Alors là, merci 1000 fois et bravo! Non pas seulement parce que je suis un admirateur sans bornes de Brassens ni du fait que j’adore la musique classique ne sachant même pas déchiffrer une partition, mais pour le bonheur de voir deux jeunes gens partager avec autant d’expertise et de passion la complexité musicale de Brassens qui fusionne avec le texte de façon si naturelle que nous n’en voyons souvent que l’évidence alors que c’est là, dans l’apparente simplicité, que se trouve son génie tout sophistiqué. Je suis vraiment enthousiasmé que des jeunes et brillants musiciens en parlent aussi bien...
Toujours un grand bonheur de t'entendre parler de Brassens, Pierre. Et là, à deux c'est encore mieux... Juste un mot sur le joueur de flûteau. Pour moi ça fait partie des 'chansons de modestes' comme Pauvre Martin par exemple (ma chanson préférée). Une chanson des 'petites gens'. Il n'était donc pas possible de faire un accompagnement trop ample, trop lyrique (même si effectivement la musique le permettait) . Je trouve que cette recherche de cohérence entre musique et paroles est vraiment merveilleuse chez Brassens et d'une parfaite logique. Vivement le prochain épisode. Et merci pour tout.
Toujours au top ! Sur le petit joueur de fluteau également : quand il dit : mon la se mettrait à gonfler, on passe de A7 à Am6, le la gonfle... Dis-moi si je me trompe mais c'est comme ça que je le joue Si on veut continuer, la suite est faite de plusieurs cadences ou on change de tonalités pour revenir au ré initial, comme si entendre ce la 'gonflé' fait vite revenir le petit joueur de fluteau à sa petite vie bien tranquille en ré majeur ^^ (surinterprétation quand tu nous tiens)
Très intéressant. Je pense que l'absence de rime s'explique aussi par le thème médiéval. Ce que fait Brassens, c'est une assonance (à ne pas confondre avec l'assonance comme répétition d'un son vocalique). C'était souvent fait dans la poésie médiévales (notamment dans les laisses assonancées). Dans la rime, on répète la dernière voyelles et toutes les consonnes qui suivent, s'ils y en a. Dans les assonances, on ne se préoccupe que des voyelles.
Merci pour cette vidéo ! J’adore Brassens mais n’ayant personne avec qui en discuter j’ai beaucoup aimé vous entendre parler de lui et de ses chansons !
Merci pour cet analyse des chanson de Tonton. Je l'ai en permanence avec moi et souvent une de ses chansons surgit lors d'une discussion ou d'un évènement souvent sans importance "tient il en avait déjà parlé"
Il ne faut pas oublié que Brassens a préciser que la simplicité de ses mélodies pour qu'on ce concentre sur les paroles. Car il est poète avant d'être musicien. ;)
Merci très intéressant. Mais pour rendre à César, Brassens dans une émission dit qu'il avait un arrangeur comme il le dit quelqu'un pour le conseiller pour les accords. Ce qui n'enlève pas son talent. Mais n'oublions pas les arrangeurs, métier passé toujours sous silence. Merci...
@@l.5547 Bonjour, désolé mais je ne me souvient plus quelle vidéo sur Brassens il y en a tellement. Mais dés que je la retrouve sje vous le signal. Cordialement.
Alors là, merci 1000 fois et bravo! Non pas seulement parce que je suis un admirateur sans bornes de Brassens ni du fait que j’adore la musique classique ne sachant même pas déchiffrer une partition, mais pour le bonheur de voir deux jeunes gens partager avec autant d’expertise et de passion la complexité musicale de Brassens qui fusionne avec le texte de façon si naturelle que nous n’en voyons souvent que l’évidence alors que c’est là, dans l’apparente simplicité, que se trouve son génie tout sophistiqué. Je suis vraiment enthousiasmé que des jeunes et brillants musiciens en parlent aussi bien...
Toujours un grand bonheur de t'entendre parler de Brassens, Pierre. Et là, à deux c'est encore mieux...
Juste un mot sur le joueur de flûteau. Pour moi ça fait partie des 'chansons de modestes' comme Pauvre Martin par exemple (ma chanson préférée). Une chanson des 'petites gens'. Il n'était donc pas possible de faire un accompagnement trop ample, trop lyrique (même si effectivement la musique le permettait) . Je trouve que cette recherche de cohérence entre musique et paroles est vraiment merveilleuse chez Brassens et d'une parfaite logique.
Vivement le prochain épisode. Et merci pour tout.
Toujours au top ! Sur le petit joueur de fluteau également : quand il dit : mon la se mettrait à gonfler, on passe de A7 à Am6, le la gonfle...
Dis-moi si je me trompe mais c'est comme ça que je le joue
Si on veut continuer, la suite est faite de plusieurs cadences ou on change de tonalités pour revenir au ré initial, comme si entendre ce la 'gonflé' fait vite revenir le petit joueur de fluteau à sa petite vie bien tranquille en ré majeur ^^ (surinterprétation quand tu nous tiens)
vers 1964/65 je devais supporter les avis des concierges sur la musique de Brassens ...Bravo les gars ,continuez !
Très intéressant. Je pense que l'absence de rime s'explique aussi par le thème médiéval. Ce que fait Brassens, c'est une assonance (à ne pas confondre avec l'assonance comme répétition d'un son vocalique). C'était souvent fait dans la poésie médiévales (notamment dans les laisses assonancées). Dans la rime, on répète la dernière voyelles et toutes les consonnes qui suivent, s'ils y en a. Dans les assonances, on ne se préoccupe que des voyelles.
Merci pour cet éclairage !
Merci pour cette vidéo ! J’adore Brassens mais n’ayant personne avec qui en discuter j’ai beaucoup aimé vous entendre parler de lui et de ses chansons !
Merci beaucoup ☺️
Merci pour cet analyse des chanson de Tonton. Je l'ai en permanence avec moi et souvent une de ses chansons surgit lors d'une discussion ou d'un évènement souvent sans importance "tient il en avait déjà parlé"
C’est ça, son œuvre est tellement... complète que ça en est déconcertant !
Merci, c'est un plaisir de vous écouter. Vivement la prochaine!
Votre approche de Brassens est généreuse !merci de cette amour.
Merci pour ce joli commentaire
Un grand merci ! On en apprend encore et toujours sur Brassens 👍
Merci pour ce très bon moment passé à vous écouter.....Continuez c'est génial!
Passionnant, merci beaucoup !
Super cool j'espère que cette vidéo fera plus de vues grâce à ce commentaire !
Super cet échange sur Brassens !
J’adore votre vidéos sur Brassens 🎉
Encore, encore ....
Merci
vite la prochaine svp et merci
Super vidéo !
j'espère qu'ils parlent du fossoyeur : la tristesse en mode majeur !
Suis-je le seul à trouver que Nicolas ressemble à Macron ?
Lequel, Emmanuel ou Brigitte 🤣?
@@piouchanson 😂
Merci au tonton du circuit
J'adore ton intro flamenca sur "les passantes" avec Djamel DJENIDI et son orchestre :
th-cam.com/video/LX85dvgdlz0/w-d-xo.html
Salut jamais de deuxième guitariste même pour jouer "je me suis fait tout Petit" ?
Et Bobby Lapointe, dans le document !!!
Et Boris Vian...
Non c'est Jean-Pierre Chabrol et Claude Santelli :).
Saturne septembre 1963
Le petit joueur de flûteau septembre 1963
like 81
La musique de fond était une très mauvaise idée
Brassens le seul artiste français valable
Brassens aimait Johnny. Et vice versa.
Il ne faut pas oublié que Brassens a préciser que la simplicité de ses mélodies pour qu'on ce concentre sur les paroles. Car il est poète avant d'être musicien. ;)
Il a précisé que sa musique devait PARAITRE simple, pas qu'elle l'était. Il a affirmé le contraire à plusieurs reprises.
@Alexis FRANCISCO Il me semble qu'il ne connaissait pas le solfège
@@valentinbourdarie Si, il le connaissait même si ce n'était pas un grand théoricien.
Merci très intéressant. Mais pour rendre à César, Brassens dans une émission dit qu'il avait un arrangeur comme il le dit quelqu'un pour le conseiller pour les accords. Ce qui n'enlève pas son talent. Mais n'oublions pas les arrangeurs, métier passé toujours sous silence. Merci...
C'était qui cet arrangeur ? Où dit-il ça ?
@@l.5547
Bonjour, désolé mais je ne me souvient plus quelle vidéo sur Brassens il y en a tellement. Mais dés que je la retrouve sje vous le signal. Cordialement.
@@pascalrichard2902 Avec plaisir. Je suis curieux.
Est-ce que Brassens utilisait des guitares à cordes de nylon ou d'acier???