Wahou… Je fais tout l’inverse, surtout pour respecter : 1 la vie familiale, 2 le jeune intermittent, 3 mes horaires de sport. J’ai 3 séances par semaines de séance cardio sur sac de frappe (club de kickboxing) le lundi mercredi et vendredi soir de 17h à 18h. Donc je prend mes prot après l’entraînement et je mange vers 19h à la maison avec les enfants et ma femme. Mon jeune intermittent est de 21h à 13h (je le casse avec mes protéines en poudre isolantes) donc un seul vrai repas par jour le soir.
Très intéressant, malheureusement pour le sujet du cardio le soir c'est compliqué sachant que mes cours de boxe thaï sont de 20h a 22h, 2 fois par semaine et effectivement l'endormissement est compliqué !
Ce serait un peu long de reprendre toute la vidéo, mais malgré l'utilisation de nombreux termes scientifique pour faire sensation, il n'y a pas grand chose de scientifique dans ce qui est apporté. Mais prenons un exemple, lorsqu'il est dit " il y a des neurotransmetteurs excitateurs, et des neurotransmetteurs calmant" c'est juste faux. Il y a bien des neurotransmetteurs excitateurs, et d'autres inhibiteurs et la différence n'est pas uniquement sémantique. Cela se joue au niveau des synapses et pas au niveau de l'individu. Si par exemple un neurotransmetteurs excitateur est libéré au contact d'un interneuronne inhibiteurs il aura pour effet d'inhiber le neurone suivant. La libération d'un neurotransmetteurs excitateurs peut donc tout à fait bloquer un message. Tout dépend de l'endroit où il est situé dans le réseau. L'intervenant confond régulièrement neurotransmetteurs et hormones (sachant que certains neurotransmetteurs peuvent avoir les 2 rôles). Toute la discussion qui suis n'a aucun fondement scientifique. C'est un mélange d'évidence, d'exemple et de mots savant mal utilisé pour soutenir un discours certes mais cohérent mais sans fondement scientifique. Ce n'est pas parce qu'on avale quelque chose, ou bien le précurseur de quelque chose et sous n'importe quelle forme, que cela se traduit par son assimilantation et son utilisation par l'organisme. Il y a des mécanismes de régulation et de retrocontrôle dans l'organisme. Ce n'est donc malheureusement pas parce que l'on mange tel ou tel aliments à tel moment de la journée, que l'on obtient l'action fantasmé sur l'organisme. Sinon la pharmacologie serait tellement simple. D'ailleurs sa brève description des cycles de régulation permet de soutenir ses propos mais ne correspond pas aux réels mécanismes de régulation. On ne peut pas honnêtement les résumer de cette façon. Donc je rejoins l'intervenant sur l'importance de cycles de repos et d'une bonne alimentation, variée et équilibrée pour être en bonne santé. Pour le reste il a peut être de bonnes idées mais il manque un soutient scientifique à ses propos et beaucoup de ce qu'il raconte est biologiquement faux ou tellement démagogique que ça le devient. Mais je suis conscient qu'il vend ses produits (qu'il place d'ailleurs avec habilité à plusieurs reprises) et que son discours sonne très commercial. Dans ce contexte on ne peut pas lui en vouloir. 😉
@@LeveLaJambe cela dit, en dehors de l'imprécision qui arrivée à un certain point confine à l'erreur, est ce que les conseils concrets donnés sont mauvais ? et s'ils ne le sont pas, ont ils une bonne probabilité de produire le résultat escompté c'est à dire favoriser le sommeil ? Parce qu'en rentrant toujours plus dans le détail du détail du détail de tel ou tel processus chimique , on pourra toujours remettre en cause, peut être même votre présentation plus aboutie des choses, mais en réalité, ce qui nous intéresse nous, non passionnés ou non scientifiques spécialistes du cerveau , c'est comment s'endormir plus vite et comment mettre le maximum de chances de notre coté pour s'endormir naturellement. En tout cas, Merci pour votre réponse.
24:05 c’est drôle mais le podcast dans la tête d’un coureur nous disait que aucune étude scientifique n’existe quant à l’intensité tard dans la journée et son impact sur le sommeil.
@@LeveLaJambeLes organismes humains sont le résultat de la génétique et de l'épigénétique. Il existe différents neurotypes chez les individus. Généralement, les réactions neurologiques peuvent varier considérablement en fonction du fonctionnement neuronal. Par exemple, un individu ayant naturellement un plus haut niveau de dopamine aura des caractéristiques caractèrielles complètement différentes d'un autre individu ayant par exemple un niveau d'acétylcholine plus élevé comparativement au précédent. De plus l'alimentation, et donc le timing et la qualité des nutriments ainsi que la durée d'un effort, le moment de l'effort ainsi que le type d'effort auront des influences complexes sur le fonctionnement neuronal individuel. C'est la base de l'épigénétique de comprendre que tout ce qui nous touche de près ou de loin comme par exemple le climat, la température de notre logement, notre activité physique, notre composition corporelle qui est le résultat de nos multiples choix conscient et non-conscient au quotidien. Sur cette base, nous pouvons affirmer que pas tout le monde ne réagira de la même façon au stress physique et psychologique, à l'alimentation, etc. Mais il est certain par contre que la qualité nutritive d'aliments combinés font réagir notre fonctionnement neuronal et le modifie sur le long terme si l'on prend en compte que l'équilibre d'un système qui est affecté par un élément extérieur amènera forcément à des changements afin d'atteindre l'équilibre ou homéostasie. Cela rejoint les grands principes de l'épigénétique. Des nutriments combinés auront des réponses différentes en fonction de l'individu, mais si la base est la même, les changements sur le système auront des similarités, car l'ajout d'un même facteur sur deux systèmes différents présentera toujours des similarités.
Une densité et une qualité d’informations extraterrienne! Merci à vous!
Très qualitatif 👌
Wahou… Je fais tout l’inverse, surtout pour respecter : 1 la vie familiale, 2 le jeune intermittent, 3 mes horaires de sport.
J’ai 3 séances par semaines de séance cardio sur sac de frappe (club de kickboxing) le lundi mercredi et vendredi soir de 17h à 18h. Donc je prend mes prot après l’entraînement et je mange vers 19h à la maison avec les enfants et ma femme. Mon jeune intermittent est de 21h à 13h (je le casse avec mes protéines en poudre isolantes) donc un seul vrai repas par jour le soir.
Très intéressant, malheureusement pour le sujet du cardio le soir c'est compliqué sachant que mes cours de boxe thaï sont de 20h a 22h, 2 fois par semaine et effectivement l'endormissement est compliqué !
Merci pour tout ses bon conseils 🤙
Avec plaisir 👍
Mes cours de neuro, de physio et de bio se sont successivement fait harakiri en écoutant parler cet invité. 😖
Ah bon pourquoi? Vous pouvez détailler ?
Ce serait un peu long de reprendre toute la vidéo, mais malgré l'utilisation de nombreux termes scientifique pour faire sensation, il n'y a pas grand chose de scientifique dans ce qui est apporté. Mais prenons un exemple, lorsqu'il est dit " il y a des neurotransmetteurs excitateurs, et des neurotransmetteurs calmant" c'est juste faux. Il y a bien des neurotransmetteurs excitateurs, et d'autres inhibiteurs et la différence n'est pas uniquement sémantique. Cela se joue au niveau des synapses et pas au niveau de l'individu. Si par exemple un neurotransmetteurs excitateur est libéré au contact d'un interneuronne inhibiteurs il aura pour effet d'inhiber le neurone suivant. La libération d'un neurotransmetteurs excitateurs peut donc tout à fait bloquer un message. Tout dépend de l'endroit où il est situé dans le réseau.
L'intervenant confond régulièrement neurotransmetteurs et hormones (sachant que certains neurotransmetteurs peuvent avoir les 2 rôles).
Toute la discussion qui suis n'a aucun fondement scientifique. C'est un mélange d'évidence, d'exemple et de mots savant mal utilisé pour soutenir un discours certes mais cohérent mais sans fondement scientifique.
Ce n'est pas parce qu'on avale quelque chose, ou bien le précurseur de quelque chose et sous n'importe quelle forme, que cela se traduit par son assimilantation et son utilisation par l'organisme. Il y a des mécanismes de régulation et de retrocontrôle dans l'organisme. Ce n'est donc malheureusement pas parce que l'on mange tel ou tel aliments à tel moment de la journée, que l'on obtient l'action fantasmé sur l'organisme. Sinon la pharmacologie serait tellement simple. D'ailleurs sa brève description des cycles de régulation permet de soutenir ses propos mais ne correspond pas aux réels mécanismes de régulation. On ne peut pas honnêtement les résumer de cette façon.
Donc je rejoins l'intervenant sur l'importance de cycles de repos et d'une bonne alimentation, variée et équilibrée pour être en bonne santé. Pour le reste il a peut être de bonnes idées mais il manque un soutient scientifique à ses propos et beaucoup de ce qu'il raconte est biologiquement faux ou tellement démagogique que ça le devient.
Mais je suis conscient qu'il vend ses produits (qu'il place d'ailleurs avec habilité à plusieurs reprises) et que son discours sonne très commercial. Dans ce contexte on ne peut pas lui en vouloir. 😉
@@LeveLaJambe cela dit, en dehors de l'imprécision qui arrivée à un certain point confine à l'erreur, est ce que les conseils concrets donnés sont mauvais ? et s'ils ne le sont pas, ont ils une bonne probabilité de produire le résultat escompté c'est à dire favoriser le sommeil ? Parce qu'en rentrant toujours plus dans le détail du détail du détail de tel ou tel processus chimique , on pourra toujours remettre en cause, peut être même votre présentation plus aboutie des choses, mais en réalité, ce qui nous intéresse nous, non passionnés ou non scientifiques spécialistes du cerveau , c'est comment s'endormir plus vite et comment mettre le maximum de chances de notre coté pour s'endormir naturellement.
En tout cas, Merci pour votre réponse.
24:05 c’est drôle mais le podcast dans la tête d’un coureur nous disait que aucune étude scientifique n’existe quant à l’intensité tard dans la journée et son impact sur le sommeil.
@@LeveLaJambeLes organismes humains sont le résultat de la génétique et de l'épigénétique. Il existe différents neurotypes chez les individus. Généralement, les réactions neurologiques peuvent varier considérablement en fonction du fonctionnement neuronal. Par exemple, un individu ayant naturellement un plus haut niveau de dopamine aura des caractéristiques caractèrielles complètement différentes d'un autre individu ayant par exemple un niveau d'acétylcholine plus élevé comparativement au précédent. De plus l'alimentation, et donc le timing et la qualité des nutriments ainsi que la durée d'un effort, le moment de l'effort ainsi que le type d'effort auront des influences complexes sur le fonctionnement neuronal individuel. C'est la base de l'épigénétique de comprendre que tout ce qui nous touche de près ou de loin comme par exemple le climat, la température de notre logement, notre activité physique, notre composition corporelle qui est le résultat de nos multiples choix conscient et non-conscient au quotidien. Sur cette base, nous pouvons affirmer que pas tout le monde ne réagira de la même façon au stress physique et psychologique, à l'alimentation, etc. Mais il est certain par contre que la qualité nutritive d'aliments combinés font réagir notre fonctionnement neuronal et le modifie sur le long terme si l'on prend en compte que l'équilibre d'un système qui est affecté par un élément extérieur amènera forcément à des changements afin d'atteindre l'équilibre ou homéostasie. Cela rejoint les grands principes de l'épigénétique. Des nutriments combinés auront des réponses différentes en fonction de l'individu, mais si la base est la même, les changements sur le système auront des similarités, car l'ajout d'un même facteur sur deux systèmes différents présentera toujours des similarités.