Ce que j'aime avec Keller, c'est l'approche systémique. Il a le mérite d'aborder ça de manière holistique au lieu de se concentrer sur les problèmes individuels, en particulier le réchauffement climatique, sur lequel on se focalise beaucoup (trop ?) aux dépens d'autres, qui sont tout aussi graves. Malheureusement, on a été shootés pendant deux cents ans à une drogue d'enfer qui nous a fait planer comme des fous, avec un niveau de richesse et de confort jamais atteints auparavant. C'est une illusion de croire qu'on va aller de bon cœur en cure de désintox, et se désintoxiquer dans le laps de temps qu'il faudrait. On va se sevrer contraints et forcés, et ce genre de trucs ne se passe jamais sans douleur...
Enfin quelqu'un dont l'analyse, le discours et les solutions me paraît enfin censé !!!! Il faut le cloner notre Arthur et le mettre à la place de nos décideurs.
Un ÉNORME merci et BRAVO pour cet entretien : « Effectivement nous sommes arrivés à la CROISÉE des chemins « . Tout est lié,le principe à la base de la SYSTÉMIQUE, de notre ESPOIR LUCIDE dépend notre AVENIR commun ! : 🌍🤩🤩🤩🕊👏👏👏👏👏👏👏👏👏
Le moment clé pour moi c'est 34:04 : toute l'approche aujourd'hui est basée sur le fait qu'on puisse retrouver la 'normalité' qu'on a connue dans le passé. Et malheureusement, trop peu ont compris que cette normalité a disparu à jamais. D'où, pour caricaturer, les agitations pour 'passer l'hiver' au lieu de préparer un mode de vie durable/résilient/souhaitable dans le temps
Merci à tous les deux ! Nous avions déjà écouté plusieurs fois des conférences et interventions d'Arthur Keller mais là effectivement il va encore plus loin en affinant ses propos. Merci !! Messages de la fin d'entretien bien reçus !!
Ce qui est le plus frustrant c’est que notre société est tellement boulimique que les 3 quarts des ressources finissent sur les joues et le bavoir du bébé que l’on appelle humanité… a t on besoin de déplacer 2 tonnes de ferraille pour déplacer un humain, à ton besoin de construire des locaux pour chaque usage plutôt que de mutualisé et organiser l’usage tour à tour, faut il vraiment nourrir des bovins avec des céréales alors qu’ils ont évolués pour être optimaux dans certains milieux, pompes à chaleur et isolation plutôt que gaz ou mazout… solaire thermique… emballage, aller retour de marchandises jusqu’à plusieurs fois le tour de la terre pour la production de certains objets et souvent c’est même rageant de voir que certaines solutions ne sont pas accessibles mêmes si il y a de la demande ou que les normes légales sont tellement en retard qu’elles freinent certains projets durables. En fait on pourrait faire une décroissance réelle sans décroissance d’usage, une voiture peu puissante de 500kg vas aussi d’un point A à un point B
A propos de la sensibilisation des populations qu’évoque timidement A. Keller, - qu’’il y ait du mal à organiser la formation de certaines élites en France ou ailleurs aux risques systémiques, j’’y suis complètement d’’accord ! Mais - de même- il faut un effort européen - et pas des moindres - de sensibilisation systémique à la culture et à l’esprit écolo des élites de certains pays de l’Est, tels la Bulgarie où l’ignorance et même la suffisance des nantis à l’égard de la préservation de l’’environnement (qu’affichent certains groupes sociaux plus ou moins mieux lotis que les autres pans de la population) s’avèrent d’une arrogance écoeurante! ! Il suffit de débarquer au moins un bon matin à Sofia, la métropole de la Bulgarie, pour voir de la hauteur de mon appart, l’embouteillage régulier d’au moins une cinquantaine de voitures chacune attendant son tour de déposer juste devant l’’entrée de l’école en face, à proximité du Parc Sud de la ville ( à savoir le lycée de langue allemande, établissement - entre nous soit dit -plus ou moins élitiste à l’echelle du pays) le prince ado de 15 à 16 ans, plus corpulent dans la plupart des cas que le bulgare moyen lambda, mais dont les parents cherchent à lui éviter les 150 pas à faire pour franchir le seuil de l’’école sans que les autos s’attardent dans la rue étroite en brûlant 15 fois plus de CO2 bloquées dans une immobilité consternante par la bêtise éffarante de leurs conducteurs préférant rester coincés dans un encombrement d’’une vingtaine de minutes au lieu de laisser leur progéniture juste au feu du boulevard avoisinant qui est à une centaine de mètres de l’entrée du lycée et ne comporte en soi aucun risque pour « les petits bouts de chou » que sont ces ados, fils et filles à papa, pleins d’ un tel entrain et d’ une telle énergie propres à décourager non seulement tout malfaiteur présumé mais à faire reculer même un éléphant enragé - et tout ceci à 8 heures du matin lors de toute l’’année scolaire! Et dire qu’il s’agit d de parents appartenant dans la plupart des cas à la haute intelligentsia et à la nomenclatura du pays !::: Quelle morgue!... Vous les occidentaux ;vous ne connaissez quasiment rien de la réalité post-totalitaire dans de tels coins reculés de l’’Europe où les anciennes pratiques antilibertaires ont cédé la place à une pression institutionelle encore plus démagogique et de tous azimuts de loin plus contraignante que celle du passé communiste lorsqu ón avait au moins l ’espoir d ‘un avenir plus juste et plus décomplexé à l ’égard de l ‘idéologie rigide marxiste ::: Mais une Europe à deux vitesses environnementales ne présage rien de bon pour le continent !
Bravo Aristide, Arthur mériterait d'être mieux connu. Il irrite hélas beaucoup de gardiens du temple qui tiennent à ce que les silos soient déconnectés. Nate Hagens dans le monde anglophone à une approche similaire et les mêmes difficultés à se faire entendre hélas car la tendance est au solutionnisme et à l'instantané
@@MetabolismofCities oui. J'ai beau connaître tout ce que les acteurs du changement expliquent. y a toujours des petites variantes. En fonction de l'autre personne dans l'échange. Et la, encore une fois, y a des choses amené et déroulé différemment. Sur certains points. Après, je suis dans le pessimisme total pour cette société. Mais optimiste pour l'après. Le problème, pour moi, c'est l'entre deux. La où ça va bien piquer. La période critique pour nos enfants et petits enfants...
« Une résilience systémique, collective, culturelle, qui a la capacité à nous auto-réorganiser et qui représente une rupture de continuité pouvant toucher les chose les plus vitales ». Ça tombe bien, c'est exactement ce que l'on fait avec la monnaie libre Ğ1 : on reprend le contrôle de la création monétaire, et on s'organise partout en France pour relocaliser nos échanges.
@54:00 exact, l'efficacité est le principe qui a fait développer nos sociétés: en économisant ici, nous dépensons là. Ainsi l'Economie s'est développée globalement grâce aux économies locales. Et ce n'est pas en demandant de faire de l'efficacité que l'on va moins émettre de CO2, on ne gagne rien en achetant un lot de bouteilles de vin plutôt qu'un billet d'avion, nos dépenses orientent juste différemment les trajets des véhicules (avions, bateaux, camions, voitures) PS: en principe, la consommation d'énergie n'augmente pas, on produit plus avec la même énergie. Mais comme ceux qui ramassent des patates ont du mal à faire du commerce avec ceux qui utilisent des machines, ils se mettent aussi à utiliser des machines PS2: du coup il faut s'attendre, alors que l'on cherche à établir une infrastructure ENR, à ce que l'on siffle les réserves d'énergies fossiles, c'est à dire le pire des scénarios du GIEC. Et rappelons-le, les pires scénarios écrits par le passé ont ou sont en train d'être dépassés PS3: puisque la sobriété volontaire (voter écolo) n'a rien donné, il faut donc s'attendre à de la sobriété subie. Comme vous l'avez peut-être remarqué, on a laissé glisser vers la guerre en Ukraine alors qu'on aurait largement pu sanctionner ce pays qui bombarde sa population -le Donbass- depuis 2014 (comme si on bombardait la Corse pour leur envie d'autonomie plutôt que de négocier). En exaspérant les russes dont on connait les méthodes (similaires aux nôtres), on les a poussés à la faute avec comme arrière-pensée de leur couper les tuyaux d'énergies, afin de rendre les énergies fossiles plus chères et moins accessibles. Car, dans la tête de nos incompétents, la déplétion naturelle de ces énergies doit être anticipée avec plus de vigueur et il faut donc accélérer la transition énergétique grâce au stress-test actuel. Une opportunité que l'on se devait de saisir. Nous sommes ainsi dans une période écono-fasciste, reconnaissable à la consommation excessive de ressources et les accumulations de dettes, cf 'les nazis et l'argent', Arte. Cette restructuration énergétique est une réponse à la déplétion des énergies fossiles et témoigne de la résilience du système énergétique: les tuyaux d'énergie sont débranchés en Europe et sont rebranchés en Inde et en Chine, logique on y a envoyé notre industrie et il faut à minima partager les ressources (les pays riches peu peuplés en ont profité avec un débit croissant, les pays pauvres très peuplés doivent au moins en profiter avec un débit décroissant) Mais cette restructuration ne répond pas aux problèmes que pose le dérèglement climatique provoqué par le réchauffement global. La sobriété subie actuellement devra donc de surcroit être augmentée, il faut donc s'attendre à une période écolo-fasciste!
Le problème en ayant que des hommes français de souche qui portent ces mouvements, c'est les biais constants. Beaucoup de populations comprennent la systémique bien mieux que nous en Occident. Beaucoup de populations connaissent les problèmes écologiques depuis des décennies. Ecoutons-les plutôt que de les voir comme des personnes non conscientes à qui on devrait enseigner notre perspective occidentale qui est la cause (le cancer) de la situation dans laquelle on est ajd.
La dynamique des systèmes est la clé pour comprendre pourquoi on va droit dans le mur. Mais heureusement nos gouvernants on pris le taureau par les cornes puisqu'ils nous condamnent à la sobriété grâce à leur politique énergétique visionnaire.
Intéressant. Par contre, comment on fait avec les différents pays du monde pour que cela soit fait pour l'ensemble de la planète. Au vue de ce qui se passe aujourd'hui, on va plutôt vers un vol de ressources pour s'assurer son propre confort national.
Ça me fait mal de le dire, mais toutes ces populations qui habitent dans des zones urbaines bétonnées à perte de vue « sont perdues ». Dans mon entourage (de gens éduqués et diplômés), ces sujets sont tabous = on ne peut même pas en parler. Difficile alors de comprendre, réfléchir et agir en conséquence. Les politiques ou les très riches pensent que leurs moyens ou relations les mettront à l’abri du déluge 😭 Certains « vieux » : que c’est un défi pour les jeunes. Pour ceux qui voient que nous sommes déjà rentrés dans le grand basculement, il ne faut plus vouloir changer le monde. Tout est fait pour qu’il ne voit pas ce qui arrive, et ne change pas. Il faut essayer travailler à sa résilience et aider les rares personnes qui ont envie de s’y mettre. Les choses prennent du temps à se mettre en place, et nous avons dépassé le point de non retour 🤷♀️
Tout à fait d'accord, c'est hyper violent d'ailleurs, quand des proches disent (je l'ai vécu dernièrement) : oh mais t'es pessimiste, moi je préfère croire qu'on va trouver des solutions... Comme si les solutions allaient tomber du ciel, ce n'est pourtant pas un croyant qui m'a dit ça😂 Et puis l'éducation, la pression social, c'est violent au quotidien, j'aimerais tellement essayer quelque chose, mais autour de moi ce n'est que des gens qui sont enracinés dans leur mode de vie. Je m'intéresse toujours au sujet, mais je lâche prise, je vais finir par vivre ma vie en me disant "je verrai bien..." Cette violence me fatigue.
Moi, j'ai remarqué que c'était surtout tabou pour les gens qui ont des enfants petit ou grands. Ça en fait du monde… C'est trop horrifiant pour eux de se dire que leur progéniture n'a pas d'avenir. Et je les comprends (c'est même pour ça que je n'ai jamais fait d'enfant).
La gouvernance par la peur n'amène pas a la resilience seulement à la soumission. la nature est beaucoup plus généreuses que cela connaitre toutes les plantes et arbres comestibles .Assouvir les besoins primaires .
1: j'ai moi-même une maison assez grande, que j'ai faite construire avant ma prise de conscience de ce problème systémique. 2: je n'ai pas entendu (j'ai peut-être été distrait) que c'était le domicile de Keller. 3: si c'est une maison ancienne qui a été retapée, je vois pas le problème. 4: en quoi cela change les faits ou l'expertise de cet ingénieur ? Quand on ne peut attaquer le discours, on s'en prend à celui qui le tient. Grosse ficelle rhétorique qui cache assez mal un aveu de faiblesse.
Bonjour. Exploitant agricole, je suis tres touché par ce discourt qui me parle. Toute fois, je ne sais pas comment, car tres enfermé dans le système actuel, réellement, à mon échelle faire évoluer mon système. Je suis prêt à participer à de tels travaux, auriez vous des contacts pour m'y aider.
Chantiers coopératifs? Où? Comment? Avec qui? J’entends qu’il ne faut pas en même temps que les personnalités trop fortes nous entendent pas non plus? Je connais bien par ma profession les humains et … mouais , comment?!!
Avant d'invoquer une autorité qui aurait un peu de contrôle sur l'agitation humaine qui met en branle des forces de plus en plus grandes organisez vous avec vos proches et ne faites pas trop de paris risqués. Ce qui caractérise l'univers dans lequel nous sommes et dont nous recevons l'énergie c'est l'agitation permanente pour dépasser les limites . Et les zones où une civilisation arrive à créer un état stationnaire sont destinées à être envahies = histoire de la terre, pas que de la matière pensante.
Pour le sujet de la démographie, je vous propose de regarder cet entretien d'Emmanuel Pont sur le GreenLetter Club th-cam.com/video/xITfaSfYAJo/w-d-xo.html
@@MetabolismofCities j'avais écouté , c'est un entretien qui date dil y a quelques mois . Le problème reste toujours la démographie, que l'Allemagne, la Russie ou quelque soit le pays occidental dont il y a une baisse , le hic vient de l'Afrique, de l'Amérique latine
Vous oubliez les grandes disparités qu'il existe entre les populations humaines au niveau mondial, notamment en terme de consommation, de développement et donc d'impacts sur notre système terre.
Si toute l'humanité vivait comme les populations africaines, à l'heure actuelle, les problèmes seraient bien moindres je pense. Ça ne veut pas dire que c'est ce que je veux. Mais je pense qu'il faut tenir compte que ce sont nos modes de vie occidentaux qui posent problème. Pas ceux des pays du "Sud".
@@phd3752 nous entendons ce genre de comparaison simpliste , les méchants blancs occidentaux et les gentils "autres" mais en y regardant de plus prêt... La population africaine à été multiplié par plus de 10 en 1 siècle , passant de 100 millions à plus d'un milliard aujourd'hui et c'est pas fini ... Évidemment cette évolution c'est faite au détriment de l'environnement (artificialisation, déforestation, appauvrissement des sols , migrations etc )il faut noter aussi , mais il faudrait avoir les chiffres, des millions d'africains consomment comme les occidentaux. Il y aurait bcp à dire et on ne doit pas oublier l'Amérique latine (le Brésil particulier) etc ... La démographie humaine est la seule cause de la destruction du vivant mais c'est un sujet délicat que bien peu abordent
Pour changer le système comme le propose Arthur Keller, je ne vois que deux pistes crédibles pour une réelle résilience : Développer la démocratie délibérative et l'économie coopérative. th-cam.com/users/Cogitonspour2022
Arthur Keller, comme plus largement les brillants collapsologues ses confrères et concurrents, reste très prudent et discret sur les risques qui gênent, à commencer par la démographie et les déplacements de population. On entre là dans le tabou. Laurent Obertone ou Piero Sangiorgio décrivent l’autre face des risques systémiques des cités. Pourquoi ne pas les inviter ?
Parce qu'ils se focalisent sur ça justement. Pour eux le problème numéro 1 c'est une des conséquences du changement climatique et du tarissement des ressources, les flux migratoires. Ça cache assez mal des positions bien racistes (théorie fumeuse du grand remplacement) et pense que réduire la population mondiale serait la solution... ... Sauf que la grande majorité des dégâts sur l'environnement est issue du mode de vie hyper energivore de quelques 2 milliards de personnes les plus riches: et ça inclut un smicard français. Allez dire à un Tchadien qui fuit son pays en sécheresse permanente qu'il est en trop et doit se démerder. Lui il a pas de voiture, ne prend pas l'avion, n'a pas 4 à 5 écrans connectés à Internet dans une maison en béton de plus de 60m2, ne se chauffe pas au gaz, n'a parfois même pas l'électricité dans son village, ne consomme pas de produits transformés... ... Mais bien sûr, c'est lui le danger.
Quel ego ! Moi je sais, moi je comprends, on va pas rentrer dans les détails mais je peux vous expliquer, je donne des cours. Le tout en moins de 5mn. Et pour le reste, rien de bien nouveau.
Les contenus sont intéressants mais pourquoi, Dieu pourquoi un foutu titre de chaîne en anglais pour une chaîne francophone ? "Métabolisme des Cités" ou "Métabolisme de la Cité" ne sonne pas bien ? Rien que pour ça, pas d'abo ni de partage.... Pfffff
Apparamment, il ne faut pas beaucoup pour s'énerver, ce n'est qu'un titre de chaîne :). La chaîne est traditionnellement anglophone car elle est reliée à une association internationale anglophone (metabolismofcities.org/). Metabolism of Cities fait également référence à un des premiers articles scientifiques sur le métabolisme urbain intitulée ... Metabolism of Cities d'Abel Wolman en 1965 (www.scientificamerican.com/article/the-metabolism-of-cities/). Depuis peu, les contenus sont également francophones. Dans le futur, les deux langues vont être présentes sur la chaîne.
C'est quoi la résilience ? Ah, la capacité à rebondir. C'est quoi la sobriété ? Ah, le retour en pauvreté. Est-ce possible après la mort tout ça ???? Hihihi !!!! Hihi !!!!
à 56:00 La dystopie éco-systémique, c'est expérimental ou ça faisait parti du plan ? Sarcasmes off, en partant des perspectives il est bien des choses qui ne semblent pas si "expérimental" à bien y regarder la peser. Ou alors, ça fait part du plan, au prétexte que, les phénomènes biologique finissent invariablement par l'épuisement des ressources, et donc, nous y voilà, plus malin qu'un singe, stupide comme un mouton de panurge.
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Ce que j'aime avec Keller, c'est l'approche systémique. Il a le mérite d'aborder ça de manière holistique au lieu de se concentrer sur les problèmes individuels, en particulier le réchauffement climatique, sur lequel on se focalise beaucoup (trop ?) aux dépens d'autres, qui sont tout aussi graves.
Malheureusement, on a été shootés pendant deux cents ans à une drogue d'enfer qui nous a fait planer comme des fous, avec un niveau de richesse et de confort jamais atteints auparavant. C'est une illusion de croire qu'on va aller de bon cœur en cure de désintox, et se désintoxiquer dans le laps de temps qu'il faudrait. On va se sevrer contraints et forcés, et ce genre de trucs ne se passe jamais sans douleur...
Merci Arthur ♡ grâce à toi, nous sommes sans illusion... mais pas sans motivation pour bien faire avec nos voisins et amis !
Enfin quelqu'un dont l'analyse, le discours et les solutions me paraît enfin censé !!!!
Il faut le cloner notre Arthur et le mettre à la place de nos décideurs.
Un ÉNORME merci et BRAVO pour cet entretien : « Effectivement nous sommes arrivés à la CROISÉE des chemins « . Tout est lié,le principe à la base de la SYSTÉMIQUE, de notre ESPOIR LUCIDE dépend notre AVENIR commun ! : 🌍🤩🤩🤩🕊👏👏👏👏👏👏👏👏👏
Merci Lydia !
Le moment clé pour moi c'est 34:04 : toute l'approche aujourd'hui est basée sur le fait qu'on puisse retrouver la 'normalité' qu'on a connue dans le passé. Et malheureusement, trop peu ont compris que cette normalité a disparu à jamais. D'où, pour caricaturer, les agitations pour 'passer l'hiver' au lieu de préparer un mode de vie durable/résilient/souhaitable dans le temps
Et que cette normalité n'avait rien de normal. C'était plutôt une anomalie pendant une période très courte.
Super Arthur ton analyse et des solutions se sont encore affinés, précisés avec le temps. Bravo !
Merci à tous les deux ! Nous avions déjà écouté plusieurs fois des conférences et interventions d'Arthur Keller mais là effectivement il va encore plus loin en affinant ses propos. Merci !!
Messages de la fin d'entretien bien reçus !!
Écouté aussi Vincent mignerot ...formidable !
Ce qui est le plus frustrant c’est que notre société est tellement boulimique que les 3 quarts des ressources finissent sur les joues et le bavoir du bébé que l’on appelle humanité… a t on besoin de déplacer 2 tonnes de ferraille pour déplacer un humain, à ton besoin de construire des locaux pour chaque usage plutôt que de mutualisé et organiser l’usage tour à tour, faut il vraiment nourrir des bovins avec des céréales alors qu’ils ont évolués pour être optimaux dans certains milieux, pompes à chaleur et isolation plutôt que gaz ou mazout… solaire thermique… emballage, aller retour de marchandises jusqu’à plusieurs fois le tour de la terre pour la production de certains objets et souvent c’est même rageant de voir que certaines solutions ne sont pas accessibles mêmes si il y a de la demande ou que les normes légales sont tellement en retard qu’elles freinent certains projets durables. En fait on pourrait faire une décroissance réelle sans décroissance d’usage, une voiture peu puissante de 500kg vas aussi d’un point A à un point B
Arthur Keller toujours aussi intéressant. Merci pour cet interview.
A propos de la sensibilisation des populations qu’évoque timidement A. Keller, - qu’’il y ait du mal à organiser la formation de certaines élites en France ou ailleurs aux risques systémiques, j’’y suis complètement d’’accord !
Mais - de même- il faut un effort européen - et pas des moindres - de sensibilisation systémique à la culture et à l’esprit écolo des élites de certains pays de l’Est, tels la Bulgarie où l’ignorance et même la suffisance des nantis à l’égard de la préservation de l’’environnement (qu’affichent certains groupes sociaux plus ou moins mieux lotis que les autres pans de la population) s’avèrent d’une arrogance écoeurante! !
Il suffit de débarquer au moins un bon matin à Sofia, la métropole de la Bulgarie, pour voir de la hauteur de mon appart, l’embouteillage régulier d’au moins une cinquantaine de voitures chacune attendant son tour de déposer juste devant l’’entrée de l’école en face, à proximité du Parc Sud de la ville ( à savoir le lycée de langue allemande, établissement - entre nous soit dit -plus ou moins élitiste à l’echelle du pays) le prince ado de 15 à 16 ans, plus corpulent dans la plupart des cas que le bulgare moyen lambda, mais dont les parents cherchent à lui éviter les 150 pas à faire pour franchir le seuil de l’’école sans que les autos s’attardent dans la rue étroite en brûlant 15 fois plus de CO2 bloquées dans une immobilité consternante par la bêtise éffarante de leurs conducteurs préférant rester coincés dans un encombrement d’’une vingtaine de minutes au lieu de laisser leur progéniture juste au feu du boulevard avoisinant qui est à une centaine de mètres de l’entrée du lycée et ne comporte en soi aucun risque pour « les petits bouts de chou » que sont ces ados, fils et filles à papa, pleins d’ un tel entrain et d’ une telle énergie propres à décourager non seulement tout malfaiteur présumé mais à faire reculer même un éléphant enragé - et tout ceci à 8 heures du matin lors de toute l’’année scolaire!
Et dire qu’il s’agit d de parents appartenant dans la plupart des cas à la haute intelligentsia et à la nomenclatura du pays !::: Quelle morgue!...
Vous les occidentaux ;vous ne connaissez quasiment rien de la réalité post-totalitaire dans de tels coins reculés de l’’Europe où les anciennes pratiques antilibertaires ont cédé la place à une pression institutionelle encore plus démagogique et de tous azimuts de loin plus contraignante que celle du passé communiste lorsqu ón avait au moins l ’espoir d ‘un avenir plus juste et plus décomplexé à l ’égard de l ‘idéologie rigide marxiste :::
Mais une Europe à deux vitesses environnementales ne présage rien de bon pour le continent !
Tellement intéressant Arthur. Allez, bien le bonjour du Québec
Bravo Aristide, Arthur mériterait d'être mieux connu. Il irrite hélas beaucoup de gardiens du temple qui tiennent à ce que les silos soient déconnectés. Nate Hagens dans le monde anglophone à une approche similaire et les mêmes difficultés à se faire entendre hélas car la tendance est au solutionnisme et à l'instantané
Génial. Merci pour l'entretien.
Merci à toi Christophe. J'espère que l'entretien était enrichissant.
@@MetabolismofCities oui. J'ai beau connaître tout ce que les acteurs du changement expliquent. y a toujours des petites variantes. En fonction de l'autre personne dans l'échange. Et la, encore une fois, y a des choses amené et déroulé différemment. Sur certains points.
Après, je suis dans le pessimisme total pour cette société. Mais optimiste pour l'après. Le problème, pour moi, c'est l'entre deux. La où ça va bien piquer. La période critique pour nos enfants et petits enfants...
Super épisode :) Bravo Aristide.
Merci beaucoup Maxime 🙏🙏! Et merci encore d'avoir mis à disposition ce lieu magnifique !
11:05 je me reconnais pas mal et j'en suis plutôt content
« Une résilience systémique, collective, culturelle, qui a la capacité à nous auto-réorganiser et qui représente une rupture de continuité pouvant toucher les chose les plus vitales ».
Ça tombe bien, c'est exactement ce que l'on fait avec la monnaie libre Ğ1 : on reprend le contrôle de la création monétaire, et on s'organise partout en France pour relocaliser nos échanges.
@54:00 exact, l'efficacité est le principe qui a fait développer nos sociétés: en économisant ici, nous dépensons là. Ainsi l'Economie s'est développée globalement grâce aux économies locales. Et ce n'est pas en demandant de faire de l'efficacité que l'on va moins émettre de CO2, on ne gagne rien en achetant un lot de bouteilles de vin plutôt qu'un billet d'avion, nos dépenses orientent juste différemment les trajets des véhicules (avions, bateaux, camions, voitures)
PS: en principe, la consommation d'énergie n'augmente pas, on produit plus avec la même énergie. Mais comme ceux qui ramassent des patates ont du mal à faire du commerce avec ceux qui utilisent des machines, ils se mettent aussi à utiliser des machines
PS2: du coup il faut s'attendre, alors que l'on cherche à établir une infrastructure ENR, à ce que l'on siffle les réserves d'énergies fossiles, c'est à dire le pire des scénarios du GIEC. Et rappelons-le, les pires scénarios écrits par le passé ont ou sont en train d'être dépassés
PS3: puisque la sobriété volontaire (voter écolo) n'a rien donné, il faut donc s'attendre à de la sobriété subie. Comme vous l'avez peut-être remarqué, on a laissé glisser vers la guerre en Ukraine alors qu'on aurait largement pu sanctionner ce pays qui bombarde sa population -le Donbass- depuis 2014 (comme si on bombardait la Corse pour leur envie d'autonomie plutôt que de négocier). En exaspérant les russes dont on connait les méthodes (similaires aux nôtres), on les a poussés à la faute avec comme arrière-pensée de leur couper les tuyaux d'énergies, afin de rendre les énergies fossiles plus chères et moins accessibles. Car, dans la tête de nos incompétents, la déplétion naturelle de ces énergies doit être anticipée avec plus de vigueur et il faut donc accélérer la transition énergétique grâce au stress-test actuel. Une opportunité que l'on se devait de saisir.
Nous sommes ainsi dans une période écono-fasciste, reconnaissable à la consommation excessive de ressources et les accumulations de dettes, cf 'les nazis et l'argent', Arte.
Cette restructuration énergétique est une réponse à la déplétion des énergies fossiles et témoigne de la résilience du système énergétique: les tuyaux d'énergie sont débranchés en Europe et sont rebranchés en Inde et en Chine, logique on y a envoyé notre industrie et il faut à minima partager les ressources (les pays riches peu peuplés en ont profité avec un débit croissant, les pays pauvres très peuplés doivent au moins en profiter avec un débit décroissant)
Mais cette restructuration ne répond pas aux problèmes que pose le dérèglement climatique provoqué par le réchauffement global. La sobriété subie actuellement devra donc de surcroit être augmentée, il faut donc s'attendre à une période écolo-fasciste!
Bonjour , la commune en Bretagne ou le maire a réquisitionné des terres , c'est à Moêlan Sur Mer dans le sud Finistère ...
Le problème en ayant que des hommes français de souche qui portent ces mouvements, c'est les biais constants. Beaucoup de populations comprennent la systémique bien mieux que nous en Occident. Beaucoup de populations connaissent les problèmes écologiques depuis des décennies. Ecoutons-les plutôt que de les voir comme des personnes non conscientes à qui on devrait enseigner notre perspective occidentale qui est la cause (le cancer) de la situation dans laquelle on est ajd.
Merci Arthur.
Le "gros défaut", cela s'appelle être surdoué.
La dynamique des systèmes est la clé pour comprendre pourquoi on va droit dans le mur.
Mais heureusement nos gouvernants on pris le taureau par les cornes puisqu'ils nous condamnent à la sobriété grâce à leur politique énergétique visionnaire.
Intéressant. Par contre, comment on fait avec les différents pays du monde pour que cela soit fait pour l'ensemble de la planète.
Au vue de ce qui se passe aujourd'hui, on va plutôt vers un vol de ressources pour s'assurer son propre confort national.
*petite correction à 1:08:10 Nous avons 150 ans de charbon (si on continue à exploiter comme aujourd'hui) avec les réserves actuelles.
Ça me fait mal de le dire, mais toutes ces populations qui habitent dans des zones urbaines bétonnées à perte de vue « sont perdues ».
Dans mon entourage (de gens éduqués et diplômés), ces sujets sont tabous = on ne peut même pas en parler.
Difficile alors de comprendre, réfléchir et agir en conséquence.
Les politiques ou les très riches pensent que leurs moyens ou relations les mettront à l’abri du déluge 😭
Certains « vieux » : que c’est un défi pour les jeunes.
Pour ceux qui voient que nous sommes déjà rentrés dans le grand basculement, il ne faut plus vouloir changer le monde. Tout est fait pour qu’il ne voit pas ce qui arrive, et ne change pas.
Il faut essayer travailler à sa résilience et aider les rares personnes qui ont envie de s’y mettre.
Les choses prennent du temps à se mettre en place, et nous avons dépassé le point de non retour 🤷♀️
Tout à fait d'accord, c'est hyper violent d'ailleurs, quand des proches disent (je l'ai vécu dernièrement) : oh mais t'es pessimiste, moi je préfère croire qu'on va trouver des solutions... Comme si les solutions allaient tomber du ciel, ce n'est pourtant pas un croyant qui m'a dit ça😂
Et puis l'éducation, la pression social, c'est violent au quotidien, j'aimerais tellement essayer quelque chose, mais autour de moi ce n'est que des gens qui sont enracinés dans leur mode de vie.
Je m'intéresse toujours au sujet, mais je lâche prise, je vais finir par vivre ma vie en me disant "je verrai bien..." Cette violence me fatigue.
Moi, j'ai remarqué que c'était surtout tabou pour les gens qui ont des enfants petit ou grands. Ça en fait du monde… C'est trop horrifiant pour eux de se dire que leur progéniture n'a pas d'avenir. Et je les comprends (c'est même pour ça que je n'ai jamais fait d'enfant).
Merci encore Arthur..... Regardez Projet Mocica
J adore !!!!
Je suis comme vous mais je n en est pas les moyens intellectuel..dommage !!!
Les villes sont le symptome de l'argent; les communes, de la raison.
La gouvernance par la peur n'amène pas a la resilience seulement à la soumission. la nature est beaucoup plus généreuses que cela connaitre toutes les plantes et arbres comestibles .Assouvir les besoins primaires .
très bon !
magnifique loft de 5 metres hauteur plafond... bon je pars entrer entrer en résilience dans mon 2 pieces de 23m2...
1: j'ai moi-même une maison assez grande, que j'ai faite construire avant ma prise de conscience de ce problème systémique.
2: je n'ai pas entendu (j'ai peut-être été distrait) que c'était le domicile de Keller.
3: si c'est une maison ancienne qui a été retapée, je vois pas le problème.
4: en quoi cela change les faits ou l'expertise de cet ingénieur ?
Quand on ne peut attaquer le discours, on s'en prend à celui qui le tient. Grosse ficelle rhétorique qui cache assez mal un aveu de faiblesse.
Bonjour.
Exploitant agricole, je suis tres touché par ce discourt qui me parle.
Toute fois, je ne sais pas comment, car tres enfermé dans le système actuel, réellement, à mon échelle faire évoluer mon système.
Je suis prêt à participer à de tels travaux, auriez vous des contacts pour m'y aider.
Et que penses tu de l'intelligence artificielle?
Chantiers coopératifs? Où? Comment? Avec qui? J’entends qu’il ne faut pas en même temps que les personnalités trop fortes nous entendent pas non plus? Je connais bien par ma profession les humains et … mouais , comment?!!
Avant d'invoquer une autorité qui aurait un peu de contrôle sur l'agitation humaine qui met en branle des forces de plus en plus grandes organisez vous avec vos proches et ne faites pas trop de paris risqués. Ce qui caractérise l'univers dans lequel nous sommes et dont nous recevons l'énergie c'est l'agitation permanente pour dépasser les limites . Et les zones où une civilisation arrive à créer un état stationnaire sont destinées à être envahies = histoire de la terre, pas que de la matière pensante.
20:00
C'est quoi votre deal Avec greenletter club? Moi aussi j'aimerais avoir un deal.pour un studio haha
Toujours très bien ces entretiens par contre le sujet de la démographie humaine n'est aborder la démographie est la base des problèmes.
Pour le sujet de la démographie, je vous propose de regarder cet entretien d'Emmanuel Pont sur le GreenLetter Club th-cam.com/video/xITfaSfYAJo/w-d-xo.html
@@MetabolismofCities j'avais écouté , c'est un entretien qui date dil y a quelques mois .
Le problème reste toujours la démographie, que l'Allemagne, la Russie ou quelque soit le pays occidental dont il y a une baisse , le hic vient de l'Afrique, de l'Amérique latine
Vous oubliez les grandes disparités qu'il existe entre les populations humaines au niveau mondial, notamment en terme de consommation, de développement et donc d'impacts sur notre système terre.
Si toute l'humanité vivait comme les populations africaines, à l'heure actuelle, les problèmes seraient bien moindres je pense. Ça ne veut pas dire que c'est ce que je veux. Mais je pense qu'il faut tenir compte que ce sont nos modes de vie occidentaux qui posent problème. Pas ceux des pays du "Sud".
@@phd3752 nous entendons ce genre de comparaison simpliste , les méchants blancs occidentaux et les gentils "autres" mais en y regardant de plus prêt...
La population africaine à été multiplié par plus de 10 en 1 siècle , passant de 100 millions à plus d'un milliard aujourd'hui et c'est pas fini ... Évidemment cette évolution c'est faite au détriment de l'environnement (artificialisation, déforestation, appauvrissement des sols , migrations etc )il faut noter aussi , mais il faudrait avoir les chiffres, des millions d'africains consomment comme les occidentaux. Il y aurait bcp à dire et on ne doit pas oublier l'Amérique latine (le Brésil particulier) etc ...
La démographie humaine est la seule cause de la destruction du vivant mais c'est un sujet délicat que bien peu abordent
Pour changer le système comme le propose Arthur Keller, je ne vois que deux pistes crédibles pour une réelle résilience : Développer la démocratie délibérative et l'économie coopérative. th-cam.com/users/Cogitonspour2022
make Hamish grreat again
😆
Arthur Keller, comme plus largement les brillants collapsologues ses confrères et concurrents, reste très prudent et discret sur les risques qui gênent, à commencer par la démographie et les déplacements de population. On entre là dans le tabou. Laurent Obertone ou Piero Sangiorgio décrivent l’autre face des risques systémiques des cités. Pourquoi ne pas les inviter ?
Parce qu'ils se focalisent sur ça justement. Pour eux le problème numéro 1 c'est une des conséquences du changement climatique et du tarissement des ressources, les flux migratoires.
Ça cache assez mal des positions bien racistes (théorie fumeuse du grand remplacement) et pense que réduire la population mondiale serait la solution...
... Sauf que la grande majorité des dégâts sur l'environnement est issue du mode de vie hyper energivore de quelques 2 milliards de personnes les plus riches: et ça inclut un smicard français.
Allez dire à un Tchadien qui fuit son pays en sécheresse permanente qu'il est en trop et doit se démerder. Lui il a pas de voiture, ne prend pas l'avion, n'a pas 4 à 5 écrans connectés à Internet dans une maison en béton de plus de 60m2, ne se chauffe pas au gaz, n'a parfois même pas l'électricité dans son village, ne consomme pas de produits transformés...
... Mais bien sûr, c'est lui le danger.
45 minutes de palabres pour arriver à des choses concrètes. Et pourtant il parle tellement vite qu'il n'arrive pas toujours à finir ses phrases. ;-)
Albert Allen Bartlett : « La plus grande faiblesse de l'espèce humaine vient de son incapacité à comprendre la fonction exponentielle. »
Vous êtes pas tannés de vouloir imiter les Américains en mimant leur langue avec des titres révélant votre aliénation.
J'aurais bien une solution .............mais ça ne va pas vous plaire, vous n'allez pas aimer !!!!
Pour ceux qui aiment ces sujets, d'autres chaînes à conseiller : greenletterclub, thinkerview, elucid, blast
💪GreenLetter Club c'est au top.
Quel ego !
Moi je sais, moi je comprends, on va pas rentrer dans les détails mais je peux vous expliquer, je donne des cours.
Le tout en moins de 5mn.
Et pour le reste, rien de bien nouveau.
Les contenus sont intéressants mais pourquoi, Dieu pourquoi un foutu titre de chaîne en anglais pour une chaîne francophone ? "Métabolisme des Cités" ou "Métabolisme de la Cité" ne sonne pas bien ? Rien que pour ça, pas d'abo ni de partage.... Pfffff
Apparamment, il ne faut pas beaucoup pour s'énerver, ce n'est qu'un titre de chaîne :). La chaîne est traditionnellement anglophone car elle est reliée à une association internationale anglophone (metabolismofcities.org/). Metabolism of Cities fait également référence à un des premiers articles scientifiques sur le métabolisme urbain intitulée ... Metabolism of Cities d'Abel Wolman en 1965 (www.scientificamerican.com/article/the-metabolism-of-cities/). Depuis peu, les contenus sont également francophones. Dans le futur, les deux langues vont être présentes sur la chaîne.
@@MetabolismofCities Bah voyons... C'est quand même participer à l'épandage de l'anglo-saxon en terme de langue. Mais bon, bonjour chez vous.
Nommons le cancer …
C'est quoi la résilience ? Ah, la capacité à rebondir. C'est quoi la sobriété ? Ah, le retour en pauvreté. Est-ce possible après la mort tout ça ???? Hihihi !!!! Hihi !!!!
Pis, il y a quoi dans cette cave, Mr. Keller ?????
dépôt de bilan
à 56:00 La dystopie éco-systémique, c'est expérimental ou ça faisait parti du plan ? Sarcasmes off, en partant des perspectives il est bien des choses qui ne semblent pas si "expérimental" à bien y regarder la peser. Ou alors, ça fait part du plan, au prétexte que, les phénomènes biologique finissent invariablement par l'épuisement des ressources, et donc, nous y voilà, plus malin qu'un singe, stupide comme un mouton de panurge.