Bonjour!! Je suis actuellement en première année de prépa. La théorie quantique des champs me passionne énormément. Je viens de tomber sur ta vidéo, j'ai tout simplement eu les larmes aux yeux en voyant tout ce savoir accessible. Je vais tout tout regarder attentivement même si je ne vais rien comprendre. Merci encore!!!
C'est toujours sympa de revoir toute l'histoire racontée en relativement peu de temps pour se remettre les idées en place sur des trucs sur lesquels on est parfois un peu rouillés ! Beau travail !
Merci à toi pour cette excellente présentation. J'y comprend presque rien mais je commence à percevoir l'utilité des diagrammes de Feynman. Tu as une maitrise impressionnante de ta tablette graphique. J'espère que beaucoup de prof vont s'inspirer de toi. Merci aussi à Scienceclic pour ses vidéos que j'attends toujours avec impatience. Ce qui est impressionnant c'est que tu as réussi à me garder pendant 4H un samedi soir alors même que j'étais totalement dépassé. J'appelle ca du talent.
magnifique ! Merci. C'est le premier post que je vois de toi. Enfin des explications claires, précises, avec des formules mathématiques, en français sur des thèmes très pointus. Tu es un référent de notre savoir/connaissance nationale. C'est superbe !!!
Scienceclic, c'est un véritable tour de force scientifique que de proposer une vulgarisation efficace en quelques minutes et compréhensible par la plupart des néophytes de la physique !👍
Oui, ScienceClic, c'est du lourd! J'adore cette chaîne mais il me semble que Scientia va plus au fond des choses. Je ressens ça comme un Level 2 sur Playstation! =) Tu commences par l'un et tu approfondis sur l'autre (je te laisse assumer tes jeux de mots 😉). Ils sont complémentaires et c'est bien qu'ils se fassent réciproquement de la pub. Ca a du sens... Bonne continuation à eux!
J'ai pas du temps maintenant pour regarder la vidéo en entier mais j'ai fait une petit preview sur la vidéo et sur le programme, elle est très bien explication. Je vais essayer de me trouver le temps dans la semaine pour la regarder et comprendre l'électrodynamique quantique et le diagramme de Feymann. Merci beaucoup et maximum respect !!!
Aujourd'hui j'ai trouvé 5 heures (4 heures d'écouter et 1 heure pour copier des équations + réfléchir un peu sur ce que j'ai appris de la vidéo) pour la vidéo. Le sujet est très intéressant, mais il est assez compliqué pour moi (c'est complètement nouveau pour moi la QED). Malgré tout, grace à ta vidéo, je comprend quand même certain de chose et l'idée global. Je vais lire des livres dans ta liste de références pour essayer d'approfondir des choses. Encore une fois, merci beaucoup !!!!
Merci pour ce contenu intense mais impressionnant ! Et ravi de voir le youtube scientifique francophone faire des collaborations, vous nous gâtez en ce moment 💪😎
salut, je viens de scienceclic, merci pour tes vidéos que je regarde une par une, elles sont d'une grande aide pour mes études, on trouve rarement le détail, c'est exactement ce que je cherchais
Bonjour. J'ai été courageux,j'ai tenu les 4h11mns. Depuis mon "bac"C de 1967 et un IUT puis un passage d'1 an à EDF comme stagiare je suis parti professionnelement en Belgique sur le site de construction de la 1ere tranche de la centrale nucleaire de Tihange et j'ai fait toute ma carrierre pro en Belgique. Merci de m'avoir tenu en haleine pendant + de 4 heure ou je n'ai pas compris la moitié du 1/4 duu 1/8.Mais ca m'a rajeuni un peu.
Super vidéo! C'est vraiment dingue que toutes ces astuces et bricolages marchent sans problèmes! Je commence a me demander si dans la vraie vie on a pas toujours le droit de permuter l'intégrale et la somme ,et même la différentielle!
Oui disons qu'on a le droit sauf s'il y a vraiment quelque chose de spécial qui se produit, auquel cas il faut faire attention :) Il y a quelques exemples importants où ce genre d'interversion ne fonctionne pas, et qui ont des conséquences "physiques" cruciales !
Merci pour cette vision structurée du domaine et Félicitation pour ce morceau de bravoure ! On voit que la formule de Cauchy est au cœur de la démarche et cela apparait comme une astuce formelle, puissante mais sans que l’on sente le lien physique. Dans de vieux souvenirs, il me semblait que c’est la fonction de green du D’Alembertien qui jouait le rôle du propagateur libre, ce qui parait plus physique, en ce sens que si l’on change la partie libre, la fonction de Green évolue en cohérence. D'ailleurs, l’approche présentée par la formule Cauchy donne bien l’inverse du D’Alembertien. Le trick de la formule de Cauchy ne peut pas être qu’une astuce formelle et je suppose que si on change la partie libre, le raisonnement par Cauchy s’adapte en conséquence pour donner l'inverse de l'opérateur libre ?
Oui en effet il y a plein de façons d'introduire le propagateur, ici j'ai choisi celle-ci que j'ai trouvée élégante, mais ce n'est évidemment pas la seule. Dans d'autres vidéos il me semble que j'avais utilisé d'autres méthodes, même si je ne les avais pas directement reliées à la théorie quantique des champs (par exemple dans la vidéo sur les intégrales gaussiennes on a la formule en 1/det(A) qui peut être vue comme une version en dimension finie de l'inverse du d'Alembertien :D )
Merci pour cette super vidéo! Vraiment très intéressant. Vos explications sont très claires et que dire de votre calligraphie! 👍À propos, quel logiciel utilisez-vous pour écrire?
J'ai une question par rapport à l'accessibilité de cette vidéo en termes de prérequis (en physique ou en maths), pour arriver à apprécier vraiment toutes les nuances. Je suis également arrivée ici grâce à "scienceclic", mais je me réserve de visionner les plus de 4 heures de cette présentation, pour un moment où je pourrai vraiment me concentrer ..., ceci d'autant plus que, selon les premiers commentaires, elle a l'air très complète.
pour les prérequis, ça dépend de ton niveau actuel en maths / physique. Tu peux par exemple regarder ma vidéo "qu'est-ce qu'un champ quantique", ou "live sur la théorie quantique des champs" pour des choses plus introductives.
Salut scientia egregia, je voulais te demander, quel est le logiciel que tu utilises pour tes tableaux car il paraît bien pratique à utiliser, et le rendu est carrément super beau. Et est ce que ce logiciel est sur windows ? En tout cas merci à scienceclic grâce à qui je suis ici, et grâce à qui je vais pouvoir apprendre beaucoup plus sur la physique :3.
@@benoit3325 Ah et j'ai oublié de dire que je n'utilise pas WIndows mais linux. Cependant Gimp devrait être disponible sur toutes les plate-formes, c'est un logiciel gratuit et libre.
@@antoinebrgt ah le fameux Linux xD Et oui j'ai regardé et c'est disponible sur Windows, et sur Android je ne suis pas sur que ce soit l'officiel mais c'est dispo. En tout cas merci de ta réponse 👍🏻
retour sur les éq de Maxwell, aura-t-on la suite promise ? je suis très curieux de voir apparaître le photon dans A et les monopôles magnétiques. Et merci pour votre implication dans l'éducation des masses !
Bonsoir, je voudrais savoir si vous avez une référence pour la démonstration détaillée du passage des diagrammes de Feynman aux lois de Coulomb, point qui est tout à fait fascinant. Je ne n'en ai pas trouvée. Merci beaucoup
Hm c'est un peu vague comme question... En tout cas c'est pas parce que je vois un nombre complexe que je pense à un phénomène vibratoire, même si évidemment il y a toujours la périodicité de l'argument d'un nombre complexe...
@@antoinebrgt Merci beaucoup. Je dois retravailler vos exposés et celui de S CLIC car je n'ai pas intégré comment vous êtes parvenus à doter de nombres complexes les électrons et les photons. Cependant, je voulais dire qu'ici, dans le contexte d'équations d'onde je voyais plutôt des nombres complexes du type : "expon (a+ju)" avec a ou u=fonction du temps et de l'espace. Un interrogation demeure pour moi cependant : pourquoi le nombre imaginaire pur "ihbarre" devant l'équation d'onde dite de Schrödinger ? Que représente-t-il physiquement ?
@@quevineuxcrougniard2985 c'est pas facile de répondre à une telle question, en gros le nombre h barre est juste une conversion d'unité, mais le i est fondamental car il autorise des solutions oscillantes (si on l'enlève on obtient l'équation de la chaleur, qui donne des processus irréversibles)
@@antoinebrgt Merci de votre réponse éclairante et du soin particulier que vous ne manquez jamais d'y apporter. Je sais trop qu'il est difficile de passer d'un cerveau à un autre. Toutefois, la moindre lueur jaillissant d'explication peut me permettre d'entrevoir ou de préciser des concepts fondamentaux avec leur sens physique réel exprimé dans des expressions mathématiques prises au début d'une leçon.
j'ai deux question s'il te plait : 1^er un électron tourne toujours sur luis même ou il existe un état ou il ne bouge pas ? Dans cette vidéo tu parle de du diagramme de Feynman dans ce cas comme Feynman on est curieux! Aurais tu la maniabilité de parler du spin dans la vidéo prochaine ? sinon merci pour votre vidéo et le temps que vous avez mis pour expliquer(oui on peut noter une vraie ambition car c'est vrai que parler pendant 4H et 6min du QED c'est du lourds surtout quand on le fait bien)
Pour l'électron, tourner sur lui-même n'est pas vraiment quelque chose de bien défini, car c'est une particule ponctuelle. Concernant le spin, j'en ai en effet parlé dans d'autres vidéos, par exemple celles sur les algèbres de Lie, ou celle sur les représentations dans l'espace-temps.
Il en faut du courage, pour s'enquiller 4 heures de vidéo ! Mais ça les vaut. Mais je suis surpris que tu parles d'électrodynamique quantique, alors que l'aspect quantique ne saute pas aux yeux. Peut-être ai-je raté un passage, mais où la constante de Planck intervient-elle ? Où y a-t-il quantification ?
L'aspect quantique est dans tout le formalisme, on a des opérateurs, un espace de Hilbert, etc. Dans la somme sur toutes es histoires, la constante de Planck intervient dans l'exponentielle exp(iS) où S est l'action.
En effet si la charge est répartie à la périphérie le coefficient g sera plus important. Mais il faut garder à l'esprit que de toute façon l'électron ne peut pas être vu comme une sphère chargée de toute façon, donc ça n'a pas grande importance dans le cas présent.
Bonjour, à 2h13, vous introduisez l'opérateur LSZ; il est donc produit de 4 opérateurs, faisant intervenir des opérateurs de Klein Gordon. Commutent ils? question liée à la précédente, on comprend qu'il est utilisé pour calculer les éléments de matrice S; les p_i semblent jouer le rôle de quantité de mouvement, et donc que les éléments matriciels quand p_1 + p_2 = p_3 + p_4, soient 1. Est ce le cas? Merci bien
Oui les opérateurs commutent car ils sont des opérateurs de dérivées faisant intervenir des variables différentes (x1, x2, ...). Ensuite les p_i sont en effet des quantités de mouvement. Et en effet dans la définition de l'amplitude M il y a un facteur delta(p1+p2-p3-p4) qui impose la conservation.
Vidéo assez impressionnante :) J'ai juste un peu de mal avec le vide en interaction : en théorie libre, on arrive à le définir via les opérateurs d'annihilation (qui agissant sur celui-ci donne zéro) mais on ne sait plus faire cela avec interaction (auquel cas on saurait résoudre la théorie en interaction exactement haha ). Parce que la formule |omega> = U |0> est vraiment élégante et ca semble trop beau pour être vrai non ?
En résumé, bien que l'expression |ω⟩ = U|0⟩ puisse sembler élégante, le vide en théorie quantique des champs en interaction est beaucoup plus subtil et complexe que dans la théorie libre. La prise en compte des interactions modifie profondément la structure du vide et conduit à des phénomènes fascinants tels que la création de particules virtuelles, les fluctuations quantiques, et les effets de vide, qui sont des sujets de recherche fondamentaux en physique théorique
@@antoinebrgt oh d’accord je comprends mieux même de mon jeune âge je trouve vos explications parfaite vous ne vulgarisez pas tellement la physique mais en permettant à tous de comprendre et je vous félicite 👏🏼
1:08:58, en reprenant les calculs pour bien comprendre (je n'ai jamais eu la chance de me faire griller les neurones sur le sujet pendant mes études ;)), je ne parviens pas à comprendre la définition du d'Alembertien. Pour moi, c'est normalement l'opposé de la définition donnée ici (dérivée selon x - dérivée selon t). Si quelqu'un pouvait rapidement m'expliquer (j'irai faire les recherches complémentaires ci nécessaire), ou m'orienter vers un lien.
Si c'est le signe global qui te pose problème, c'est purement conventionnel. Ici j'ai pris la signature (+,-,-,-) donc le d'Alembertien c'est (d/dt)^2 - Nabla^2.
Bonjour, je me suis laissé dire peut-être à tort, que le calcul de l’anomalie gyromagnétique de l’electron par la méthode disons de l’électrodynamique quantique de Feynman pouvait être un problème de classe de complexité NP. Dans quel cas la réponse au problème du prix du millénaire P=NP pourrait s’avérer lié aux solutions potentiel de QED. Ma question est donc la suivante; à quelle classe de complexité appartiennent les calculs d’anomalies gyromagnétiques?
Je ne suis pas sûr du comprendre le sens de la question, étant donné qu'il s'agit ici de calculer un nombre donné... Comment définit-on une classe de complexité dans un tel cas?
@@antoinebrgt Plus on cherche à déterminer des décimales supplémentaires du moment anomal, plus les diagrammes deviennent élaborés et donc plus le temps de calcul devient exponentiellement grand. or si on trouvait une solution permettant de calculer autant de décimales que l'on veut avec un temps de calcul constant, on serait alors capable de lier deux classe de complexité différente. a priori il est impossible pour une machine déterministe, quelque soit son espace de calcul et avec un espace de calcul donné, d'obtenir autant de décimales que l'on veut en un temps de calcul fini, il y a toujours un moment où le calcul va se bloquer. alors je supposait qu'on pouvait classer la QED dans la classe non-déterministe NP
Le neutron eux ce comparée comme un noyau neutre..Est les prêtons peu traverser le champs neutron c y installer cela donne neutron plus un prêtons :lorsque l electron vas colisionnner cela vas cee de l eau.
Hopefully there are enough equations, which is the universal language, so that you can roughly follow what's going on... But I should soon try to make a video in English!
@@antoinebrgt en vrai oui ca me permettra de progresser. Et c’est tjrs cool de connaître le vocabulaire scientifique 👩🔬 en anglais. Ps: tes videos sont géniales 🤩
Tout ce que j'ai compris c’est que la TQC c'est très compliqué (sic) ... et qu'il reste plein de problèmes... A part cela j'ai cherché en vain en quoi consistait le partenariat avec ScienceClic...
@@antoinebrgt Je ne désespère pas (quoique...) de comprendre un jour tous ces tours de magie sur les diagrammes... il doit y avoir un truc! Et en plus les séries divergent... Et hop de nouveau un truc avec le groupe de renormalisation. C'est de l'acharnement! Il n'y a pas plus simple? Mais je connais déjà votre réponse ;-)
@@yannispetros409 Oui d'une certaine façon ce n'est pas très satisfaisant, c'est pour ça qu'on cherche des méthodes plus simples en effet. C'est un peu sur ça que porte ma recherche en réalité !
@@antoinebrgt Je m'en doutais...Les diagrammes ne sont qu'une (simple... si j'ose dire et déjà ancienne) méthode perturbative de calcul. On me dira qu'ils contiennent des concepts innovants, certes! Mais il est temps de franchir ce cap! Excusez mes interventions qui se veulent être des traits d'humeur ou d'humour (pas sur...:D), elles n'enlèvent rien à votre compétence... A un de ces 4 pour une prochaine leçon sur le boson de Higgs et les brisures de symétrie... si vous le voulez bien.
Imaginer un électron comme un donut:-) Une réparation de charge homogène me paraît improbable. Dans un fil électrique les charges se repoussent il serait logique qu’il en soit de même dans une sphère en rotation.
L'interprétation "moderne" est que l'électron est vraiment ponctuel, donc la question ne se pose pas. C'est pour cela qu'on dit que son spin est purement quantique, il ne s'explique pas par la mécanique classique.
@@antoinebrgt une démarche scientifique implique de poser toutes les questions:-) Un électron est autant une onde qu’un volume, et la question se pose:-)
@@lucdevantay3357 Oui évidemment il faut se poser les questions, et dans le cas présent les physiciens se les sont beaucoup posées ! La conclusion est qu'à ma connaissance on considère l'électron comme ponctuel, donc sans structure géométrique (que ce soit la sphère ou le tore). S'il y a des indications du contraire on peut les examiner !
@@antoinebrgt un point n’a pas de dimension:-) Il est donc nul. Un point est une coordonnée géométrique mais n’est pas un objet. Une onde a une forme, déplacé des « objets », les fait vibrer. Un solide est constitué d’atomes, qui ont donc une forme. L’électron comporte plusieurs valeurs. Charge électrique, spin, trajectoire, position, vitesse, volume et forme. On peut donc discuter de façon théorique de ces aspects. Le principe de la physique quantique est de considérer que la matière est constituée de grains. On a réalisé qu’elle pouvait être ondulatoire (enfin on l’explique comme ça) et corpusculaire. Si un électron tourne sur lui même et qu’il est composé de charges qui se repoussent, il serait logique qu’il ait la forme d’un tore. Bon après si on envisage qu’il se déplace à la vitesse de la lumière alors il ressemble à un anneau... tout comme un noyau de plomb qui va à la vitesse de la lumière est aplati et forme un disque.
@@lucdevantay3357 Peu de science éloigne de la Science, beaucoup en rapproche un peu. Le danger de la "vulgarisation", surtout mal faite ou mal comprise, sans précaution, garde fou, pincette et humilité, est de remplir le cerveau de représentations clandestines qui finissent par produire un film d'illusions intriquées inextricables ! Et c'est hélas ce qui transparaît de votre rhétorique où chaque phrase est une illusion déracinée et une interprétation clandestine. Pour n'en reprendre que quelques unes. Ni l'atome de plomb ni l'électron ne peuvent être observés ni accélérés à la CÉLÉRITÉ de la Lumière, car ils sont massiques. Ce qui demanderait, d'après la Théorie de la Relativité de Lorentz-Poincaré, une énergie infinie pour se faire (par l'homme ou la Nature). Ensuite nul n'a observé de fractions de charge de l'électron qui est donc regardé jusqu'à preuve du contraire comme FONDAMENTALE ET ÉLÉMENTAIRE. C'est un INSÉCABLE MANIFESTE. Jusqu'à nouvel ordre... Aussi rien ne suggère de regarder un électron comme possédant une structure interne chargée, discrète ou continue, de "charges qui se repoussent" ou chimères de ce style. Et c'est sur des points précis de ce type que l'on mesure tout le chemin parcouru depuis les discussions gratuites sans fin des théologiens sur le "sexe des anges" et la Physique moderne qui est cadrée de façon de plus en plus précise par des CONTRAINTES EXPÉRIMENTALES imposées par la Nature, comme par des CONTRAINTES MATHÉMATIQUES FORTES DE SYMÉTRIES, provenant de ce que l'on pourrait appeler la NATURE DE L'ESPRIT, ou L'ESPRIT DE LA NATURE, ou la MÉTAPHYSIQUE, mais qu'on appelle aujourd'hui communément "simplement" LES MATHÉMATIQUES. Mathématiques qui sont très loin de n'être qu'un "langage" et des jeux gratuits de symboles... Troisièmement si l'on devait résumer en boutade la Mécanique Quantique en un "PRINCIPE" central, ce "principe" serait au contraire DE NE PLUS RIEN SUPPOSER DU TOUT, et de s'en remettre le plus totalement possible AUX OBSERVATIONS EXPÉRIMENTALES ET AUX MODÈLES LES PLUS SIMPLES, BIEN QUE TOUJOURS IMPARFAITS, QUI EN RENDENT COMPTE AU MIEUX. Or ni la DESCRIPTION ONDULATOIRE ni la DESCRIPTION CORPUSCULAIRE ne tiennent face aux verdicts expérimentaux. Cette "dualité ondes corpuscule" est rassurante mais reste une tentative désespérée d'essayer de représenter la "NATURE QUANTIQUE DE LA NATURE" avec des concepts classiques, préquantiques et en partie obsolètes. Et en particulier la Théorie Quantique ne suppose ni l'un ni l'autre et ne prétend pas que la Nature est "constituée de grains". Elle prend acte que DES INTERACTIONS NE SE PRODUISENT QUE POUR DES NIVEAUX D'ÉNERGIE DISCRETS ET QUANTIFIÉS. Mais ce que font les "quanta" en dehors de l'interaction est on ne peut moins matérialiste. Même une "fonction d'onde" n'est pas une onde physique, mais fournit SEULEMENT une DENSITÉ DE PROBABILITÉ dans l'espace et le temps. Que l'on trouve cela problématique et contestable pour x raisons est un débat en soi. Mais en revanche c'est précisément en cessant de vouloir fabriquer des représentations classiques arbitraires et clandestines que les fondateurs de la Théorie Quantique, notamment Planck, Poincaré qui démontre en 1911 LA COHÉRENCE ET LA NÉCESSITÉ QUANTIQUE (dans un article magistral trop peu connu), Schrödinger, Heisenberg, Bohr, Pauli, etc, ont fait rapidement des progrès fulgurants. La Nature, par la Physique Quantique qui la sonde en profondeur, nous dit que nos représentations classiques d'ondes et de particules sont incomplètes, insuffisantes, approchées, illusoires. Tout le monde aurait préféré que ce soit plus simple, mais la Nature est plus subtile que nos espoirs. Elle est déjà bien gentille d'être relativement accessibles, étapes par étapes, ce qui est en soi déjà un miracle. Mais dans son introspection elle nous pousse au delà sans arrêt de notre zone mentale de confort. Elle nous pousse vers l'infini. Vers des Espaces infinis complexes. Notamment vers L'ESPACE (UNIQUE) DE HILBERT de fonctions de carré sommable pour rester cohérent et fournir in fine des prédictions finies. Mais la complexité Quantique n'a pas suffit pour épuiser toutes les subtilités de la Nature, loin s'en faut. Elle paraît abyssale. Car il fallait encore rendre relativiste cette Théorie Quantique, ce qu'a amorcé Dirac. Ce qui a ouvert une gigantesque boîte de Pandore de Théories Quantiques des Champs où la Gravitation n'est même pas encore bien intégrée. Le pas décisif qu'à ouvert la Théorie Quantique est de réaliser une bonne fois pour toute que la Nature n'est pas Commutative. Ce qu'on savait déjà mais qu'on espérait oublier. Car même pour faire des crêpes, personne de sensé ne jette de l'huile sur le feu avant de poser la poêle, etc. L'ordre des choses est crucialement important. Et la seconde grande leçon de la Physique Quantique, est qu'il est très comprehensiblement logique en fait, que l'on ne puisse pas toujours tout observer sans perturber de façon radicale ce qu'on observe en l'observant. Un radar mesure avec des photons la vitesse d'un véhicule d'une tonne sans grande perturbation de la vitesse du véhicule relativement très massique. Il en va tout autrement pour l'observation d'un photon à l'aide d'un autre photon, tout comme il en irait d'un radar routier qui balancerait des obus d'une tonne au lieu de photons sans masses. Il y a donc paradoxalement un surcroit de logique malgré cette logique "plus floue" de la Physique Quantique. C'est une introspection plus fine, plus minutieuse de la Nature qui semble posséder pour l'instant une intimité inaccessible. Seulement très partiellement accessible par des Théories de Perturbations limitées inventées par Louis Lagrange avec ce passe partout de concept de Lagrangien. La question donc de la "PONCTUALITÉ" reste ouverte. Tout dépend des définitions que l'on adopte et de leur pertinence pour décrire le "réel voilé". Mais un "point" n'est pas forcément "nul". Il a une "dimension zéro" relativement à un segment de "dimension unité". Tout comme une telle ligne aurait une "dimension" non pas un mais zéro, si l'on décidait de prendre pour unité des dimensions, celle des surfaces. Ce que faisaient les grecs par exemples en écrivant le fameux théorème de Pythagore, non pas comme la somme de carré de longueurs, mais comme une égalité D'AIRE des carrés sous tendus par les côtés d'un triangle rectangle. Et cette dimension "zéro" d'un point n'est pas plus ni moins existejte que celle d'une ligne ou d'un plan. Car si l'on nie au point son existence, alors la ligne ou le plan n'ont pas plus de "matière" et "d'épaisseur" pour prétendre "exister". Où l'on nie l'existence de tous ou de personne. Il faut à minima rester cohérent. En outre un point est justement construit et définit par exemple comme intersection de deux droites ou de trois plans. La "physicalité", whatever that means, de tels concepts "géométriques" purs, est un autre débat. D'où la question de la "ponctualité" des "quanticules", des "champs", qui est tout à la fois très largement dépassée par les représentations de la Théorie Quantique et plus encore de la Théorie des Champs, mais d'un autre côté toujours comme une épine centrale dans le pied conceptuel, en effet. Raison pour laquelle la théorie des cordes tente d'extraire cette épine centrale. Car depuis la loi de Coulomb et de Newton, un potentiel en 1/r explose en r=0. Et des recherches tout azimut ont été conduites pour sortir cette épine. Par exemple en critiquant la "ponctualité des cônes de lumière" en Relativité. Ou par des Cordes qui essaient de s'échapper de ce problème central de "ponctualité". Le principe d'indétermination de Heisenberg à lui seul suggère que le concept de "ponctualité", s'il a une "réalité potentielle", cette potentialité est probablement inaccessible à l'expérience directe. Mais le problème resurgit justement de plein fouet dans la Théorie Quantique des Champs, avec ces fameuses "PARTICULES VIRTUELLES" qu'à introduit in fine Feynman. En conclusion modéliser la Nature dans son abyssale complexité est évidemment très complexe et demande des tours de force de "force" croissante. L'aide des Mathématiques modernes, de TOUT SON GIGANTESQUE ARSENAL DE GUERRE, est absolument indispensable, car les concepts du "bon sens de tous les jours" volent en éclat de toute part. On pénètre dans L'ATHANOR INTIME DE LA NATURE, où les lois internes s'éloignent parfois grandement des apparences macroscopiques de nos sens physiologiques limités. La Mathématique est un Miroir parfois troublant de cette intimité voilée de la Nature. Pas seulement un langage sur la Nature, mais DE LA NATURE. Une Métaphysique qui accouche du Physique...
quantique c y l'on a une voilette ou un soleil ou le câble n est que q atome positife .est en un elecron libre que ce passerait tel au niveau nucléaire nous avons un atome nugeair .
Bonjour, une petite question naïve: dans la formule qui permet de passer ( 35 mn) du moment magnétique au moment cinétique, en fonction des densités de charge et de masse, à la même expression en fonctions des charges et masse, on suppose que charge électrique et masse sont localisées identiquement; pourtant intuitivement on ne peut pas exclure par exemple que la masse soir répartie dans le volume, et la charge en surface, ou autre combinaison; on aurait alors une expression dans laquelle r ne s'élimine pas (why not?). Qu'est ce qui permet d'écarter d'autres configurations? merci beaucoup pour votre travail
Oui en effet, dans tous ces cas on aurait simplement g différent de 1 (en supposant quand même qu’on a une symétrie sphérique pour que mu et L soient dans la même direction). C’est précisément ce genre de choses que g mesure, et le calcul que j’ai fait montre qu’on a étalonné g=1 pour une sphère de densités massique et de charge constantes.
@@antoinebrgt Mais si la densité de charge est surfacique donc la charge proportionnelle à r² et la densité volumique donc en r^3, il semble inévitable que le rapport dans ce cas dépende de r?
@@ducdeblangis3006 oui mais pour un objet donné r est fixé , donc il n’y a pas de dépendance. On peut donc toujours bien calculer le nombre g, qui ne dépend de rien.
J'ai regardé la vidéo de ScienceClic sur l'électrodynamique quantique. En fait c'est du baratin auquel on ne comprend rien et qui n'apporte rien. La seul façon d'aborder ces questions c'est par la formulation mathématique. A charge pour l'auditeur d'acquérir les connaissances mathématiques pour suivre et essayer de comprendre les raisonnements. C'est l'approche de Scientia Egregia qui est la seule valable.
Je suis complètement d'accord avec ça. J'ai regardé deux ou trois vidéos de ScienceClic (notamment sur la RG) et j'ai très rapidement abandonné : comme vous dites, c'est du charabia pour faire savant, trop abstrait et trop compliqué pour qui n'a pas un minimum de bagage derrière, et sans intérêt pour qui a ce minimum. Pour ma part, mes mathématiques et ma physique étant très loin (j'ai atterri dans les SHS...), je comprends 20 % de ce que raconte Scientia Egregia, et encore les bons jours. Mais je préfère cent fois ses vidéos, car malgré cela j'y trouve une mise en perspective tout à fait passionnante (je lui avais d'ailleurs dit). De toute façon, comme dit Alain Connes (qui est tout de même une référence !), il ne faut pas hésiter à suivre des conférences où on ne comprend pas (tout).
Je ne dirais pas que la vidéo de ScienceClic ne sert à rien ! Tout dépend de l'objectif : si on veut comprendre l'idée générale sa vidéo est 100 fois meilleure, elle s'adresse à un public plus large, etc. Evidemment on ne peut pas, après l'avoir vue, faire des calculs soi-même, mais ce n'est pas le but. D'ailleurs je pense qu'on pourrait m'adresser les mêmes reproches : je ne donne pas un cours complet, donc je pense qu'après avoir vu ma vidéo on ne comprend pas tous les détails non plus. Mais là encore ce n'est pas le but, le but est de donner un aperçu des calculs et des idées impliquées. Pour les détails, il faudra aller voir un vrai cours en 30h ou 60h ! Bref, je pense qu'il faut du contenu à tous les niveaux de détail / technicité.
@@antoinebrgt En fait Scientia Egreria est un juste milieu entre 2 extrêmes: SciencClic et le Collège de France. Les exposés de Mathématiques, Physique, Informatique du Collège de France sont des monologues de hyper experts sur des sujets extrêmement pointus dont on ne comprend même pas la finalité et sans aucun respect pour les auditoires. Dans un domaine plus scolaire, mais très sympa, on trouve par exemple les cours de mécanique quantique de l'université Paris Diderot (E Parizot), de physique de l'université de Casablanca. de algèbre linéaire du MIT (G Strang) en anglais.
@@antoinebrgt Tu as raison, il en faut pour tous les niveaux. Cela étant, il y a deux aspects à considérer. Le premier, c'est la "vulgarisabilité" (pardon pour le néologisme, mais je pense qu'il est compréhensible) d'un sujet. Il y en a que l'on peu vulgariser à peu près, c'est-à-dire sur lesquels on peut donner une idée générale au prix de nombreuses simplifications et de quelques approximations. Par exemple, on peut comprendre un minimum de PQ sans savoir ce qu'est un espace de Hilbert, un opérateur autoadjoint, etc. Mais d'autres sujets peuvent à mon sens n'être que difficilement vulgarisés sans un minimum de formalisme, et la TQC en est l'exemple parfait. Le second aspect, c'est la capacité de vulgarisation, ou plus largement la qualité pédagogique. Toi, tu te places à un niveau élevé, mais, sans flatterie aucune, tu es un remarquable pédagogue (et tout ce que je te souhaite et d'atterrir rapidement MCF quelque part). À petit niveau (rien de péjoratif), Science étonnante, par exemple, et un remarquable vulgarisateur. Je crois que le problème de ScienceClic, c'est qu'il n'arrive pas à se placer correctement : c'est trop ou trop peu (cela dit, ce n'est pas le seul dans ce cas). La difficulté n'est pas propre aux sciences dures et est bien plus générale : comme je l'ai indiqué, je fais des sciences humaines (de l'anthropologie, pour être précis), et la question de savoir à qui on s'adresse et comment on le fait est tout aussi valable. Pour en revenir à ta vidéo (qu'il faut que je finisse, je n'ai suivi que les trois quarts du live...), je ne comprends à peu près rien aux calculs et je suis évidemment incapable de les reproduire, mais ce n'est pas important (après tout, ce n'est pas mon métier, je n'ai pas besoin de savoir faire) : l'essentiel c'est que je comprends à quoi ils servent et quelle est la démarche générale, que je peux suivre le raisonnement sur le fond même si je suis largué sur la forme. Et ça, l'autre vidéo ne le permet pas. Après, je parle en mon nom propre et c'est mon point de vue, mais je remarque malgré tout qu'il est partagé par certains.
Désolé par avance pour mon commentaire, mais votre "n'apporte rien" concernant la vidéo de Science Clic est réducteur voire complètement ridicule. Très cordialement.
Bonjour!! Je suis actuellement en première année de prépa. La théorie quantique des champs me passionne énormément. Je viens de tomber sur ta vidéo, j'ai tout simplement eu les larmes aux yeux en voyant tout ce savoir accessible. Je vais tout tout regarder attentivement même si je ne vais rien comprendre. Merci encore!!!
Merci beaucoup, bon visionnage ! Et n’hésite pas à partager la vidéo si tu connais des gens que ça pourrait intéresser !
C'est toujours sympa de revoir toute l'histoire racontée en relativement peu de temps pour se remettre les idées en place sur des trucs sur lesquels on est parfois un peu rouillés ! Beau travail !
@@mathieubeauvillain3759 merci!
Merci à toi pour cette excellente présentation. J'y comprend presque rien mais je commence à percevoir l'utilité des diagrammes de Feynman. Tu as une maitrise impressionnante de ta tablette graphique. J'espère que beaucoup de prof vont s'inspirer de toi. Merci aussi à Scienceclic pour ses vidéos que j'attends toujours avec impatience. Ce qui est impressionnant c'est que tu as réussi à me garder pendant 4H un samedi soir alors même que j'étais totalement dépassé. J'appelle ca du talent.
Merci, c'est cool ça veut dire que je fait tenir le suspense jusqu'à la fin :)
Bravo à toi de tenir 4 heures dans ces conditions! Ca montre que tu es curieux, souvent signe d'intelligence... 😉
magnifique ! Merci. C'est le premier post que je vois de toi.
Enfin des explications claires, précises, avec des formules mathématiques, en français sur des thèmes très pointus. Tu es un référent de notre savoir/connaissance nationale.
C'est superbe !!!
Merci :)
Qui est ici grâce à scienceclic?
moi, mais j'étais déjà abonné à cette chaine
oui, présent.
+1
salut et joie
@@procureurkhyssa5730 Wow beaucoup de monde grâce à ScienceClic je vois !!
Moi par curiosité La durée m'effraie un peu!
Scienceclic, c'est un véritable tour de force scientifique que de proposer une vulgarisation efficace en quelques minutes et compréhensible par la plupart des néophytes de la physique !👍
On est bien d'accord !
Oui, ScienceClic, c'est du lourd! J'adore cette chaîne mais il me semble que Scientia va plus au fond des choses. Je ressens ça comme un Level 2 sur Playstation! =) Tu commences par l'un et tu approfondis sur l'autre (je te laisse assumer tes jeux de mots 😉). Ils sont complémentaires et c'est bien qu'ils se fassent réciproquement de la pub. Ca a du sens... Bonne continuation à eux!
@@SB-or7cx Merci :) Oui tout à fait je pense que c'est complémentaire, et c'est pour ça qu'on a choisi de faire comme ça !
Sourire à la vidéo de ScienceClic
Merci à ScienceClic du coup !!
Je vous remercie pour votre cours, et je vous félicite pour votre carté. Bravo.
Merci!
J'ai pas du temps maintenant pour regarder la vidéo en entier mais j'ai fait une petit preview sur la vidéo et sur le programme, elle est très bien explication. Je vais essayer de me trouver le temps dans la semaine pour la regarder et comprendre l'électrodynamique quantique et le diagramme de Feymann. Merci beaucoup et maximum respect !!!
Aujourd'hui j'ai trouvé 5 heures (4 heures d'écouter et 1 heure pour copier des équations + réfléchir un peu sur ce que j'ai appris de la vidéo) pour la vidéo. Le sujet est très intéressant, mais il est assez compliqué pour moi (c'est complètement nouveau pour moi la QED). Malgré tout, grace à ta vidéo, je comprend quand même certain de chose et l'idée global. Je vais lire des livres dans ta liste de références pour essayer d'approfondir des choses. Encore une fois, merci beaucoup !!!!
Merci pour ce contenu intense mais impressionnant ! Et ravi de voir le youtube scientifique francophone faire des collaborations, vous nous gâtez en ce moment 💪😎
Merci :) Oui il y a eu une belle convergence ces derniers temps !
I’m here just to appreciate the handwriting (don’t understand french, I do understand the physics though)
Same for me when I'm hitting on a Japanese girl... =)
your handwriting is absolutely amazing
Thanks :)
Je vines de decouvrir votre chaine par l’intermediaire de scienceclic. J’ai parcouru vos videos et elles on toutes l’air interessantes. Bon travail
Merci !
salut, je viens de scienceclic, merci pour tes vidéos que je regarde une par une, elles sont d'une grande aide pour mes études, on trouve rarement le détail, c'est exactement ce que je cherchais
Merci !
Passionnant!, merci pour la clarté des explications
un bon channal pour les physiens et les etudiants merci beaucoup
Mais quel featuring génial!
Ah je savais même pas que c'était en collaboration avec ScienceClic, la vidéo était intéressante !
Bonjour.
J'ai été courageux,j'ai tenu les 4h11mns.
Depuis mon "bac"C de 1967 et un IUT puis un passage d'1 an à EDF comme stagiare je suis parti professionnelement en Belgique sur le site de construction de la 1ere tranche de la centrale nucleaire de Tihange et j'ai fait toute ma carrierre pro en Belgique.
Merci de m'avoir tenu en haleine pendant + de 4 heure ou je n'ai pas compris la moitié du 1/4 duu 1/8.Mais ca m'a rajeuni un peu.
Déjà c’est pas mal d’avoir compris 1/32 de la vidéo :)
Super vidéo!
C'est vraiment dingue que toutes ces astuces et bricolages marchent sans problèmes! Je commence a me demander si dans la vraie vie on a pas toujours le droit de permuter l'intégrale et la somme ,et même la différentielle!
Oui disons qu'on a le droit sauf s'il y a vraiment quelque chose de spécial qui se produit, auquel cas il faut faire attention :) Il y a quelques exemples importants où ce genre d'interversion ne fonctionne pas, et qui ont des conséquences "physiques" cruciales !
Merci pour cette vision structurée du domaine et Félicitation pour ce morceau de bravoure !
On voit que la formule de Cauchy est au cœur de la démarche et cela apparait comme une astuce formelle, puissante mais sans que l’on sente le lien physique. Dans de vieux souvenirs, il me semblait que c’est la fonction de green du D’Alembertien qui jouait le rôle du propagateur libre, ce qui parait plus physique, en ce sens que si l’on change la partie libre, la fonction de Green évolue en cohérence. D'ailleurs, l’approche présentée par la formule Cauchy donne bien l’inverse du D’Alembertien. Le trick de la formule de Cauchy ne peut pas être qu’une astuce formelle et je suppose que si on change la partie libre, le raisonnement par Cauchy s’adapte en conséquence pour donner l'inverse de l'opérateur libre ?
Oui en effet il y a plein de façons d'introduire le propagateur, ici j'ai choisi celle-ci que j'ai trouvée élégante, mais ce n'est évidemment pas la seule. Dans d'autres vidéos il me semble que j'avais utilisé d'autres méthodes, même si je ne les avais pas directement reliées à la théorie quantique des champs (par exemple dans la vidéo sur les intégrales gaussiennes on a la formule en 1/det(A) qui peut être vue comme une version en dimension finie de l'inverse du d'Alembertien :D )
Je suis en 4 ème et je regarde ces vidéos!
Super! J'espère que tu arrives à en retirer quelque chose!
Oui un peu
@@antoinebrgt même si c'est très complexe, je me suis avancé jusqu'au programme de 1ère en maths .
J'adore vraiment la physique et les maths , vos vidéos sont tellement utiles pour moi . Je souhaite faire Polytechnique.
magnifique!
merci
Splendide
Merci !
Merci pour cette super vidéo! Vraiment très intéressant. Vos explications sont très claires et que dire de votre calligraphie! 👍À propos, quel logiciel utilisez-vous pour écrire?
Merci, j'utilise Gimp pour écrire.
J'ai une question par rapport à l'accessibilité de cette vidéo en termes de prérequis (en physique ou en maths), pour arriver à apprécier vraiment toutes les nuances.
Je suis également arrivée ici grâce à "scienceclic", mais je me réserve de visionner les plus de 4 heures de cette présentation, pour un moment où je pourrai vraiment me concentrer ..., ceci d'autant plus que, selon les premiers commentaires, elle a l'air très complète.
pour les prérequis, ça dépend de ton niveau actuel en maths / physique. Tu peux par exemple regarder ma vidéo "qu'est-ce qu'un champ quantique", ou "live sur la théorie quantique des champs" pour des choses plus introductives.
Quand on voit des vidéos pareilles, on est prêt à tout pardonner à TH-cam!
Merci !
appart le contenu intéressant de la vidéo, ton écriture est belle, quelle type de tablette tu utilise?
Salut scientia egregia, je voulais te demander, quel est le logiciel que tu utilises pour tes tableaux car il paraît bien pratique à utiliser, et le rendu est carrément super beau. Et est ce que ce logiciel est sur windows ? En tout cas merci à scienceclic grâce à qui je suis ici, et grâce à qui je vais pouvoir apprendre beaucoup plus sur la physique :3.
J'utilise Gimp tout simplement !
@@antoinebrgt super merci 👌🏻
@@benoit3325 Ah et j'ai oublié de dire que je n'utilise pas WIndows mais linux. Cependant Gimp devrait être disponible sur toutes les plate-formes, c'est un logiciel gratuit et libre.
@@antoinebrgt ah le fameux Linux xD
Et oui j'ai regardé et c'est disponible sur Windows, et sur Android je ne suis pas sur que ce soit l'officiel mais c'est dispo. En tout cas merci de ta réponse 👍🏻
retour sur les éq de Maxwell, aura-t-on la suite promise ? je suis très curieux de voir apparaître le photon dans A et les monopôles magnétiques.
Et merci pour votre implication dans l'éducation des masses !
Je pense que je parlerai des monopoles magnétiques en effet, mais pas tout de suite, je vais revenir à un peu d'algèbre dans le futur immédiat !
Merci pour cet excellent cours !
Qu'est-ce que vous utilisez comme modèle de tablette graphique ? Elle a l'air très performante !
C'est une XP-Pen Star03.
@@antoinebrgt associé à quel logiciel ? :)
@@Maxanglad Gimp pour écrire, et OBS pour le stream et la caméra.
Oups... Je me suis fourvoyé dans bien trop complexe pour moi !
Mais c'est cool de pouvoir y avoir accès.
Merci.
Bonsoir, je voudrais savoir si vous avez une référence pour la démonstration détaillée du passage des diagrammes de Feynman aux lois de Coulomb, point qui est tout à fait fascinant. Je ne n'en ai pas trouvée. Merci beaucoup
Dans le Peskin et Schroeder par exemple c'est fait dans le chapitre 4, équation (4.135).
@@antoinebrgt Merci one more time!
Est-ce que les valeurs complexes sont ici toujours représentantes de phénomènes vibratoires ? Merci de votre réponse.
Hm c'est un peu vague comme question... En tout cas c'est pas parce que je vois un nombre complexe que je pense à un phénomène vibratoire, même si évidemment il y a toujours la périodicité de l'argument d'un nombre complexe...
@@antoinebrgt Merci beaucoup. Je dois retravailler vos exposés et celui de S CLIC car je n'ai pas intégré comment vous êtes parvenus à doter de nombres complexes les électrons et les photons. Cependant, je voulais dire qu'ici, dans le contexte d'équations d'onde je voyais plutôt des nombres complexes du type : "expon (a+ju)" avec a ou u=fonction du temps et de l'espace. Un interrogation demeure pour moi cependant : pourquoi le nombre imaginaire pur "ihbarre" devant l'équation d'onde dite de Schrödinger ? Que représente-t-il physiquement ?
@@quevineuxcrougniard2985 c'est pas facile de répondre à une telle question, en gros le nombre h barre est juste une conversion d'unité, mais le i est fondamental car il autorise des solutions oscillantes (si on l'enlève on obtient l'équation de la chaleur, qui donne des processus irréversibles)
@@antoinebrgt Merci de votre réponse éclairante et du soin particulier que vous ne manquez jamais d'y apporter. Je sais trop qu'il est difficile de passer d'un cerveau à un autre. Toutefois, la moindre lueur jaillissant d'explication peut me permettre d'entrevoir ou de préciser des concepts fondamentaux avec leur sens physique réel exprimé dans des expressions mathématiques prises au début d'une leçon.
j'ai deux question s'il te plait :
1^er un électron tourne toujours sur luis même ou il existe un état ou il ne bouge pas ?
Dans cette vidéo tu parle de du diagramme de Feynman dans ce cas comme Feynman on est curieux! Aurais tu la maniabilité de parler du spin dans la vidéo prochaine ?
sinon merci pour votre vidéo et le temps que vous avez mis pour expliquer(oui on peut noter une vraie ambition car c'est vrai que parler pendant 4H et 6min du QED c'est du lourds surtout quand on le fait bien)
Pour l'électron, tourner sur lui-même n'est pas vraiment quelque chose de bien défini, car c'est une particule ponctuelle.
Concernant le spin, j'en ai en effet parlé dans d'autres vidéos, par exemple celles sur les algèbres de Lie, ou celle sur les représentations dans l'espace-temps.
@@antoinebrgt MERCI(on dirait que vous avez beaucoup temps je ne c'est comment vous faite )
@@TesssyTosco non c'est un peu l'inverse, je n'ai pas beaucoup de temps :D c'est pour ça que je ne fais pas plus de vidéos !
gS est le coefficient de Landé du spin électronique, c'est donc bien ce dont vous parlez dans la vidéo.
Ok, oui j'étais pas 100% sûr parce que j'ai pas lu tous les détails !
Il en faut du courage, pour s'enquiller 4 heures de vidéo ! Mais ça les vaut. Mais je suis surpris que tu parles d'électrodynamique quantique, alors que l'aspect quantique ne saute pas aux yeux. Peut-être ai-je raté un passage, mais où la constante de Planck intervient-elle ? Où y a-t-il quantification ?
L'aspect quantique est dans tout le formalisme, on a des opérateurs, un espace de Hilbert, etc. Dans la somme sur toutes es histoires, la constante de Planck intervient dans l'exponentielle exp(iS) où S est l'action.
Si la charge est repartie en périphérie et non pas de façon homogène alors le moment magnétique n’est-il pas plus important?
D’où g=2 et pas g=1?
En effet si la charge est répartie à la périphérie le coefficient g sera plus important. Mais il faut garder à l'esprit que de toute façon l'électron ne peut pas être vu comme une sphère chargée de toute façon, donc ça n'a pas grande importance dans le cas présent.
Bonjour, à 2h13, vous introduisez l'opérateur LSZ; il est donc produit de 4 opérateurs, faisant intervenir des opérateurs de Klein Gordon. Commutent ils? question liée à la précédente, on comprend qu'il est utilisé pour calculer les éléments de matrice S; les p_i semblent jouer le rôle de quantité de mouvement, et donc que les éléments matriciels quand p_1 + p_2 = p_3 + p_4, soient 1. Est ce le cas? Merci bien
Oui les opérateurs commutent car ils sont des opérateurs de dérivées faisant intervenir des variables différentes (x1, x2, ...).
Ensuite les p_i sont en effet des quantités de mouvement. Et en effet dans la définition de l'amplitude M il y a un facteur delta(p1+p2-p3-p4) qui impose la conservation.
Vidéo assez impressionnante :) J'ai juste un peu de mal avec le vide en interaction : en théorie libre, on arrive à le définir via les opérateurs d'annihilation (qui agissant sur celui-ci donne zéro) mais on ne sait plus faire cela avec interaction (auquel cas on saurait résoudre la théorie en interaction exactement haha ). Parce que la formule |omega> = U |0> est vraiment élégante et ca semble trop beau pour être vrai non ?
En résumé, bien que l'expression |ω⟩ = U|0⟩ puisse sembler élégante, le vide en théorie quantique des champs en interaction est beaucoup plus subtil et complexe que dans la théorie libre. La prise en compte des interactions modifie profondément la structure du vide et conduit à des phénomènes fascinants tels que la création de particules virtuelles, les fluctuations quantiques, et les effets de vide, qui sont des sujets de recherche fondamentaux en physique théorique
J’ai 12 ans donc pardonnez moi mais 2:48:33 je n’est pas comprend cette supposition ?
C'est un point technique, mais c'est pas vraiment une supposition, c'est une disjonction de cas
@@antoinebrgt oh d’accord je comprends mieux même de mon jeune âge je trouve vos explications parfaite vous ne vulgarisez pas tellement la physique mais en permettant à tous de comprendre et je vous félicite 👏🏼
1:08:58, en reprenant les calculs pour bien comprendre (je n'ai jamais eu la chance de me faire griller les neurones sur le sujet pendant mes études ;)), je ne parviens pas à comprendre la définition du d'Alembertien. Pour moi, c'est normalement l'opposé de la définition donnée ici (dérivée selon x - dérivée selon t). Si quelqu'un pouvait rapidement m'expliquer (j'irai faire les recherches complémentaires ci nécessaire), ou m'orienter vers un lien.
Si c'est le signe global qui te pose problème, c'est purement conventionnel. Ici j'ai pris la signature (+,-,-,-) donc le d'Alembertien c'est (d/dt)^2 - Nabla^2.
@@antoinebrgt , d'accord. Merci pour le retour.
Science clic
Bonjour, je me suis laissé dire peut-être à tort, que le calcul de l’anomalie gyromagnétique de l’electron par la méthode disons de l’électrodynamique quantique de Feynman pouvait être un problème de classe de complexité NP. Dans quel cas la réponse au problème du prix du millénaire P=NP pourrait s’avérer lié aux solutions potentiel de QED. Ma question est donc la suivante; à quelle classe de complexité appartiennent les calculs d’anomalies gyromagnétiques?
Je ne suis pas sûr du comprendre le sens de la question, étant donné qu'il s'agit ici de calculer un nombre donné... Comment définit-on une classe de complexité dans un tel cas?
@@antoinebrgt Plus on cherche à déterminer des décimales supplémentaires du moment anomal, plus les diagrammes deviennent élaborés et donc plus le temps de calcul devient exponentiellement grand. or si on trouvait une solution permettant de calculer autant de décimales que l'on veut avec un temps de calcul constant, on serait alors capable de lier deux classe de complexité différente.
a priori il est impossible pour une machine déterministe, quelque soit son espace de calcul et avec un espace de calcul donné, d'obtenir autant de décimales que l'on veut en un temps de calcul fini, il y a toujours un moment où le calcul va se bloquer.
alors je supposait qu'on pouvait classer la QED dans la classe non-déterministe NP
par exemple aujourd'hui on est bloqué à 10 décimale pour l'anomalie de l'elecron si mes souvenir sont bons...
Et donc a priori si P=NP, il arrivera un jour où le calcul des diagrammes de Feynman deviendra obsolète.
Et dans le cas contraire, non
Mais si physiquement l’anomalie est déterminée et si tout se qui est physiquement déterminé peut être calculé, alors P=NP
Est possible avoir çeeercle plus grand que le petit cercle interne ?
Je ne comprends pas, de quel cercle parle-t-on ?
Le neutron eux ce comparée comme un noyau neutre..Est les prêtons peu traverser le champs neutron c y installer cela donne neutron plus un prêtons :lorsque l electron vas colisionnner cela vas cee de l eau.
I wish I could understand french. this video seems very good :(
Hopefully there are enough equations, which is the universal language, so that you can roughly follow what's going on... But I should soon try to make a video in English!
@@antoinebrgt OMG incroyable ! Hâte !
@@Mehd1_astro C'est vrai ? Tu préfères une vidéo en anglais ?
@@antoinebrgt en vrai oui ca me permettra de progresser. Et c’est tjrs cool de connaître le vocabulaire scientifique 👩🔬 en anglais.
Ps: tes videos sont géniales 🤩
@@Mehd1_astro Merci !
Pour l'anglais c'est une grande hésitation pour moi car j'ai peur de perdre le public francophone, au moins en partie...
Comment représenter une réaction je sais pas gamma->e+e- par exemple par le diagramme de feynmann
C'est juste un vertex élémentaire (photon donne paire électron positron)
l electrodinamique c'est les différents champs champs dirige par a la matière .ou onde....
si on pouvait transformer les dérivés covariant et contravariant en une tenseur métrique c'est plus claire
Régle de feynnemann généralisé
Tout ce que j'ai compris c’est que la TQC c'est très compliqué (sic) ... et qu'il reste plein de problèmes... A part cela j'ai cherché en vain en quoi consistait le partenariat avec ScienceClic...
C'est déjà bien d'avoir compris ça :D
@@antoinebrgt Je ne désespère pas (quoique...) de comprendre un jour tous ces tours de magie sur les diagrammes... il doit y avoir un truc! Et en plus les séries divergent... Et hop de nouveau un truc avec le groupe de renormalisation. C'est de l'acharnement! Il n'y a pas plus simple? Mais je connais déjà votre réponse ;-)
@@yannispetros409 Oui d'une certaine façon ce n'est pas très satisfaisant, c'est pour ça qu'on cherche des méthodes plus simples en effet. C'est un peu sur ça que porte ma recherche en réalité !
@@antoinebrgt Je m'en doutais...Les diagrammes ne sont qu'une (simple... si j'ose dire et déjà ancienne) méthode perturbative de calcul. On me dira qu'ils contiennent des concepts innovants, certes! Mais il est temps de franchir ce cap! Excusez mes interventions qui se veulent être des traits d'humeur ou d'humour (pas sur...:D), elles n'enlèvent rien à votre compétence... A un de ces 4 pour une prochaine leçon sur le boson de Higgs et les brisures de symétrie... si vous le voulez bien.
Imaginer un électron comme un donut:-)
Une réparation de charge homogène me paraît improbable.
Dans un fil électrique les charges se repoussent il serait logique qu’il en soit de même dans une sphère en rotation.
L'interprétation "moderne" est que l'électron est vraiment ponctuel, donc la question ne se pose pas. C'est pour cela qu'on dit que son spin est purement quantique, il ne s'explique pas par la mécanique classique.
@@antoinebrgt une démarche scientifique implique de poser toutes les questions:-)
Un électron est autant une onde qu’un volume, et la question se pose:-)
@@lucdevantay3357 Oui évidemment il faut se poser les questions, et dans le cas présent les physiciens se les sont beaucoup posées ! La conclusion est qu'à ma connaissance on considère l'électron comme ponctuel, donc sans structure géométrique (que ce soit la sphère ou le tore). S'il y a des indications du contraire on peut les examiner !
@@antoinebrgt un point n’a pas de dimension:-)
Il est donc nul.
Un point est une coordonnée géométrique mais n’est pas un objet.
Une onde a une forme, déplacé des « objets », les fait vibrer.
Un solide est constitué d’atomes, qui ont donc une forme.
L’électron comporte plusieurs valeurs.
Charge électrique, spin, trajectoire, position, vitesse, volume et forme.
On peut donc discuter de façon théorique de ces aspects.
Le principe de la physique quantique est de considérer que la matière est constituée de grains.
On a réalisé qu’elle pouvait être ondulatoire (enfin on l’explique comme ça) et corpusculaire.
Si un électron tourne sur lui même et qu’il est composé de charges qui se repoussent, il serait logique qu’il ait la forme d’un tore.
Bon après si on envisage qu’il se déplace à la vitesse de la lumière alors il ressemble à un anneau... tout comme un noyau de plomb qui va à la vitesse de la lumière est aplati et forme un disque.
@@lucdevantay3357 Peu de science éloigne de la Science, beaucoup en rapproche un peu. Le danger de la "vulgarisation", surtout mal faite ou mal comprise, sans précaution, garde fou, pincette et humilité, est de remplir le cerveau de représentations clandestines qui finissent par produire un film d'illusions intriquées inextricables !
Et c'est hélas ce qui transparaît de votre rhétorique où chaque phrase est une illusion déracinée et une interprétation clandestine.
Pour n'en reprendre que quelques unes. Ni l'atome de plomb ni l'électron ne peuvent être observés ni accélérés à la CÉLÉRITÉ de la Lumière, car ils sont massiques. Ce qui demanderait, d'après la Théorie de la Relativité de Lorentz-Poincaré, une énergie infinie pour se faire (par l'homme ou la Nature).
Ensuite nul n'a observé de fractions de charge de l'électron qui est donc regardé jusqu'à preuve du contraire comme FONDAMENTALE ET ÉLÉMENTAIRE. C'est un INSÉCABLE MANIFESTE. Jusqu'à nouvel ordre...
Aussi rien ne suggère de regarder un électron comme possédant une structure interne chargée, discrète ou continue, de "charges qui se repoussent" ou chimères de ce style.
Et c'est sur des points précis de ce type que l'on mesure tout le chemin parcouru depuis les discussions gratuites sans fin des théologiens sur le "sexe des anges" et la Physique moderne qui est cadrée de façon de plus en plus précise par des CONTRAINTES EXPÉRIMENTALES imposées par la Nature, comme par des CONTRAINTES MATHÉMATIQUES FORTES DE SYMÉTRIES, provenant de ce que l'on pourrait appeler la NATURE DE L'ESPRIT, ou L'ESPRIT DE LA NATURE, ou la MÉTAPHYSIQUE, mais qu'on appelle aujourd'hui communément "simplement" LES MATHÉMATIQUES. Mathématiques qui sont très loin de n'être qu'un "langage" et des jeux gratuits de symboles...
Troisièmement si l'on devait résumer en boutade la Mécanique Quantique en un "PRINCIPE" central, ce "principe" serait au contraire DE NE PLUS RIEN SUPPOSER DU TOUT, et de s'en remettre le plus totalement possible AUX OBSERVATIONS EXPÉRIMENTALES ET AUX MODÈLES LES PLUS SIMPLES, BIEN QUE TOUJOURS IMPARFAITS, QUI EN RENDENT COMPTE AU MIEUX.
Or ni la DESCRIPTION ONDULATOIRE ni la DESCRIPTION CORPUSCULAIRE ne tiennent face aux verdicts expérimentaux. Cette "dualité ondes corpuscule" est rassurante mais reste une tentative désespérée d'essayer de représenter la "NATURE QUANTIQUE DE LA NATURE" avec des concepts classiques, préquantiques et en partie obsolètes.
Et en particulier la Théorie Quantique ne suppose ni l'un ni l'autre et ne prétend pas que la Nature est "constituée de grains". Elle prend acte que DES INTERACTIONS NE SE PRODUISENT QUE POUR DES NIVEAUX D'ÉNERGIE DISCRETS ET QUANTIFIÉS. Mais ce que font les "quanta" en dehors de l'interaction est on ne peut moins matérialiste. Même une "fonction d'onde" n'est pas une onde physique, mais fournit SEULEMENT une DENSITÉ DE PROBABILITÉ dans l'espace et le temps.
Que l'on trouve cela problématique et contestable pour x raisons est un débat en soi. Mais en revanche c'est précisément en cessant de vouloir fabriquer des représentations classiques arbitraires et clandestines que les fondateurs de la Théorie Quantique, notamment Planck, Poincaré qui démontre en 1911 LA COHÉRENCE ET LA NÉCESSITÉ QUANTIQUE (dans un article magistral trop peu connu), Schrödinger, Heisenberg, Bohr, Pauli, etc, ont fait rapidement des progrès fulgurants.
La Nature, par la Physique Quantique qui la sonde en profondeur, nous dit que nos représentations classiques d'ondes et de particules sont incomplètes, insuffisantes, approchées, illusoires.
Tout le monde aurait préféré que ce soit plus simple, mais la Nature est plus subtile que nos espoirs. Elle est déjà bien gentille d'être relativement accessibles, étapes par étapes, ce qui est en soi déjà un miracle. Mais dans son introspection elle nous pousse au delà sans arrêt de notre zone mentale de confort.
Elle nous pousse vers l'infini. Vers des Espaces infinis complexes. Notamment vers L'ESPACE (UNIQUE) DE HILBERT de fonctions de carré sommable pour rester cohérent et fournir in fine des prédictions finies.
Mais la complexité Quantique n'a pas suffit pour épuiser toutes les subtilités de la Nature, loin s'en faut. Elle paraît abyssale. Car il fallait encore rendre relativiste cette Théorie Quantique, ce qu'a amorcé Dirac. Ce qui a ouvert une gigantesque boîte de Pandore de Théories Quantiques des Champs où la Gravitation n'est même pas encore bien intégrée.
Le pas décisif qu'à ouvert la Théorie Quantique est de réaliser une bonne fois pour toute que la Nature n'est pas Commutative. Ce qu'on savait déjà mais qu'on espérait oublier. Car même pour faire des crêpes, personne de sensé ne jette de l'huile sur le feu avant de poser la poêle, etc. L'ordre des choses est crucialement important.
Et la seconde grande leçon de la Physique Quantique, est qu'il est très comprehensiblement logique en fait, que l'on ne puisse pas toujours tout observer sans perturber de façon radicale ce qu'on observe en l'observant. Un radar mesure avec des photons la vitesse d'un véhicule d'une tonne sans grande perturbation de la vitesse du véhicule relativement très massique. Il en va tout autrement pour l'observation d'un photon à l'aide d'un autre photon, tout comme il en irait d'un radar routier qui balancerait des obus d'une tonne au lieu de photons sans masses.
Il y a donc paradoxalement un surcroit de logique malgré cette logique "plus floue" de la Physique Quantique. C'est une introspection plus fine, plus minutieuse de la Nature qui semble posséder pour l'instant une intimité inaccessible. Seulement très partiellement accessible par des Théories de Perturbations limitées inventées par Louis Lagrange avec ce passe partout de concept de Lagrangien.
La question donc de la "PONCTUALITÉ" reste ouverte. Tout dépend des définitions que l'on adopte et de leur pertinence pour décrire le "réel voilé".
Mais un "point" n'est pas forcément "nul". Il a une "dimension zéro" relativement à un segment de "dimension unité". Tout comme une telle ligne aurait une "dimension" non pas un mais zéro, si l'on décidait de prendre pour unité des dimensions, celle des surfaces. Ce que faisaient les grecs par exemples en écrivant le fameux théorème de Pythagore, non pas comme la somme de carré de longueurs, mais comme une égalité D'AIRE des carrés sous tendus par les côtés d'un triangle rectangle.
Et cette dimension "zéro" d'un point n'est pas plus ni moins existejte que celle d'une ligne ou d'un plan. Car si l'on nie au point son existence, alors la ligne ou le plan n'ont pas plus de "matière" et "d'épaisseur" pour prétendre "exister". Où l'on nie l'existence de tous ou de personne. Il faut à minima rester cohérent.
En outre un point est justement construit et définit par exemple comme intersection de deux droites ou de trois plans.
La "physicalité", whatever that means, de tels concepts "géométriques" purs, est un autre débat. D'où la question de la "ponctualité" des "quanticules", des "champs", qui est tout à la fois très largement dépassée par les représentations de la Théorie Quantique et plus encore de la Théorie des Champs, mais d'un autre côté toujours comme une épine centrale dans le pied conceptuel, en effet. Raison pour laquelle la théorie des cordes tente d'extraire cette épine centrale.
Car depuis la loi de Coulomb et de Newton, un potentiel en 1/r explose en r=0. Et des recherches tout azimut ont été conduites pour sortir cette épine. Par exemple en critiquant la "ponctualité des cônes de lumière" en Relativité. Ou par des Cordes qui essaient de s'échapper de ce problème central de "ponctualité". Le principe d'indétermination de Heisenberg à lui seul suggère que le concept de "ponctualité", s'il a une "réalité potentielle", cette potentialité est probablement inaccessible à l'expérience directe. Mais le problème resurgit justement de plein fouet dans la Théorie Quantique des Champs, avec ces fameuses "PARTICULES VIRTUELLES" qu'à introduit in fine Feynman.
En conclusion modéliser la Nature dans son abyssale complexité est évidemment très complexe et demande des tours de force de "force" croissante. L'aide des Mathématiques modernes, de TOUT SON GIGANTESQUE ARSENAL DE GUERRE, est absolument indispensable, car les concepts du "bon sens de tous les jours" volent en éclat de toute part. On pénètre dans L'ATHANOR INTIME DE LA NATURE, où les lois internes s'éloignent parfois grandement des apparences macroscopiques de nos sens physiologiques limités.
La Mathématique est un Miroir parfois troublant de cette intimité voilée de la Nature. Pas seulement un langage sur la Nature, mais DE LA NATURE. Une Métaphysique qui accouche du Physique...
quantique c y l'on a une voilette ou un soleil ou le câble n est que q atome positife .est en un elecron libre que ce passerait tel au niveau nucléaire nous avons un atome nugeair .
Bonjour, une petite question naïve: dans la formule qui permet de passer ( 35 mn) du moment magnétique au moment cinétique, en fonction des densités de charge et de masse, à la même expression en fonctions des charges et masse, on suppose que charge électrique et masse sont localisées identiquement; pourtant intuitivement on ne peut pas exclure par exemple que la masse soir répartie dans le volume, et la charge en surface, ou autre combinaison; on aurait alors une expression dans laquelle r ne s'élimine pas (why not?). Qu'est ce qui permet d'écarter d'autres configurations? merci beaucoup pour votre travail
Oui en effet, dans tous ces cas on aurait simplement g différent de 1 (en supposant quand même qu’on a une symétrie sphérique pour que mu et L soient dans la même direction). C’est précisément ce genre de choses que g mesure, et le calcul que j’ai fait montre qu’on a étalonné g=1 pour une sphère de densités massique et de charge constantes.
@@antoinebrgt Mais si la densité de charge est surfacique donc la charge proportionnelle à r² et la densité volumique donc en r^3, il semble inévitable que le rapport dans ce cas dépende de r?
@@ducdeblangis3006 oui mais pour un objet donné r est fixé , donc il n’y a pas de dépendance. On peut donc toujours bien calculer le nombre g, qui ne dépend de rien.
@@antoinebrgt Merci pour cette réponse supraluminique, je vais méditer là dessus.
Les positrons se déplace à la vitesse de la lumuère
Non
@@antoinebrgt les positrons sont des particules relativistes ou bien
@@heisenbergdona7918 ça dépend des cas, c’est exactement comme pour les électrons
@@antoinebrgt merci Doyen
Conclusion !!!!
Il reste plein de problèmes....
Écriture très ppetite
J'ai regardé la vidéo de ScienceClic sur l'électrodynamique quantique.
En fait c'est du baratin auquel on ne comprend rien et qui n'apporte rien.
La seul façon d'aborder ces questions c'est par la formulation mathématique.
A charge pour l'auditeur d'acquérir les connaissances mathématiques pour suivre et essayer de comprendre les raisonnements.
C'est l'approche de Scientia Egregia qui est la seule valable.
Je suis complètement d'accord avec ça. J'ai regardé deux ou trois vidéos de ScienceClic (notamment sur la RG) et j'ai très rapidement abandonné : comme vous dites, c'est du charabia pour faire savant, trop abstrait et trop compliqué pour qui n'a pas un minimum de bagage derrière, et sans intérêt pour qui a ce minimum. Pour ma part, mes mathématiques et ma physique étant très loin (j'ai atterri dans les SHS...), je comprends 20 % de ce que raconte Scientia Egregia, et encore les bons jours. Mais je préfère cent fois ses vidéos, car malgré cela j'y trouve une mise en perspective tout à fait passionnante (je lui avais d'ailleurs dit). De toute façon, comme dit Alain Connes (qui est tout de même une référence !), il ne faut pas hésiter à suivre des conférences où on ne comprend pas (tout).
Je ne dirais pas que la vidéo de ScienceClic ne sert à rien ! Tout dépend de l'objectif : si on veut comprendre l'idée générale sa vidéo est 100 fois meilleure, elle s'adresse à un public plus large, etc. Evidemment on ne peut pas, après l'avoir vue, faire des calculs soi-même, mais ce n'est pas le but.
D'ailleurs je pense qu'on pourrait m'adresser les mêmes reproches : je ne donne pas un cours complet, donc je pense qu'après avoir vu ma vidéo on ne comprend pas tous les détails non plus. Mais là encore ce n'est pas le but, le but est de donner un aperçu des calculs et des idées impliquées. Pour les détails, il faudra aller voir un vrai cours en 30h ou 60h ! Bref, je pense qu'il faut du contenu à tous les niveaux de détail / technicité.
@@antoinebrgt En fait Scientia Egreria est un juste milieu entre 2 extrêmes:
SciencClic et le Collège de France.
Les exposés de Mathématiques, Physique, Informatique du Collège de France sont des monologues de hyper experts sur des sujets extrêmement pointus dont on ne comprend même pas la finalité et sans aucun respect pour les auditoires.
Dans un domaine plus scolaire, mais très sympa, on trouve par exemple les cours
de mécanique quantique de l'université Paris Diderot (E Parizot),
de physique de l'université de Casablanca.
de algèbre linéaire du MIT (G Strang) en anglais.
@@antoinebrgt Tu as raison, il en faut pour tous les niveaux. Cela étant, il y a deux aspects à considérer. Le premier, c'est la "vulgarisabilité" (pardon pour le néologisme, mais je pense qu'il est compréhensible) d'un sujet. Il y en a que l'on peu vulgariser à peu près, c'est-à-dire sur lesquels on peut donner une idée générale au prix de nombreuses simplifications et de quelques approximations. Par exemple, on peut comprendre un minimum de PQ sans savoir ce qu'est un espace de Hilbert, un opérateur autoadjoint, etc. Mais d'autres sujets peuvent à mon sens n'être que difficilement vulgarisés sans un minimum de formalisme, et la TQC en est l'exemple parfait. Le second aspect, c'est la capacité de vulgarisation, ou plus largement la qualité pédagogique. Toi, tu te places à un niveau élevé, mais, sans flatterie aucune, tu es un remarquable pédagogue (et tout ce que je te souhaite et d'atterrir rapidement MCF quelque part). À petit niveau (rien de péjoratif), Science étonnante, par exemple, et un remarquable vulgarisateur. Je crois que le problème de ScienceClic, c'est qu'il n'arrive pas à se placer correctement : c'est trop ou trop peu (cela dit, ce n'est pas le seul dans ce cas). La difficulté n'est pas propre aux sciences dures et est bien plus générale : comme je l'ai indiqué, je fais des sciences humaines (de l'anthropologie, pour être précis), et la question de savoir à qui on s'adresse et comment on le fait est tout aussi valable. Pour en revenir à ta vidéo (qu'il faut que je finisse, je n'ai suivi que les trois quarts du live...), je ne comprends à peu près rien aux calculs et je suis évidemment incapable de les reproduire, mais ce n'est pas important (après tout, ce n'est pas mon métier, je n'ai pas besoin de savoir faire) : l'essentiel c'est que je comprends à quoi ils servent et quelle est la démarche générale, que je peux suivre le raisonnement sur le fond même si je suis largué sur la forme. Et ça, l'autre vidéo ne le permet pas. Après, je parle en mon nom propre et c'est mon point de vue, mais je remarque malgré tout qu'il est partagé par certains.
Désolé par avance pour mon commentaire, mais votre "n'apporte rien" concernant la vidéo de Science Clic est réducteur voire complètement ridicule. Très cordialement.
A 2h46'49', il est écrit p_0 = E_p; ça ne me parait pas homogène du point de vue dimension
C'est bien homogène, les quantités de mouvement et les énergies ont la même unité avec le choix fait de c=1.
@@antoinebrgt Merci pour la réponse. Et pour ma question concernant la répartition des charges/masses?
Cordialement