Des grandes entreprises épousent les mantras de technocrates qui ont décidé à la place du peuple ce qui est bon pour lui: immigrationnisme forcené, féminisme woke, écologisme punitif, LGBT progressiste. Ces injonctions n'ont jamais été validées par ceux à qui on entend les appliquer. L'inclusion à toutes les sauces n'est qu'une imposition hiérarchique qui se donne bonne conscience et qui vole en éclat dès qu'il y a un problème, où le subordonné est un fusible.
La bien pensante dans l’entreprise je l’ai vécue ……extraordinaire. C’est le glaçage qui recouvre une violence incroyable et tout le monde sait que rien ne fait plus de dégâts que les injonctions contradictoires. En haut des chefs qui se comportent comme des porcs et en bas les pauvres salariés qui essaient de se conformer à ce commandement de bienveillance, empathie ( le,mot que je vomis le plus )
Exactement !!!! C'est la smicardisation de 80% des salariés et le manque d'autonomie (manque de confiance) accordée aux salariés qui les rend malheureux. Le manque de reconnaissance est aussi un facteur très important (pas de reconnaissance salariale). Bien vu sur la question des "talents", c'est exactement les termes orweliens et absurdes utilisés dans ma boîte. Enfin, évidemment qu'on travaille trop ! Les salariés n'ont jamais été aussi productifs de toute l'histoire de l'humanité. Où sont allés ces milliers de milliards de gains de productivité ? Dans la poche de certains quand la majorité des autres n'ont plus grand chose (smicardisation). Il serait donc juste de réduire le temps de travail à 28h par semaine, cela va dans le sens historique du progrès et réduirait mécaniquement le chômage. La preuve, regardez tous les collègues qui ont les moyens de se m'enterre à temps partiel, mi temps ou 80% sont les plus heureux. Enfin, Sarkozy a été un des pires président, il est regrettable qu'il ait été pris en exemple, je rappelle qu'il a enfoncé la France, autant que Hollande et Macron...
Heureusement qu'Anne de Guigné est là pour élever le niveau, avec des faits précis, des chiffres et une approche un peu structurelle. JDF est beaucoup trop centrée sur des éléments anecdotiques et/ou superficiels. Et comment penser une seconde que les maux du travail ne viendraient pas du capitalisme ? A la rigueur, ces nouvelles modes sont une expression du "nouvel esprit du capitalisme" qui se justifie aux yeux de la société tout en continuant de presser les salariés (et pas les "collaborateurs") jusqu'à la dernière goutte de leur énergie.
Ces gens totalement déconnectés parlent d’entreprises minoritaires en nombre ! Le plus grand nombre de salariés travaillent dans des petites ou micros entreprises ou les gens se font exploiter !
Faut qu’on m’explique comment l’inclusion et la diversité au travail provoque la souffrance. Parce que le problème c’est plutôt le harcèlement et une organisation maltraitante non ?
PROBLÈME : Le Figaro publie sur TH-cam des vidéos intéressantes sur des sujets censurés par les médias gauchistes, c'est courageux, mais en même temps la version en ligne du journal lui-même regorge encore d'images, de sujets et de publications wokistes, néoféministes, socialisantes, etc. C'est contradictoire et déplaisant.
Ce titre me donne à penser que je vais me sentir très peu concerné. Car je n'ai pas souffert au travail. Sans exclure de rares problèmes ponctuels. J'ai travaillé continuellement en rapport avec mon centre d'intérêt majeur dès l'enfance: les animaux sauvages, d'espèce petites ou grandes mais à l'époque, les grandes espèces avait été anéantie dans la majeure partie de la France. Dès l'adolescence je fus membre d'une association d'ornithologistes de terrain. Pour travailler sur la faune après mes études, j'avais un grand avantage : dès le lycée une expérience de naturaliste de terrain. Ainsi que dès après le bac et ensuite des mois de stage sur les oiseaux en station biologique en Camargue pendant mes vacances universitaire; Toute ma carrière j'ai travaillé sur la faune sauvage, d'abord surtout des inventaires et relevés sur les peuplement d'oiseaux, ensuite surtout en participant activement à la restauration de dans les Alpes françaises de quelques grandes espèces, tout en contribuant au progrès des connaissances les concernant : réintroduction de Bouquetin, Vautour fauve, Gypaète, suivi des mêmes plus Vautour moins et Percnoptère. Castor : un peu professionnellement, plus hors profession, maintenant focalisé sur lui. * J'ai eu la chance d'avoir deux employeur me laissant une extrême liberté d'organisation de mon travail. Il est vrai que, quand on travaille à ce qu'on ferait de son temps libre si on avait le malheur d'être contraint à- un emploi purement alimentaire, alors peu importe les heures supplémentaires non payés. Entre les deux emplois, j'ai eu trois années incertaines alternant contrat de quelques mois et chômage. J'ai vite compris que l'ANPE ne pourrait jamais m'aider en rien car ce genre de travail était en dehors de leur univers mental. On m'a proposé des contrats sans que je les cherche.C'était à la fois : - rassurant : j'étais suffisament connu dans ce domaine pour que cela se produise ; - inquiétant : si Je n'ai pas eu de problèmes scolaires. C'est plus que gênant d'avoir une très mauvaise note mais ce n'était pas démoralisant en sachant que c'était faute d'avoir travaillé la matière car très pris par les animaux. J'ai eu de la chance et en même temps j'ai su l'aider. a) Dès le secondaire, j'ai fait la connaissance, dans la vie associative, avec des chercheurs universitaires travaillant sur la faune qui ont été très bienveillant et encourageant. Et aussi le célèbre naturaliste et artiste animalier genevois, Robert Hainard. b) Je n'étais pas insolent mais pas timide non plus. Ainsi; en vacances en famille sur la côte méditerranéenne, je me reconvertissais sur la faune sous-marine des creux de rocher,en élevant diverses petites espèces dans des ersatz divers d'aquariums. Ce qui me posait des questions, en dépit de mes livres. Je n'ai pas hésiter des lettres de 4 pages de questions au directeur de l"aquarium. Il me répondait aussi longtemps par retour de courrier. JE N'AI PAS OUBLIÉ. D'où ma disponibilité pour répondre aux jeunes, parfois avec sortie de terrain ou encore relecture critique contructive d'un travail. b) En n'hésitant pas, quand la chance passait, pour la saisir au vol. Mais sans jamais être imprudent : ni en montagne, ni dans la société. Ainsi, un jour, mangeant avec deux naturalistes et scientifique, que je connaissais depuis l'un le lycée, l'autre l'université, l'un dit que, pour l'an prochain, il cherche un assistant pour deux mois de relevés sur les peuplements d'oiseaux le long d'un transect Himalaya occidental Ladakh. Je lui ai dit immédiatement :"je viens!" Je ne savais alors comment je me libérerai mais j'étais décidé à le faire. J'ai toujours été indifférent à la soi-disant réussite sociale. "On mène les hommes avec des hochets" dixit Napoléon. Avec moi, ça n'a jamais fonctionné, je suis immunisé, sans plus d'effort que quelqu'un ne consomme pas de sucre parce qu'il n'en aime pas le goûts. Le niveau, de revenu, de consommation n'a jamais été un objectif pour. Certes, j'aurais apprécier gagné plus en faisant la même chose. Jamais je n'aurais accepter de gagner beaucoup plus en faisant autre chose que ce qui avait pour moi un sens, me plaisait, joignant intérêt scientifique et ressenti, esthétique, émotionnel, activité intellectuelle et un bon % de marche dans la nature. Ceci sans être monomaniaque : autres centres d'intérêt réels sans prétention à la compétence d'abord l'histoire d'Europe, Moyen-Age inclus. Langues : D, NL et, "oeuf corse" : E (britannique, pas US). Aussi un peu d'information en linguistique. Les livres d'Emmanuel Todd, les deux "pavés" de Piketty. Musique, surtout classique, romans, pour le seul plaisir, avec indifférence total aux modes et à l'actualité. L'immense majorité de la consommation de loisirs, me toujours paru ou bien ne valoir ni la fatigue, ni la dépense.et souvent, il faudrait qu'on me paye pour que je fasse. Pourvu que, outre les besoins physiques élémentaires, médecins comprises, j'ai des LIVRE, INTERNE, et de la NATURE autour de mon village des Préalpes (pas une dominante de culture intensive), cela me va très bien. Je peux voir de ma fenêtre dans le village voir Vautour fauve par dizaines et entendre le brame du Cerf, éventuellement de mon lit. Sur la commune aussi Bouquetin, Chamois, Chevreuil, Castor. On y voit Aigle royal, Gypaète, qui niche à moins de 10 km, deux autres Vautours qui nichent un peu plus loin, sans compter une foule de petites espèces et le Loup, qu'on ne voit pas mais qui parfois... agit. Et la famille, les amis, les voisins ? Très important mais très hors sujet et je n'ai pas enfin d'étaler cela ici. Comme je l'avais prévu mais en bien pire comme intensité, la vidéo m'a donné le sentiment d'un aperçu d'un monde qui m'est aussi étranger presque que celui d'extra-terrestres, où je serais aussi à l'aise qu'un poisson hors de l'eau, qui ne m'a pas l'air très heureux et qui ne voudrait pourtant changer de mode et cadre de vie. Un peu comme des drogués accros. Drogués de l'image de soi aux yeux des autres, aux siens propres et de la consommation en grande partie comme composante de l'image. C'est à la fois étrange, dérisoire, pitoyable et réellement effrayant. À l'évidence, l'immense majorité serait indifférent au ravage total de ce qui m'est cher pour augmenter ou conserver toutes ces consommations futiles et apparences illusoires. Je demande parfois si la majorité ne consiste pas en personnes aux moyens démesurés rapport à leur maturité. La métaphore en serait un corps herculéen et un mental de 11 ans. Faut-il en rire ou en pleurer ? Réellement curieux, étranges.
Julia deJulua de funes utilise trop le "nouveau mot" collaborateur à ou il faut dire "employé" je penses que c'est dans un but idéologique et c'est bien dommage pour ça crédulité
Pas du tout c'est un terme utilisé pour désigner le salarié quelque soit la position hiérarchique...les mots ont un sens, on utilise "collaborateur" en se mettant à la place du salarié, vos collègues ne sont pas vos "employés"...
Au lieu de faire toutes vos grandes théories en sentant le parfum haut de gamme faudrait peut-être vous demander si tout simplement on arrive encore à vivre de notre travail. Bien sûr parler de quelque chose que l'on ne connaît pas c'est compliqué!
Un sacré plateau d’experts du travail 😂😂
Des grandes entreprises épousent les mantras de technocrates qui ont décidé à la place du peuple ce qui est bon pour lui: immigrationnisme forcené, féminisme woke, écologisme punitif, LGBT progressiste.
Ces injonctions n'ont jamais été validées par ceux à qui on entend les appliquer. L'inclusion à toutes les sauces n'est qu'une imposition hiérarchique qui se donne bonne conscience et qui vole en éclat dès qu'il y a un problème, où le subordonné est un fusible.
La bien pensante dans l’entreprise je l’ai vécue ……extraordinaire.
C’est le glaçage qui recouvre une violence incroyable et tout le monde sait que rien ne fait plus de dégâts que les injonctions contradictoires.
En haut des chefs qui se comportent comme des porcs et en bas les pauvres salariés qui essaient de se conformer à ce commandement de bienveillance, empathie ( le,mot que je vomis le plus )
Le travail rend libre
Julia de Funès elle connaît quoi au monde du travail ?
Exactement !!!! C'est la smicardisation de 80% des salariés et le manque d'autonomie (manque de confiance) accordée aux salariés qui les rend malheureux. Le manque de reconnaissance est aussi un facteur très important (pas de reconnaissance salariale). Bien vu sur la question des "talents", c'est exactement les termes orweliens et absurdes utilisés dans ma boîte. Enfin, évidemment qu'on travaille trop ! Les salariés n'ont jamais été aussi productifs de toute l'histoire de l'humanité. Où sont allés ces milliers de milliards de gains de productivité ? Dans la poche de certains quand la majorité des autres n'ont plus grand chose (smicardisation). Il serait donc juste de réduire le temps de travail à 28h par semaine, cela va dans le sens historique du progrès et réduirait mécaniquement le chômage. La preuve, regardez tous les collègues qui ont les moyens de se m'enterre à temps partiel, mi temps ou 80% sont les plus heureux. Enfin, Sarkozy a été un des pires président, il est regrettable qu'il ait été pris en exemple, je rappelle qu'il a enfoncé la France, autant que Hollande et Macron...
Heureusement qu'Anne de Guigné est là pour élever le niveau, avec des faits précis, des chiffres et une approche un peu structurelle. JDF est beaucoup trop centrée sur des éléments anecdotiques et/ou superficiels. Et comment penser une seconde que les maux du travail ne viendraient pas du capitalisme ? A la rigueur, ces nouvelles modes sont une expression du "nouvel esprit du capitalisme" qui se justifie aux yeux de la société tout en continuant de presser les salariés (et pas les "collaborateurs") jusqu'à la dernière goutte de leur énergie.
J'ai horreur des journées de team-building et pourtant c'est obligatoire 😢
Moi quand je prends l apero avec mes copains ils me parlent de leur travail et ensuite je vais en parler sur un plateau...super intéressant !!!
Et pourquoi on parle toujours des grandes entreprises et de leurs management vous êtes au courant que les TPE existe aussi ?
Ces gens totalement déconnectés parlent d’entreprises minoritaires en nombre ! Le plus grand nombre de salariés travaillent dans des petites ou micros entreprises ou les gens se font exploiter !
Et vous Mme De Funès vous êtes un talent ??? Vous devriez débattre avec Luc Ferry....
Quel festival de lieux communs. C est le PMU de neuilly auteuil passy
Avec un déficit budgétaire continu depuis 1974, un déficit commercial record de près de 100 milliards: il est beau le travail🤭
Pourquoi Nicolas Framont n'est-il pas invité, alors qu'il vient d'écrire un livre sur le sujet ?!
Allo, allo, il y a Julia de Funes.
Faut qu’on m’explique comment l’inclusion et la diversité au travail provoque la souffrance. Parce que le problème c’est plutôt le harcèlement et une organisation maltraitante non ?
PROBLÈME : Le Figaro publie sur TH-cam des vidéos intéressantes sur des sujets censurés par les médias gauchistes, c'est courageux, mais en même temps la version en ligne du journal lui-même regorge encore d'images, de sujets et de publications wokistes, néoféministes, socialisantes, etc. C'est contradictoire et déplaisant.
Ce titre me donne à penser que je vais me sentir très peu concerné. Car je n'ai pas souffert au travail. Sans exclure de rares problèmes ponctuels. J'ai travaillé continuellement en rapport avec mon centre d'intérêt majeur dès l'enfance: les animaux sauvages, d'espèce petites ou grandes mais à l'époque, les grandes espèces avait été anéantie dans la majeure partie de la France. Dès l'adolescence je fus membre d'une association d'ornithologistes de terrain. Pour travailler sur la faune après mes études, j'avais un grand avantage : dès le lycée une expérience de naturaliste de terrain. Ainsi que dès après le bac et ensuite des mois de stage sur les oiseaux en station biologique en Camargue pendant mes vacances universitaire;
Toute ma carrière j'ai travaillé sur la faune sauvage, d'abord surtout des inventaires et relevés sur les peuplement d'oiseaux, ensuite surtout en participant activement à la restauration de dans les Alpes françaises de quelques grandes espèces, tout en contribuant au progrès des connaissances les concernant : réintroduction de Bouquetin, Vautour fauve, Gypaète, suivi des mêmes plus Vautour moins et Percnoptère. Castor : un peu professionnellement, plus hors profession, maintenant focalisé sur lui.
*
J'ai eu la chance d'avoir deux employeur me laissant une extrême liberté d'organisation de mon travail. Il est vrai que, quand on travaille à ce qu'on ferait de son temps libre si on avait le malheur d'être contraint à- un emploi purement alimentaire, alors peu importe les heures supplémentaires non payés. Entre les deux emplois, j'ai eu trois années incertaines alternant contrat de quelques mois et chômage. J'ai vite compris que l'ANPE ne pourrait jamais m'aider en rien car ce genre de travail était en dehors de leur univers mental.
On m'a proposé des contrats sans que je les cherche.C'était à la fois :
- rassurant : j'étais suffisament connu dans ce domaine pour que cela se produise ;
- inquiétant : si
Je n'ai pas eu de problèmes scolaires. C'est plus que gênant d'avoir une très mauvaise note mais ce n'était pas démoralisant en sachant que c'était faute d'avoir travaillé la matière car très pris par les animaux.
J'ai eu de la chance et en même temps j'ai su l'aider.
a) Dès le secondaire, j'ai fait la connaissance, dans la vie associative, avec des chercheurs universitaires travaillant sur la faune qui ont été très bienveillant et encourageant. Et aussi le célèbre naturaliste et artiste animalier genevois, Robert Hainard.
b) Je n'étais pas insolent mais pas timide non plus. Ainsi; en vacances en famille sur la côte méditerranéenne, je me reconvertissais sur la faune sous-marine des creux de rocher,en élevant diverses petites espèces dans des ersatz divers d'aquariums. Ce qui me posait des questions, en dépit de mes livres. Je n'ai pas hésiter des lettres de 4 pages de questions au directeur de l"aquarium. Il me répondait aussi longtemps par retour de courrier. JE N'AI PAS OUBLIÉ. D'où ma disponibilité pour répondre aux jeunes, parfois avec sortie de terrain ou encore relecture critique contructive d'un travail.
b) En n'hésitant pas, quand la chance passait, pour la saisir au vol. Mais sans jamais être imprudent : ni en montagne, ni dans la société. Ainsi, un jour, mangeant avec deux naturalistes et scientifique, que je connaissais depuis l'un le lycée, l'autre l'université, l'un dit que, pour l'an prochain, il cherche un assistant pour deux mois de relevés sur les peuplements d'oiseaux le long d'un transect Himalaya occidental Ladakh. Je lui ai dit immédiatement :"je viens!" Je ne savais alors comment je me libérerai mais j'étais décidé à le faire.
J'ai toujours été indifférent à la soi-disant réussite sociale. "On mène les hommes avec des hochets" dixit Napoléon.
Avec moi, ça n'a jamais fonctionné, je suis immunisé, sans plus d'effort que quelqu'un ne consomme pas de sucre parce qu'il n'en aime pas le goûts.
Le niveau, de revenu, de consommation n'a jamais été un objectif pour. Certes, j'aurais apprécier gagné plus en faisant la même chose.
Jamais je n'aurais accepter de gagner beaucoup plus en faisant autre chose que ce qui avait pour moi un sens, me plaisait, joignant intérêt scientifique et ressenti, esthétique, émotionnel, activité intellectuelle et un bon % de marche dans la nature.
Ceci sans être monomaniaque : autres centres d'intérêt réels sans prétention à la compétence d'abord l'histoire d'Europe, Moyen-Age inclus. Langues : D, NL et, "oeuf corse" : E (britannique, pas US). Aussi un peu d'information en linguistique. Les livres d'Emmanuel Todd, les deux "pavés" de Piketty. Musique, surtout classique, romans, pour le seul plaisir, avec indifférence total aux modes et à l'actualité.
L'immense majorité de la consommation de loisirs, me toujours paru ou bien ne valoir ni la fatigue, ni la dépense.et souvent, il faudrait qu'on me paye pour que je fasse.
Pourvu que, outre les besoins physiques élémentaires, médecins comprises, j'ai des LIVRE, INTERNE, et de la NATURE autour de mon village des Préalpes (pas une dominante de culture intensive), cela me va très bien. Je peux voir de ma fenêtre dans le village voir Vautour fauve par dizaines et entendre le brame du Cerf, éventuellement de mon lit. Sur la commune aussi Bouquetin, Chamois, Chevreuil, Castor. On y voit Aigle royal, Gypaète, qui niche à moins de 10 km, deux autres Vautours qui nichent un peu plus loin, sans compter une foule de petites espèces et le Loup, qu'on ne voit pas mais qui parfois... agit.
Et la famille, les amis, les voisins ? Très important mais très hors sujet et je n'ai pas enfin d'étaler cela ici.
Comme je l'avais prévu mais en bien pire comme intensité, la vidéo m'a donné le sentiment d'un aperçu d'un monde qui m'est aussi étranger presque que celui d'extra-terrestres, où je serais aussi à l'aise qu'un poisson hors de l'eau, qui ne m'a pas l'air très heureux et qui ne voudrait pourtant changer de mode et cadre de vie. Un peu comme des drogués accros. Drogués de l'image de soi aux yeux des autres, aux siens propres et de la consommation en grande partie comme composante de l'image.
C'est à la fois étrange, dérisoire, pitoyable et réellement effrayant.
À l'évidence, l'immense majorité serait indifférent au ravage total de ce qui m'est cher pour augmenter ou conserver toutes ces consommations futiles et apparences illusoires.
Je demande parfois si la majorité ne consiste pas en personnes aux moyens démesurés rapport à leur maturité.
La métaphore en serait un corps herculéen et un mental de 11 ans.
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Réellement curieux, étranges.
FAKE COMMENTAIRE 😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
Subventions au figaro...10 millions d'euros. Le rafale...40 milliards...gavé d'argent public!
Quand on parle de ce qu'on ne connait pas ...
On travaille beaucoup trop et on Travaille pcq il le faut pas pcq on veut c’est simple
Julia deJulua de funes utilise trop le "nouveau mot" collaborateur à ou il faut dire "employé" je penses que c'est dans un but idéologique et c'est bien dommage pour ça crédulité
Non. C'est bien une collabo. Comme les journalistes du figaro.
Pas du tout c'est un terme utilisé pour désigner le salarié quelque soit la position hiérarchique...les mots ont un sens, on utilise "collaborateur" en se mettant à la place du salarié, vos collègues ne sont pas vos "employés"...
On se demande comment Julia (De Funès) s'est faite sa place. On sent l'héritage non pas par son physique mais par son sens de l'humour
Le figaro a le don de ''bien'' choisir ses invités 🙂
Au lieu de faire toutes vos grandes théories en sentant le parfum haut de gamme faudrait peut-être vous demander si tout simplement on arrive encore à vivre de notre travail. Bien sûr parler de quelque chose que l'on ne connaît pas c'est compliqué!
Beaucoup d'évidences dites avec charme par des femmes charmantes 😅
Je suis un manager tres toxique au bureau et j aime ça 😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
Sois disant les chrétiens c'est les plus intelligent.
Les gens passent 2 heures chaque jour à prendre leur café. C'est trop. Il faut enlever les machines à café
Les actionnaires passent trop de temps sur leurs yachts...
Hors sol