🖖Ce média dépend de vous! 👉Pour soutenir mon travail linktr.ee/intensementpodcast 👉Vous pouvez aussi souscrire à la chaine pour seulement 1.99/mois directement sur TH-cam en clickant sur le bouton "rejoindre"! Merci intensément 🥰😀😍
Et encore une vidéo de référence … Je ne sais pas si une vidéo d1h15, qui permet à Mme Boisselier de développer précisément son raisonnement est des plus “marketing”, mais quel pied en ce qui me concerne…Merci à tous les 2!
Excellente vidéo, les propos sont particulièrement clairs. J'ignorais que les abus émotionnels avaient un impact plus significatif que les abus physiques, c'est contre-intuitif, je suis donc ravi d'apprendre cette information. :o
Super vidéo vraiment, c'est assez affolant ça ramène à des souvenirs et des interprétations juste comme douteuses niveau vie personnelle bien sûr. Elle semble aussi fan que moi de la Mensa 😂😜😜
Ceci est mon interprétation, ne pas hésiter a me reprendre de manière constructive. Il me semble donc que le hqi peut etre decorrélé de la santé mentale et émotionnelle ( ni impact négatif, ni impact positif). celle-ci paraît plus impactée par les adversités précoces rencontrées et éventuellement le soutien psychosocial pendant cette période permettant de donner un sens a ces adversités. Le HQI semble par contre corrélé au niveau socio économique qui permet un meilleur accès au soins lorsque ce niveau est atteint ce qui pourrait ( conditionnel) expliquer une partie des biais cliniques. Il est donc possible d avoir un hqi, un tnd et un trouble emotionnel les uns n excluant pas les autres. Les positions dogmatiques risquent donc de porter préjudice a la demande de soins.
@@corinnevig9568 je serais tenté de te répondre oui mais Nathalie me dirait ''de la nuance '' 😂 . Et en effet il y a certain contexte si j'ai bien compris où un HQI influerait sur un trouble, par exemple les symptômes de l'anxiété serait un peu différent voire accentué pour les ruminations ( a vérifier) ... Du coup si on prend le problème de manière granulaire si j'ose dire on ne peut pas exclure le hqi comme impact négatif. Et puis s'il a un effet protecteur ben c'est un impact il le semble non ?
@@intensementpodcast comme quoi, c est toujours intéressant d échanger les idées et interprétations. En effet, ce que j ai retiré de cette étude, c'est que de manière generale le hqi n' était pas si protecteur que cela est présenté par les uns, ni si aggravant que cela présenté par les autres. C est en effet a nuancer. J' ai pris note également que ICV est l indice le plus corrélé aux conséquences des adversités du point de vue émotionnelle et du sens. J ai juste un regret par rapport aux cohortes notamment la cohorte controle. Si le qit moyen avait été plus bas y aurait il eu des resultats plus significatifs? C est une question que je me pose du fait que des personnes avec un QIT de 125 a 129 sont dans ce groupe controle donc très proche du HQI sans y être au sens scientifique du terme.
Du coup, dans l’étude, je suis de quel côté de l’échantillonnage avec mon QI qui est IVC 141, IRP 110, IMT 91, IVT 129, QIT 125 ? La dernière fois je disais que ce n’est jamais clair pour moi de savoir si je suis concernée ou pas et là c’est pareil: si je dis que je suis HPI on peut me dire que je me prends pour ce que je ne suis pas, mais je me suis déjà fait reprendre limite gronder par des psys pour avoir questionné le fait que je le sois et je passe pour quelqu’un qui doit travailler sa confiance en soi ou qui ne s’accepte pas, ou qui fait de la fausse modestie pour être bien vue. À chaque fois que je rencontre un nouveau psy ou une nouvelle personne qui connaît les bails sur le HPI je ne sais jamais quel sera son point de vue sur mon cas 😂
@@unrealemma8724 je dirais que 125 c'est compris entre 120 et 130 donc tu as un HPI et si t'habites la Belgique je crois que de toute manière le seuil est à 125 là bas 😆
@@intensementpodcast Putain, j’ai un grand père polonais, un grand père portugais, une grand mère française et une grand mère anglaise, et j’ai un HPI belge 😂
@@unrealemma8724 En France, pour être considéré HPI, c'est 130 ou plus. Tu n'es donc pas HPI aux yeux du consensus français (et mondial ?), mais plutôt "intelligence très supérieure" je crois (à vérifier). Les chiffres avancés dans la vidéo te concernant "statistiquement" sont donc ceux du groupe non-HPI. Cela dit, ce sont juste des étiquettes statistiques, surtout à 5 points près (sur un bon jour, t'aurais peut-être eu 130 au test vu la marge d'erreur).
@@yohanndg1278 Je connais la réponse au niveau du consensus mais le flou vient du fait que j’ai été considérée comme HPI par deux psychologues, une psychiatre et un neuropsy, aux quatre j’ai exposé le fait que j’en doutais au vu de mes résultats et ils sont tous les quatre restés sur leur position. Je n’ai jamais consulté d’autres professionnels donc jusqu’à présent je n’ai jamais été face à un professionnel qui se soit aligné sur le consensus. C’est pas que j’essaye de gratter, par exemple ma femme a été à Mensa et j’ai toujours refusé les propositions de regarder par dessus son épaule ou d’utiliser son compte pour lire les contenus de Mensa parce que je ne cherche pas du tout à infiltrer un groupe dont je ne fais pas partie. Là où ça commence à devenir comique c’est que j’ai commencé à être désignée comme « surdouée » à l’école primaire et tous les problèmes ou bizarreries avec moi ont été mis sur le compte du HPI sans que je sois testée. Mais moi je ne me reconnais pas du tout dans le portrait type Barnum du HPI qui se prend la tête, qui recherche la complexité, qui souffre de questions existentielles, qui un besoin quasi compulsif d’apprendre, qui pleure à tous les films au cinéma … du coup j’ai passé le test pour écarter cette hypothèse et contraindre / acculer les psys à chercher une autre explication, c’était une attaque assez frontale en fait. J’ai eu les résultats auxquels je m’attendais au niveau des chiffres. Je n’ai jamais été dans le déni sur le fait que j’ai traversé ma scolarité très facilement, que je n’ai pas eu l’habitude de faire des efforts et que les portes s’ouvraient quand même, je m’attendais à ce que le test soit cohérent et qu’il me détecte comme une ex-première de classe, mais comme une ex-première de classe qui n’est pas partie en filière générale au lycée et atteint très vite un niveau plafond, je suis la borgne qui est reine parmi les aveugles et le test a bien été honnête là dessus je trouve. Mais malgré le fait que le test ait dit la vérité honnêtement, rien n’a changé 🫨😱🤯 C’est pas très grave parce que j’ai été diagnostiquée TSA quand même, donc au final j’ai obtenu les réponses que je voulais obtenir en prouvant que je n’étais pas HPI même si j’ai malencontreusement prouvé que j’étais HPI. C’est très schizophrénique comme situation parce que les gens ont une attente très orientée dans un sens ou dans l’autre et tout le monde va se faire une mauvaise image de moi ou se focaliser excessivement sur la question si je ne valide pas sa vision que soit je le suis soit je le suis pas mais ça dépend des groupes et des gens
@@unrealemma8724 Avec autant de professionnels vous affirmant que vous êtes HPI, et le consensus officiel disant autre chose, je comprends que vous soyez déroutée, il y a de quoi l'être. x_x Par contre, que cette démarche de recherche vous ait permis de diagnostiquer un TSA, c'est super, c'est une information précieuse.
Ma femme (qui est une HPI à 132 de QIT et qui a été victime de maltraitance familiale) a beaucoup ce truc de rêverie / absorption. Ce qui est peut etre différent par rapport à une personne qui ne serait pas HPI c’est que pour elle ces moments de rêverie ils sont très remplis, notamment de personnages qu’elles connaît depuis son enfance et qu’en conséquence il y a du contenu pour en parler pendant des heures a un psy ou à quelqu’un d’autre, ce qui peut donner l’impression que ça prend beaucoup de place par rapport à une personne qui vivrait la même durée de ces moments dissociatifs mais n’aurait pas forcément autant de choses à raconter en revenant. Pour ce qui est de trouver des niveaux en dessous des seuils du TSPT, si j’ai bien compris que TSPT c’est PTSD en français, ça avait été mon cas quand j’avais été testée pour ça. Au moment du test je ne m’attendais à rien et j’avais été outragée, j’étais pas du tout sensibilisée à la réaction normale à un viol donc je n’ai pas pensé une seule seconde que ces choses pourraient venir de façon spontanée de la victime et j’étais en colère, je pensais « mais comment osez vous mettre une personne qui a été victime devant des questions comme ça » comme par exemple « Est-ce que tu penses que ta valeur personnelle a diminuée à la suite de ce qui s’est passé ? », « Te sens tu coupable ? », et je ne me souviens pas de toutes les questions qui m’ont fait penser « ah d’accord y’a une sorte d’injonction sociale à ce que je me sente comme ça ». Depuis j’ai compris que le questionnaire n’était pas si mal intentionné que ça mais qu’il est juste aussi loin de me comprendre que moi j’étais loin de comprendre que la réaction moyenne de la majorité c’est ça. Le but du test était de déterminer la part de mon comportement dû à l’autisme et la part du à des traumas, il a donc répondu que dans tous les cas je ne m’étais pas mise à penser comme ça suite à des événements mais la passation de ce questionnaire est resté quelque chose de très chelou au point que ce soit presque un point de bascule à partir duquel j’ai commencé à prendre moins au sérieux la psychologie d’une façon globale. Ça a été la dernière fois que j’ai consulté, je sais que je vais devoir reprendre mais je ne sais pas encore comment je vais m’y prendre, si je vais être ouverte sur le fait que j’ai pas tant confiance que ça ou pas ^^
J’arrive pas à comprendre la logique par laquelle le pourcentage de personnes concernées globalement est la somme du pourcentage de personnes HPI et de personnes non HPI concernées. Si on utilise des chiffres très ronds pour faire un truc très simple afin d’exposer mon problème: Si on prend un groupe de personnes rouges de 500 individus et que 250 d’entre eux ont le permis de conduire alors 50% des rouges ont le permis de conduire. Et si on prend un groupe de personnes bleues de 500 individus et que 100 s’entre eux ont le permis de conduire, alors 20% des bleus ont le permis de conduire. Sur 1000, 350 ont le permis de conduire, donc 35%, pas 70%
Je suis moi même interloquée par l'addition des chiffres dans la mesure de l'échelle MACE : on voit que le pourcentage du groupe HPI + le pourcentage du groupe contrôle = le pourcentage de l'effectif global. L'effectif global devrait présenter un chiffre entre les deux groupes testés Si je tente aussi une simplification, Je suppose un groupe de 1000 personnes, chez qui je mesure la fréquence d'une maladie - groupe A : 500 personnes, présence de la maladie= 10% (soit 50 personnes) - groupe B ; 500 personnes, présence de la maladie = 20% (soit 100 personnes) => population totale 1000, présence de la maladie = 150/1000 = 15% ET NON PAS 10 + 20 = 30%
@@LilaHomann @unrealemma8724 réponse de Nath.Boisselier : Si c’est le cas, cela veut dire que 31,9% des 450 participants (effectif global) rapportaient avoir été sévèrement exposés à la maltraitance parentale. Dans ces 31,9%, une proportion de 16,4% étaient HPI et 15,5% n’étaient pas HPI. Et la différence dans les taux rapportés par les deux groupes n’était pas significative (p = 0,47). Cela veut dire que les adultes HPI ne rapportent pas plus ou moins de maltraitance verbale parentale dans l’enfance. 15,5 + 16,4 = 31,9 C’est le même type de lecture pour le traumatisme cumulatif.
@@unrealemma8724 @LilaHomann @unrealemma8724 réponse de Nath.Boisselier : Si c’est le cas, cela veut dire que 31,9% des 450 participants (effectif global) rapportaient avoir été sévèrement exposés à la maltraitance parentale. Dans ces 31,9%, une proportion de 16,4% étaient HPI et 15,5% n’étaient pas HPI. Et la différence dans les taux rapportés par les deux groupes n’était pas significative (p = 0,47). Cela veut dire que les adultes HPI ne rapportent pas plus ou moins de maltraitance verbale parentale dans l’enfance. 15,5 + 16,4 = 31,9 C’est le même type de lecture pour le traumatisme cumulatif.
@@orpheerecoing9243 Il n'a jamais été question que ce soit un débat, il s'agit de présenter des résultats d'études (dont des méta-analyses). Je ne vois pas de bouffonerie dans cette pratique consistant à mettre les a priori et les idées reçues à l'épreuve des faits.
🖖Ce média dépend de vous! 👉Pour soutenir mon travail linktr.ee/intensementpodcast 👉Vous pouvez aussi souscrire à la chaine pour seulement 1.99/mois directement sur TH-cam en clickant sur le bouton "rejoindre"! Merci intensément 🥰😀😍
@@intensementpodcast Hello, pour te soutenir, le plus intéressant pour toi c'est linktr ou TH-cam ?
Merci c'était intéressant. Discours nuancé qui enseigne des choses assez inattendues.
Et encore une vidéo de référence … Je ne sais pas si une vidéo d1h15, qui permet à Mme Boisselier de développer précisément son raisonnement est des plus “marketing”, mais quel pied en ce qui me concerne…Merci à tous les 2!
Excellente vidéo, les propos sont particulièrement clairs. J'ignorais que les abus émotionnels avaient un impact plus significatif que les abus physiques, c'est contre-intuitif, je suis donc ravi d'apprendre cette information. :o
Super vidéo vraiment, c'est assez affolant ça ramène à des souvenirs et des interprétations juste comme douteuses niveau vie personnelle bien sûr.
Elle semble aussi fan que moi de la Mensa 😂😜😜
Ceci est mon interprétation, ne pas hésiter a me reprendre de manière constructive. Il me semble donc que le hqi peut etre decorrélé de la santé mentale et émotionnelle ( ni impact négatif, ni impact positif). celle-ci paraît plus impactée par les adversités précoces rencontrées et éventuellement le soutien psychosocial pendant cette période permettant de donner un sens a ces adversités. Le HQI semble par contre corrélé au niveau socio économique qui permet un meilleur accès au soins lorsque ce niveau est atteint ce qui pourrait ( conditionnel) expliquer une partie des biais cliniques. Il est donc possible d avoir un hqi, un tnd et un trouble emotionnel les uns n excluant pas les autres. Les positions dogmatiques risquent donc de porter préjudice a la demande de soins.
@@corinnevig9568 je serais tenté de te répondre oui mais Nathalie me dirait ''de la nuance '' 😂 . Et en effet il y a certain contexte si j'ai bien compris où un HQI influerait sur un trouble, par exemple les symptômes de l'anxiété serait un peu différent voire accentué pour les ruminations ( a vérifier) ... Du coup si on prend le problème de manière granulaire si j'ose dire on ne peut pas exclure le hqi comme impact négatif. Et puis s'il a un effet protecteur ben c'est un impact il le semble non ?
@@intensementpodcast comme quoi, c est toujours intéressant d échanger les idées et interprétations. En effet, ce que j ai retiré de cette étude, c'est que de manière generale le hqi n' était pas si protecteur que cela est présenté par les uns, ni si aggravant que cela présenté par les autres. C est en effet a nuancer. J' ai pris note également que ICV est l indice le plus corrélé aux conséquences des adversités du point de vue émotionnelle et du sens. J ai juste un regret par rapport aux cohortes notamment la cohorte controle. Si le qit moyen avait été plus bas y aurait il eu des resultats plus significatifs? C est une question que je me pose du fait que des personnes avec un QIT de 125 a 129 sont dans ce groupe controle donc très proche du HQI sans y être au sens scientifique du terme.
@@corinnevig9568 oui tu as raison c'est ça un icv haut . Autant de questions à poser directement à Nathalie 😂
Du coup, dans l’étude, je suis de quel côté de l’échantillonnage avec mon QI qui est IVC 141, IRP 110, IMT 91, IVT 129, QIT 125 ?
La dernière fois je disais que ce n’est jamais clair pour moi de savoir si je suis concernée ou pas et là c’est pareil: si je dis que je suis HPI on peut me dire que je me prends pour ce que je ne suis pas, mais je me suis déjà fait reprendre limite gronder par des psys pour avoir questionné le fait que je le sois et je passe pour quelqu’un qui doit travailler sa confiance en soi ou qui ne s’accepte pas, ou qui fait de la fausse modestie pour être bien vue. À chaque fois que je rencontre un nouveau psy ou une nouvelle personne qui connaît les bails sur le HPI je ne sais jamais quel sera son point de vue sur mon cas 😂
@@unrealemma8724 je dirais que 125 c'est compris entre 120 et 130 donc tu as un HPI et si t'habites la Belgique je crois que de toute manière le seuil est à 125 là bas 😆
@@intensementpodcast Putain, j’ai un grand père polonais, un grand père portugais, une grand mère française et une grand mère anglaise, et j’ai un HPI belge 😂
@@unrealemma8724 En France, pour être considéré HPI, c'est 130 ou plus. Tu n'es donc pas HPI aux yeux du consensus français (et mondial ?), mais plutôt "intelligence très supérieure" je crois (à vérifier). Les chiffres avancés dans la vidéo te concernant "statistiquement" sont donc ceux du groupe non-HPI. Cela dit, ce sont juste des étiquettes statistiques, surtout à 5 points près (sur un bon jour, t'aurais peut-être eu 130 au test vu la marge d'erreur).
@@yohanndg1278 Je connais la réponse au niveau du consensus mais le flou vient du fait que j’ai été considérée comme HPI par deux psychologues, une psychiatre et un neuropsy, aux quatre j’ai exposé le fait que j’en doutais au vu de mes résultats et ils sont tous les quatre restés sur leur position. Je n’ai jamais consulté d’autres professionnels donc jusqu’à présent je n’ai jamais été face à un professionnel qui se soit aligné sur le consensus.
C’est pas que j’essaye de gratter, par exemple ma femme a été à Mensa et j’ai toujours refusé les propositions de regarder par dessus son épaule ou d’utiliser son compte pour lire les contenus de Mensa parce que je ne cherche pas du tout à infiltrer un groupe dont je ne fais pas partie.
Là où ça commence à devenir comique c’est que j’ai commencé à être désignée comme « surdouée » à l’école primaire et tous les problèmes ou bizarreries avec moi ont été mis sur le compte du HPI sans que je sois testée. Mais moi je ne me reconnais pas du tout dans le portrait type Barnum du HPI qui se prend la tête, qui recherche la complexité, qui souffre de questions existentielles, qui un besoin quasi compulsif d’apprendre, qui pleure à tous les films au cinéma … du coup j’ai passé le test pour écarter cette hypothèse et contraindre / acculer les psys à chercher une autre explication, c’était une attaque assez frontale en fait. J’ai eu les résultats auxquels je m’attendais au niveau des chiffres. Je n’ai jamais été dans le déni sur le fait que j’ai traversé ma scolarité très facilement, que je n’ai pas eu l’habitude de faire des efforts et que les portes s’ouvraient quand même, je m’attendais à ce que le test soit cohérent et qu’il me détecte comme une ex-première de classe, mais comme une ex-première de classe qui n’est pas partie en filière générale au lycée et atteint très vite un niveau plafond, je suis la borgne qui est reine parmi les aveugles et le test a bien été honnête là dessus je trouve. Mais malgré le fait que le test ait dit la vérité honnêtement, rien n’a changé 🫨😱🤯
C’est pas très grave parce que j’ai été diagnostiquée TSA quand même, donc au final j’ai obtenu les réponses que je voulais obtenir en prouvant que je n’étais pas HPI même si j’ai malencontreusement prouvé que j’étais HPI. C’est très schizophrénique comme situation parce que les gens ont une attente très orientée dans un sens ou dans l’autre et tout le monde va se faire une mauvaise image de moi ou se focaliser excessivement sur la question si je ne valide pas sa vision que soit je le suis soit je le suis pas mais ça dépend des groupes et des gens
@@unrealemma8724 Avec autant de professionnels vous affirmant que vous êtes HPI, et le consensus officiel disant autre chose, je comprends que vous soyez déroutée, il y a de quoi l'être. x_x
Par contre, que cette démarche de recherche vous ait permis de diagnostiquer un TSA, c'est super, c'est une information précieuse.
Ma femme (qui est une HPI à 132 de QIT et qui a été victime de maltraitance familiale) a beaucoup ce truc de rêverie / absorption.
Ce qui est peut etre différent par rapport à une personne qui ne serait pas HPI c’est que pour elle ces moments de rêverie ils sont très remplis, notamment de personnages qu’elles connaît depuis son enfance et qu’en conséquence il y a du contenu pour en parler pendant des heures a un psy ou à quelqu’un d’autre, ce qui peut donner l’impression que ça prend beaucoup de place par rapport à une personne qui vivrait la même durée de ces moments dissociatifs mais n’aurait pas forcément autant de choses à raconter en revenant.
Pour ce qui est de trouver des niveaux en dessous des seuils du TSPT, si j’ai bien compris que TSPT c’est PTSD en français, ça avait été mon cas quand j’avais été testée pour ça. Au moment du test je ne m’attendais à rien et j’avais été outragée, j’étais pas du tout sensibilisée à la réaction normale à un viol donc je n’ai pas pensé une seule seconde que ces choses pourraient venir de façon spontanée de la victime et j’étais en colère, je pensais « mais comment osez vous mettre une personne qui a été victime devant des questions comme ça » comme par exemple « Est-ce que tu penses que ta valeur personnelle a diminuée à la suite de ce qui s’est passé ? », « Te sens tu coupable ? », et je ne me souviens pas de toutes les questions qui m’ont fait penser « ah d’accord y’a une sorte d’injonction sociale à ce que je me sente comme ça ». Depuis j’ai compris que le questionnaire n’était pas si mal intentionné que ça mais qu’il est juste aussi loin de me comprendre que moi j’étais loin de comprendre que la réaction moyenne de la majorité c’est ça.
Le but du test était de déterminer la part de mon comportement dû à l’autisme et la part du à des traumas, il a donc répondu que dans tous les cas je ne m’étais pas mise à penser comme ça suite à des événements mais la passation de ce questionnaire est resté quelque chose de très chelou au point que ce soit presque un point de bascule à partir duquel j’ai commencé à prendre moins au sérieux la psychologie d’une façon globale. Ça a été la dernière fois que j’ai consulté, je sais que je vais devoir reprendre mais je ne sais pas encore comment je vais m’y prendre, si je vais être ouverte sur le fait que j’ai pas tant confiance que ça ou pas ^^
J’arrive pas à comprendre la logique par laquelle le pourcentage de personnes concernées globalement est la somme du pourcentage de personnes HPI et de personnes non HPI concernées.
Si on utilise des chiffres très ronds pour faire un truc très simple afin d’exposer mon problème:
Si on prend un groupe de personnes rouges de 500 individus et que 250 d’entre eux ont le permis de conduire alors 50% des rouges ont le permis de conduire.
Et si on prend un groupe de personnes bleues de 500 individus et que 100 s’entre eux ont le permis de conduire, alors 20% des bleus ont le permis de conduire.
Sur 1000, 350 ont le permis de conduire, donc 35%, pas 70%
@@unrealemma8724 ah faut pas m'embrouiller avec les chiffres un weekend 😂
Je suis moi même interloquée par l'addition des chiffres dans la mesure de l'échelle MACE : on voit que le pourcentage du groupe HPI + le pourcentage du groupe contrôle = le pourcentage de l'effectif global.
L'effectif global devrait présenter un chiffre entre les deux groupes testés
Si je tente aussi une simplification,
Je suppose un groupe de 1000 personnes, chez qui je mesure la fréquence d'une maladie
- groupe A : 500 personnes, présence de la maladie= 10% (soit 50 personnes)
- groupe B ; 500 personnes, présence de la maladie = 20% (soit 100 personnes)
=> population totale 1000, présence de la maladie = 150/1000 = 15%
ET NON PAS 10 + 20 = 30%
@@LilaHomann merci d'avoir relancé la question. J'avais zappé oups....
@@LilaHomann @unrealemma8724 réponse de Nath.Boisselier :
Si c’est le cas, cela veut dire que 31,9% des 450 participants (effectif global) rapportaient avoir été sévèrement exposés à la maltraitance parentale. Dans ces 31,9%, une proportion de 16,4% étaient HPI et 15,5% n’étaient pas HPI. Et la différence dans les taux rapportés par les deux groupes n’était pas significative (p = 0,47). Cela veut dire que les adultes HPI ne rapportent pas plus ou moins de maltraitance verbale parentale dans l’enfance.
15,5 + 16,4 = 31,9
C’est le même type de lecture pour le traumatisme cumulatif.
@@unrealemma8724 @LilaHomann @unrealemma8724 réponse de Nath.Boisselier :
Si c’est le cas, cela veut dire que 31,9% des 450 participants (effectif global) rapportaient avoir été sévèrement exposés à la maltraitance parentale. Dans ces 31,9%, une proportion de 16,4% étaient HPI et 15,5% n’étaient pas HPI. Et la différence dans les taux rapportés par les deux groupes n’était pas significative (p = 0,47). Cela veut dire que les adultes HPI ne rapportent pas plus ou moins de maltraitance verbale parentale dans l’enfance.
15,5 + 16,4 = 31,9
C’est le même type de lecture pour le traumatisme cumulatif.
Ca suffit. Cette bouffonnerie est suffisante.
Vous parlez de quoi s'il vous plaît ?
Quelle bouffonerie ?
@@yohanndg1278 ce n'est pas un débat, a peine des postures.
@@orpheerecoing9243 Il n'a jamais été question que ce soit un débat, il s'agit de présenter des résultats d'études (dont des méta-analyses). Je ne vois pas de bouffonerie dans cette pratique consistant à mettre les a priori et les idées reçues à l'épreuve des faits.
@@orpheerecoing9243 un débat,? Mais quel débat, vous êtes certain de pas vous être trompé de vidéo ?