Cannes 2024, est-il un festival pour les films engagés ? - C Ce soir du 23 mai 2024

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des cinéastes et des comédiennes engagées chacun, chacune, à leur manière avec entre autres Michel HAZANAVICIUS, Judith GODRÈCHE et un moment très fort consacré à la situation en Iran avec la comédienne Golshifteh FARAHANI et un homme qui vient de quitter clandestinement son pays pour échapper à la prison : le réalisateur Mohammad RASOULOF, notre palme d’Or du courage
Golshifteh Farahani pour
Mohammad Rasoulof pour le film Les graines du figuier sauvage,
Michel Hazanavicius pour le film La plus précieuse des marchandises,
Jessica Palud et Vanessa Schneider pour le film "Maria",
Judith Godrèche réalisatrice du court-métrage "Moi aussi".

[@pinogiambona8430]

Je ne sais pas si ces mots ont déjà été utilisés mais moi je crois que ce qui fait la grandeur et qui donne une valeur à l'Homme c'est le fait de ne pas utiliser ou abuser du pouvoir qu'on lui a attribué ou qu'il détient de par sa position sociale. Prêtres, parents, policiers, politiciens, médecins, réalisateurs, .....
Tous ceux qui ont un pouvoir se reconnaîtront.

[@petruchka238]

Un homme ça s'empêche. Albert Camus

[@user-kt6uw8fm8l]

Y compris actuellement le pouvoir que donne le seul fait de porter plainte, détruisant carrière et vie de l'inculpé (qu'il soit ou non coupable)

[@pinogiambona8430]

@@user-kt6uw8fm8l mais c'est à ça que sert la justice. Elle doit démêler le vrai du faut. Des erreurs judiciaires se comptent à la pelle ! En ce qui concerne les plaintes pour agression sexuelles se terminent rarement par une condamnation de l'inculpé et ce jusqu'à nos jours. Les idiotes qui portent plainte sans réelle agression savent très bien qu'elles discréditent la cause des vraies victimes. Les totdu-e-s ont toujours existé malheureusement.

[@user-kt6uw8fm8l]

mettre sur le même les Justes et Judith Godrèche : cette époque est un énorme problème en soi

[@pinogiambona8430]

Dans le combat des féministes sous toutes ses formes, revient d'une manière récurrente la place de l'homme. Personnellement je me sent comme le partenaire du couple qui est quitté. Même si c'est difficile aussi pour celui ou celle qui quitte, cette personne est dans un mouvement, porté-e par sa décision alors que l'autre "subit ". Je sais que je dois quitter une position patriarcale très confortable car je suis pétri culturellement de cette idéologie mais je sais aussi que je suis ouvert et en marche vers ce changement que je souhaite. Les femmes plus que jamais sont l'avenir de l'humanité.

[@ashini9511]

Bah, les deux sont l'avenir de l'humanité. J'y goûte déjà au monde matriarcal à l'école. La direction complète de l'établissement est entièrement féminin et jamais l'école n'a jamais été aussi mal foutue. Les enseignantes elles-mêmes admettent que ce n'est pas possible de continuer comme ça. Les défis sont nombreux et là où il faudrait une décision tranchée et efficace pour pouvoir avancer, eh bien à la place, c'est consultation, peur de déplaire, décisions tardives , bienveillance et empathie( je ne suis plus capable d'entendre ces deux mots insipides). Résultats en deux ans? Gangs, drogues, impolitesses graves sur surveillantes et profs féminins, intimidations. Vivement le retour des hommes sur le plancher pour endiguer cette déchéance.

[@pinogiambona8430]

@@ashini9511 je n'ai jamais dit qu'il ne fallait que des femmes ! Je crois en une bonne complémentarité avec des approches et des sensibilités différentes parfois.