Toujours bouleversant de "revivre" un peu une époque à la fois éloignée et proche. Sociologiquement, une mine d'or pour qui a l'oeil et le coeur. Époque tout à fait révolue, avec un pied dans l'ancien temps et un autre dans le nôtre. Il y a encore ce soupçon d'accent d'autrefois, tout à fait perdu, une douceur dans l'écoute et le débit de parole. C'est troublant, les archives. Fascinant et terriblement troublant.
A chaque fois que je regarde ces reportages émouvants je me demande toujours ce que sont devenus tous ces gens qui ont existé et certainement décédés aujourd'hui ! Du coup je me pose des questions sur le sens de la vie et le temps qui passe...trop vite et je trouve que la vie est triste si on en fait rien !
@@Plane60 lol. Je ne susi pas francais, 57 ans, en france plus que 15ans, .. je constate que les gens dans ces documentaires sont plus content que ajourd'hui, et parail en anglaterre. On a gagner qqchose (internet) mais perdu le bon heure avec les impots, les flick et leur cameras de vitesse, macron, covid, un jeunesses sans innocence et en plein crise que "ils vont tous mourir de 'planet chauffment' " (fortment encourager pas Macron et ses patrons d'aillieurs).
J'ai connu cela les pourboires, une petite reconnaissance, une petite gentillesse, un savoir-vivre, un sourire, les personnes se sentaient reconnus, ce petit geste mettait du baume au cœur a beaucoup d'entre eux. Tout cela aujourd'hui a disparu, chacun ne pense qu'à soi, souvent je pense que beaucoup de choses d' avant n'était pas mauvaise, même au nom du sacré saint modernisme, nous avons perdu plus que nous ne serions le dire, c'est triste.
J’adore ces vidéos, éducatives et très informatives ! Mais par-dessous tout, quel plaisir de pouvoir se plonger à cette époque grâce aux documentaires INA
Toute mon enfance !Quel plaisir de regarder,d’écouter ces personnes qui ont l’âge de mes parents…Pour moi,il est toujours d’actualité de donner un pourboire au restaurant,chez le coiffeur,dans un taxi…Mais il faut toujours avoir un peu de monnaie,avec CB on oublie parfois !
Je me sens heureuse quand je donne un bon pourboire( restaurant , café ) et plus encore un billet à un SDF , je vois des étoiles ds ses yeux et cela me donne du baume au cœur !
çà ne devrait pas exister! même les SDF reçoivent de l'argent de l'état dans le pays où je vis. Quelques fois des pourboires dans un café mais ce n'est en fait pas necessaire.
@@chloeuntrau4588 Et c’ est quoi le Pays où tu vis ? nous parlons bien de la France n’ est-ce pas ? s🇫🇷 et même dans d’ autres pays , partager me fait beaucoup de bien ☺️ il n’y a aucun problème mon cher ami…tu vois même avec toi je partage , puisque je te réponds, je te souhaite une agréable journée.
Merci l'INA pour ces retours dans un temps pas si lointain mais pourtant tellement loin aujourd'hui!.. Mais je trouve çà dingue que l'on soit passé par l'interdiction du "pour-liche"!.. En tout cas c'est intéressant de voir que l'interdiction ne sert pas à grand chose finalement car le "pour-boire" demeure toujours aujourd'hui!.. Alors certe, sûrement moins souvent qu'avant, mais il est quand même toujours très présent dans les bars et les restaurants, et pour ma part je donne toujours un billet aux livreurs de colis, et les étrennes à ma factrice... Pourtant je n'étais pas encore né quand ce reportage à été tourné!..
Exact, un copain restaurateur années 80 pour faire de la pub sur un repas à 24F tout compris sauf le café, avait imaginé de décompter 4F si pas de dessert, ou pas d'entrée ! Qui à votre avis réclamaient à tue tête " ah attention j'ai pas pris d'entrée" ! Notaire banquiers etc.. les autres payaient sans sourciller même quand ils ne demandaient pas de fiche, nous les repérions et de temps à autres on leur offrait l'apéro ou le café. C'est comme cela dans la vie, on s'en aperçoit tous les jours.
@Rayan la fameuse cagnotte dont le patron prends une bonne poignée si ce n'est pas tout,la vraie cagnotte il n'y a que les employés qui sont au courant
@NodYelk oui théoriquement ..sauf qu’il y a toujours un collègue qui a des fins de mois compliquées et puise dans le tronc commun .et ne rembourse jamais ..alors vive le chacun pour soi ..
@@guillaumelegouais6987 ..je pourrais vous raconter comment fonctionne le principe des pourboires j’ai travaillé dans l’hôtellerie .. c’était la gouvernante qui faisait le partage ,elle avait ses préférences .. si elle vous avait dans le collimateur vous n’aviez rien ..et ne se gênait pas pour vous le dire ..
Je suis barman en 2024 les pourboires sont rares et pourtant les gens nous apprécient Nous sommes des emplois précaires nos patrons peuvent annuler des soirees ou nous renvoyer a la maison ..cdd usage..renouvelable a l infini ..je comprends que les gens sont déjà étranglés par une pinte a 10 eu dans notre établissement mais surtout tout ce fait en carte de credit
Mon analyse quant à la vision de cette vidéo est tout d'abord d'ordre visuel pour retourner à la triste réalité celle de reconnaître que ces personnes interviewées sont d'une honnêteté sans bornes est qu'après la conjoncture actuelle ne nous permet plus de près d'un demi-siècle à nous montrer tant généreux dans nos interactions sociales, bien que les services ainsi que les échanges, les transactions ne soient plus d'homme à homme comme dantant, puis enfin une chose me surprend clairement à travers ce reportage ce sont les dentitions la clarté des dents chez ces belles personnes.
ils on tout automatisé....ils son en train de faire disparaitre le liquide...........et même le relationnelle disparait aussi.......un bien beau reportage qui nous fait vraiment percevoir que notre époque actuel est désespérante ...................
On pourrait s’offusquer de voir ces emplois. Mais je ne peux que constater en visionnant ce documentaire que le pourboire développait le sens du service des professionnels.
Il faut dire aussi qu'lis étaient bien obligés de se montrer agréable avec des clients qui le sont pas forcément, si ils souhaitaient avoir un revenu correct.
Euh les gars... vous avez jamais travaillé dans un magasin avec de la marchandise à réceptionner tous les jours et à renvoyer tous les jours ? J'peux vous dire que les gars dans leur tabliers de grande surfaces et de magasins spécialisés, ils déchargent facile des dizaines voir des centaines de kilos de marchandises tous les jours. Et ensuite il faut ranger le matos. Ils faut s'occuper de la présentation, il faut renseigner le client, parfois faire les caisses pour aider où s'occuper du ménage, s'occuper du suivi des commandes... Tout ça au smic. Donc je suis pas spécialement choqué par le monsieur qui décharge des paquets de charbon. Il fait un boulot physiquement pénible, comme des centaines de milliers d'autres personnes actuellement. Les invisibles de la société, ceux qu'on insulte en magasin, qu'on humilie publiquement pour un oui ou pour un non, qu'on pense incapables alors que paradoxalement on leur demande de faire tout et n'importe quoi.
J’ignorais qu’à une époque il n’y avait pas de salaire minimum…au USA, pour qu’un coiffeur ou un serveur puissent gagner sa croûte, le pourboire n’est pas obligatoire mais les clients le donnent spontanément car ils connaissent la situation de ces employés (en général, on donne 20% de l’addition).
C'est le seul endroit où c'est obligatoire les USA. C'est pas dans la loi mais on t'insultera et on te cherchera jusqu'au parking si tu paies pas les 15%...
@@henrirennet9306 Salaire minimum interprofessionnel, février 1950, assez faussé car ensuite les branches pros étaient indépendantes, la meilleure branche était la métallurgie dû à la bataille menée par les syndicats assez puissants jusqu'aux années 70. D'autres syndicats existent mais de commerce et j'ai remarqué que les salariés de ces branches, ont plus de mal, hôtellerie, coiffure etc. .
La fin d'une époque scandaleuse où l'employé ne recevait aucun salaire et devait mendier pour vivre. C'était pas le bon temps. La fin de la vidéo enfin des patrons de bon sens. Aujourd'hui je continue à donne à des travailleurs précaires comme les livreurs à domicile.
@@marcoprolo2299 ici je pense qu'il voulait dire moralement juste, rien ne sert de vouloir jouer les philosophes en herbe quand le sens des mots est pourtant évident.
@@lionceau1410 normal est l'adjectif normatif donc enfaîte c'est comme si vous disiez "ah non la viande c'est pas la chair d'un animal mais son tissue organique"
Non mais "le pourboire" aux usa par exemple, c'est parce que il n'y a pas "le service", ça n'existe pas dans les factures là bas. C'est donc "le pourboire" aux usa c'est en fait "le service". En France on fait bien comme on veut pour le pourboire, c'est EN PLUS du service. "Service compris". Le pourboire c'était en fait un moyen de ne pas payer les employés pour un job où on n'en avait pas besoin. - Les ouvreuses : pour nous indiquer un siège. - Les laveurs de pare-brise : même si le pare-brise est propre. - Les dames pipi : que dire... C'est bien que ça n'existe plus ces travaux pour faire la mandicité.
Aux USA la facture, restaurant ou café, indique la note à payer et en dessous un vide que le client remplit de la somme qu'il laisse au serveur, exemple 6 dollars, en dessous vous allez marquez un mini de 30 Cts = 5% mini qui est un usage , souvent une majorité vont plus à 20%/15% ce qui est plus normal. Bref plus vous payez , plus vous baissez le %, normal aussi. Vu au Texas. après les USA sont une fédération alors ??
1976 ! VGE est président de la république, c'est l'été de "la grande sécheresse", et toutes les radios diffusent à longueur de journée(s), LE tube de l'été :" Patrick, mon chéri", par Sheila.
@@jojolafrite9265 Mais des propriétaires de café agençaient eux même les juke- box souvenir d'une rue près de Montparnasse où j'ai découvert " les rupins" et "la poésie fout le camps Villon" de L Ferré, et d'autres chansons d'artistes peu connus. que je ne connaissais pas en vinyle. Quant à ce titre de Sheila, connaissais pas , ni radio ni tv à l'époque de la montée du matraquage sur les ondes.
Du coup maintenant le patron se gave et l'employé bénéficie rarement des bénéfices du patron. Ça paraît un peu compliqué mais au moins certains métiers n'étaient pas laissés à l'abandon, les gents se côtoyer d'avantage et étaient 0lus attentifs les uns envers les autres. J'y vois quand même pas mal d'avantages.
Bravo.mais les riches ne veulent pas partager .pas un euro. Même de nos jours. Plus on est riche et plus on en veut. Le pauvre il n à qu a crever s il ne peut plus payer son loyer.femme et enfants avec.on vit dans une société capitaliste sans régulation écoeurante
j ai bosser dans les années 80 dans un bar en extra , et on rajouter un service de 17 % si je me souvient bien , et pour info je gagner tres bien ma vie . Mon salaire etait d environ 15000 fr par mois ( en euros 2300 environ ) avec des journées de 12 h mini
Bon sang... cela me coûte 3 500 euros pour vivre et me déplacer avec un ou deux vêtements par mois, sans compter la nourriture. Si je travaillais dans une usine de merde, je devrais manger mes chaussettes.
Du coup aujourd hui comme le service est inclus (toilettes et bar/restaurant), il ne reste que le pourboire, donc c est recompenser le "plus" et non juste le travail fait. Interessant de voir comment cela a change au cours des annees.
@@moniquesilverans3842 C'est le service qui est compris donc le salaire, un pourboire c'est un acte gentil envers un serveur ou une serveuse qui se démène, maïs en France ( et en Belgique??) certains patrons ne partagent pas cette cagnotte. Aux USA vous avez la note et en dessous vous pouvez écrire ce que vous donnez au serveur et cette somme est directement remis à la personne qui vous a servi, le pourboire consiste a lui donner en plus amis de main à main. ce service en général là-bas c'est 5% minimum. Bon , je en connais pas tout.
L'interviewer chez le coiffeur : (wikipédia) Ivan Levaï, né le 18 mars 1937 à Budapest (Hongrie), est un journaliste de presse écrite, de radio et de télévision. Biographie Jeunesse Ivan Levaï est né en 1937 à Budapest de mère juive et de père inconnu. Sa mère le fait baptiser catholique pour le protéger des persécutions1. Alors qu'il n'a que 2 ans, sa mère et lui quittent la Hongrie pour se réfugier en France2. Le petit Ivan est scolarisé à Paris au début de la Seconde Guerre mondiale. Après la mort de maladie à Paris de sa mère en 19411, Ivan est confié à l'OSE (Œuvre de secours aux enfants) qui le cache à la campagne pour le mettre à l'abri des persécutions antisémites du régime de Vichy. Il reçoit une instruction religieuse protestante, puis catholique. À la fin de ses études, il devient instituteur, puis professeur de lettres. Il enseigne à l'école du dimanche le catéchisme pour les enfants protestants. Les débuts Passionné par l'information, il rejoint en 1965 Christian Génicot (RMC) et Jean-Marie Dupont (chargé de la rubrique jeunesse au Monde) pour créer l'association Presse Information Jeunesse, l'APIJ. Il va y rencontrer de nombreux journalistes : Henri Poumerol (Radio Ortf), Albert du Roy (L'Express), Claude Gambiez (Le Figaro), Yves Agnès (Le Monde), Jacques Bouzerand (L'Aurore)... Il se lance lui-même dans le journalisme. Il entre au Service de la jeunesse de l'ORTF et anime, en 1963 et 1964, une émission sur France Inter en compagnie de José Artur, Claude Dupont et Michel Godard : Les ardugos. Pendant ce temps, il participe aussi à la création de la deuxième chaîne de télévision avec l'émission Main dans la main. Toujours à l'ORTF, il est chargé, au sein du Service de la Recherche dirigé par Pierre Schaeffer, d'une émission de trois mois sur les premières associations de téléspectateurs. En 1966, Ivan Levaï rejoint l'équipe de Françoise Giroud à L'Express où il devient auprès de Danièle Granet, responsable de la rubrique « Éducation-jeunesse ». En 1968, Michel Péricard et Jean-Émile Jeannesson le chargent d'un magazine quotidien pour les jeunes, Contact, destiné aux téléspectateurs de la première chaîne de télévision. En 1969, il est professeur « d'expression francaise » dans des lycées parisiens.[réf. nécessaire] En 1971, il accompagne l'homme politique Edgar Faure au Chili et y rencontre Salvador Allende et Augusto Pinochet3. Radio et télévision Ivan Levaï en octobre 2013 au Festival international de géographie. Ivan Levaï poursuit sa carrière comme animateur à France Inter, avant de devenir chef du service politique d'Europe 1 (1972-1974), puis responsable de la revue de presse matinale sur les ondes d'Europe 1, et animateur de l'émission Expliquez-vous (1973-1984). C'est à cette époque (1975-1976) qu'il collabore à l'émission de FR 3 Vendredi, avec Christine Ockrent et André Campana. Décrit comme un « homme de gauche », il est un proche de François Mitterrand, dont il écrit, le 10 mai 1981, la déclaration d'élu4. En septembre 1981, il est nommé conseiller spécial du président délégué d'Europe 1 (Jean-Luc Lagardère) pour l'évolution des programmes de la station, puis est confirmé dans cette fonction en décembre de la même année par Pierre Barret. Il crée l'émission quotidienne (20 h à 23 h) Radio Libre à... en juin 1981. Il prend ensuite la direction de la rédaction d'Europe 1 (1983-1985). En février, il est chargé de mission à la cellule de réflexion à la télévision pour Europe 1, éditorialiste et responsable de la revue de presse. Il assure ces fonctions jusqu'en 1987. Il assume ensuite la responsabilité des rédactions des quotidiens Le Provençal et Le Soir (1987-1989). Il retourne à Radio France en tant que directeur de l'information et responsable de la revue de presse du matin à France Inter (1989-1996). En juin 1996, le poste de directeur de l'information de Radio France est supprimé par son nouveau Président Michel Boyon. Le 31 octobre 1996, il présente sa 1 500e et dernière revue de presse quotidienne à France Inter. Après la direction déléguée du quotidien La Tribune en octobre 1997, Ivan Levaï lance la Chaîne parlementaire de l'Assemblée nationale5 en octobre 1999. Il est président de la chaîne à partir de 2001 ; il quitte la présidence en 2003, sa gestion étant mise en cause6,7. Ivan Levaï lors de la cérémonie de clôture du 24e Festival international de géographie le 6 octobre 2013. En parallèle à la revue de presse de France Musique dont il est chargé depuis septembre 1999, Ivan Levaï relance l'historique magazine Tribune juive créé par des Juifs ashkénazes d'Alsace en 19458 sous une nouvelle présentation mensuelle en octobre 2004. Il en assure la direction de la publication avec Yves Azeroual comme rédacteur en chef. Pour son développement marketing, il s'appuie sur une équipe composée de Françoise Sampermans, Martine Heissler et Lisette Jacquemont. En janvier 2008, Pierre Besnainou, actionnaire principal du magazine, transfère le journal à son partenaire en affaires immobilières. Six mois après, Ivan Levaï et son équipe sont « débarqués » par le nouveau propriétaire et actionnaire unique qui s'installe à la direction avec sa propre équipe. En automne 2005, il revient à France Inter où il produit et anime, avec Sophie Loubière, chaque samedi l'émission Intermedia, consacrée aux médias. De l'automne 2006 à 2014, il présente la revue de presse Le Kiosque les samedis et dimanches matins (excepté pendant la période estivale) sur France Inter. Durant cette période il cite, au moins une fois chaque année, l'extrait du poème d'Éluard que le Président Georges Pompidou avait évoqué, et cité, le 22 septembre 1969, à propos de l'affaire Gabrielle Russier9. En 2014, Ivan Levaï est congédié de la station France Inter par la nouvelle directrice, Laurence Bloch . Il est président de l’Association Presse-Liberté.
Les "ouvreuses" , placeuses, dans les cinés !! Le monde a bien changé...Et n'oublions pas qu'il y avait un "entracte" pour aller aux toilettes, et durant lequel des dames passaient avec des panières en osier, pour proposer "un Miko" !! ( = une glace)
Merci++ A mon niveau, belle découverte que cet "ancien monde". Et à mon avis, il n'est pas totalement impossible qu'on y revienne à cause de ce contrôle de plus en plus présent. (possible d'ailleurs que le black soit déjà la norme dans les cités ..) :)
Pourtant ce n'est pas souhaitable. Aussi les travaux au black dans les "cité" n'ont rien à voir avec le sujet de la vidéo, ce n'est pas du pourboire et le prix est convenu d'avance, très peu de pourboires donc.
Mais les salaires étaient de 1000 ou 1200 francs par mois. Un litre à 2 francs c'était cher. Avec une inflation de plusieurs 5% chaque année au bout de 50 ans ça fait qqch d'énorme à la fin. Exemple : Si tu pars de 100f avec une constante ou une moyenne de 5%, l'année d'après la chose à 100 francs coûte 105 francs. Mais l'année d'après, c'est 5% de 105 francs, pas de 100. Ect ect
Toujours bouleversant de "revivre" un peu une époque à la fois éloignée et proche.
Sociologiquement, une mine d'or pour qui a l'oeil et le coeur.
Époque tout à fait révolue, avec un pied dans l'ancien temps et un autre dans le nôtre.
Il y a encore ce soupçon d'accent d'autrefois, tout à fait perdu, une douceur dans l'écoute et le débit de parole.
C'est troublant, les archives. Fascinant et terriblement troublant.
A chaque fois que je regarde ces reportages émouvants je me demande toujours ce que sont devenus tous ces gens qui ont existé et certainement décédés aujourd'hui ! Du coup je me pose des questions sur le sens de la vie et le temps qui passe...trop vite et je trouve que la vie est triste si on en fait rien !
Ils son tous morts pour la plupart malheureusement
@@bileldu1339 1976 c'est pas si loin que 2022
Au moins pour la plupart ils n'auront pas connu Makron, une chance ...
pareil !! systématique ! Je me demande : "COMMENT et quand sont ils morts"?"
@@Plane60 lol. Je ne susi pas francais, 57 ans, en france plus que 15ans, .. je constate que les gens dans ces documentaires sont plus content que ajourd'hui, et parail en anglaterre. On a gagner qqchose (internet) mais perdu le bon heure avec les impots, les flick et leur cameras de vitesse, macron, covid, un jeunesses sans innocence et en plein crise que "ils vont tous mourir de 'planet chauffment' " (fortment encourager pas Macron et ses patrons d'aillieurs).
J'ai connu cela les pourboires, une petite reconnaissance, une petite gentillesse, un savoir-vivre, un sourire, les personnes se sentaient reconnus, ce petit geste mettait du baume au cœur a beaucoup d'entre eux. Tout cela aujourd'hui a disparu, chacun ne pense qu'à soi, souvent je pense que beaucoup de choses d' avant n'était pas mauvaise, même au nom du sacré saint modernisme, nous avons perdu plus que nous ne serions le dire, c'est triste.
Je laisse toujours un pourboire je peut pas sortir sans
Un pourboire c'est entretenirle vice des salaires trop bas! Les gens doivent être payés selon les salaires officiels sans devoir mendier!
@@chloeuntrau4588 mah la France c'est pas les usa non plus!
Je donne un pourboire si la personne est sympa, sinon, rien
J’adore ces vidéos, éducatives et très informatives ! Mais par-dessous tout, quel plaisir de pouvoir se plonger à cette époque grâce aux documentaires INA
ou de s'y replonger aussi :)
@@generalpinguintheorist2177 En effet!
et oui que des blancs, c'était reposant...
@@williamspectral7458En effet, pas encore d'invasion massive ...
Toute mon enfance !Quel plaisir de regarder,d’écouter ces personnes qui ont l’âge de mes parents…Pour moi,il est toujours d’actualité de donner un pourboire au restaurant,chez le coiffeur,dans un taxi…Mais il faut toujours avoir un peu de monnaie,avec CB on oublie parfois !
Des vidéos sociologiquement intéressantes, merci l'INA .
Je me sens heureuse quand je donne un bon pourboire( restaurant , café ) et plus encore un billet à un SDF , je vois des étoiles ds ses yeux et cela me donne du baume au cœur !
çà ne devrait pas exister! même les SDF reçoivent de l'argent de l'état dans le pays où je vis. Quelques fois des pourboires dans un café mais ce n'est en fait pas necessaire.
@@chloeuntrau4588 Et c’ est quoi le Pays où tu vis ? nous parlons bien de la France n’ est-ce pas ? s🇫🇷 et même dans d’ autres pays , partager me fait beaucoup de bien ☺️ il n’y a aucun problème mon cher ami…tu vois même avec toi je partage , puisque je te réponds, je te souhaite une agréable journée.
Ça fait plaisir de voir qu'il y a encore des âmes charitables.
@@chloeuntrau4588 une vraie française
@@canondelatlas1660 Frapper une femme
C'est incroyable de comparer le niveau éducatif des Français à cette époque et maintenant
Chaque fois que je visionne ces anciens documents audiovisuels , j'ai l'impression de m'être racheté un cerveau.
Excellent
J'avais presque oublié l'ambiance d'un café....
❤❤❤❤merci infiniment pour vos vidéos de l'ancien temps..❤❤❤❤❤sublime souvenir
Merci l'INA pour ces retours dans un temps pas si lointain mais pourtant tellement loin aujourd'hui!..
Mais je trouve çà dingue que l'on soit passé par l'interdiction du "pour-liche"!..
En tout cas c'est intéressant de voir que l'interdiction ne sert pas à grand chose finalement car le "pour-boire" demeure toujours aujourd'hui!..
Alors certe, sûrement moins souvent qu'avant, mais il est quand même toujours très présent dans les bars et les restaurants, et pour ma part je donne toujours un billet aux livreurs de colis, et les étrennes à ma factrice...
Pourtant je n'étais pas encore né quand ce reportage à été tourné!..
Moi ayant travaillé dans des cafés et bars resto je trouve que les ouvriers sont plus généreux que les gens riches
Les personnes âgées plus généreuses que la jeunesse ..
Exact, un copain restaurateur années 80 pour faire de la pub sur un repas à 24F tout compris sauf le café, avait imaginé de décompter 4F si pas de dessert, ou pas d'entrée !
Qui à votre avis réclamaient à tue tête " ah attention j'ai pas pris d'entrée" !
Notaire banquiers etc.. les autres payaient sans sourciller même quand ils ne demandaient pas de fiche, nous les repérions et de temps à autres on leur offrait l'apéro ou le café.
C'est comme cela dans la vie, on s'en aperçoit tous les jours.
C est sûrement vrai❤
Respect à madame pipi 👍🏻
J'adorerai avoir le même reportage à l'heure actuelle . Voir les livreurs, les gardiens , les taxis etc...
@Rayan la fameuse cagnotte dont le patron prends une bonne poignée si ce n'est pas tout,la vraie cagnotte il n'y a que les employés qui sont au courant
@NodYelk oui théoriquement ..sauf qu’il y a toujours un collègue qui a des fins de mois compliquées et puise dans le tronc commun .et ne rembourse jamais ..alors vive le chacun pour soi ..
@@guillaumelegouais6987 ..je pourrais vous raconter comment fonctionne le principe des pourboires j’ai travaillé dans l’hôtellerie .. c’était la gouvernante qui faisait le partage ,elle avait ses préférences .. si elle vous avait dans le collimateur vous n’aviez rien ..et ne se gênait pas pour vous le dire ..
@@michelechartier6322 Ce n'était pas général, mais réel et parfois même le patron vidait al cagnotte dans ses poches.
Je suis barman en 2024 les pourboires sont rares et pourtant les gens nous apprécient
Nous sommes des emplois précaires nos patrons peuvent annuler des soirees ou nous renvoyer a la maison ..cdd usage..renouvelable a l infini ..je comprends que les gens sont déjà étranglés par une pinte a 10 eu dans notre établissement mais surtout tout ce fait en carte de credit
Mon analyse quant à la vision de cette vidéo est tout d'abord d'ordre visuel pour retourner à la triste réalité celle de reconnaître que ces personnes interviewées sont d'une honnêteté sans bornes est qu'après la conjoncture actuelle ne nous permet plus de près d'un demi-siècle à nous montrer tant généreux dans nos interactions sociales, bien que les services ainsi que les échanges, les transactions ne soient plus d'homme à homme comme dantant, puis enfin une chose me surprend clairement à travers ce reportage ce sont les dentitions la clarté des dents chez ces belles personnes.
ils on tout automatisé....ils son en train de faire disparaitre le liquide...........et même le relationnelle disparait aussi.......un bien beau reportage qui nous fait vraiment percevoir que notre époque actuel est désespérante ...................
Désespérante, non pas forcément => je me dis qu'une "overdose" de tout ce contrôle est bien possible finalement
:)
👏
Tout a fait des accord avec toi pascal.un monde qui tourne à la envers
Vraiment!
On pourrait s’offusquer de voir ces emplois. Mais je ne peux que constater en visionnant ce documentaire que le pourboire développait le sens du service des professionnels.
Il faut dire aussi qu'lis étaient bien obligés de se montrer agréable avec des clients qui le sont pas forcément, si ils souhaitaient avoir un revenu correct.
Avec taxi driver a l'affiche incroyable
50 kilos le sac de charbon, tous les jours, toute l'année...
🤦♀️Les pauvres, ils n'avaient pas peur de travailler. Transporter du charbon, la poussiere du charbon qui penetre dans les bronches.
c'est pas un travail, c'est une punition plutôt... je me demande qu'es qui devient
@@madmoh95 c'est sur qu'aujourd'hui ils préfèrent toucher le chômage ou le RSA
C'est le privilège masculin ça 😂
Euh les gars... vous avez jamais travaillé dans un magasin avec de la marchandise à réceptionner tous les jours et à renvoyer tous les jours ? J'peux vous dire que les gars dans leur tabliers de grande surfaces et de magasins spécialisés, ils déchargent facile des dizaines voir des centaines de kilos de marchandises tous les jours. Et ensuite il faut ranger le matos. Ils faut s'occuper de la présentation, il faut renseigner le client, parfois faire les caisses pour aider où s'occuper du ménage, s'occuper du suivi des commandes...
Tout ça au smic.
Donc je suis pas spécialement choqué par le monsieur qui décharge des paquets de charbon. Il fait un boulot physiquement pénible, comme des centaines de milliers d'autres personnes actuellement. Les invisibles de la société, ceux qu'on insulte en magasin, qu'on humilie publiquement pour un oui ou pour un non, qu'on pense incapables alors que paradoxalement on leur demande de faire tout et n'importe quoi.
19:50 😂😂 Sous Giscard c'est le ministère des finances qui fixait le prix de la coupe de cheveux 😂😂
Merci pour la vidéo ! 👍
Un franc parler remarquable 😂
J’ignorais qu’à une époque il n’y avait pas de salaire minimum…au USA, pour qu’un coiffeur ou un serveur puissent gagner sa croûte, le pourboire n’est pas obligatoire mais les clients le donnent spontanément car ils connaissent la situation de ces employés (en général, on donne 20% de l’addition).
C'est le seul endroit où c'est obligatoire les USA. C'est pas dans la loi mais on t'insultera et on te cherchera jusqu'au parking si tu paies pas les 15%...
Parce que tu croyais que le salaire minimum existait depuis quand ?
Depuis l'époque de la Rome impériale ??
@@henrirennet9306 Salaire minimum interprofessionnel, février 1950, assez faussé car ensuite les branches pros étaient indépendantes, la meilleure branche était la métallurgie dû à la bataille menée par les syndicats assez puissants jusqu'aux années 70.
D'autres syndicats existent mais de commerce et j'ai remarqué que les salariés de ces branches, ont plus de mal, hôtellerie, coiffure etc. .
A propos du pourboire , passez vous ou repassez vous la scène géniale d'ouverture de ' Reservoir dog '.
Le pourliche ! Un régal !
La fin d'une époque scandaleuse où l'employé ne recevait aucun salaire et devait mendier pour vivre. C'était pas le bon temps. La fin de la vidéo enfin des patrons de bon sens. Aujourd'hui je continue à donne à des travailleurs précaires comme les livreurs à domicile.
Ça encourage à bien travailler, chose désuète de nos jours. Le boulot est fait c tout...
@@kgkd6724 C'est cela.
Maintenant quand on est content ou mécontent on laisse un avis sur Google, autrefois c'était le pourboire le système de notation ?
C'était plus honnête avec le pourboire car il n'y avait pas de triche possible.
oui j'ai eu un peu la même réaction.
Ce n'était surtout pas normal de ne pas garantir un "fixe" minimum à ses employés.
C'est quoi "normal" ?
C'était la norme, donc normal.
@@latoucheF7 non quand quelque chose est la norme, c'est normatif
@@marcoprolo2299 ici je pense qu'il voulait dire moralement juste, rien ne sert de vouloir jouer les philosophes en herbe quand le sens des mots est pourtant évident.
@@lionceau1410 normal est l'adjectif normatif donc enfaîte c'est comme si vous disiez "ah non la viande c'est pas la chair d'un animal mais son tissue organique"
Magnifique reportage qu'elle belle époque.
4:25 le journaliste qui harcèle le pauvre client pour un pourboire le pauvre il sait plus où se mettre 😂
Déménageur sur Paname dans les années 80 j'ai connu ses caves et cette ambiance qui manque 😢
Cétait l'époque de mes 20 ans, autre temps .
L'ouvreuse qui passait avec sa corbeille remplie de glaces et de bonbons, à l'entracte, avant le "grand" film ...
Ça existe toujours...dans les petits cinémas...
C’était la dernière séance …bye bye mes chocolats glacés
Les pourboires en 2022 on presque disparu malheureusement
Marthe Villalonga à 10:00🤣
Le gars en blanc vers les 8 minutes est excellent
Non mais "le pourboire" aux usa par exemple, c'est parce que il n'y a pas "le service", ça n'existe pas dans les factures là bas.
C'est donc "le pourboire" aux usa c'est en fait "le service".
En France on fait bien comme on veut pour le pourboire, c'est EN PLUS du service.
"Service compris".
Le pourboire c'était en fait un moyen de ne pas payer les employés pour un job où on n'en avait pas besoin.
- Les ouvreuses : pour nous indiquer un siège.
- Les laveurs de pare-brise : même si le pare-brise est propre.
- Les dames pipi : que dire...
C'est bien que ça n'existe plus ces travaux pour faire la mandicité.
Aux USA la facture, restaurant ou café, indique la note à payer et en dessous un vide que le client remplit de la somme qu'il laisse au serveur, exemple 6 dollars, en dessous vous allez marquez un mini de 30 Cts = 5% mini qui est un usage , souvent une majorité vont plus à 20%/15% ce qui est plus normal. Bref plus vous payez , plus vous baissez le %, normal aussi.
Vu au Texas. après les USA sont une fédération alors ??
Une autre dimension
4:24 c’est le Derrick français
32:50 On t'a reconnu Darry Cowl!
😆😅
J'allais l'écrire et je me suis dit ''mais qui se souvient de Darry Cowl! Comme ci j'etais la seule ''vieille'' du coin 🤣🤣🤣
il as pris cher George Clooney ...
Je pense a mon parrain facteur.❤ il partageait toujours avec moi pendant les fetes . ❤
1976 ! VGE est président de la république, c'est l'été de "la grande sécheresse", et toutes les radios diffusent à longueur de journée(s), LE tube de l'été :" Patrick, mon chéri", par Sheila.
Patrick mon chéri ,ho punaise a la longue , j'avais envie de me barré dès que je voyais le juck box 😄
Il y avait des moutons qui sont morts par la chaleur ?!
C'est bizarre "Patrick mon chéri" je n'ai aucun souvenir de cette chanson.
Par contre la canicule de 76, ça oui, je m'en rappelle très bien ! 🥵
@@jojolafrite9265 Mais des propriétaires de café agençaient eux même les juke- box souvenir d'une rue près de Montparnasse où j'ai découvert " les rupins" et "la poésie fout le camps Villon" de L Ferré, et d'autres chansons d'artistes peu connus. que je ne connaissais pas en vinyle. Quant à ce titre de Sheila, connaissais pas , ni radio ni tv à l'époque de la montée du matraquage sur les ondes.
« Tout travail mérite salaire et il est normal de laisser un pourboire » ben non. C’est au patron de payer correctement ses employers
Du coup maintenant le patron se gave et l'employé bénéficie rarement des bénéfices du patron. Ça paraît un peu compliqué mais au moins certains métiers n'étaient pas laissés à l'abandon, les gents se côtoyer d'avantage et étaient 0lus attentifs les uns envers les autres. J'y vois quand même pas mal d'avantages.
Bravo.mais les riches ne veulent pas partager .pas un euro. Même de nos jours. Plus on est riche et plus on en veut. Le pauvre il n à qu a crever s il ne peut plus payer son loyer.femme et enfants avec.on vit dans une société capitaliste sans régulation écoeurante
@@lmartinmiami82 bravo laurent
j ai bosser dans les années 80 dans un bar en extra , et on rajouter un service de 17 % si je me souvient bien , et pour info je gagner tres bien ma vie . Mon salaire etait d environ 15000 fr par mois ( en euros 2300 environ ) avec des journées de 12 h mini
Bon sang... cela me coûte 3 500 euros pour vivre et me déplacer avec un ou deux vêtements par mois, sans compter la nourriture. Si je travaillais dans une usine de merde, je devrais manger mes chaussettes.
Tu parles d un contact coincee dans un coin avec l odeur en plus
Dans cette émission ont s'aperçoit que le problème vien du journaliste et non de l'époque !!
Ils ont un salaire maintenant et vu les taxes et les prix déjà un cafe à 2 euros ou plus.trop cher et pas bon
Ça s’appelle payer son confort,
point
Je croyais que c'était Robert Pattinson quand j'ai vu la miniature !
La même.
Les ouvreurs dans certaines structures "culturelles" doivent refuser les pourboires sous peine de perdre leur emploi.
Pourquoi laisser un pourboire pour un barman qui a un salaire, et ne pas donner une pièce à une personne handicapées ?
Quelle diction qu'avaient les gens de cette époque ! Maintenant c'est whalla, frérot ect.....
Pas de titre, pas de générique, pas de diffusion. ;)
Des chauffeurs de taxis français, quasi introuvable de nos jours
Quand la TV informait et eduquait.
Vous avez remarqué il donne 1 billet au patron (coiffeur).et des pieces aux Danes manucure..??..
Magnific👌
la fin d'une époque...
Tant mieux..
5:12 le reporter ressemble vraiment à Jean Luc delarue
Oh là là on a pas connu ça heureusement les toilettes pour y aller pour payer dehors et ouais quelle époque c'était comme ça😊
"Le boulot de livreur c'est fini ça" :D
Des futurs minimum vieillesse !
Exactement, tout au noir, aucune charge etc
C'est exactement ça !!!
Du coup aujourd hui comme le service est inclus (toilettes et bar/restaurant), il ne reste que le pourboire, donc c est recompenser le "plus" et non juste le travail fait.
Interessant de voir comment cela a change au cours des annees.
En Belgique, le pourboire est compris donc il ne faut plus rien donner en plus du prix.
@@moniquesilverans3842 C'est le service qui est compris donc le salaire, un pourboire c'est un acte gentil envers un serveur ou une serveuse qui se démène, maïs en France ( et en Belgique??) certains patrons ne partagent pas cette cagnotte.
Aux USA vous avez la note et en dessous vous pouvez écrire ce que vous donnez au serveur et cette somme est directement remis à la personne qui vous a servi, le pourboire consiste a lui donner en plus amis de main à main. ce service en général là-bas c'est 5% minimum. Bon , je en connais pas tout.
Le facteur, un petit air de Darry Cowl.
C'est qui encore celui-là ?
Oui, il lui manque juste le zozotement 😀
4:09 il y a Derrick aussi
Que les gens parlaient bien et avaient du vocabulaire
L'interviewer chez le coiffeur : (wikipédia)
Ivan Levaï, né le 18 mars 1937 à Budapest (Hongrie), est un journaliste de presse écrite, de radio et de télévision.
Biographie
Jeunesse
Ivan Levaï est né en 1937 à Budapest de mère juive et de père inconnu. Sa mère le fait baptiser catholique pour le protéger des persécutions1.
Alors qu'il n'a que 2 ans, sa mère et lui quittent la Hongrie pour se réfugier en France2. Le petit Ivan est scolarisé à Paris au début de la Seconde Guerre mondiale. Après la mort de maladie à Paris de sa mère en 19411, Ivan est confié à l'OSE (Œuvre de secours aux enfants) qui le cache à la campagne pour le mettre à l'abri des persécutions antisémites du régime de Vichy. Il reçoit une instruction religieuse protestante, puis catholique.
À la fin de ses études, il devient instituteur, puis professeur de lettres. Il enseigne à l'école du dimanche le catéchisme pour les enfants protestants.
Les débuts
Passionné par l'information, il rejoint en 1965 Christian Génicot (RMC) et Jean-Marie Dupont (chargé de la rubrique jeunesse au Monde) pour créer l'association Presse Information Jeunesse, l'APIJ. Il va y rencontrer de nombreux journalistes : Henri Poumerol (Radio Ortf), Albert du Roy (L'Express), Claude Gambiez (Le Figaro), Yves Agnès (Le Monde), Jacques Bouzerand (L'Aurore)...
Il se lance lui-même dans le journalisme. Il entre au Service de la jeunesse de l'ORTF et anime, en 1963 et 1964, une émission sur France Inter en compagnie de José Artur, Claude Dupont et Michel Godard : Les ardugos. Pendant ce temps, il participe aussi à la création de la deuxième chaîne de télévision avec l'émission Main dans la main. Toujours à l'ORTF, il est chargé, au sein du Service de la Recherche dirigé par Pierre Schaeffer, d'une émission de trois mois sur les premières associations de téléspectateurs.
En 1966, Ivan Levaï rejoint l'équipe de Françoise Giroud à L'Express où il devient auprès de Danièle Granet, responsable de la rubrique « Éducation-jeunesse ».
En 1968, Michel Péricard et Jean-Émile Jeannesson le chargent d'un magazine quotidien pour les jeunes, Contact, destiné aux téléspectateurs de la première chaîne de télévision.
En 1969, il est professeur « d'expression francaise » dans des lycées parisiens.[réf. nécessaire]
En 1971, il accompagne l'homme politique Edgar Faure au Chili et y rencontre Salvador Allende et Augusto Pinochet3.
Radio et télévision
Ivan Levaï en octobre 2013 au Festival international de géographie.
Ivan Levaï poursuit sa carrière comme animateur à France Inter, avant de devenir chef du service politique d'Europe 1 (1972-1974), puis responsable de la revue de presse matinale sur les ondes d'Europe 1, et animateur de l'émission Expliquez-vous (1973-1984).
C'est à cette époque (1975-1976) qu'il collabore à l'émission de FR 3 Vendredi, avec Christine Ockrent et André Campana.
Décrit comme un « homme de gauche », il est un proche de François Mitterrand, dont il écrit, le 10 mai 1981, la déclaration d'élu4.
En septembre 1981, il est nommé conseiller spécial du président délégué d'Europe 1 (Jean-Luc Lagardère) pour l'évolution des programmes de la station, puis est confirmé dans cette fonction en décembre de la même année par Pierre Barret. Il crée l'émission quotidienne (20 h à 23 h) Radio Libre à... en juin 1981. Il prend ensuite la direction de la rédaction d'Europe 1 (1983-1985). En février, il est chargé de mission à la cellule de réflexion à la télévision pour Europe 1, éditorialiste et responsable de la revue de presse. Il assure ces fonctions jusqu'en 1987.
Il assume ensuite la responsabilité des rédactions des quotidiens Le Provençal et Le Soir (1987-1989).
Il retourne à Radio France en tant que directeur de l'information et responsable de la revue de presse du matin à France Inter (1989-1996). En juin 1996, le poste de directeur de l'information de Radio France est supprimé par son nouveau Président Michel Boyon.
Le 31 octobre 1996, il présente sa 1 500e et dernière revue de presse quotidienne à France Inter.
Après la direction déléguée du quotidien La Tribune en octobre 1997, Ivan Levaï lance la Chaîne parlementaire de l'Assemblée nationale5 en octobre 1999. Il est président de la chaîne à partir de 2001 ; il quitte la présidence en 2003, sa gestion étant mise en cause6,7.
Ivan Levaï lors de la cérémonie de clôture du 24e Festival international de géographie le 6 octobre 2013.
En parallèle à la revue de presse de France Musique dont il est chargé depuis septembre 1999, Ivan Levaï relance l'historique magazine Tribune juive créé par des Juifs ashkénazes d'Alsace en 19458 sous une nouvelle présentation mensuelle en octobre 2004. Il en assure la direction de la publication avec Yves Azeroual comme rédacteur en chef. Pour son développement marketing, il s'appuie sur une équipe composée de Françoise Sampermans, Martine Heissler et Lisette Jacquemont. En janvier 2008, Pierre Besnainou, actionnaire principal du magazine, transfère le journal à son partenaire en affaires immobilières. Six mois après, Ivan Levaï et son équipe sont « débarqués » par le nouveau propriétaire et actionnaire unique qui s'installe à la direction avec sa propre équipe.
En automne 2005, il revient à France Inter où il produit et anime, avec Sophie Loubière, chaque samedi l'émission Intermedia, consacrée aux médias.
De l'automne 2006 à 2014, il présente la revue de presse Le Kiosque les samedis et dimanches matins (excepté pendant la période estivale) sur France Inter. Durant cette période il cite, au moins une fois chaque année, l'extrait du poème d'Éluard que le Président Georges Pompidou avait évoqué, et cité, le 22 septembre 1969, à propos de l'affaire Gabrielle Russier9.
En 2014, Ivan Levaï est congédié de la station France Inter par la nouvelle directrice, Laurence Bloch .
Il est président de l’Association Presse-Liberté.
pas satisfait de la télé en 1976 ça fait rêver que dirait il en 2022
Chapeau lagent de toilette qui récupère les pourboire pour vivre
Pour les étrangers, il les fait payer automatiquement le pourboire alors que c'est pas obligatoire
J'aime pas trop les taxis parisiens, j'ai eu trop de problèmes.
@@JeanFMoser ya uber maintenant
De toute façon, en tant qu’étranger, quelque soit le pays, prendre le taxi équivaut à se faire carotter. Uber a changé la donne sous ce rapport.
C'est vrai qu on comprend rien !!" service " et "pourboire"??
21:49 "Un peu humiliant" mais enfin on dit pas non 😁
Les archives de l'INA, une drogue dure.
Les "ouvreuses" , placeuses, dans les cinés !! Le monde a bien changé...Et n'oublions pas qu'il y avait un "entracte" pour aller aux toilettes, et durant lequel des dames passaient avec des panières en osier, pour proposer "un Miko" !! ( = une glace)
Ahhh… » la dernière séance « ❤️❤️ !!
En Belgique il y a un mot pour "un miko", on dit "un frisko"
2:30 Une défintion exhaustive du mot pourboire digne d'un dictionnaire.La France cultivée de l'époque.
21:24 Yvan Levaï!
A l époque où les gens donnait sans que ça soit obligatoire
ce n'est toujours pas obligatoire en France
J'irai bien me faire shampoigner.
*shampouiner
Perso pas de pourvoir ... Dans mon métier tout est déclaré ... Pourquoi donner de l argent non déclaré alors que je n' y ai pas le droit ?
Et parfois même ceux à qui on est censés donner un pourboire gagnent plus que nous
Merci++ A mon niveau, belle découverte que cet "ancien monde".
Et à mon avis, il n'est pas totalement impossible qu'on y revienne à cause de ce contrôle de plus en plus présent.
(possible d'ailleurs que le black soit déjà la norme dans les cités ..)
:)
Pourtant ce n'est pas souhaitable. Aussi les travaux au black dans les "cité" n'ont rien à voir avec le sujet de la vidéo, ce n'est pas du pourboire et le prix est convenu d'avance, très peu de pourboires donc.
Bonne Happy New years pour Everyone in le Monde World
Je l'ai vu 10000 fois cette pub dans le métro. J'étais pas d'accord....
Je voudrais bien que le gouvernement puisse refaire comme à l époque je pense que la population ce porterait bien et remettre le franc.
Vous connaissez l'UPR ?
Non si nous revenions au franc nous serions perdants ..aussi ..ce n’est pas la nouvelle monnaie qui est en cause ..cherchez plutôt qui ..
Radin?!? Wow....
(Individuals differ very much... N'est-ce pas???.❤)
C’est touchant …
La dernière fois on m a demandé 1 euros pour aller au toilettes dans un bar et y avait même pas de dame pipi . 50 centimes je comprends mais pas plus
C'est parce que vous n'étiez pas cliente
Faux. À Paris, beaucoup de bars font payer les toilettes à leurs clients
@@mariusbichellis2255 , c'est pas interdit ?
La bonne tenue de la maison 🤔🤔
Se qui sont morts paix à leur âme toute ⚘⚘⚘⚘⚘⚘
Et en français ça donne quoi ?
Après j'ai vu un patron prendre les pourboires des serveurs
14:53 le chanteur, on dirait Rodriguez. C’est fou si c’est lui
Bravo!😆😅😄💙💚💛
et dire que qu'ils n'ont pas changé...
Moi je donne tjr un pourboire à ma coiffeuse et on n'es 'en 2023 !
Il y a toujours des pourboires dans la coiffure bien qu'ils se perdent, après ça dépend du salon et aussi de la cliente ou client.
Je donne régulièrement des "pour boire" aux filles ou garçons, selon prestation et sympathie. Même quand j'ai pas de tune je garde une part.
C’est pas le Parisien qui est radin mais le Français
En gros la France de cette époque c'est comme les US de nos jours, où bcp vivent grâce aux 15% ou 20% pour le service.
1.96franc le prix de l'essence ...ca ne vous donne pas envie de pleurer LOOOOL
Mais les salaires étaient de 1000 ou 1200 francs par mois. Un litre à 2 francs c'était cher.
Avec une inflation de plusieurs 5% chaque année au bout de 50 ans ça fait qqch d'énorme à la fin.
Exemple :
Si tu pars de 100f avec une constante ou une moyenne de 5%, l'année d'après la chose à 100 francs coûte 105 francs. Mais l'année d'après, c'est 5% de 105 francs, pas de 100. Ect ect
En plus, c'est nous qui faisons le service....
5:17