Steve Reich : Jacob's Ladder
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- เผยแพร่เมื่อ 13 ก.พ. 2024
- L'Ensemble Intercontemporain et Synergy Vocals interprètent Jacob's Ladder de Steve Reich sous la direction de George Jackson. Extrait du concert enregistré le 6 février 2024 à l'Auditorium de la Maison de la Radio et de la Musique dans le cadre 34ème Festival Présences : Steve Reich
#SteveReich #FestivalPrésences #GeorgeJackson
Tehillim (1981), The Cave (1993), Know What Is Above You (1999), You Are (Variations) (2004), Daniel Variations (2006), Traveler’s Prayer (2020) et maintenant Jacob’s Ladder : depuis le début des années 1980, Steve Reich puise régulièrement son inspiration dans la culture et la religion hébraïques. Dans la partition pour voix et ensemble créée en octobre dernier, il met en musique un verset de la Genèse narrant le songe de Jacob. Il avait remarqué la diversité d’interprétation suscitée par cet épisode, et notamment par l’image de l’échelle, de William Blake à Philip Guston en passant par Pieter Brueghel l’Ancien. Pour un musicien, il est tentant de l’assimiler à une échelle modale, d’autant qu’en hébreu, le mot Sulahm est utilisé dans les deux acceptions (comme « échelle » en français).
Après avoir essayé d’écrire Jacob’s Ladder à partir de gammes, Reich a jeté au panier ce qui, de son propre aveu, ressemblait davantage à des exercices pour pianiste débutant qu’à une véritable composition. Réalisant que tout mouvement mélodique ascendant ou descendant pouvait être assimilé à une échelle, il tenait là son matériau de départ. Le découpage formel suit la structuration du texte en quatre phrases : « Et [Jacob] rêva / qu’il y avait une échelle reposant sur la Terre / et dont l’autre extrémité atteignait le ciel ; / et il aperçut les anges de Dieu qui la montaient et la descendaient » (traduction d’après le texte anglais). Chacune de ces phrases est chantée, puis brièvement commentée par l’ensemble instrumental, avant de donner lieu à un développement plus conséquent.
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The entire text for the piece is Genesis 28:12:
Va yachalohm
Va heenay, sulahm
mutzav artzah
Va rosho mahgeeah
ha shamymah
Va heenay, malachay
Elokim ohlim v’yordim bo
_And he dreamed,_
_And behold, a_
_ladder set up_
_on the Earth_
_and its top reached_
_heaven_
_and behold, messengers_
_of G-d ascending and_
_descending on it._
C’est de la musique qui nous capte
Tres belle
❤
Musique angélique
quite delicious......
I love Steve Reich, I've been inspired by his work for decades. I don't love this piece. There's nothing wrong with it, it's "pretty", but it doesn't blow my mind. Sorry man. You're still awesome though.
I agree. Reich repeats his style and nothing substantial was composed since 28 years.
Yep, this is nothing new from Reich - steady pulse in right/left hand seconds, juxtaposition of short repeated patterns (his "canons" ie written phases), those beloved altered dominant and diminished chords. It's disappointing - the works of the last 20 years seem entirely interchangeable. But this is just him now and his idiom, and still unique to him. Not many composers (or artists in general) can claim to have invented a style they can call their own. I guess the key thing is the text, although I do find it a little odd that he would be so "lazy" (in the most charitable way) in setting subject matter which seems to mean so much to him. I guess also we should not forget that this has come from a man in his mid 80s - which again has a lot to do with what he's doing. And for that I still admire him greatly.
😂
Bof, cela ne nous apporte pas beaucoup de nouveau, ni dans l'oeuvre de Reich, ni dans la musique contemporaine en général (je n'aime pas trop les passages pentatoniques un peu démodés vers la fin) mais c'est acceptable et bien joué en tout cas. Merci pour le partage.
Ich muss leider bekennen, dass ich, obwohl ich eine großer Reichbewunderer bin dieses Werk als nicht besonders gelungen betrachte. Es klingt wie alle Stücke der letzten 15 Jahre und ist leider für mich sehr langweilig und dementsprechend enttäuschend. Schade. Steve Reichs Werke des letzten Jahrhunderts dagegen waren Meilensteine.
Oui, mais pour quelqu'un qui découvre Reich, c'est fabuleux. Mais clairement, je ne supporterais pas un concert de 2 heures de cette musique
Mon Dieu quelle pauvreté, de la musique pour les snobinards
You prefer music that paints you a sunrise? that puts your foot a-tapping, in Kalbeschritte? a lulling melody?
Les snobinards disaient déjà cela à l'époque de Mozart!!!! Des esprits obtus et figés.
Il faudrait définir la pauvreté en musique, pour commencer. Confondre volontairement "répétitif/minimaliste" et "pauvre", c'est vraiment éculé comme recette. Qui est le snobinard ?
Mon Dieu, quel commentaire inutile