Premièrement on critique le tribunal médiatique et en second temps on n’y participe voilà ce que elles nous ont proposé. Il faudrait un minimum de cohérence mesdames
Si un simple quidam avait parlé comme Becbédé, il n'aurait pas obtenu la même indulgence de votre part. D'ailleurs vos n'auriez pas dit son nom mais vous l'auriez appelé l'individu, histoire de lui ôter toute identité et tout droit à une once de tolérance. Toutes ces personnalités heureuses d'être vues devraient l'être puisqu'on continue à parler d'eux. Et les victimes qu'en disent-elles????
C'est totalement faux de laisser croire que la société d'il y a 50 ans permettaient des délits ou des crimes qu'elle condamne aujourd'hui. Ces agissements étaient faits devant petit comité ayant un lien de subordination ! raison pour laquelle, rien ne sortait ! Mais le phénomène est devenu tellement important, qu'il a gagné tous les métiers et le cinéma a une lourde responsabilité, dans sa tour d'ivoire, à avoir exposé les femmes vivant dans des milieux moins "protégées" comme peuvent l'être celles qui sont protégées par une "enceinte juridique". C'est la justice qu'il faut réformer. Elle n'a pas les moyens d'investiguer et ne versent dans des dossiers vides, que du déclaratif. C'est parole contre parole et la parole de quelqu'un qui a un niveau social supérieur est sacralisé par principe et pas seulement. En 2011, il y a donc 12 ans, Roland Coutanceau, psychiatre précurseur dans la prise en charge des agresseurs sexuels, affirmait dans un article sur Basta ! "Il n’y a pas de profil type d’agresseur. Ce sont des hommes « normaux », intégrés à la société, souvent mariés et pères de famille. Une étude du collectif féministe contre le viol, basée sur 300 agresseurs, montre qu’ils sont particulièrement présents dans les professions suivantes : médicales et para-médicales (23 %), enseignement et animation (17 %), responsabilités d’encadrement (13 %), métiers de la loi et de l’ordre (10 %). Cette réalité suscite l’incrédulité. On préférerait pouvoir attribuer cette barbarie à quelqu’un qui ne nous ressemble pas. De la même façon et dans le même article en 2011, la sociologue Véronique Le Goaziou met en évidence une réalité déconcertante : après avoir épluché 425 dossiers de viols jugés en cour d’assises, elle note que 93 % des violeurs présumés sont issus des classes populaires. 41 % d’entre eux sont même chômeurs ou précaires. « Toutes les enquêtes montrent que le viol touche tous les milieux sociaux. Mais la grande majorité des agresseurs condamnés sont des pauvres. Où sont passés les autres ?!!! .... Ce qui est clair c'est que les prédateurs sexuels en col blanc sont protégés par la justice. Une vidéo circule, en 2022, on dénoncait 84.000 viols et agressions sexuelles en France selon les statistiques de la police, hors on sait que les plaintes déposées ne représentent que 2 %, ce qui signifie qu'il y a potentiellement 3.696.000 agressions sexuelles en France, sous diverses formes ?! un vrai fléau et raz-de-marée. On s'étonne que les femmes, aujourd'hui, ne puissent plus sortir, aller au travail, répondre à des offres d'emplois douteuses. La prédation sexuelle est devenue le sport national ! Depuis 11 ans, les associations alertent ! Les victimes sont aujourd'hui dirigées vers des institutions, elle-mêmes vérolées par ce fléau passé sous le tapis. Le viol est considéré comme une simple agression physique. C'est faux. Le viol est une attaque physique ayant pour cible la zone intime et sexuelle. C'est une violation de l'intégrité d'une personne, de la construction de son psychisme, de son rapport à soi et de son rapport aux autres. Le viol permet d'imposer à une autre personne, LA volonté du prédateur, SON corps, SA puissance, SA prédation sexuelle. C'est une déflagration dans la psyché d'une personne (enfant, femme, homme). C'est une humiliation pour la personne mais aussi pour sa famille. Pourquoi les prédateurs sexuels sont les seuls à n'éprouver aucune honte et à inverser la charge de la responsabilité sur les victimes ? Comme par hasard, les prédateurs en col blancs ne s'en prennent pas (ou très peu) à des victimes de leur classe sociale. Ces viols sont de la prédation sexuelle, mais pas uniquement !
La quasi impunité des atteintes sexuelles engendre ces faits de société mais il ne s'agit là que de la face immergée de l'iceberg face aux sans titres qui, elles, voient leurs dossiers classés sans suite.
Mesdames les féministes on vous entend pas sur les crimes qu'on subit les femmes juives en Israël et les femmes en Iran c'est toujours à geometrie variable
Merci aux avocates d'avoir recadrer le vrai sujet vers un respect du droit humain lors des gardes à vue et de la présomption d'innocence.
Merci Laure Heinich d’avoir recentré le débat sur les vraies questions. Ça fait un bien fou. Implacable
MERCI Laure Heinich de rappeler que la présomption d'innocence est, dans les faits, à géométrie variable...
Premièrement on critique le tribunal médiatique et en second temps on n’y participe voilà ce que elles nous ont proposé.
Il faudrait un minimum de cohérence mesdames
:--) c'est vrai que y a un peu de ça dans leurs interventions
Si un simple quidam avait parlé comme Becbédé, il n'aurait pas obtenu la même indulgence de votre part. D'ailleurs vos n'auriez pas dit son nom mais vous l'auriez appelé l'individu, histoire de lui ôter toute identité et tout droit à une once de tolérance. Toutes ces personnalités heureuses d'être vues devraient l'être puisqu'on continue à parler d'eux. Et les victimes qu'en disent-elles????
C'est totalement faux de laisser croire que la société d'il y a 50 ans permettaient des délits ou des crimes qu'elle condamne aujourd'hui. Ces agissements étaient faits devant petit comité ayant un lien de subordination ! raison pour laquelle, rien ne sortait !
Mais le phénomène est devenu tellement important, qu'il a gagné tous les métiers et le cinéma a une lourde responsabilité, dans sa tour d'ivoire, à avoir exposé les femmes vivant dans des milieux moins "protégées" comme peuvent l'être celles qui sont protégées par une "enceinte juridique".
C'est la justice qu'il faut réformer. Elle n'a pas les moyens d'investiguer et ne versent dans des dossiers vides, que du déclaratif. C'est parole contre parole et la parole de quelqu'un qui a un niveau social supérieur est sacralisé par principe et pas seulement.
En 2011, il y a donc 12 ans,
Roland Coutanceau, psychiatre précurseur dans la prise en charge des agresseurs sexuels, affirmait dans un article sur Basta ! "Il n’y a pas de profil type d’agresseur. Ce sont des hommes « normaux », intégrés à la société, souvent mariés et pères de famille. Une étude du collectif féministe contre le viol, basée sur 300 agresseurs, montre qu’ils sont particulièrement présents dans les professions suivantes : médicales et para-médicales (23 %), enseignement et animation (17 %), responsabilités d’encadrement (13 %), métiers de la loi et de l’ordre (10 %). Cette réalité suscite l’incrédulité. On préférerait pouvoir attribuer cette barbarie à quelqu’un qui ne nous ressemble pas.
De la même façon et dans le même article en 2011, la sociologue Véronique Le Goaziou met en évidence une réalité déconcertante : après avoir épluché 425 dossiers de viols jugés en cour d’assises, elle note que 93 % des violeurs présumés sont issus des classes populaires. 41 % d’entre eux sont même chômeurs ou précaires. « Toutes les enquêtes montrent que le viol touche tous les milieux sociaux. Mais la grande majorité des agresseurs condamnés sont des pauvres. Où sont passés les autres ?!!! ....
Ce qui est clair c'est que les prédateurs sexuels en col blanc sont protégés par la justice.
Une vidéo circule, en 2022, on dénoncait 84.000 viols et agressions sexuelles en France selon les statistiques de la police, hors on sait que les plaintes déposées ne représentent que 2 %, ce qui signifie qu'il y a potentiellement 3.696.000 agressions sexuelles en France, sous diverses formes ?! un vrai fléau et raz-de-marée.
On s'étonne que les femmes, aujourd'hui, ne puissent plus sortir, aller au travail, répondre à des offres d'emplois douteuses. La prédation sexuelle est devenue le sport national ! Depuis 11 ans, les associations alertent ! Les victimes sont aujourd'hui dirigées vers des institutions, elle-mêmes vérolées par ce fléau passé sous le tapis.
Le viol est considéré comme une simple agression physique. C'est faux. Le viol est une attaque physique ayant pour cible la zone intime et sexuelle. C'est une violation de l'intégrité d'une personne, de la construction de son psychisme, de son rapport à soi et de son rapport aux autres. Le viol permet d'imposer à une autre personne, LA volonté du prédateur, SON corps, SA puissance, SA prédation sexuelle. C'est une déflagration dans la psyché d'une personne (enfant, femme, homme). C'est une humiliation pour la personne mais aussi pour sa famille. Pourquoi les prédateurs sexuels sont les seuls à n'éprouver aucune honte et à inverser la charge de la responsabilité sur les victimes ?
Comme par hasard, les prédateurs en col blancs ne s'en prennent pas (ou très peu) à des victimes de leur classe sociale. Ces viols sont de la prédation sexuelle, mais pas uniquement !
j'ai pas vu les sept minutes de rush de depardieu: question à celleux qui les ont vu : y a des choses qui tombent sous le coup de la loi dedans ?
La quasi impunité des atteintes sexuelles engendre ces faits de société mais il ne s'agit là que de la face immergée de l'iceberg face aux sans titres qui, elles, voient leurs dossiers classés sans suite.
Mesdames les féministes on vous entend pas sur les crimes qu'on subit les femmes juives en Israël et les femmes en Iran c'est toujours à geometrie variable
salamé fait comm ci elle ne savait pas...cette arriviste....
Présomption d'innocence d e Depardieu??Que faut i pour qu'on soit assuré de sa culpabilité? Une vidéo de viols?
Même avec une vidéo, ça serait de l'humour, et puis on a pas le contexte, c'est peut être la gamine de 10ans qui l'a chauffé.
Euh une inculpation.
salut françoise ! si la justice le condamne il sera coupable. tant que la justice ne l'a pas condamné il est présumé innocent.