Berlioz, Nuits d'été. Janet Baker.n°5. Au cimetière.

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  • เผยแพร่เมื่อ 29 ม.ค. 2025

ความคิดเห็น • 12

  • @saturne46
    @saturne46 16 ปีที่แล้ว +2

    Admirable Janet Baker. Et dire qu'il a fallu TH-cam pour que je la découvre dans les Nuits d'été. On ne se lasse pas de la regarder : tellement expressive. Bravo et merci

  • @ganabrowning
    @ganabrowning 18 ปีที่แล้ว +6

    There has just never been anyone quite like her. I wish there were more videos.

  • @davy91101
    @davy91101 13 ปีที่แล้ว +3

    Distinction is the hallmark of this great artist. I saw her twice--singing this song cycle and a recital which was an unforgettable evening. I wish that there was a DVD available that would include this cycle as well as the Elgar Sea Pictures, the latter surely on the great recordings of the century. Thank you for positing

  • @Amfunee
    @Amfunee 7 ปีที่แล้ว +3

    Another chillingly beautiful performance by Janet Baker. As for the music itself, I think the delicate shift from major to minor at the beginning is one of Berlioz' great moments. It describes an entire moon-lit world in a few seconds.

  • @geschiedschrijver
    @geschiedschrijver 3 ปีที่แล้ว

    Few singers have such a perfect diction as Janet Baker. Impeccable.

  • @pianopat
    @pianopat 14 ปีที่แล้ว

    Merci pour cette perle! On ne sait pas assez quel immense compositeur fut Belioz.
    Et Janet Baker est une merveille, ici.

  • @troubleclef
    @troubleclef 18 ปีที่แล้ว

    beautiful beautiful beautiful. I love her. That's all.

  • @corsettipierre-paul5059
    @corsettipierre-paul5059 5 ปีที่แล้ว +2

    5. Au cimetière : clair de lune (H 86)
    Date de composition : antérieure à septembre 1841. Orchestration : mars 1856.
    Connaissez-vous la blanche tombe
    Où flotte avec un son plaintif
    L’ombre d’un if ?
    Sur l’if, une pâle colombe,
    Triste et seule, au soleil couchant,
    Chante son chant ;
    Un air maladivement tendre,
    À la fois charmant et fatal,
    Qui vous fait mal
    Et qu’on voudrait toujours entendre,
    Un air, comme en soupire aux cieux
    L’ange amoureux.
    On dirait que l’âme éveillée
    Pleure sous terre, à l’unisson
    De la chanson,
    Et du malheur d’être oubliée,
    Se plaint dans un roucoulement
    Bien doucement.
    Sur les ailes de la musique
    On sent lentement revenir
    Un souvenir ;
    Une ombre, une forme angélique
    Passe dans un rayon tremblant,
    En voile blanc.
    Les belles de nuit, demi-closes,
    Jettent leur parfum faible et doux
    Autour de vous,
    Et le fantôme aux molles poses
    Murmure en vous tendant les bras :
    Tu reviendras !
    Oh ! jamais plus près de la tombe
    Je n’irai, quand descend le soir
    Au manteau noir,
    Écouter la pâle colombe
    Chanter, sur la pointe de l’if,
    Son chant plaintif !

  • @acanthe83
    @acanthe83 15 ปีที่แล้ว +1

    Je ne comprendrai jamais que l'on ne fasse pas de SES versions les versions de référence-et même historiques-des nuits d'été. Je ne vois pas de version capable de rivaliser.

  • @tjittemuizelaar
    @tjittemuizelaar 12 ปีที่แล้ว

    Dit is niet van deze wereld..
    Ben er kapot van

  • @jmahlon
    @jmahlon 14 ปีที่แล้ว

    @reebachan no

  • @裕之-y8q
    @裕之-y8q 15 วันที่ผ่านมา

    ぜんりやくおふくろ