Autonomie : il échoue et retourne en ville
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- เผยแพร่เมื่อ 13 ธ.ค. 2020
- Témoignage : il retourne en ville après avoir échoué dans son projet d'autonomie.
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Le livre "Faire votre forêt comestible" est disponible en téléchargement (gratuit) sur le site de Bertrand : www.agriculture19.lesfichesabe...
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« VIVRE SANS ARGENT », le livre : amzn.to/321XFyy - แนวปฏิบัติและการใช้ชีวิต
L'homme sage apprend de ses erreurs. L'homme plus sage apprend des erreurs des autres - Confucius
Je retrouve l'expérience personnelle dans ce récit. Je suis complètement d'accord concernant l'argent et les montages financiers ainsi que la CNV sociocratie.
@@Eliselafait C est quoi la CNV ?
Salut toi, cela fait un bail.. ex-membre de dailymotion de 2008.
@@Gouki54 CNV = Communication Non Violente
@@Majester01 ah ok ok , thx !
Le système qui a perduré dans tout les âges c'est le système villageois, chacun à sont chez soit et les travaux nécessitant du monde se font collectivement. Et les terre ne sont jamais "à tout le monde" c'est du genre "allé on va faire les foin chez Roger ensuite on s'occupe du champs d'André" etc :)
Modèle pas parfait mais résilient
Chez nous c'est un modèle qui a fait ses preuves, mais dans beaucoup de régions du monde, le modèle tribal avec propriété collective, même des enfants!, marche tout aussi bien depuis des millénaires...
LA grosse erreur c'est le collectif. C'est une impasse a 90 % des cas. Le seul moyen c'est du semi collectif, avec des gens totalement indépendants qui s'unissent pour certains travaux.
le collectif écolo gauchiste, en vrai la collectivité rurale elle existe toujours tu peu très bien retourner vivre a la campagne sans passer par le triptyque yourte, secte crasseuse de fumeur de joins ou neobobo télétravaille. il y a plein de travail à prendre dans des petites communes de moins de mille habitants ou dans les comcom. il faut juste anticiper son potentiel professionnel et se former en amont.
Le seul collectif qui marche c'est la famille. Parfois large, plusieurs générations, frères, Cousins... Mais c'est pas à la mode...
@@lamadeleinedeproust3698 Discutable. On choisit ses amis, pas sa famille. Le problème est que là ce n'est ni l'un ni l'autre.
@@antigonosIV oui effectivement on choisi pas sa famille et certains sont mal lotis de ce côté mais il me semble que depuis de millénaires ça a été la seule structure vraiment fiable pour l'autonomie. Je parle de la ferme familiale traditionnelle encore d'actualité dans certains pays. L'autre modèle qui a fonctionné au cours des siècles c'est la communauté religieuse qui est aussi une "famille". Je ne prétend pas que ces modèles rendent heureux ni ne soient epanouissant. Là est le problème. L'autonomie au cours des siècles n'a jamais été une quête ni de boheur, ni de réalisation personnelle,ni de sens. C'était un moyen de survie pour ceux qui ne pouvaient pas vivre en ville. Toujours tous ceux qui ont pu quitter leur vie en mode autonomie l'on fait . Aujourd'hui la vrai autonomie n'exige pas. Et je sais que c'est difficile à entendre pour certain mais c'est un caprice de riches (même pauvre en France nous sommes les riches de la planète, école, sécu, routes....). Par contre, seul, vraiment seul, tenir une petite exploitation, avec culture et bêtes, conserver ses aliments, entretenir les bâtiments.... C'est impossible. Et en groupe, il faut renoncer au bien-être.... dsl, c un peu long. C'est mon avis sur l'autonomie (que re recherche d'ailleurs 🤣🤣🤣). Crdt
Totalement d'accord, les exceptions sont rares
Il a testé et a tiré des leçons très enrichissantes qui nourriront d'autres projets. L'échec est précieux.
coucou bonsoir comment allez vous ; je suis daniel je suis célibataire sans enfants je cherche une relations sérieuse et durable basée sur la confiance et le respect envoyé moi une invitation ou un messages je suis au plaisir de vous lire voila mon email hangout au danielcharlesmarcel@gmail.com
et voila mon compte skype Daniel Charles9
Le problème du passage à l'autonomie, c'est une question d'image. Le citadin voit une sorte de retraite à la campagne, lecture près du feu les soirées d'hiver, un peu de jardinage, soupe de bons légumes mijotant sur le feu, journées tranquilles d'été, pêche, petits oiseaux, discussions modérées et sages pour prendre les décisions, etc. Et c'est un tout petit peu ça, mais surtout beaucoup de journées froides et pluvieuses, de boue dès que tu mets un pied dehors, de fruits et légumes durement acquis, petits, de repas fades, de travail dur et récompensé petitement ou parfois pas du tout, de longs moments d"ennui, de désir de côte de bœuf et de soirée ciné, de problèmes techniques récurrents, de solutions qui marchent pas, de discussions interminables et parfois violentes pour des broutilles, etc. Le retour sur terre est difficile, d'autant plus qu'on est habitué au confort, à la facilité, à l'autonomie individuelle dans son appart. Bien sûr la motivation et les convictions y sont souvent, mais c'est sur la durée et à l'usure que c'est dur.
je réponds après avoir lu votre commentaire en entier il faut savoir que en 1848 80 pour cent de la population de souche française vivent dans les campagnes les villes étaient très peu peuplés il y à 174 ans cette année 2022 ça à bien changeait depuis de plus les deux guerre mondiale ont éliminer beaucoup de français de souche ils sont étaient remplacer par l immigrations il faut être aveugle pour ne pas le voir ont appelle cela de nos jours le grands remplacement voilà !
@@johnpages4627 non c'est du fait de l'exode rural, plus d'opportunités dans les villes à un moment d'effervescence économique, effervescence obsolète depuis une décennie
@@deeprod2592 je répond vous me dites plus d'opportunités dans les villes mais comme il ni à plus de travails chez nous en France ont ne peut plus pensées comme autrefois ce n'est plus possible puisque nous vivons tous dans une société de surconsommations qui inexisté pas autrefois autrefois la vie était bien plus facile pas de nos jours de plus cette personne nous dit que l'ont peut vivre sans argents je ne sais pas comment il fait et je vous fait une remarque il à des publicités dans cette vidéo comme toutes ses vidéos donc il ne raconte rien que des mensonges !
Bonjour 👋 à tous..... à un moment de ma vie (40ans) , j’ai réuni cinq couples d’amis en leur parlant de collectifs, tout en restant à une distance raisonnable d’une ville moyenne.... en vue de nous préparer quand nous serons en retraite. Ils m’on gentiment dit que j’étais un utopiste ... Aujourd’hui en retraite depuis plusieurs années, je vois toujours mes amis de temps en temps.... excepté ceux qui ne sont plus là.... , et c’est bien là que le bas blesse, car ils pensent maintenant que l’ont aurait dû réfléchir à mon idée.... il y en a un dans le Berry qui n’ai pas accepté, un autre en baie de somme qui est veuf et s’ennuie, le troisième dans le sud et ne supporte plus le climat trop chaud... Et moi qui suis dans l’Oise et bien moins en forme qu’avant...., cependant je ne me plains pas de ma condition.....Dommage quand même de ne pas avoir anticipé, nous aurions pu être réunis dans la même région.....
😂😂😂
sauf qu'a cette époque vous etiez differents et les choses elles aussi auraient ete differentes de ce que vous pensez aujourd'hui qu'elles auraient pu etre; pour moi le collectif reste une utopie
Vous connaissez Jésus ? Il peut vous sauvé et vous soutenir chaques jours quand surtout quand la vie devient compliqué. Dieu vous bénisse
C'est casse-couille les collectifs comme dit plus haut... Là ici chacun à ses problèmes, mais en vrai tu n'as aucune idée de comment ça se passer, peut-être qu'après 2-3 ans vous ne vous parleriez même plus et ça serait le clash total.
Non, on est pas fait pour vivre les un sur les autres. Comme dit plus haut, le collectif est une erreur en soi.
Éventuellement, acheter des grandes parcelles (min. 1ha) et les partagées pour être ensemble dans la même zone mais je ne partagerais plus jamais ni mon intimité, ni trop de proximité, d'obligations, etc... avec autre que ma famille interne (femme et enfants).
Un optimiste, c'est quelqu'un qui fait ses mots croisés avec un stylo bille...
C'est aussi un petit bateau à voile
Trop marrant x)
Mais je doute que tout le monde comprenne x)
@@pouicx34 un lien avec la méditerranée ou j'ai l'esprit tordu ?
C'est surtout un vieux lol qui fait encore des mots croisés
@@limonadeedanomil2807 non tu habites juste trop loin de la mer ou de l océan pour comprendre.
Un optimiste est un bateau miniature. L un des premiers pour apprendre la navigation.
je me permets d ajouter que pour un citadin, une premiere etape qui me semble tres importante est de s installer dans un premier temps en milieu rural classique (ce qui déjà est un sacré changement) et de penser ensuite à acquérir l'autonomie, une fois que l environnement est devenu plus familier... en tout cas merci pour les vidéos et le livre sur la foret comestible ^^
Et aussi de trouvé un taf . autonome mais on na toujours besoin d'argent
@@MrJuju721 toujours un peu
@@MrJuju721 l'avantage d'avoir un travail manuel ( plombier, électricien, etc ) c'est qu'on peut bouger plus facilement même si maintenant le télétravail va se développer.
@@TheGuilev moi ce me fait rire quant je voie une personnes non manuelles bricolé ou faire du jardin .
Je suis charpentier et connais bien le jardin
@@TheGuilev Manuel vs intellectuel ça n'existe pas. L’expérience montre qu'un "intellectuel" fait un très bon manuel quand il se donne la peine d'apprendre les gestes. Et pour être manuel il ne faut pas non plus être trop idiot, sinon ça fait un bon à rien...
"je ne perds jamais, soit je gagne, soit j'apprends" Nelson Mandela
wahou, juste wahou !!
Je l'aime bien celle là ! elle est très réaliste et objective...😉
C'est qui Nelson mandala
*Nelson Mandela avant d'inventer le collier de feu
🤣🤣
Le problème ici est le collectif, pas la campagne.
😂😂😂
Ué t'as raison, d'ailleurs la grosse partie de la vidéo où il explique que le plus dure c'est de faire pousser des trucs a pas du tout l'air de participer à son échec. Pareil la seconde communauté qu'il intègre à l'air de vraiment lui porter préjudice dans son envie d'autonomie.
Sans déconner, faut écouter un peu ce qui est dit.
mon impression, c'est que le problème ici n'est pas le collectif, ce n'est pas la campagne non plus, ce n'est pas le jardin ni l'eau ni rien de tout cela... j'ai plutôt l'impression que le problème c'est le mec lui-même car il change une première fois de vie en pensant que ses problèmes viennent de l'extérieur de lui, idem pour ses deux expériences de vie "collective"... et finalement, il se trouve un nana (ce qu'il cherchait sans doute sans le savoir), et il se met à faire des choix non plus pour son seul "nombril", mais pour et avec quelqu'un qu'il aime.
Dans sa première expérience, le problème est clairement le collectif. Dans la seconde, il avait trouvé un bon groupe mais il a dû renoncer pour des questions financières.
Merci pour ce témoignage d'une grande sincérité .
On a besoin de plus de témoignages comme ça !
Ca me ferait trop chier de vivre dans un collectif ou il faut discuter des heures pour la moindre action 😅
Un pote m'a invité dans son collectif. Il est très débrouillard et prend des initiatives. J'ai adoré l'aider quelques jours à travailler sur le lieu. Mais certains étaient très critiques, lui reprochant de ne pas demander l'approbation même pour des choses qui me paraissaient assez évidentes à faire. Je ne savais pas trop quoi en penser... j'adorerais vivre en communauté mais j'appréhende vraiment d'être confronté à cela
@@nicolash77 quand tu connais ton boulot et que tu dois te farcir l'avis de personnne qui ne connaisse pas c'est le genre de truc qui me ferait monter dans les tours très vite.Le mieux pour moi ce serait de vivre dans un hameau ou tout le monde a sa propre maison ,et quand quelqu'un a besoin d'un coup de main tout le monde aide.
@@florentrousseau3398 En fait beaucoup de sociétés anciennes étaient (ou sont toujours) sur ce mode depuis le néolithique : des huttes en cercle autour d'un centre commun, des valeurs partagées, certains travaux partagées en fonction des besoins mais pas de système collectiviste rigide et dirigiste.
le pire c'est de discuter avec des gens qui sont totalement à coté de la plaque et on deux mains gauches, et qui finissent par emporter la décision à la majorité !!!
Perso tu me fout dans une communauté, au bout d'un moment je commence toute mes phrases par une grande taloche dans la gueule de qq un.
@@antigonosIV oui un service en vaut un autre . Y'en à qui ont l'art et la manière de ce compliquer la vie😅
Très beau sujet, et beau retour sur des erreurs.
En fait c'est très similaire à ce qu'on vécu beaucoup de néo-ruraux des années 70 au moment du retour à la terre : vivre à la campagne et travailler la terre, ça ne s'improvise pas, ce n'est pas forcément romantique et il y a plein de gens à qui ça ne correspond pas... en fait.
Ce qui ne veut pas dire qu'on ne peut pas vivre plus proche de la nature et plus simplement. Lui même n'est d'ailleurs pas dégoûté, et songe à y retourner... le jour où il aura trouvé le bon projet !
Car visiblement, ce qui lui manquait, c'était surtout un projet personnel clair.
Partir de soi avant de rejoindre les autres.
Je suis par ailleurs touchée qu'il reste persuadé de l'utilité du collectif.
La structure du village est déjà une excellente structure collective en soi.
Robinson crusoe, à la longue ça faisait chier Robinson Crusoë lui-même !
Quant à tous les com' qui s'épanchent sur la solidité de la structure familiale, hum...
Quand quasi la moitié des couples finissent par divorcer en France, j'ai un doute.
Nous sommes faits pour le collectif, mais tout collectif, toute association est un pari : famille, couple, amis, voisins... Pour être bien accompagné il faut savoir jouer plusieurs cartes à la fois !
Ce format est ultra pertinent, ça aidera beaucoup de gens qui souhaitent changer de mode de vie à ne pas reproduire les mêmes erreurs.
N'hésite pas à publier d'autres témoignages
Je suis du même avis
témoignage intéressant. Faut un mental particulier pour intégrer un collectif, personnellement je n'y mettrai jamais les pieds.
En France on a du mal avec l'échec. Si on échoue en montant une entreprise, sur le CV on va avoir tendance a transformer ça en année sabbatique ou a cacher ça sous le tapis. Dans plein d'autres pays on l'assume pleinement ou on le met même en avant parce que du fait d'avoir échouer on sait ce qui n'a pas marché. On en sort grandi.
Super d'avoir se témoignage plein d'humilité. C'est vrai à qu'à force de voir des 10aines de vidéos " parfaites " sur youtube, on aurait presque envie de croire qu'il ne reste plus qu'à se lancer pour que tout fonctionne d'un coup
Il serait plus agréable d'avoir chacun son chez soi, parce qu'on ne peut pas TOUT partager ou demander à chaque action que l'on a de prévue, un accord général pour faire qqe chose. Sauf si cette ou ces actions touchent à la partie commune. Par contre, les énergies vitales : eau, électricité, alimentation, auraient avantage à être mises en commun pour réduire les coûts. Ce n'est que mon opinion 😊
J'ai entendu un témoignage d'une très grande qualité, merci infiniment.
Très intéressant et je trouve que ça reste positif même si la personne a échoué deux fois, il ne regrette pas et a l'intention de recommencer
Oui bravo à lui. C'est super! La prochaine fois sera la bonne car il a su tirer profit de ses erreurs. Félicitations Monsieur et continuez: n'abandonnez pas votre rêve !
Ce n'est pas vraiment un échec puisqu'il pense à y retourner, tout juste un contretemps. Et la prochaine fois il sera mieux ''armé''.
@@Lilithbreizh Oui, plus des déceptions que des échecs.
Bobo urbain trop cerebral et theorique. On ne s'improvise pas fermier.Utopiste fragile.
@@levratalex4929 les cons ca osent tout, c'est même à ça...
Bonjour MFA,
Pour ce que ça vaut, j'ai moi même une expérience en collectif. J'ai tenté 5 collectifs et découvert 5 façons de penser, qui m'ont toutes amenées, à terme, à retourner en ville. Non pas parce que j'étais convaincu que mon ancienne vie était la meilleure, mais plutôt en cherchant des mouvements qui consisteraient à partir de la ville comme base de changement, de transformation. Globalement, ces collectifs avaient tous choisi l'isolement, plus ou moins motivés à 'reconstruire une société'. Pour moi c'est un peu vouloir faire la révolution pour remplacer quelque chose qui a démarré avec une précédente révolution.
Donc l'isolement, auquel s'ajoutait tout un tas de paradoxes : dépendance aux revenus RSA, dépendance énergétique partielle, tendance à stéréotyper ceux qui ne rentraient pas dans cette faconde penser, parfois même certains anciens travaillaient à l'extérieur et revenaient peu à peu à une vie capitaliste.
Ma plus belle expérience, étrangement, à été une communauté religieuse. Ils étaient respectueux envers mon athéisme, ce qui m'a donné envie d'être respectueux envers leur foi, et de faire acte de présence pendant les prières. Ça faisait du bien de vivre autant d'ouverture après l'expérience des précédents collectifs. Je nen suis pas sorti croyant mais rien que le fait que la communauté soit ouverte au reste du monde, se tienne au courant, tout en cherchant son autonomie, ma convaincu : l'autonomie, ce n'est pas l'isolement.
Au fond, ceux qui cherchaient à s'isoler, finissaient par s'isoler moralement, à vraiment se marginaliser, et avec le temps il est de plus en plus difficile de revenir en arrière.
Bonjour, quel type de communauté était-ce svp ? ^^
C est pas un échec, il a fait une expérience
Ce déni XD
Si c'est un échec. Par contre c'est effectivement une expérience, très enrichissante pour lui d'ailleurs puisqu'il en a tiré des conséquences et qu'il envisage de retourner à un mode de vie rural.
On donne un côté négatif à l'échec parce qu'il signifie qu'on a pas réussi à atteindre notre objectif, mais il y a toujours quelque chose à apprendre d'un échec, et pas de temps perdu :)
Pitié avec le mot expérience...
th-cam.com/video/LfkvDekiWus/w-d-xo.html
C'est un échec mais c'est en forgeant qu'on devient forgeron
@@artiom7568 Et c'est en faisant qu'on devient dindon x)
On apprend plus de l'échec que de la réussite. J'ai mis du temps à comprendre cela dans un monde où l'on est éduqués et conditionnés a devoir tout réussir du premier coup. Et comme tu le dis à force de voir que les gens qui réussissent notre vision des choses est complètement faussée, merci pour ce rappel essentiel.👍🤔👏
je pense que cette vidéo va aider beaucoup de doux rêveurs!
Merci pour ce retour d'expérience. Franchement, si les paysans partout dans le monde fuient la campagne dès qu'il le peuvent pour aller en ville, c'est pas juste parce qu'ils sont attirés par les futilités de la vie urbaine.... C'est DUR de vivre à la campagne. Physiquement dur, psychologiquement dur... Et il vaut mieux être jeune ! C'est encore pire quand on est vieux ou physiquement diminué. Le retour est et sera difficile pour les urbains, la plupart n'y arriveront pas. Et quand bien même ! il n'y a pas assez de place pour accueillir tous le monde à la campagne si jamais chacun voulait revenir. Il faut être lucide.
Merci de le rappeler
C'est les charges qu'est le plus dure ! Plus le fuel pour l'hiver environ 2000€
"L'enfer c'est les autres" Sartre. C'est vrai qu'intuitivement je ne me serais pas dirigé vers un collectif dans un premier temps. C''est dommage et nous devrions savoir vivre davantage en collectivité mais la réalité est souvent dure...
Le collectif a ses limites, tu ne peux pas créer un collectif sans un minimum de points communs... Une série de questions simples que chacun devrait se poser: est ce que je connais le nom et le prénom de tous mes voisins? Est ce que je m'entends avec tous ? Est ce que je pourrais tous les inviter à manger à la maison et passer un bon moment ? Est ce que je pourrai tous les inviter à passer un week-end complet avec moi ? Etc.
Sachant que la différence entre un collectif et un réseau de voisin n'est pas si grande que ça quand on y réfléchie un peu...
Juste pour le point culture, cette phrase de Sartre ne veut pas du tout dire ce qu'on pense ;) .
@@Scorpioide C'est tout à fait possible ^^ j'avoue ne jamais avoir lu Sartre et pire, en écrivant cette citation je ne savais pas qu'elle était de lui, j'ai juste vérifié sur google...
Je me méfie des autres. Ma dernières expérience est avec les GJ et je me suis grave ramassé. Je ne suis pas fait pour être avec les autres.
@@Scorpioide c'est tiré de sa pièce de théatre "huit clos" où trois personnes qui viennent de mourir apprennent qu'elles sont en enfer, elles flippent d'abord en s'attendant à un truc horrible et en fait le truc horrible c'est qu'ils doivent se supporter, d'où la fameuse phrase, quasi de conclusion de la pièce "l'enfer c'est les autres", du coup je comprends pas quand tu dis que ça veut dire autre chose?
Culpabilité de toucher le RSA... Mais dans une vision plus large que l'économie présente il vaut mieux vivre du rsa et travailler à son autonomie pour pouvoir s'en passer un jour que d'aller faire un travail polluant et superflu en ville et en pâtir physiquement et psychologiquement.
Moralité, le collectivisme, c’est l’enfer. Qui l’eût cru?
Personnellement j'ai beaucoup vécu en camion, sur la route, et en communauté. Alors la vie en communauté a presque toujours été un échec parce que les gens sont des connards. Ils ne savent pas vivre en groupe, ramènent leurs problèmes, leurs vices, ça parle dans le dos, y'a de la jalousie, de l'envie, les seules fois où ça a marché c'était avec des amis, des vrais, avec qui vivre est un plaisir et pas une corvée. Surtout ne vous installez jamais en groupe avec des gens que vous connaissez à peine. En général ça tourne mal. La vie en groupe révèle les défauts et les travers de chacun, mais aussi leurs qualités...
Ben oui, c'est le paradoxe de quitter la ville pour aller faire la même chose à la campagne. Finalement il n'a fait que changer le décor
@@richarde1294 L'humain est ce qu'il est...
Un peu comme un mariage arrangé quoi...
En fait je pense que cet homme a pris l'idée d'autonomie d'une façon trop a cœur et trop brusque. Mieux vaut avoir une maison avec jardin dans un village de paysan, faire son potager et chercher la réduction de la consommation énergétique et l'autonomie dans le temps.
Enfin, c'est mon point de vue.
Step by step.
Je ne sais pas quand est-ce que tu as tourné cette vidéo mais mon Dieu que ça fait du bien de voir une rue bondé de gens sans masque !!!
Il a dû la tourner avant au moins avant mai 2020 car c'est sur les ramblas de Barcelone et cette ville a été confiné par là si ma mémoire est bonne
Handicapé j arrive à vivre en ville avec 360e ( hors loyer) dont 60e d électricité chauffage et eau chaude comprise dans 45m2 donc mon poids carbone pas plus lourd que ces 300e suis pas certain que ce soit possible en campagne sans un enfermement mental et culturel total et en suis venu à renoncer à la vie en montagne après expérimentation dans un petit village et en "communauté " me fallait trois à quatre fois plus de revenus et aucun "jardinage" ne pouvait compenser cette autonomie fantasmée souvent une illusion finalement (heureusement qu il y avait les poubelles de l hyper dans la vallée pour manger à notre faim ) et toutes nos économies y sont passées pour chacun des participants en plus d avoir envahit la nature bien plus tranquille sans nous depuis nôtre départ... ma conclusion le prix c est le poids carbone... et le bois laissons le aux forêts sans le brûler
Conclusion perso: vivre frugal en ville en faisant de mon mieux pour peser moins et en faisant envore plus confiance aux autres pour faire le mieux possible (aussi pour faire pousser assez de bonnes carottes que je suis incapable de faire pousser moi même). L autonomie une impasse mentale intime plus que un projet viable et souhaitable à partager.
C'est intéressant comme témoignage. Le père de mon fils est également handicapé et pour lui vivre en ville n'est pas un choix mais une obligation : accès aux soins, aux commerces et aux amis à pied car interdiction de conduire. La campagne l'isolerait et le rendrait encore plus dépendant. En plus il n'aime pas spécialement être dehors, déteste la gadoue et la proximité des animaux. Avec l'AAH son bilan carbone ne peut de toute façon pas être très élevé...
Moi, à contrario, je m'étiolais en ville. Je ne suis pas très sociable et je préfère en chier pour faire pousser des salades que les acheter à biocoop (pas de carottes, j'aime pas ça :p). Certes je passe plus de gazole dans la voiture que lui mais je compense en produisant une bonne partie de ma nourriture sur place. Ce qui est rapidement trompeur en ville c'est qu'on ne voit que le bout de la chaine d'approvisionnement : les carottes ont fait du camion avant de finir sur la table.
Pour le chauffage, il est tout à fait possible d'isoler suffisamment sa maison pour ne pas avoir à couper énormément de bois (je passe 6 stères par an avec un bon confort sans isolation du toit mais avec quelques aménagements pour stocker la chaleur - je devrais arriver à 4 stères quand le toit sera refait). En fait rien qu'avec le châtaigner mort et les arbres qui tombent sur mon terrain je pourrai me chauffer pendant des années.
Bref, tout ça pour dire que vivre à la campagne ce n'est pas fait pour tout le monde, tout comme vivre en ville. Ce qui est important c'est de se sentir bien là où on est, de ne pas subir sa situation et de ne pas trop niquer la nature au passage !
C'est super intéressant, si tu as l'occasion de faire d'autres vidéos sur des échecs, je les regarderai avec beaucoup d'intérêt !
C'est une chaîne d'autonomie ici, si tu veux voir des vidéos sur les échecs je te conseille la chaîne apprendre les échecs les vidéos sont de qualité
😂😂😂
Je suis assez sceptique sur le collectif. Le système de voisins qui s'entraident, avec chacun son espace privé et sa spécialisation pour troquer avec les autres n'est-elle pas une solution viable et éprouvée ?
déjà, "collectif" quand on s'isole... bof-bof!
Bravo pour l'initiative de partager aussi les échecs. Car c'est ce qui me dérange en général dans tous les milieux autonomistes/écolos/etc, comme si c'était un monde de bisounours ou il suffit de boire de l'eau dynamiser et faire pousser des plantes médicinales pour vivre en harmonie avec la nature ( en fait, c'est surtout en harmonie avec le RSA ).
J'ai eu aussi des expériences "moyennes" dans les collectifs. Pas assez autonome, trop dépendant de ci ou ça, trop militant, etc... Quand il a commencé à parlé d'actionnaire et de problème de pognon, j'ai presque cru qu'on avait été exactement au même endroit.
La vie en communauté, ça va bien quand tout le monde a déjà fait la paix avec soit même, mais sinon, on se retrouve a vivre avec les problèmes des autres.
Cela peu vite être gangréné par : des gens insupportable en société, des fainéants qui s'appuient sur les efforts des autres, de certains militants radicaux qui vous pourrissent chaque repas avec leur lutte à la con.
Du coup j'ai opté pour un autre choix un peu atypique : Vivre mon autonomie dans un pays ou les villages sont encore très paysan. Le savoir faire en autonomie est une institution, la vie social est riche car ce sont des villages vivant, avec beaucoup d'échanges, de fêtes, de traditions. Et chacun à son petit chez soit. C'est devenu mon petit coin de paradis et je ne changerai pour rien au monde.
Merci pour ce témoignage. Non ce n'est pas facile de changer de vie, a fortiori quitter une métropole (Paris) pour s'installer au fin fond de la Bretagne.... C'est rude en effet. Les petites villes ou les villages sont une bonne alternative. Faut arrêter aussi de se faire peur: oui en cas d'effondrement Paris, Lyon, Marseille, Lille.... vont être infernal (à quel degré? je ne veux pas savoir), mais dans les villages genre 300-500 personnes (et je parle de vrais villages, pas des cités dortoir), c'est jouable, à condition bien sur de s'intégrer. Un gros travail à faire sur soi même, le plus difficile en somme. Le reste? C'est s’acquiert ou ca s'apprend.
Finalement , il pouvait prendre une option intermédiaire après le première échec et pour eux une fois sa compagne rencontré , et acheter une petite maison dans une campagne proche de la ville avec du terrain , il restait disponible pour le travail , il avait une bonne ' ergonomie ' de vie dans la maison , ou sa yourte sur son terrain mais je suis pas convaincu , une maison sur un terrain pour pouvoir faire son jardin en ce protègent des sangliers , sans pour autant que ça soit contraignant d'un point de vue aimantaire , il pouvait faire sa transition avec le ' meilleur ' des deux mondes , que de passer d'un extrême à l'autre , ce qui dans deux configurations na pas fonctionné . Je pense que le problème vient des infos trouvé , certain collectif vendent du rêve bisounours , alors que tu vas voir les anciens et les les gens qui vivent à la campagne et qui font leurs jardin à l'ancienne , tu gagnes bcp bcp de temps , c'est comme ça que j'ai toujours vécu et j'ai pas eu besoin de plein d'années pour apprendre à faire un jardin c'est presque inné parce que j'ai entre autre hérite des mes anciens , si tu n'en à pas trouve en , mais pas chez les bobos désolé . Il en sort un enseignement , il pourra peut-être s'en servir à l'avenir , ce qui l'amènera surement a prendre l'option que j'ai exposé et je lui souhaite . une leçon aussi pour certain révolutionnaire , qui s'imaginent des choses ...
Il faut bien se connaître avant de partir, je sais que moi qui suis plutôt solitaire, j'aurais eu du mal à m'adapter à une collectivité. J'ai d'abord quitté Paris pour une petite ville en Normandie, puis au bout de quelques années pour un tout petit village. Maintenant, je vis dans une petite maison sans eau et sans chauffage isolée dans la campagne avec un très grand terrain, mes animaux, mon jardin, mon petit bois et tous les animaux sauvages et je suis... au paradis.
et la famille dans tout ça ?
@@TheGuilev J'ai justement quitté Paris quand mon fils était tout petit pour lui donner une enfance plus libre. Maintenant, je suis retraitée et je n'impose mon mode de vie à personne.
@@deepflake9214 Un raccordement au réseau d'eau à l'extérieur car l'eau du puits n'est pas potable, et un poêle à bois que j'allume de temps en temps, plus par temps humide que par temps froid. J'ai des radiateurs électriques que je n'allume que quand la T° intérieure descend en dessous de 2° pour éviter que l'eau ne gèle à l'intérieur. Et de bonnes couettes sur mon lit (et mes chats), et dans la journée, je bouge tout le temps et je n'ai pas le temps de me refroidir. Je vis comme ça depuis maintenant 11 ans, et je n'ai jamais été aussi bien. Mais chacun ses goûts, je comprends que ça en effraie quelques uns. Si on réfléchit, pendant des millénaires les hommes ont vécu dans des conditions bien pires.
C'est très intéressant. Avez vous des contraintes liées au fait d'être seul ?
@@user-np3wb4rb1k Bien sûr. Mais qui n'a pas de contraintes? Sauf que dans mon cas, la plupart des contraintes sont de mon fait et non imposées par les autres.
Bonjour :) Merci de nous faire découvrir ce témoignage.
J'aime les gens qu'à petite dose. Il me faut de l'espace. Et comme lui, trouver sa place dans un groupe dont les rapports ne sont pas hiérarchiques, familiaux ni même amicaux à la base, je n'aurais peut-être pas su faire. Visiblement fort de sa première expérience, il a mieux trouver sa place la 2ème fois.
Bonne journée!
Merci à vous pour l'honnêteté du témoignage. Je connais ici dans la Drôme beaucoup de jeunes qui en fait se clochardisent en tentant l'expérience dont vous témoigner.
Démarche un peu extrême puisque entre habiter à Paris et au fond du bois dans une yourte il y a plein des possibilités - petite ville, faubourg d'une ville etc...
souvent rencontré chez les citadins qui pensent que la campagne c'est comme pendant les vacances
@@meuniermaryse7136 oui! et que c'est le paradis ou la vie est facile...
Enfin un témoignage qui décrit la réalité des choses. Analysé avec justesse et humilité. Le PFH comme toujours mais aussi l'autonomie alimentaire. Ça ne s'invente pas! Merci pour ce partage beaucoup plus positif qu'il n'y parait
Je viens de découvrir ta chaîne, je me suis habonné direct, malgré une thématique qui n'est pas nécessairement dans mes sujets de prédilection. Mais ta qualité d'expression orale, est tellement qualitatif, que quelques soit le sujet traité, je sais que je vais KIFFER. BRAVO À TOI
merci à toi pour les encouragements
En effet, les obsédés de la CNV et de l'holacratie sont souvent les plus toxiques.
La famille et le village, avec leurs défauts restent des modèles ayant faits leurs preuves.
exactement, la communauté de village est la seule solution durable, puisque ancestrale.
@@larcandier Je suis plus nuancé. C'est la seule dont le fonctionnement est prouvé. Cela n'interdit pas l'expérimentation, mais offre une base de départ viable à celle-ci.
Pas faux, j’avais rejoints un groupe de réflexion lié aux colibris car j’ai de l’admiration pour Pierre Rabhi. Mais très rapidement le mode de discussion m’est apparu comme contraignant: ok je lève la main pour prendre la parole, le « maître » me l’accorde puis me la coupe selon son bon vouloir... immédiatement j’y ai vu une amorce de despotisme, on est tous frères et on s’aime, mais certains tiennent les rênes, plus chefs désignés ou à l’ancienneté que reconnus. Ca démarrait mal, donc stop.
Tu me feras le plaisir de parler moins fort et moins agressif s'il-te-plaît, tu vas choquer Mytille et Apollin !
Plus sérieusement c'est tellement vrai malheureusement, il faut affronter les problèmes et non les contourner car ils reviendront à la charge et renforcés c'est inévitable.
Salut, merci pour tes vidéos. Sinon sur celle-ci, ça sent le projet plutôt idéalisé, les bouquins c'est bien, la pratique aussi. L'autonomie c'est un long chemin qui est propre à chacun et surtout un long processus de dés-apprentissage de la vie "moderne" et l'apprentissage d'une vie plus en accord avec sa propre sensibilité, avec ses hauts et ses bas.
Et surtout de la frugalité et de la simplicité ... Ils ont voulu enterrer P Rabhi, mais c est une erreur
c est clair, c est quand on est seul que l on réussit le mieux sur la durée, il vaut mieux rencontrer des gens une fois installé..
🤣🤣🤣
Excellent témoignage qui fait se rendre compte d'énormément de paramètres, une vidéo que je risque de voir à plusieurs reprise tant elle est riche en enseignement.
L'autonomie est un chemin long et difficile... c'est un projet sur le long terme qui nécessite beaucoup de boulot et beaucoup ne s'imagine pas vraiment ce que c'est que passer des après midi a faire le potager , s'occuper des poules , rénover sa maison , couper du bois, s'occuper des ruches , ne pas pouvoir partir en vacance car personne pour nourrir les bêtes, etc etc deplus il faut réussir à s'organiser une autonomie financière minimal avec un revenu recurent afin de s'assurer le minimum .
" travailler pencher ca fait mal aux jambes "..... " et il y a des épines , c'est pénible "
Sérieusement c'est un sketch ? Lol
Oui c’est du travail. Personnellement j’ai trouvé un parfait équilibre. Durant les périodes chaudes (entre avril et octobre) je suis sur mon terrain, le matin je commence avec un coup au café du village non loin, je fais mon potager durant mes après midi et matinée, le soir apéros et soirées avec les voisins / amis.
Durant les périodes froides le reste de l’année, je vadrouille autour du monde avec mon sac à dos, pour fuir le froid. Je rencontre énormément de gens, de nouvelles cultures, de nouveaux paysage et me permet de ne pas être isolé toute l’année sur mon terrain, surtout l’hiver. Les poules se nourrissent toutes seules grâce à des sytème de distribution et fillets à grain. Les voisins surveillent quand même.
J’ai trouvé un équilibre parfait
Si j'ai bien compris, voici les points soulevés dans cette vidéo :
- La théorie c'est bien, la pratique c'est mieux. On peut avoir lu les meilleurs livres du monde, il demeure que c'est en mettant les mains dans la terre qu'on apprend à faire pousser des patates.
- Les collectivités sont bancales car soumises au facteur humain, il suffit d'une embrouille dans le groupe pour que la situation se dégrade rapidement. Bien choisir les personnes avec qui on souhaite développer un projet est primordiale.
- Être autonome en nourriture ne se limite pas à "je fais pousser mes carottes et c'est bon", d'une part le potager ne suffit pas, d'autre part même le potager en lui-même peut être difficile à développer (nuisibles, mauvaise terre, mauvais climat, etc).
- L'autonomie énergétique nécessite un système fiable et réfléchi en amont, au risque de se retrouver à devoir utiliser des système D (générateur électrique, bouteilles de gaz, voiture, etc.)
- On ne peut pas se couper entièrement de l'argent et du travail rémunéré, il y aura toujours des dépenses imprévus et des frais inévitables (assurances, essences, nourriture, matériel, etc.).
- On ne peut pas se couper entièrement de la sphère sociale, la vie d'ermite coupé de tout est une impasse car l'Homme est un animal social qui a besoin d'interactions et de faire parti d'un système social (amis, famille, collègues, communauté, religion ou autre).
La chaîne "ma ferme autonome" est peut-être la seule (ou la première) a pouvoir faire une synthèse de ce qu'il faut réellement faire pour s'installer sans se planter.
Ça serait chouette
Et utile.
Histoire de ne plus gaspiller les bonnes volontés.
C'est un bon résumé, qui me permet de retrouver ce que j'ai remarqué comme aspect manquant. Comme le doc est un peu auto-centré, du coup il manque de recul par rapport à d'autres personnalités. Il faudrait ajouter : "Bien se connaître". Par exemple je ne pense pas que "la vie d'ermite coupé de tout est une impasse" parce que s'il est vrai que "l'Homme est un animal social" il peut aussi l'être très peu à énormément ! Les loups sont des animaux sociaux pourtant il y a les fameux "loups solitaires". Je le suis très peu mais j'avais un ami qui l'était énormément, le contraste était saisissant. Il ne pouvait à peu près jamais rester seul et moi je ne peux à peu près jamais être en groupe, ou avec peu de gens ou très peu de temps. Il pourrait vivre très bien en communauté mais en rendant pas mal de monde dingue vu qu'il a deux mains gauches, justement parce qu'il n'a pas l'habitude de se débrouiller seul. Moi je ne pourrais pas sauf si le groupe ne décide jamais pour moi. Une décision irrationnelle prise à la majorité me rend dingue... 😊 (Je fais un peu du cas personnel mais c'est juste pour illustrer les deux pôles de la situation et l'importance de ce point.)
On peut encore résumer plus : chercher l'autonomie en étant autonome en rien... c'est pas la meilleure idée.
Autant avoir un abo edf si on est dépendant d'essence.
Autant acheter du macdo si on doit acheter des patates.
Voilå.
c’est très intelligent de montrer aussi l’envers du décors. tout n’est pas si simple que veux bien le montrer YT. merci pour ce riche partage.
Je pense que l'homme n'est pas un animal aussi social que ton expérience, ce qui explique l'échec. Bien sûr, tant que les ressources sont abondantes, les ours cohabitent facilement,
dans ce genre de projet, on sous estime le coté "social" justement. L'objectif commun peut être le même entre les personnes mais les moyens pour y arriver et la manière sont différents. Ce qui peut nuire au projet...
Pas évident, pas évident du tout....
L'homme est un animal social, je n'ai peu de doute là dessus... Mais peux sont prêt à donner davantage qu'à recevoir (dans un premier temps - avec le temps le verbe "prendre" convient mieux - plus de la moitié des gens sont prêt à marcher sur la tête des autres, et ce n'est pas ceux qui distillent le moins de moraline)...
coucou bonsoir comment allez vous ; je suis daniel je suis célibataire sans enfants je cherche une relations sérieuse et durable basée sur la confiance et le respect envoyé moi une invitation ou un messages je suis au plaisir de vous lire voila mon email hangout au danielcharlesmarcel@gmail.com
et voila mon compte skype Daniel Charles9
"Si ce n'est toi, c'est donc ton frère !" La même intonation de voix, la même construction intellectuelle de l'argumentation, certains mots qui arrivent pour ponctuer une idée de la même manière que toi, vous venez du même environnement familial ;)
C'est clair ça se ressemble beaucoup. Des personnes avec une bonne expression orale, n'est-ce pas!
Même expérience que le premier écovillage. Effectivement, pour moi avant de quitter la ville, il est nécessaire de pouvoir être autonome économiquement avant de s'installer loin de tout. Les activités à la campagne ne sont pas les mêmes qu'en ville. Donc, ne pas aller trop vite ;)
Merci très intéressant ce retour d'expérience.
Je crois que vous parlez anglais et donc je vous recommande une chaîne: Charles Dowding. Il s’agit de maraichage bio, sans travailler le sol, avec du compost fait maison et seulement une dizaine d’outils de la brouette au rateau, seul engin électrique : un broyeur végétal. J’ai pensé que cela pouvait vous intéresser. C’est extrêmement complet et détaillé, le monsieur partage... Et le résultat bien plus probant que toutes les chaînes françaises que j’ai vu sur le sujet.
Il n'y a pas d'échec mais des expériences :)
Tout a fait d'accord avec toi
Les échecs forment l'expérience et le savoir. C'est comprendre pourquoi il y a eu l'échec.
Échouer à un examen c'est le réussir par la suite..
Échouer à la création d'une entreprise, c'est faire de nouveau les choses avec intelligence et surtout avec le savoir acquis afin d'éluder l'échec.
La vie est une expérience. Plus on fait d’expériences, mieux cela sera
@@leeonhell9184 👍😉
Bah si, il y a des expériences qui réussissent d'autres qui sont des échecs. Car si je pars de ton principe, il n'y a pas non plus de réussite.
C'est justement l'échec ou la réussite qui donne (normalement) lieu à la compréhension de cette expérience.
@@elfamosochancla7966 La réussite ou l'échec, j'ai l'impression que c'est comme le bien ou le mal, trop simpliste
Y a bien trop de gens qui comprennent pas la différence entre l'AUTONOMIE ET l'AUTARCIE.
Et l'indépendance, aussi...
merci pour ce témoignage sans superflu et transparent
Oui, le point sensible c'est la vie en société à la campagne. Les solutions traditionnelles étaient si peu agréables (on entassait trois générations sous le même toit et on obéissait au père), qu'elles ont encouragé des milliers de jeunes à émigrer vers les villes !
De nos jours, la vie en société pour les ménages qui s'installent en autonomie sans passer par la case "collectif", elle se négocie avec des voisins agriculteurs généralement très gentils, mais qui ont des opinions et des pratiques radicalement différentes ! Pour conserver de bonnes relations (c'est important, pour l'entraide), on s'empêche de lancer des conversations "Chimie productiviste contre Permaculture" ... et ça use les nerfs !
L'expérience du jeune homme de cette vidéo sera précieuse pour fonder une toute nouvelle manière de vivre ensemble ! Un grand bravo à lui, pour son courage et sa clairvoyance !
Belle expérience merci pour le partage 🙏🏽
Le meilleur collectif est la famille.
On a pas la même famille :')
@@loupinben65 Ben crée la tienne
En effet, historiquement les structures autonomes (nomades ou non) sont articulés autour de noyaux familiaux (de sang ou non), qui facilite le partage des ressources et la confiance. La le truc du SCI c'est appliquer les lois du marché capitaliste au sein d'une structure qui se veut décroissante, aucun sens ...
Très intéressant. Merci pour ce partage.
@@loupinben65 personnellement mon noyaux d'amis est autant ma famille que ma famille de sang. Le concept très européen du sang avant tout est stupide.
Par ex c'est courant dans la culture des iles Oceaniques d'avoir un ami qui devient un frère/soeur, même aux yeux de la loi. Tu crée ainsi des chaines familiales très fortes, même si tu partage pas de l'adn
J'ai eu la même expérience que la première raconté par ton invité (celle en Bretagne).
L'organisation était absolument la même, mais la différence étant que j'y suis allé en Wwoofing. C'était super, j'y ai beaucoup appris et l'intérêt du wwoofing étant que je ne me suis engagé à rien. Ainsi, j'y suis resté le temps que j'avais besoin pour apprendre.
Je pense que cet invité aurait dû faire la même chose, essayer, expérimenter, avant de tout plaquer. En sommes, le bénévolat dans ce genre de projets collectifs permet de se donner une première impression quant à la l'autonomie collective, voire individuelle.
Excellent témoignage, et on se rend compte que malgré les échecs ce monsieur veut quand même retenter le coup, ça prouve que ça reste la solution ultime (peut être pas pour tout le monde mais pour la plupart d'entre nous), et prend tout son sens avec ce qui se passe en ce moment.
témoignage très intéressant merci
merci pour ce témoignage
Il .... retourne en ville, tout simplement. Très intéressant comme témoignage. Merci pour ce partage.
Très beau témoignage, tellement vrai.
Merci beaucoup pour ce partage, beaucoup trop de nouveaux autonomistes croient que c’est très facile de tout quitter pour être autonome, comme sur TH-cam ou dans les films, parfois il es mieux de reculer pour mieux sauter.
PS: beaucoup confondent autonomie et autarcie, grande différence
Super témoignage...
Arrêter de charger vos PC et téléphone via un onduleur !
si vous stocker du courant en batterie 12V alors pas besoin de passer au 220V alternatif. Achetez un convertisseur DC-DC, un multimètre et chargez vos appareil directement depuis les batteries quelques soit leur tensions.
600€ dans un onduleur juste pour le PC, le téléphone et l'éclairage c'est inutile. Aujourd'hui 90% de l'électronique et de l'éclairage LED utilise du courant continue pu besoin de 220V.
Bonjour, et merci à vous pour ce témoignage !
Contenu de qualité encore une fois. Merci pour cette interview et ce retour d'expérience, ça fait réfléchir.
je suis contre le collectif, être proche des voisins ok mais chacun chez soi c'est mieux
surtout quand il y a de l'argent en jeu ( copro )
Totalement d'accord, personne ne travaille de manière égale, personne n'a les mêmes façons de faire et de penser, un collectif pour moi c'est tôt ou tard un nid à emmerdes
C’est la clé pour qu’un lieu évolue. Vie de village.
le chacun chez soi n'est pas viable le jour où la majeure partie des citadins devra repartir vers la campagne. C'est une solution de privilégié
Super intéressant comme vidéo, merci beaucoup !
🙏 grand merci pour ce compte rendu très clair et facile à comprendre. Je pense que depuis le début de cette année 2020, on est encore plus nombreux à rêver de vie hors matrice.... chaque conseil est prétieux et bon à prendre.
C'était très instructif d'avoir ce revers de médaille... merci encore
Merci beaucoup pour ce témoignage
Peuchère cet homme, il arrive dans un premier collectif qui a besoin d'argent et qui se prend la tête depuis son arrivée. Ça c'est ce que lui voit. Les gens de la communauté, que voient ils ? Un parisien qui vient de quitter un bon boulot, et qui a vendu un appartement, et qui veut profiter du système alors qu'il n'est capable de rien...
Il a dû vivre des moments de sociabilité très compliqués malgré sa bonne foi et sa bonne volonté.
En revanche il n'a pas appris en parlant de la vie en collectif, car ça revient au même que de vivre en société. Et rien n'empêche de vivre seul. Pourquoi cherche t'il absolument à vivre avec d'autres en autonomie ? Tu peux vivre loin et aller rencontrer des gens qui ont le même style de vie. Tu créées des occasions autour de thème : le premier le plus banal (et le moins enrichissant : la musique.). Mais aussi autour de l'eau, du jardinage, de l'électricité, de moissons, de créations etc etc... Bref.
Ça fait vraiment pas rêver. C'est peut-être moi qui suis associable...
Très intéressant !
D'après mes propres expériences et ma vision de voir les choses, je pense qu'il ne faut pas être radical, je m'explique : plutôt que de passer d'un mode de vie actuel à un mode de vie autonome à vivre dans le trou du cul de la terre et tout ce qui va avec (jardin, autonomie en eau électricité etc...)
Je pense qu'il serait préférable, et plus abordable pour tous (selon le niveau de chacun) de changer petit à petit ses habitudes dans le sens de l'écologie, à commencer par l'économie d'énergie, la façon de se déplacer, et la consommation locale.
Voilà, je dit ça, après je me met clairement dans la peau de ce type puisque moi aussi j'ai eu une période de "révolte" où j'ai eu envie de tout claquer et de me radicaliser dans cette idée d'autonomie et d'écologie absolu. Sauf que ce n'est pas là grande solution, malheureusement...
Merci pour votre témoignage
On apprend de ses échecs, ça fait toujours mal, mais on a la satisfaction d'avoir essayé. L'analyse sur ce retour d'expérience est très bien faite et la lucidité de celle ci montre que l'auteur ne s'était pas engagé sans étude, mais que cela n'a pa suffit. La prochaine expérience sera organisée différement et rencontrera plus de succès ;) super et merci pour ce retour
c 'est sur que si des piqûre d'orties sont considérés comme un problème majeur il faut se remettre en question sur la capacité à affronter la vie à la campagne ...
Bien vu ! Quel malheur de voir les orties uniquement comme des plantes qui piquent, alors qu'elles sont délicieuses en cuisine, ....un don de la nature.
Il a surtout appris qu'on adhere pas à un clan facilement, et qu'on ne conctruit pas son propre clan facilement non plus MAIS que c'est quand meme plus agreable avec ses propres regles.
Merci pour ce retour d'expérience ! Très instructif.
Punaise !
Cette première description de ce collectif me rappel énormément mon lieu de travail où les gens interagissent de manière déplorable... Dommage.
Alors que le but est que tout le monde fassent avancé les choses dans le même sens et le bon !
Merci à cette personne et à vous pour cette vidéo.
Proverbe Shadok: Plus ça rate, plus on a de chance que ça marche.
Bon, je plaisante... Mais je me demandais pourquoi chercher à s'installer en communauté plutôt que de s'installer seul et créer des liens solides (avec de l'entraide) avec les voisins? En fait, c'est plutôt comme ça que les villages fonctionnaient autrefois, non?
Très intéressant. Le seul truc que je trouve dommage en regardant cette vidéo (et surtout le titre), c'est que j'ai l'impression qu'on nous offre une vision un peu binaire : la ville ou l'autonomie. J'imagine que ça n'est pas volontaire, et que ça ne représente que cet exemple précis, mais il y a beaucoup d'autres modes de vies possibles, à mi-chemin entre ces deux opposés.
Super retour d'expérience, merci :)
Très enrichissant.
Avant de connaitre cette chaîne, je me demandais comment faire pour changer du mode actuel vers un mode qui me correspond. Je voyais la montagne et ne savait pas par ou commencé.
Grace à cette chaîne, entre autre, j'apprends énormément ! Tu ne nous apprends pas comment faire pousser des carottes, pour cela il y en a d'autres, tu nous apprends a comprendre et à nous pauser ! Un tout grand merci pour cela !
Grace à toi, j'avance a mon rythme vers un mode de fonctionnement qui me correspond. Merci
Hyper intéressant!
Très intéressant ! On aimerait en savoir plus sur ce collectif en fait.. économie projets, gestion du lieu, resolution conflits, alimentation etc.
Merci pour ce témoignage très touchant. Pour moi ce n'est pas un échec, seulement reculer pour mieux sauter. C'est normal de passer par plusieurs étapes et de progresser à un certain rythme. La vie n'est pas linéaire, heureusement. Je trouve qu'il a quand même été assez loin et a tenu plusieurs années, donc la prochaine fois sera la bonne.
Merci à cette personne pour son retour instructif et à mfa pour la vidéo.
Expérience & retour d'information intéressant. Je me demande si ceux qui font des communautés aujourd'hui ont tirés les leçons des communautés hippies des années 60/70: il y en a eu tellement qui se sont créées à cette époque et quasiment autant qui ont explosées en vol plus ou moins longtemps après...
Ils bossent tous dans la pub...
Interviewer Lancelot, quelle classe !
Oui bonne soiree
Mais c'est vrai en plus !! 😂
Je me disais bien que je connaissais cette voix lol bravo
Super vidéo, nécessaire pour nuancer les solutions toutes faites que nous vendent les marchants de rêve.
Super témoignage. Merci à lui.
Merci je cherchais justement "l'échec" de quelqu'un car oui ne voir que les gens qui réussissent ne permet pas d'avoir une image clair de la situation.
la premiere fois il est rentre carrement dans une secte 🤣
Ouai ça l'air bizarre le premier collectif
Puis quand ta des pseudo leader qui se bataille le pouvoir, l'angoisse
C’est un énorme risque de partir vivre avec des gens qu’on ne connais pas.
On a rarement un point de vue objectif sur un groupe lorsqu'on se limite au témoignage d'une personne ;)
Les collectifs fanatiques de CNV sont très courants. Le degré de psycho-bobologie est un indice important à prendre en compte (j'ai l'impression que plus les gens sont dans la psycho-bobologie, moins ils sont stables).
Excellente expérience à bien gardé en mémoire ! De pars mon taff qui est basé sur le fonctionnement du cerveau. Le collectif est intéressant seulement si il prend en compte l’individu. Si on essaye de de noyé l’individu dans un tout, l’ego (le mauvais) finit par se réveiller méchamment pour sauver l’individu. Et comme dit dans la vidéo si on ne se connaît pas. C’est dans ce genre d’expérience qu on apprend a se connaître ainsi que les autres. Merci encore ça fait réfléchir. Et ça resonne sur mon vécu aussi.
Bravo et merci pour ce témoignage