustration du collaborateur et devrait le mener à se rebeller passivement, comme asséner l'employeur d'arrêts de travail.
Les relations humaines fonctionnent sous la forme d’influence. Un enfant cherche à influencer ses parents pour avoir des bonbons. Les parents cherchent à influencer leurs enfants pour qu’ils se brossent les dents. Donc oui, la manipulation existe et elle est honorable si les intentions des individus le sont. Il faut des règles et donc un cadre pour une bonne collaboration en équipe. Le manager en est garant. Si c'est une crapule, c'est la galère, mais cela ne change rien au besoin de cadre .Recadrer n'est pas faire la morale, c'est expliquer. Et d'ailleurs, vous-mêmes dans votre vie de tous les jours vous respectez des règles et donc un cadre. Êtes-vous pour autant un mouton ?
Bonjour, merci pour ce retour qui me permet de m’expliquer un peu mieux sur la méthode. L’objectif n’est pas défini par le manager, mais par le collaborateur. Le manager va l’aider à mieux comprendre. Rien n’est donc autosuggéré. Tout découle d’une situation et d’un ressenti. Ensuite, concernant la coercition, à savoir contraindre le collaborateur, je ne pense pas que cela soit une absence de bienveillance. En effet, il est naturel que des règles existent. La bienveillance en est une. Il existe d’ailleurs un paradoxe pour la bienveillance : licencier une personne qui manque de bienveillance. Le licenciement n’est pas vraiment un acte bienveillant, mais il est nécessaire pour préserver la bienveillance au sein du groupe. Justement, les règles et les valeurs permettent de donner du corps au groupe qui, si l’on ajoute un objectif commun, devient une équipe. Les contraintes sont donc naturelles au sein d’une entreprise, d'un état ou de toute autre organisation. Il ne faut pas confondre bienveillance et absence de coercition. Même les entreprises libérées ont des contraintes. C’est peut-être même dans ces entreprises où elles sont les plus fortes. En effet, le niveau de responsabilisation est tel, que personne ne peut se cacher. Merci.
@@JulienGodefroy Si le collaborateur-mouton ne va pas dans le sens du recadrage, la bienveillance n'aura plus à être hypocrite ni existante puisqu'il sera broyé. La salariat public ou privé n'est qu'un système à manipuler et brider l'individu dans une soumission impossible à combattre, et les petits chefs le savent très bien.
@@laurent5084 Je me moque des petits chefs. Si vous êtes frustré par votre chef, recadrez-le. Cela fonctionne pareil. Tout étant une question d’influence, cela peut fonctionner comme pas du tout. Oui il y a une soumission, nous sommes payés pour un travail. Et pour travailler en équipe, il y a des règles à respecter. Pas besoin qu’elles soient trop strictes, mais sans cadre que voulez-vous faire ? Dans ce cas tout le monde vient travailler quand il veut et on s’insulte !
j'ai toujours un peu de mal avec les "experts" qui ne savent pas que Quatre ne prend pas de "s". Les quatre Zétapes.... ça décrédibilise le niveau du discours.
Bonjour Catherine, merci pour votre commentaire qui me permet d’expliquer pourquoi les experts font cette liaison. Ce n’est pas un « S », mais plutôt un « Z ». Il s’agit d’une « fausse liaison ». À l’oral, nous ne disons pas « entre quatre yeux », mais « entre quatre Z'yeux » pour faciliter la prononciation. Il en est de même pour les « quatre z'étapes » qui est un peu plus simple à prononcer. Je vous souhaite une excellente journée Julien
@@umento faux. L'euphonie n'est pas d'actualité avec le mot quatre. Ça fonctionnerait avec va'z'y du verbe Aller. Attention, n'inventez pas des règles.
Ce n'est pas parce que vous parlez lentement avec des mots pompeux et qu'il y a n étapes dans votre raisonnement (ou n erreurs à ne pas commettre :) ) que votre communication est non violente. le terme "recadrer" est violent. Parler d'objectifs à un collaborateur qui traine la patte pour venir travailler (seule raison qui explique les retards à répétition) est violent. Le mot "entretien" est violent pour les générations y, z etc.. Les jeunes maintenant n'en ont plus rien à f*** des "sanctions" :). Si vous êtes le chef (car c'est le bon terme) de personnes entres 50 et 60 ans, cette vidéo est pour vous. Sinon passez votre chemin...
Votre ressenti ne vaut pas généralité. Vous êtes en pleine projection. Ne perdez pas votre temps avec ce style de commentaire sans fondement ni argument. Agissez. Et n'oubliez pas, si vos équipes ne vous respectent pas. c'est que vous êtes le problème.
Proximo Stenvaag Parce que c’est un collaborateur, vous vous autorisez à être moins bienveillant qu’avec votre femme ? Votre position de manager vous donne un excès de confiance ?
@@JulienGodefroy A moins que je me trompe Colaborateur⏩colaborer=équipe. du coup les collaborateurs doivent respecter leur engagement pour le bon fonctionnement de leur entreprise/boîte.ils se doivent unpeu de se rendre des comptes/se donner des explications en rapport avec leur boîte.c'est bien ça??🤔.Merci de me répondre ; je n'y connais pas grand chose dans ce domaine d'où cette interrogation😊.
@@midelbemid6477 effectivement, les collaborateurs doivent communiquer entre eux et prendre leurs responsabilités pour que les projets avancent. Le manager est là pour les accompagner en cas de besoin.
![Julien Godefroy [Réussir Son Management]](http://yt3.ggpht.com/c5KizlOGid3dkkXzwEY5ZLAkGyxMckgRiUMWpauNBcDsoQGgqNoODsIhWJ5MiZPi7KWiiRM0FQ=s48-c-k-c0x00ffffff-no-rj)
![ปฏิเสธไม่ไหว (Crush on you) - LIPTA feat. No One Else [Official MV]](http://i.ytimg.com/vi/NBw1jF342vw/mqdefault.jpg)
Bonjour,je suis chef d'équipe,et je rencontre un problème avec un collaborateur avec qui tout se passait bien, j'ai demandé que mon service se consulté pour se mettre en accord avec les congés de la Toussaint... cette personne souhaitant le 12 novembre et la semaine du 02 au 05 novembre...je lui ai dit que ça ne sera pas possible d'avoir 2 jours fériés... elle n'a pas compris, car elle était la 1 ère.
Malgré mes explications, rien n'y fait et m'a parlé avec insubordination, manque de respect...je ne me sens pas soutenu par ma hiérarchie et la RH a pris parti pour elle... nous sommes 4 et forcément c'est 50/50.. merci pour cette vidéo qui m'a bien éclairé.
Super
La musique est dérangeante car trop forte. Ça empêche de se concentrer sur les propos.
Bonne vidéo merci !
Brad Avec plaisir !
Bravo
Merci
Tu es beau ❤
Merci ☺️
@@JulienGodefroy bon courage !
Merci Julien
Recadrer un collaborateur. Le mot recadrer est déjà un terme très condescendant et cache une énorme condescendance infantilisante, insupportable de nos jours. Le collaborateur ne se recadre pas. Il se respecte en tant que personne. Et personnellement je renvoie son mépris à celui qui cherche à me faire une morale à deux balles dont je ne lui reconnais aucune légitimité.
J'ai été moi-même encadrant dans un système hiérarchique, et je m'y sentais très mal-à-l'aise car le respect de l'individu et de son intégrité n'y a plus vraiment cours.
En effet, recadrer veut dire vouloir manipuler pour obliger à obéir à l'autorité plus ou moins contestable d'un petit chef plus ou moins susceptible et narcissique. C'est écraser, ni plus ni moins. La prétendue bienveillance mise dans un recadrage est hypocrite et intéressée, et ne s'inscrit que dans des techniques faussement attentionnées.
Quelqu'un qui essaie de recadrer ne devrait jamais y gagner au change, sauf si le collaborateur évidemment a la légitimité objective de fait et de droit pour le faire.
Car cela veut dire vouloir mettre le collaborateur dans un cadre, dans une boîte, dans des cases, comme un bon petit mouton. Recadrer un collaborateur ne peut avoir comme conséquence que de le démobiliser et l'énerver, ou lui faire dire uniquement ce que le chef veut entendre (en tout cas, ce serait mon cas).
La communication non violente n'empêche pas l'hypocrisie et la manipulation, bien au contraire, ce sont même ses tenants obligés. Cela ne peut mener qu'à la frustration du collaborateur et devrait le mener à se rebeller passivement, comme asséner l'employeur d'arrêts de travail.
Les relations humaines fonctionnent sous la forme d’influence. Un enfant cherche à influencer ses parents pour avoir des bonbons. Les parents cherchent à influencer leurs enfants pour qu’ils se brossent les dents. Donc oui, la manipulation existe et elle est honorable si les intentions des individus le sont.
Il faut des règles et donc un cadre pour une bonne collaboration en équipe. Le manager en est garant. Si c'est une crapule, c'est la galère, mais cela ne change rien au besoin de cadre .Recadrer n'est pas faire la morale, c'est expliquer. Et d'ailleurs, vous-mêmes dans votre vie de tous les jours vous respectez des règles et donc un cadre. Êtes-vous pour autant un mouton ?
@Le raisonnement: Bien vu
Merci
Quelle perte de temps, que d'énergie perdue de devoir gérer des gens qui ne tiennent pas leurs engagements...mais bon faut bien le faire...
C’est vrai qu’il est préférable de faire d’autres tâches bien plus intéressantes.
N'importe quoi ! Tout... sauf de la bienveillance cette vidéo. C'est une méthode coercitive auto-suggérée plutot.
Bonjour, merci pour ce retour qui me permet de m’expliquer un peu mieux sur la méthode. L’objectif n’est pas défini par le manager, mais par le collaborateur. Le manager va l’aider à mieux comprendre. Rien n’est donc autosuggéré. Tout découle d’une situation et d’un ressenti.
Ensuite, concernant la coercition, à savoir contraindre le collaborateur, je ne pense pas que cela soit une absence de bienveillance. En effet, il est naturel que des règles existent. La bienveillance en est une. Il existe d’ailleurs un paradoxe pour la bienveillance : licencier une personne qui manque de bienveillance. Le licenciement n’est pas vraiment un acte bienveillant, mais il est nécessaire pour préserver la bienveillance au sein du groupe.
Justement, les règles et les valeurs permettent de donner du corps au groupe qui, si l’on ajoute un objectif commun, devient une équipe. Les contraintes sont donc naturelles au sein d’une entreprise, d'un état ou de toute autre organisation. Il ne faut pas confondre bienveillance et absence de coercition.
Même les entreprises libérées ont des contraintes. C’est peut-être même dans ces entreprises où elles sont les plus fortes. En effet, le niveau de responsabilisation est tel, que personne ne peut se cacher.
Merci.
@@JulienGodefroy Si le collaborateur-mouton ne va pas dans le sens du recadrage, la bienveillance n'aura plus à être hypocrite ni existante puisqu'il sera broyé. La salariat public ou privé n'est qu'un système à manipuler et brider l'individu dans une soumission impossible à combattre, et les petits chefs le savent très bien.
@@laurent5084 Je me moque des petits chefs. Si vous êtes frustré par votre chef, recadrez-le. Cela fonctionne pareil. Tout étant une question d’influence, cela peut fonctionner comme pas du tout. Oui il y a une soumission, nous sommes payés pour un travail. Et pour travailler en équipe, il y a des règles à respecter. Pas besoin qu’elles soient trop strictes, mais sans cadre que voulez-vous faire ? Dans ce cas tout le monde vient travailler quand il veut et on s’insulte !
j'ai toujours un peu de mal avec les "experts" qui ne savent pas que Quatre ne prend pas de "s". Les quatre Zétapes.... ça décrédibilise le niveau du discours.
Bonjour Catherine,
merci pour votre commentaire qui me permet d’expliquer pourquoi les experts font cette liaison. Ce n’est pas un « S », mais plutôt un « Z ». Il s’agit d’une « fausse liaison ».
À l’oral, nous ne disons pas « entre quatre yeux », mais « entre quatre Z'yeux » pour faciliter la prononciation. Il en est de même pour les « quatre z'étapes » qui est un peu plus simple à prononcer.
Je vous souhaite une excellente journée
Julien
@@JulienGodefroy Haha bonne réponse !
@@umento faux. L'euphonie n'est pas d'actualité avec le mot quatre. Ça fonctionnerait avec va'z'y du verbe Aller. Attention, n'inventez pas des règles.
@@JulienGodefroy ça méritait un bon recadrage 👍
Ce n'est pas parce que vous parlez lentement avec des mots pompeux et qu'il y a n étapes dans votre raisonnement (ou n erreurs à ne pas commettre :) ) que votre communication est non violente. le terme "recadrer" est violent. Parler d'objectifs à un collaborateur qui traine la patte pour venir travailler (seule raison qui explique les retards à répétition) est violent. Le mot "entretien" est violent pour les générations y, z etc.. Les jeunes maintenant n'en ont plus rien à f*** des "sanctions" :). Si vous êtes le chef (car c'est le bon terme) de personnes entres 50 et 60 ans, cette vidéo est pour vous. Sinon passez votre chemin...
Votre ressenti ne vaut pas généralité. Vous êtes en pleine projection. Ne perdez pas votre temps avec ce style de commentaire sans fondement ni argument. Agissez. Et n'oubliez pas, si vos équipes ne vous respectent pas. c'est que vous êtes le problème.
N importe quoi, c'est un collaborateur c'est pas ta femme.
Proximo Stenvaag
Parce que c’est un collaborateur, vous vous autorisez à être moins bienveillant qu’avec votre femme ? Votre position de manager vous donne un excès de confiance ?
@@JulienGodefroy A moins que je me trompe Colaborateur⏩colaborer=équipe. du coup les collaborateurs doivent respecter leur engagement pour le bon fonctionnement de leur entreprise/boîte.ils se doivent unpeu de se rendre des comptes/se donner des explications en rapport avec leur boîte.c'est bien ça??🤔.Merci de me répondre ; je n'y connais pas grand chose dans ce domaine d'où cette interrogation😊.
@@midelbemid6477 effectivement, les collaborateurs doivent communiquer entre eux et prendre leurs responsabilités pour que les projets avancent. Le manager est là pour les accompagner en cas de besoin.
@@JulienGodefroy d'accord.Merci pour le retour!😊