Cette émission est toujours passionnante, des histoires souvent émouvantes qu’il est important de connaître. Ne jamais oublier la période sombre de l’histoire. Je porte dans mon cœur ces femmes, ces enfants et ces hommes qui ont connu l’horreur. Annabelle Guinard
On ne peut qu'être touchée par cette histoire et à travers elle, celle du sort tragique de tous ceux qui n'ont pas laissé leur propre journal et/ou qui n'ont trouvé dans ce travail d'écriture une sorte d'exutoire à leur sort déshumanisé et déshumanisant. Mais le récit de cette histoire ne nous dit pas comment ce journal a pu sortir des camps de la mort. Quand les déportés arrivaient dans les camp de la mort, on leur enlevait tout, notamment leur valise qui étaient fouillées et non rendue. Nus, il s étaient passés au désinfectant. C'est en tout cas ce que l'on croit savoir ou deviner. On peut comprendre qu'au moment de son départ, Hélène Berr, attaché à son journal, l'ai emporté avec elle dans sa valise. Comment a-t-elle pu le cacher aux nazis qui, s'ils l'avaient trouvé, l'aurait détruit? Pour continuer le récit de ce journal, il lui fallait acheter des cahiers et des crayons papier ou encre. Dans les camps, il n'y avait pas de boutiques pour les "résidents" où l'on pouvait faire ses achats et les déportés n'avaient pas, plus, d'argent sur eux. Je ne pense pas que leurs tortionnaires payaient leur travail forcé. C'est pour moi un grand point d'interrogation.Ce sont des questions bassement matérielles et on devrait être honteux de se les poser mais j'ai du mal à croire que les déportés demandaient à leurs tortionnaires cahier et crayons pour laisser derrière eux des témoignages. Ce journal, c'est combien de cahiers écrits par Hélène Berr pendant son internement? De 1942 à 1945, cela devrait représenter plusieurs cahiers. Comment a-t-elle fait pour se les procurer.
Cher monsieur. Si vous avez lu le journal d’Hélène Berr, vous devriez être au courant qu’elle n’était pas en possession de son journal quand elle a été déportee. Elle voulait que son amoureux le récupère quand il reviendrait, car il n’était pas a Paris à sa déportation. Donc, plus simplement, la question ne se pose pas de comment son journal a été trouvé, c’est Jean Morawiecki ( son amoureux) qui l’a eu. Dans son discours, elle raconte sa vie difficile à Paris, et non les conditions dans les camps de concertation. Veuillez vérifier vous sources avant d’écrire au faux roman. Bien à vous
Cette émission est toujours passionnante, des histoires souvent émouvantes qu’il est important de connaître. Ne jamais oublier la période sombre de l’histoire. Je porte dans mon cœur ces femmes, ces enfants et ces hommes qui ont connu l’horreur.
Annabelle Guinard
On ne peut qu'être touchée par cette histoire et à travers elle, celle du sort tragique de tous ceux qui n'ont pas laissé leur propre journal et/ou qui n'ont trouvé dans ce travail d'écriture une sorte d'exutoire à leur sort déshumanisé et déshumanisant. Mais le récit de cette histoire ne nous dit pas comment ce journal a pu sortir des camps de la mort. Quand les déportés arrivaient dans les camp de la mort, on leur enlevait tout, notamment leur valise qui étaient fouillées et non rendue. Nus, il s étaient passés au désinfectant. C'est en tout cas ce que l'on croit savoir ou deviner. On peut comprendre qu'au moment de son départ, Hélène Berr, attaché à son journal, l'ai emporté avec elle dans sa valise. Comment a-t-elle pu le cacher aux nazis qui, s'ils l'avaient trouvé, l'aurait détruit? Pour continuer le récit de ce journal, il lui fallait acheter des cahiers et des crayons papier ou encre. Dans les camps, il n'y avait pas de boutiques pour les "résidents" où l'on pouvait faire ses achats et les déportés n'avaient pas, plus, d'argent sur eux. Je ne pense pas que leurs tortionnaires payaient leur travail forcé. C'est pour moi un grand point d'interrogation.Ce sont des questions bassement matérielles et on devrait être honteux de se les poser mais j'ai du mal à croire que les déportés demandaient à leurs tortionnaires cahier et crayons pour laisser derrière eux des témoignages. Ce journal, c'est combien de cahiers écrits par Hélène Berr pendant son internement? De 1942 à 1945, cela devrait représenter plusieurs cahiers. Comment a-t-elle fait pour se les procurer.
Cher monsieur. Si vous avez lu le journal d’Hélène Berr, vous devriez être au courant qu’elle n’était pas en possession de son journal quand elle a été déportee. Elle voulait que son amoureux le récupère quand il reviendrait, car il n’était pas a Paris à sa déportation. Donc, plus simplement, la question ne se pose pas de comment son journal a été trouvé, c’est Jean Morawiecki ( son amoureux) qui l’a eu. Dans son discours, elle raconte sa vie difficile à Paris, et non les conditions dans les camps de concertation. Veuillez vérifier vous sources avant d’écrire au faux roman.
Bien à vous