En effet il y avait des indochinoises et des magrébinnes aux BMC à Dien Bien Phu qui se sont dévoués autres des blessés. La différence avec Geneviève de Galard fut qu'elles furent exécutées à la chute du camp.
Merci a Paris- Match d'avoir depuis Dien Bien Phu fait connaître madame Geneviève de Galard épouse du Colonel De Heaulme, centenaire et toujours vivant. Mon épouse à la chance de la connaitre depuis de nombreuses années . Pour information la combinaison militaire qu' elle portait au combat se trouve aujourd'hui sur un mannequin au musée des parachutistes à l' ETAP à Pau. Pour l'anecdote cette combinaison étant bien trop grande pour son modeste gabarit, elle a utilisé un bout de calgut du " bloc" opératoire pour l'ajuster à sa taille. Points de couture toujours visibles.
@@bernarddurand6972 Non, De Galard n'a jamais vu les grandes dames de DBP. Elle en a seulement entendu parler et a mis en doute l'existence des maghrébines en disant qu'elles avaient été sûrement évacuées, alors que c'étaient tout le contraire. Vietnamiennes et Maghrébines ont toutes refusées d'être évacuées et ont même pris les armes contre les viets quand tout étaient foutu. Elles allaient chercher les blessés sous la mitraille c'était réellement de grandes dames, plongées sciemment dans l'oublie au nom du politiquement correct. Le médecin commandant Grauwin a fait un témoignage émouvant à leurs sujet sans citer De Galard. Je le cite: « Ces filles étaient des soldats. De vrais soldats Elles se sont conduites de façon remarquable. Tous mes blessés, tous mes amputés, mes opérés du ventre étaient à l'abri dans des trous souterrains. Et il fallait qu'ils pissent, qu'ils fassent leurs besoins, qu'ils fassent un peu de toilette. Ce sont ces femmes, ces prostituées transformées en « anges de la miséricorde » qui m'ont aidé à les aider, qui ont permit à nos blessés de supporter leurs misères. Elles les ont fait manger, boire, espérer contre toute espérance ». De la suite, de leur agonie, il n'y a plus de témoins directs, simplement le récit que Grauwin a recueilli plus tard, parce qu'un commissaire politique, dans un camp, a parlé de ces femmes à un prisonnier : - Pourquoi un commando de femmes contre nous ? - Il n'y avait pas de tel commando ! - Si, elles nous ont tiré dessus !
@@francois2010 Beaucoup plus courageuses. Il a toujours été précisé ( à part quelques exceptions et sans s'attarder ) , qu'elle était la seule femme à DBP. D'ailleurs, De Galard n'a jamais vu les grandes dames de DBP. Elle en a seulement entendu parler et a mis en doute l'existence des maghrébines en disant qu'elles avaient été sûrement évacuées, alors que c'étaient tout le contraire. Vietnamiennes et Maghrébines ont toutes refusées d'être évacuées et ont même pris les armes en faisant le coup de feu contre les viets, quand tout étaient foutu. Elles allaient chercher les blessés sous la mitraille c'était réellement de grandes dames, plongées sciemment dans l'oublie au nom du politiquement correct. Le médecin commandant Grauwin a fait un témoignage émouvant à leurs sujet sans citer De Galard. Je cite: « Ces filles étaient des soldats. De vrais soldats Elles se sont conduites de façon remarquable. Tous mes blessés, tous mes amputés, mes opérés du ventre étaient à l'abri dans des trous souterrains. Et il fallait qu'ils pissent, qu'ils fassent leurs besoins, qu'ils fassent un peu de toilette. Ce sont ces femmes, ces prostituées transformées en « anges de la miséricorde » qui m'ont aidé à les aider, qui ont permit à nos blessés de supporter leurs misères. Elles les ont fait manger, boire, espérer contre toute espérance ». De la suite, de leur agonie, il n'y a plus de témoins directs, simplement le récit que Grauwin a recueilli plus tard, parce qu'un commissaire politique, dans un camp, a parlé de ces femmes à un prisonnier : - Pourquoi un commando de femmes contre nous ? - Il n'y avait pas de tel commando ! - Si, elles nous ont tiré dessus !
WOW ! J'ai connu sa fille Marie-P. a "Chato" et j'aurais bien aime la rencontrer. Je me souviens qu'elle me racontait au sujet de son pere. Mais si j'avais su que sa mere etait telle, j'aurais tout fait pour la connaitre !
En effet il y avait des indochinoises et des magrébinnes aux BMC à Dien Bien Phu qui se sont dévoués autres des blessés. La différence avec Geneviève de Galard fut qu'elles furent exécutées à la chute du camp.
Une grande dame un grand respect 🇨🇵 merci Madame
MERCI MADAME GALARD...LEGION D HONNEUR QUI AVAIT UNE VALEUR Â VOTRE EPOQUE....DIEU VOUS BENISSE
Merci a Paris- Match d'avoir depuis Dien Bien Phu fait connaître madame Geneviève de Galard épouse du Colonel De Heaulme, centenaire et toujours vivant.
Mon épouse à la chance de la connaitre depuis de nombreuses années .
Pour information la combinaison militaire qu' elle portait au combat se trouve aujourd'hui sur un mannequin au musée des parachutistes à l' ETAP à Pau. Pour l'anecdote cette combinaison étant bien trop grande pour son modeste gabarit, elle a utilisé un bout de calgut du " bloc" opératoire pour l'ajuster à sa taille. Points de couture toujours visibles.
L'Ange de Diên Biên Phu c'etait Vo Nguyen Giap
Mon père devait peut être connaître cette dame. Il était militaire de carrière et a fait l'Indochine sous les ordres du Général Bigeard.
Honneur et respect pour vous Lt. Geneviève de Galard. How brave and caring you were during the critical time at Dien Bien Phu in 1954. 🌷
Respect 😊
Respect! 🇨🇵
Bonjour seul femme a boire le Champagne avec les galonnés oui mais il y avait des femmes de la légion (Vietnamiennes , pour le réconfort...)
toutes les femmes pour le reconfort ont toutes aidees genevieve;
@@bernarddurand6972 Non, De Galard n'a jamais vu les grandes dames de DBP. Elle en a seulement entendu parler et a mis en doute l'existence des maghrébines en disant qu'elles avaient été sûrement évacuées, alors que c'étaient tout le contraire. Vietnamiennes et Maghrébines ont toutes refusées d'être évacuées et ont même pris les armes contre les viets quand tout étaient foutu. Elles allaient chercher les blessés sous la mitraille c'était réellement de grandes dames, plongées sciemment dans l'oublie au nom du politiquement correct.
Le médecin commandant Grauwin a fait un témoignage émouvant à leurs sujet sans citer De Galard.
Je le cite:
« Ces filles étaient des soldats. De vrais soldats Elles se sont conduites de façon remarquable. Tous mes blessés, tous mes amputés, mes opérés du ventre étaient à l'abri dans des trous souterrains. Et il fallait qu'ils pissent, qu'ils fassent leurs besoins, qu'ils fassent un peu de toilette. Ce sont ces femmes, ces prostituées transformées en « anges de la miséricorde » qui m'ont aidé à les aider, qui ont permit à nos blessés de supporter leurs misères. Elles les ont fait manger, boire, espérer contre toute espérance ».
De la suite, de leur agonie, il n'y a plus de témoins directs, simplement le récit que Grauwin a recueilli plus tard, parce qu'un commissaire politique, dans un camp, a parlé de ces femmes à un prisonnier :
- Pourquoi un commando de femmes contre nous ?
- Il n'y avait pas de tel commando !
- Si, elles nous ont tiré dessus !
0:39 ce sont les viet-minh ;) très grande femme en tout cas
Viet minh pas vietcong😊
Faux ...elle n était pas la seule femme
Pourquoi oublier les dames de la misericorde ?merci
En fait, c’était la seule femme militaire française à Dien. Bien sûr il y avait aussi les les femmes du bmc tout aussi courageuses
@@francois2010 Beaucoup plus courageuses. Il a toujours été précisé ( à part quelques exceptions et sans s'attarder ) , qu'elle était la seule femme à DBP. D'ailleurs, De Galard n'a jamais vu les grandes dames de DBP. Elle en a seulement entendu parler et a mis en doute l'existence des maghrébines en disant qu'elles avaient été sûrement évacuées, alors que c'étaient tout le contraire. Vietnamiennes et Maghrébines ont toutes refusées d'être évacuées et ont même pris les armes en faisant le coup de feu contre les viets, quand tout étaient foutu. Elles allaient chercher les blessés sous la mitraille c'était réellement de grandes dames, plongées sciemment dans l'oublie au nom du politiquement correct.
Le médecin commandant Grauwin a fait un témoignage émouvant à leurs sujet sans citer De Galard.
Je cite: « Ces filles étaient des soldats. De vrais soldats Elles se sont conduites de façon remarquable. Tous mes blessés, tous mes amputés, mes opérés du ventre étaient à l'abri dans des trous souterrains. Et il fallait qu'ils pissent, qu'ils fassent leurs besoins, qu'ils fassent un peu de toilette. Ce sont ces femmes, ces prostituées transformées en « anges de la miséricorde » qui m'ont aidé à les aider, qui ont permit à nos blessés de supporter leurs misères. Elles les ont fait manger, boire, espérer contre toute espérance ».
De la suite, de leur agonie, il n'y a plus de témoins directs, simplement le récit que Grauwin a recueilli plus tard, parce qu'un commissaire politique, dans un camp, a parlé de ces femmes à un prisonnier :
- Pourquoi un commando de femmes contre nous ?
- Il n'y avait pas de tel commando !
- Si, elles nous ont tiré dessus !
WOW ! J'ai connu sa fille Marie-P. a "Chato" et j'aurais bien aime la rencontrer. Je me souviens qu'elle me racontait au sujet de son pere. Mais si j'avais su que sa mere etait telle, j'aurais tout fait pour la connaitre !
France lolzzzz