Rentrée littéraire : quelles nouveautés et tendances ? - Le débat du 7/10

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  • เผยแพร่เมื่อ 25 พ.ย. 2024

ความคิดเห็น • 8

  • @ericdurville6306
    @ericdurville6306 2 หลายเดือนก่อน +3

    J’ai commencé la correspondance d’Anaïs Nin & Henry Miller : Magnifique !
    Je risque de passer à côté des chef d’œuvres, des copinages et du commerce de la rentrée…

  • @loicbrunet5357
    @loicbrunet5357 2 หลายเดือนก่อน +8

    Pour la rentrée littéraire, je ne sais pas ce que je lirai, lisant à toutes périodes. En revanche, pour la rentrée radio, c est Nova!!! Merci, bisous, merci 😊

    • @MrGeorgtrakl
      @MrGeorgtrakl 2 หลายเดือนก่อน +5

      Pareil. Vive Nova. Pays des réfugiés humoristiques.

    • @fivantvcs9055
      @fivantvcs9055 2 หลายเดือนก่อน +1

      Moi France Culture

  • @martinepaoli6516
    @martinepaoli6516 2 หลายเดือนก่อน +4

    Oui ' est une belle rentrée littéraire ! Les livres m' apaisent de ce monde de brutes et heureusement il y a encore en France ce rendez-vous culturel que j' attends chaque année avec impatience !

  • @LiseBaro
    @LiseBaro 2 หลายเดือนก่อน +4

    C'était donc une excellente idée de déprogrammer La Librairie francophone !

  • @2000metamorphe
    @2000metamorphe 2 หลายเดือนก่อน +1

    Un livre posthume de Roger Munier, l'un des plus grands écrivains de la seconde moitié du vingtième siècle, vient d'être publié, Si peu que rien (c''est son titre), voilà la vraie rentrée littéraire, pas ce sempiternel déballage de marchandises imprimées... Mais là aussi, qui en parlera ?

  • @samuelautexier142
    @samuelautexier142 2 หลายเดือนก่อน +1

    Le meilleur livre de cette année 2024 est pour moi de très loin celui d'Hédi Cherchour "Hôtel de l'univers". Aucun de ces critiques n'en parlera car il est sorti chez un petit éditeur Vanloo qui ne joue pas dans l'espace commercial de l'édition parisienne et que son écriture transforme le sujet et les personnages de son livre en une véritable bombe politique. Il y a comme un écho du "Voyage" de Céline chez Cherchour et comme dit madame Leyris, on en reparlera dans deux ou trois ans… Merci à Charles Pennequin pour cette découverte !