Bonjour, merci à vous pour cette vidéo. Je pense me procurer ce livre aujourd'hui. Je voulais cependant connaître les auteurs et autrices d'ouvrages sur le surréalisme comme mouvement artistique intrinsèquement misogyne. J'ai trouvé pour le moment "Genres et avant-gardes" d'Anne Tomiche et Guillaume Bridet.
Trop trop bien, hâte de t'écouter et de le lire :)) Je reviens de l'audition, et je veux le lire encore plus. Il me semble très juste d'observer cette sacralisation de l'auteur avec la nouvelle vague, car Truffaut même se réfère à Balzac à propos de la notion d'œuvre, si je me souviens bien, de totalité achevée et autonome, dont chaque membre doit être compris dans son tout. J'aurais préféré une référence allemande, de même, et il est vrai que cette sphère masculine s'autonomise, invente son langage et satisfait ses désirs, comme le rappelle Godard en évoquant Bazin, au début du mépris. La femme devient cet "obscur objet du désir", qui répond uniquement aux fantasmes d'une poignée de dirigeants, puisque les films ne faisaient quasiment aucune entrée, de l'aveu des auteurs eux-mêmes. Il me semble très bon d'interroger à nouveau cette politique, qui se perpétue, et dont on peut trouver des traces dans les cahiers, nouveau cénacle - ils auraient pu avoir cette ironie, au moins. Il m'arrive de les lire, à la bibliothèque, et je n'avais pas été attentif à cette critique très complaisante envers la personnalité. Il est vrai qu'il y a toujours des interviews, que je saute presque toujours, notamment de Coppola récemment, mais on y trouve aussi d'intéressantes analyses, parfois, de films plus ou moins récents, selon les sorties DVD, les coffrets. Enfin, elle argumente. Puisqu'il s'agit de cinéma, l'industrie est touchée à tous les niveaux, et il me tarde de découvrir les faits avancés par l'autrice, ses analyses, pour mieux voir comment ça se passe matériellement, comment attaquer la machine, plastiquer les salles, que j'admets ne plus tellement fréquenter. Manque d'envie, je n'y pense même plus non plus, sans m'en être rendu compte. Un cinéma plus vivant nous y inviterait. J'avoue.
Merci ! Je ne mentionne pas Balzac, ni les détails (là, je pense qu'il faut aller voir l'ouvrage que Geneviève Sellier a consacré à la Nouvelle Vague, ici elle synthétise et articule: c'est cela qui est précieux, et peut se prolonger ailleurs !)
Ta vidéo est très intéressante (comme d'habitude) ! J'avais acheté le bouquin puis, suite à l'épisode du podcast "Sortie de secours" qui le défonçait, je l'avais mis de coté. J'irais donc me faire mon propre avis car j'ai beaucoup d'estime pour ton travail comme pour le leur, mais je te conseille d'aller l'écouter car il disent exactement l'inverse de toi notamment sur la scientificité du livre qu'ils contestent, et mettent en avant un clivage critique / université qui me semble intéressant pour penser le problème, même s'il me semble pouvoir être retourné contre eux.
Merci ! Je lance le podcast (www.radio.fr/podcast/sortie-de-secours2) et franchement, entre ce que dit Google des gens qui causent et la présentation en procès, je sais déjà que je ne vais pas être convaincue 😅
Alors, j'attaque, et c'est simplement inepte et psychologisant (en plus de la misogynie condescendante, mais qui dégouline comme une évidence). Par exemple, la politique de l'auteur abordée par Sellier en regard d'un refus de l'auteur, ramené à une "méthodologie" présentée comme irréfutable, c'est ne comprendre ni ce qui se fait depuis Barthes, ni en critique, ni dans le bouquin. Par exemple, la mort de l'auteur: th-cam.com/video/0XU3-L8xh78/w-d-xo.htmlsi=DpN23XwJmHxHNcpG
Bon sang, ramener les films au nombre de textes produits et à la jouissance, ou au seum… c'est si bas de plafond, juste une resucée de la vieille accusation de frigidité, bête en plus d'être faux.
Et la fin sur un regard masculin qui se serait résolu de lui-même, allons voir les vrais problèmes: LOL. Mon point: antiféminisme et misogynie ordinaires, on ressasse la même chose depuis cent-cinquante ans, le cinéma a l'avantage d'être au moins un peu plus moderne.
Si j'ose rejoindre la conversation, j'avais fait le point une fois, notamment à l'aide de dictionnaires, et articles de de Baecque, pour expliquer ce qu'ils ne comprennent pas dans cette émission des enfers. Tout d'abord, le débat dans les cahiers sur "la politique des auteurs" doit se distinguer de celui du droit d'auteur. Ce dernier, aux USA, est marqué par l'octroi du final cut au producteur, comme c'était le cas pour les imprimeurs anglais, alors qu'en France ce droit s'inscrit dans la tradition des Lumières où les auteurs revendiquent un droit de regard moral sur cette dernière mise au point. En 1957, les "oeuvres de l'esprit" (expression issue de Valéry, de tradition symboliste) sont sanctifiées par une loi, qui reconnaît un droit de propriété aux "réalisateurs, compositeurs, scénaristes, dialoguistes, auteurs d'une oeuvre adaptée". Cette loi du 11 mars 1957 laisse dans l'ombre les techniciens, les producteurs et les comédiens. C'est sur ce fond juridique que se découpe la politique des auteurs des Cahiers du cinéma, très loins d'avaliser ce droit d'auteur. Pour eux, il s'agit surtout de reconnaître un canon d'oeuvres, comprises comme totalité, en particulier aux USA où le producteur joue un rôle prépondérant (on peut penser aux articles sur John Ford ou Hitchcock). Toutefois, même s'ils mettent en avant la notion d'auteur, c'est plutôt pour la critiquer et lui préférer celle d'oeuvre, d'ensemble cohérent (la notion d'oeuvre est-elle toutefois possible sans celle d'auteur ?). Ils mettent en effet l'accent sur le texte, plutôt que sur son origine, c'est l'intentio operis qui prime, le système cohérent de signes en renvois. Cette "politique des auteurs" est bien éloignée dès le début du droit d'auteur, en insistant sur l'oeuvre, et surtout sur la politique. En effet, Godard insistera à partir des années 70 sur la présence des personnes invisibilisées dans la production d'un film : le producteur dans Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma, les travailleurs, les banques, les techniciens. Dans sa lettre à Truffaut, qui consomme leur rupture, il lui reproche de ne pas filmer la troisième classe dans le train. Il se sert de son nom d'auteur (JLG) pour permettre à des figures marginalisées d'apparaître sur le devant de la scène. Il cultive cette dialectique jusqu'à Film socialisme, qui, contre la loi hadopi, consacrant la propriété intellectuelle à l'ère d'internet, prône un socialisme des images. Il reproche aux réalisateurs leur attitude patronale, leur cinéma d'entreprise et leur attachement à la propriété privée des images qu'ils auraient seuls fabriquées. Godard lui-même co-réalise beaucoup de films avec Anne-Marie Miéville, avec des groupes comme Dziga Vertov et voit dans la notion de droit d'auteur un besoin de reconnaissance bourgeois et intéressé. Bien sûr, il n'a de cesse de citer, de commenter, dans le histoires déjà, d'autres auteurs, réalisateurs, et sa posture n'est pas celle d'un auteur créateur, mais plutôt d'un administrateur ou arrangeur. On voit bien les nombreux points faibles de cette politique, son hypocrisie que Sellier semble pointer du doigt.
Je lis les romantiques allemands dernièrement ( Novalis, E.T.A Hoffman, Heinrich Bon Kleist) et il faut au minima avoir pas mal d'initiation dans les domaines symboliques et ésotériques.
Ah, ça dépend comment on lit. Si c'est pour "percer les secrets", trouver les clefs, adopter la lecture ésotérique, bien sûr, mais perso ça ne m'intéresse pas (et ça n'est pas toujours fidèle, ils font autre chose), je lis plutôt en regardant ces cryptages comme des effets de mystère (et à mon avis d'enfumage, mais je ne suis pas très sensible à ces approches). Pour le romantisme allemand, ma référence est toujours L'Absolu littéraire de Lacoue-Labarthe et Nancy, mais ça se complète très bien avec tous les Gusdorf (très bon pour les synthèses et le mouvement général, comme toujours les détails sont toujours à préciser davantage).
Il aura fallu qu'à quarante sept ans passé je m'intéresse seulement maintenant à Colette.Et que je decouvre le roman La vagabonde. Et de me rendre compte que c'est un des plus beaux texte que j'ai lu ( avec la retraite sentimentale.) Je parlais dans mon précédent commentaire des romantiques allemands. Ne pourrait-on pas classer Colette dans les romantiques françaises ? Sinon merci pour ta réponse élaborée.
@@Lili-x1w Formidable les belles lectures ! non, ce ne sont pas les critères (pas trop le temps ni le temps pour les détails, ça passe notamment par les dates, mais c'est aussi pas tellement les registres et thématiques).
Quand on parle des romantiques allemands, on centralise et on visualise que des hommes, mais il y a sûrement des femmes qui dans leurs œuvres ont pris le même chemin similaire et littéraire. Aurais-tu des références dans ce sens à me donner ?
Pourquoi tu te prends la tête ? Donnes le à ChatGPT tu mets un prompt du style : tu es un critique littéraire diplômé d'un doctorat en littérature de l'ENS Lyon, etc ensuite tu lui dis ce que tu veux faire il te fait ça proprement et en quelques dizaines de secondes
32:30 Il faudrait qu'un auteur propose un script qui n'ait pas vocation à être réalisé en film, et qu'il l'intitule "Un ciné dans une fauteuil" ^^' (Bon, mauvais exemple, Mumu était vraiment l'exemple type de l'auteur vénéré et abject)
Génial, j'attendais ton avis !!
Oh, tout pour me flatter, quel bon dimanche !
merci infiniment, j'ai ce livre dans ma liste. J'ai vraiment hâte de le lire !
Je l'ai beaucoup aimé, et je sais déjà que j'y reviendrai de plein de façons ☺
Bonjour, merci à vous pour cette vidéo. Je pense me procurer ce livre aujourd'hui. Je voulais cependant connaître les auteurs et autrices d'ouvrages sur le surréalisme comme mouvement artistique intrinsèquement misogyne. J'ai trouvé pour le moment "Genres et avant-gardes" d'Anne Tomiche et Guillaume Bridet.
Je n'en ai pas, c'est moi qui le sens, sans être spécialiste de surréalisme. Bonne lecture !
Trop trop bien, hâte de t'écouter et de le lire :)) Je reviens de l'audition, et je veux le lire encore plus. Il me semble très juste d'observer cette sacralisation de l'auteur avec la nouvelle vague, car Truffaut même se réfère à Balzac à propos de la notion d'œuvre, si je me souviens bien, de totalité achevée et autonome, dont chaque membre doit être compris dans son tout. J'aurais préféré une référence allemande, de même, et il est vrai que cette sphère masculine s'autonomise, invente son langage et satisfait ses désirs, comme le rappelle Godard en évoquant Bazin, au début du mépris. La femme devient cet "obscur objet du désir", qui répond uniquement aux fantasmes d'une poignée de dirigeants, puisque les films ne faisaient quasiment aucune entrée, de l'aveu des auteurs eux-mêmes. Il me semble très bon d'interroger à nouveau cette politique, qui se perpétue, et dont on peut trouver des traces dans les cahiers, nouveau cénacle - ils auraient pu avoir cette ironie, au moins. Il m'arrive de les lire, à la bibliothèque, et je n'avais pas été attentif à cette critique très complaisante envers la personnalité. Il est vrai qu'il y a toujours des interviews, que je saute presque toujours, notamment de Coppola récemment, mais on y trouve aussi d'intéressantes analyses, parfois, de films plus ou moins récents, selon les sorties DVD, les coffrets. Enfin, elle argumente.
Puisqu'il s'agit de cinéma, l'industrie est touchée à tous les niveaux, et il me tarde de découvrir les faits avancés par l'autrice, ses analyses, pour mieux voir comment ça se passe matériellement, comment attaquer la machine, plastiquer les salles, que j'admets ne plus tellement fréquenter. Manque d'envie, je n'y pense même plus non plus, sans m'en être rendu compte. Un cinéma plus vivant nous y inviterait. J'avoue.
Merci ! Je ne mentionne pas Balzac, ni les détails (là, je pense qu'il faut aller voir l'ouvrage que Geneviève Sellier a consacré à la Nouvelle Vague, ici elle synthétise et articule: c'est cela qui est précieux, et peut se prolonger ailleurs !)
Ta vidéo est très intéressante (comme d'habitude) ! J'avais acheté le bouquin puis, suite à l'épisode du podcast "Sortie de secours" qui le défonçait, je l'avais mis de coté. J'irais donc me faire mon propre avis car j'ai beaucoup d'estime pour ton travail comme pour le leur, mais je te conseille d'aller l'écouter car il disent exactement l'inverse de toi notamment sur la scientificité du livre qu'ils contestent, et mettent en avant un clivage critique / université qui me semble intéressant pour penser le problème, même s'il me semble pouvoir être retourné contre eux.
Merci ! Je lance le podcast (www.radio.fr/podcast/sortie-de-secours2) et franchement, entre ce que dit Google des gens qui causent et la présentation en procès, je sais déjà que je ne vais pas être convaincue 😅
Alors, j'attaque, et c'est simplement inepte et psychologisant (en plus de la misogynie condescendante, mais qui dégouline comme une évidence). Par exemple, la politique de l'auteur abordée par Sellier en regard d'un refus de l'auteur, ramené à une "méthodologie" présentée comme irréfutable, c'est ne comprendre ni ce qui se fait depuis Barthes, ni en critique, ni dans le bouquin. Par exemple, la mort de l'auteur: th-cam.com/video/0XU3-L8xh78/w-d-xo.htmlsi=DpN23XwJmHxHNcpG
Bon sang, ramener les films au nombre de textes produits et à la jouissance, ou au seum… c'est si bas de plafond, juste une resucée de la vieille accusation de frigidité, bête en plus d'être faux.
Et la fin sur un regard masculin qui se serait résolu de lui-même, allons voir les vrais problèmes: LOL. Mon point: antiféminisme et misogynie ordinaires, on ressasse la même chose depuis cent-cinquante ans, le cinéma a l'avantage d'être au moins un peu plus moderne.
Si j'ose rejoindre la conversation, j'avais fait le point une fois, notamment à l'aide de dictionnaires, et articles de de Baecque, pour expliquer ce qu'ils ne comprennent pas dans cette émission des enfers.
Tout d'abord, le débat dans les cahiers sur "la politique des auteurs" doit se distinguer de celui du droit d'auteur. Ce dernier, aux USA, est marqué par l'octroi du final cut au producteur, comme c'était le cas pour les imprimeurs anglais, alors qu'en France ce droit s'inscrit dans la tradition des Lumières où les auteurs revendiquent un droit de regard moral sur cette dernière mise au point. En 1957, les "oeuvres de l'esprit" (expression issue de Valéry, de tradition symboliste) sont sanctifiées par une loi, qui reconnaît un droit de propriété aux "réalisateurs, compositeurs, scénaristes, dialoguistes, auteurs d'une oeuvre adaptée". Cette loi du 11 mars 1957 laisse dans l'ombre les techniciens, les producteurs et les comédiens. C'est sur ce fond juridique que se découpe la politique des auteurs des Cahiers du cinéma, très loins d'avaliser ce droit d'auteur. Pour eux, il s'agit surtout de reconnaître un canon d'oeuvres, comprises comme totalité, en particulier aux USA où le producteur joue un rôle prépondérant (on peut penser aux articles sur John Ford ou Hitchcock). Toutefois, même s'ils mettent en avant la notion d'auteur, c'est plutôt pour la critiquer et lui préférer celle d'oeuvre, d'ensemble cohérent (la notion d'oeuvre est-elle toutefois possible sans celle d'auteur ?). Ils mettent en effet l'accent sur le texte, plutôt que sur son origine, c'est l'intentio operis qui prime, le système cohérent de signes en renvois. Cette "politique des auteurs" est bien éloignée dès le début du droit d'auteur, en insistant sur l'oeuvre, et surtout sur la politique. En effet, Godard insistera à partir des années 70 sur la présence des personnes invisibilisées dans la production d'un film : le producteur dans Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma, les travailleurs, les banques, les techniciens. Dans sa lettre à Truffaut, qui consomme leur rupture, il lui reproche de ne pas filmer la troisième classe dans le train. Il se sert de son nom d'auteur (JLG) pour permettre à des figures marginalisées d'apparaître sur le devant de la scène. Il cultive cette dialectique jusqu'à Film socialisme, qui, contre la loi hadopi, consacrant la propriété intellectuelle à l'ère d'internet, prône un socialisme des images. Il reproche aux réalisateurs leur attitude patronale, leur cinéma d'entreprise et leur attachement à la propriété privée des images qu'ils auraient seuls fabriquées. Godard lui-même co-réalise beaucoup de films avec Anne-Marie Miéville, avec des groupes comme Dziga Vertov et voit dans la notion de droit d'auteur un besoin de reconnaissance bourgeois et intéressé. Bien sûr, il n'a de cesse de citer, de commenter, dans le histoires déjà, d'autres auteurs, réalisateurs, et sa posture n'est pas celle d'un auteur créateur, mais plutôt d'un administrateur ou arrangeur.
On voit bien les nombreux points faibles de cette politique, son hypocrisie que Sellier semble pointer du doigt.
Je lis les romantiques allemands dernièrement ( Novalis, E.T.A Hoffman, Heinrich Bon Kleist) et il faut au minima avoir pas mal d'initiation dans les domaines symboliques et ésotériques.
Ah, ça dépend comment on lit. Si c'est pour "percer les secrets", trouver les clefs, adopter la lecture ésotérique, bien sûr, mais perso ça ne m'intéresse pas (et ça n'est pas toujours fidèle, ils font autre chose), je lis plutôt en regardant ces cryptages comme des effets de mystère (et à mon avis d'enfumage, mais je ne suis pas très sensible à ces approches). Pour le romantisme allemand, ma référence est toujours L'Absolu littéraire de Lacoue-Labarthe et Nancy, mais ça se complète très bien avec tous les Gusdorf (très bon pour les synthèses et le mouvement général, comme toujours les détails sont toujours à préciser davantage).
Il aura fallu qu'à quarante sept ans passé je m'intéresse seulement maintenant à Colette.Et que je decouvre le roman La vagabonde. Et de me rendre compte que c'est un des plus beaux texte que j'ai lu ( avec la retraite sentimentale.)
Je parlais dans mon précédent commentaire des romantiques allemands. Ne pourrait-on pas classer Colette dans les romantiques françaises ?
Sinon merci pour ta réponse élaborée.
@@Lili-x1w Formidable les belles lectures ! non, ce ne sont pas les critères (pas trop le temps ni le temps pour les détails, ça passe notamment par les dates, mais c'est aussi pas tellement les registres et thématiques).
Quand on parle des romantiques allemands, on centralise et on visualise que des hommes, mais il y a sûrement des femmes qui dans leurs œuvres ont pris le même chemin similaire et littéraire.
Aurais-tu des références dans ce sens à me donner ?
@@Lili-x1w Ce n'est pas un hasard si elles ne sont pas de premier plan ni connues, une liste ici: www.moncelon.fr/romantiquesallemandes.htm
Pourquoi tu te prends la tête ? Donnes le à ChatGPT tu mets un prompt du style : tu es un critique littéraire diplômé d'un doctorat en littérature de l'ENS Lyon, etc ensuite tu lui dis ce que tu veux faire il te fait ça proprement et en quelques dizaines de secondes
Salut ! j'ai l'honneur de réfléchir par moi-même: méfiez-vous des imitations et bonne journée.
tu es fou !
32:30 Il faudrait qu'un auteur propose un script qui n'ait pas vocation à être réalisé en film, et qu'il l'intitule "Un ciné dans une fauteuil" ^^'
(Bon, mauvais exemple, Mumu était vraiment l'exemple type de l'auteur vénéré et abject)
Hahahaha (je parlerai à un moment des Confessions d'un sale gosse, pardon, d'un enfant du siècle…)