Hyperplasie benigne de la prostate HBP Adénome

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  • เผยแพร่เมื่อ 5 ก.ย. 2024
  • hypertrophie bénigne de la prostate : adénome de la prostate: est une augmentation du volume de la prostate, grosse adénomateuse, symptomes : pollakiurie , dysurie. le traitement par des plantes naturelles phytothérapie , laser ou chirurgie opération, maladie, la prostate a un role important chez l'homme, le bilan dosage PSA taux élevé risque de cancer de la prostate. L'adénome ne se transforme pas en cancer .
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    Diagnostic clinique
    Ã Interrogatoire : antécédents traumatiques et infectieux génito-urinaires (hématurie, arguments
    pour une sténose urétrale).
    Troubles mictionnels non proportionnels à la taille de l’adénome ; très variables selon les individus.
    Symptômes du bas appareil urinaire (SBAU) aux 3 temps.
    - Évaluation par le score symptomatique international IPSS (International Prostate Symptom Score).
    - Examen du méat urétral et palpation de l’hypogastre à la recherche d’un globe vésical.
    - Toucher rectal : prostate volumineuse mais régulière et indolore, avec perte du sillon médian.
    Syndrome métabolique: Multiplie par 1,5 le risque de troubles mictionnels si 2 critères métaboliques sont présents, par 3 quand le syndrome est complet (5 paramètres).
    - L’hyperinsulinisme dû à l’insulinorésistance agirait comme facteur de croissance prostatique.
    - Atteinte endocrinienne du système nerveux autonome.
    Dysfonction érectile (DE)
    - Affecte environ 50 % des patients suivis pour troubles mictionnels. À rechercher dès le bilan initial.
    - En tenir compte dans le choix thérapeutique.
    - Complications
    Selon retentissement sur la vessie et les voies excrétrices supérieures. Facteurs prédictifs : adénome et résidu post-mictionnel importants.
    - La protrusion tumorale intravésicale serait un risque rétentionnel indépendant : indice IPP (Intravesical Prostatic Protrusion) supérieur à 2 cm.
    - Rétention aiguë d’urine : risque faible (5 %) mais associé à une forte probabilité de chirurgie (70 %
    dans l’année suivante).
    - Lithiase vésicale : 8 fois plus fréquente.
    - Explorations
    - Échographie sus-pubienne, éventuellement endorectale : écho réno-vésico-prostatique,
    indispensable. Évaluation du volume glandulaire, du résidu post-mictionnel et des cavités rénales.
    - Bilan biologique : rénal (créatininémie, clairance de la créatinine), vésical (ECBU), prostatique (PSA si suspicion de cancer).
    - Fibroscopie urétro-prostatique : avec étude urodynamique (débitmétrie), d’intérêt croissant.
    - Traitement médical
    - Règles hygiénodiététiques, en cas de syndrome métabolique :perte de poids, équilibrage alimentaire ; réduire alcool et apports hydriques le soir ; activité physique quotidienne, lutte contre la sédentarité.
    - Phytothérapie: Pygeum africanum (Tadenan), Serenoa repens (Permixon).
    Mini-invasive : l’embolisation
    Chirurgie : Adénomectomie
    Réalisée sous simple anesthésie locale cette
    technique faite par les radiologues interventionnels
    consiste à obstruer les artères de la prostate grâce
    à un cathéter introduit par voie fémorale.
    Son efficacité se situe entre celle des médicaments
    et celle de la chirurgie.
    Grand intérêt : préserver les éjaculations antégrades.
    Elle est encore peu diffusée
    Symptômes du bas appareil urinaire
    À la phase mictionnelle : difficulté à démarrer la miction, diminution de la force du jet, interruption,
    nécessité de pousser, gouttes terminales.
    Au remplissage vésical : nycturie, pollakiurie, urgenturie, incontinence par urgenturie.
    En post-mictionnel : gouttes retardataires, impression de vidange incomplète.
    Intensité des SBAU : légers si IPSS compris entre 0 et 7 ; modérés entre 8 et 19 ; sévères entre 20 et 35.
    Syndrome d’hyperactivité vésicale :
    urgenturies avec ou sans incontinence, généralement avec pollakiurie et nycturie.
    Obstruction sous-vésicale caractérisée en urodynamique par une hausse de la pression détrusorienne et une baisse du débit urinaire.
    - Alphabloquants : alfuzosine (Xatral), tamsulosine (Omix, Omexel, Josir, Mecir), doxazosine (Zoxan) ;térazosine (Dysalfa, Hytrine) silodosine (Urorec, Silodyx) : Effets secondaires : hypotension orthostatique, céphalées, vertiges, troubles de l’accommodation et de l’éjaculation.
    - Inhibiteurs de la 5-α réductase : finastéride (Chibro-Proscar), dutastéride (Avodart.
    Plus efficaces si adénome volumineux. Effets secondaires : troubles sexuels (libido et
    éjaculation).
    - Inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5 : tadalafil ,Tadalafil
    HBP et hyperactivité vésicale Signes atténués par : extraits de plantes (Serenoa repens et Pygeum africanum) ; α-bloquants (alfuzosine, doxazosine, silodosine,
    tamsulosine et térazosine) ; inhibiteurs de la 5-α réductase (5 ARI ; dutastéride et
    finastéride).
    - Anticholinergiques contre-indiqués en principe si rétention urinaire (oxybutynine, toltérodine, fésotérodine, darifénacine, trospium chlorure, solifénacine).
    Mais si résidu post-mictionnel inférieur à 200 mL, risque de rétention non accru.

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