Miguel Bonnefoy - Une mythologie familiale

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  • เผยแพร่เมื่อ 15 ก.ย. 2024
  • On poursuit nos voyages dans le monde entier avec cette rentrée littéraire, en nous promenant dans une ville qui se situe de l'autre côté de l'océan Atlantique. C'est Maracaibo, au Vénézuéla. Une ville dont les habitants prétendent qu'elle a été bâtie par les enfants d'un rêve d'un jaguar : c'est le titre du nouveau roman de Miguel Bonnefoy, "Le rêve du jaguar", publié chez Payot et Rivages le 21 août dernier.
    Retrouvez l'intégralité de l'interview sur www.france.tv/....

ความคิดเห็น • 4

  • @Young_Archi57
    @Young_Archi57 10 วันที่ผ่านมา +10

    Miguel Bonnefoy, par la force tellurique de ses mots et l’acuité presque tactile de ses images, pour moi, vous êtes un alchimiste des sens et des espaces. Pour l'architecte, ses récits sont autant de matières premières - vives, impalpables, mais terriblement denses - qui nourrissent la perception. Vos ouvrages sont des paysages habités d'une énergie sourde, transcendent les contours physiques des lieux; ils les recomposent, les élèvent à la vibration. Dans "Sucre Noir" ou "Héritage", ce n’est pas l’espace qui est décrit, mais l’espace qui palpite, respire, exhale. Là, les murs ont une texture qui se goûte, les couleurs ont une chaleur qui brûle, les lieux ont une âme qui saigne et s’enchante. Lire Bonnefoy, c’est dialoguer avec l’architecture à travers le souffle des mots. Peut-être qu’un jour il s’aventurera plus loin dans ce territoire fertile, là où les structures se font chair et les bâtisseurs poètes. J’y trouve déjà un écho vibrant dans vos livres.

    • @eydamachin3332
      @eydamachin3332 10 วันที่ผ่านมา +4

      Extraordinaire texte pour décrire cet homme hors pair qui est Miguel Bonnefoy

  • @veroniquedelord175
    @veroniquedelord175 8 วันที่ผ่านมา

    Maylis de Kerangal parle du pont de Maracaibo dans son ouvrage de 2010, intitulé justement Le pont... Jolie synchronicité sur le plateau de la Grande Librairie !

  • @mesanges1298
    @mesanges1298 วันที่ผ่านมา +1

    « Il n’y a pas de présent sans les racines du passé »
    Miguel Bonnefoy