Vladimir Jankélévitch en 1980, philosophe du Je-ne-sais-quoi et du Presque-rien
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- เผยแพร่เมื่อ 22 มี.ค. 2020
- Le philosophe français Vladimir Jankélévitch (1903-1985) livre ses impressions face à sa popularité au début des années 1980. La réédition à l'époque de son livre « Le Je-ne-sais-quoi et le Presque-rien ». Sa définition de ces deux concepts. Sa conception de la vertu, du bonheur, de l'amour, de l'humour et de la mort. Son goût pour la musique.
Source : Femme d'Aujourd'hui, 12 mai 1980
Journaliste : Françoise Faucher
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oui effectivement, c'est un vrais bonheur d'écouter Vladimir Jankélévitch, on peut rester des heures à l'entendre, bravo à lui, ils nous manquent indéniablement, merci Monsieur le philosophe 😊❤
Un vrai bonheur pour les oreilles et le cerveau.
Une interwieu de très très grande qualité et de nos jours c'est rare
Il nous manque dramatiquement en ces temps de violences exacerbées . Merci monsieur d'être encore et toujours parmi nous par vos très beaux livres.
Je n'ai plus besoin de chanter les louanges de Vladimir Jankélévitch, un des meilleurs philosophes français de ces dernières décennies.
De fait, je salue la pertinence des questions de la journaliste qui l'interviewe (qui au demeurant semble l'avoir lu) et qui a une voix absolument délicieuse. Dire que cela a 40 ans...
Fabuleux Homme, merveilleux philosophe. Si vous pouviez être toujours là!!
La journaliste est tellement perspicace
ça change !
Plus que jamais il nous faut valider nos instants de bonheur , ce que des êtres lors de rencontres fortuites peuvent nous apporter et exiger de nous parfois pour le restant de notre vie.Ainsi accompagné on se protège mieux d'une vanité naturelle qui nous fragilise bcp plus qu'on ne le dit car en état d'insuffisance chronique on ne sait plus être heureux.Merci à Vladimir Jankélévitch pour sa façon de déposer les problèmes comme savait le faire Brassens sous une autre forme.Merci pour ces archives.
Vous faites bien et dites juste. Merci Jacques et joyeuse vie à travers les gouttes...
Sublime Monsieur Jankélévitch!Merci pour tout ! Merci pour votre Être dont l' âme et la pensée nous nourrissent et nous aident à vivre. Nous vous aimons si fort ! Un grand merci infini
j'ai beaucoup d'admiration pour cet Homme :Vladimir Jankelevitch. Il a une vision profonde des choses importantes dans la vie des hommes et des femmes. Son livre "l irreversible et la nostalgie" je le garde pres de mon lit pour relire des extarits avant de dormir. Il me rassure, surtout dans ces temps ou l incertitude est presque totale!
merci beaucoup pour les questions intelligentes de l interviewer journaliste Françoise Faucher
Je suis d'accord c'est si rassurant ! Quelle chance d'avoir accès à ça
La Mort est un livre très rassurant également, ca fait toujours du bien d'entendre quelqu'un mettre des mots sur ce phénomène source des plus profondes angoisse
Une personnalité exceptionnelle et un maître du langage. Merci
Ah si seulement j'avais eu l'âge d'être un de ses élèves. Ses livres ont produit sur moi le charme et la puissance de ce je ne sais quoi, et ce presque rien, construisant ce que je suis dans la pleine conscience de la fragilité et l'evanescence de chaque instant, que François Cheng appelle la grâce de l'ici et maintenant. Merci monsieur V. Jankélévitch.
Un homme d'une honnêteté intellectuelle proverbiale ! C'est un réel plaisir de l'entendre et de pouvoir le lire encore !
Un MONSIEUR extraordinaire et si délicieux, et une interview superbe d'équilibre et de respect.
Homme très intelligent et aimable j aurais voulu être ami avec cet homme d un immense savoir et de l humour en plus magnifique splendide
Mon mari avait 15 ans quand il sechait les cours pour rencontrer son cher "janké". Parfois, il l'accompagnait jusque chez lui, quai aux fleurs, ou encore se rendait avec lui dans une petite boutique où deux vieilles dames vendaient des partitions musicales. Il a toujours une émotion très forte quand il parle de cet homme dont les talents divers se sont accompagnés d'un grand courage durant l'Occupation.
En réécoutant cet interview pour le bonheur de l'instant puis je remercier la belle personne qui interroge ce cher Vladimir pour sa qualité d'écoute , son intelligence et son respect.
Cet échange est précieux pour moi tant par le fond que par la forme , il s'y mêle la profondeur , l'humour , la modestie et l'amitié.Merci encore et tjs.
C'est vrai, elle est excellente par sa finesse, son écoute, sa gentillesse
Après quelques recherches je pense qu'il s'agit de cette dame :
fr.m.wikipedia.org/wiki/Françoise_Faucher
Elle est charmante à tous points de vue
Je regrette qu'elle ne soit pas trop connue en France, enfin de ne pas la connaître
@@thomascampos6045 merci de votre message. Étant très "radiophile" je suis très attaché aux voix , entr'autre féminines , sans parler de l'intelligence que des interviews strictement audio permettent de déceler , et de l'attachement qui se crée , surtout sur plus de 45 ans d'écoute comme c'est le cas pour moi.
Cette belle personne c'est Madame Françoise Faucher, avec toute la délicatesse de son intelligence.
@@reneecote1195 un grand merci.
Je découvre ce philosophe merveilleux. J'envie ses élèves de l'époque car il a une pensée très claire des choses
Cet homme est d'un autre niveau, un immense philosophe, l'un des plus philosophiques !
Un petit Spinoza puisque parlant du je-ne-ais-quoi il met en avant l'intuition, comme son illustre prédécesseur. Le souci c'est qu'il dit aussi qu'il n'y ait pas de recette pour l'intuition, ce qui n'est pas entièrement vrai, car plus on se rapproche de la vérité, en terme de réalité, plus on a de bonnes intuitions. Je parle de bonne intuition, car si une intuition est par définition bonne, les gens ont tendance à qualifier d'intuition ce qui n'en est pas une et donc pas bonne. Pour Spinoza l'intuition est très supérieure au raisonnement, et il a raison. Le raisonnement peut même être dangereux, si on en applique un, de grande qualité qui plus est, à une chose fausse qu'on croit bonne, ce raisonnement amenant une autre chose qu'on croira également bonne du simple fait de la qualité du raisonnement. Le raisonnement n'a d'utilité que pour avérer une intuition, sans intuition il n'est rien qu'un outil qu'on ne sait pas utiliser, tout en croyant le savoir. L'intelligence c'est d'abord et surtout l'intuition, secondée par une capacité à raisonner. La majorité des intellectuels sont forts en raisonnement et nuls en intuition.
Cet entretien est magnifique, et même son propos sur les femmes vers la fin, qui a ce côté si suranné, me fait sourire chaleureusement ...
Que saudade!
« les gredins cultivés ». Splendide.
Merci
Un philosophe admirable ...même si on reste un peu sur sa faim.L'intervieweuse l'interrompt constamment.Janké ne peut souvent aller au bout de son propos.
Il faut lire ce philosophe et aussi ses livres sur la musique.
France- culture et France -musique recèlent de nombreux trésors de lui.
Radio-Sorbonne devrait éditer ses cours ou les donner pour leur écoute à l'INA.
J'espère que vous avez raison, Jean Michel, car j'attends cette riche surprise de pouvoir récupérer ses cours diffusés sur radio sorbonne..un régal à l'instar des extraits déjà disponibles sur l'immédiat et la tentation.
Un petit Spinoza puisque parlant du je-ne-ais-quoi il met en avant l'intuition, comme son illustre prédécesseur. Le souci c'est qu'il dit aussi qu'il n'y ait pas de recette pour l'intuition, ce qui n'est pas entièrement vrai, car plus on se rapproche de la vérité, en terme de réalité, plus on a de bonnes intuitions. Je parle de bonne intuition, car si une intuition est par définition bonne, les gens ont tendance à qualifier d'intuition ce qui n'en est pas une et donc pas bonne. Pour Spinoza l'intuition est très supérieure au raisonnement, et il a raison. Le raisonnement peut même être dangereux, si on en applique un, de grande qualité qui plus est, à une chose fausse qu'on croit bonne, ce raisonnement amenant une autre chose qu'on croira également bonne du simple fait de la qualité du raisonnement. Le raisonnement n'a d'utilité que pour avérer une intuition, sans intuition il n'est rien qu'un outil qu'on ne sait pas utiliser, tout en croyant le savoir. L'intelligence c'est d'abord et surtout l'intuition, secondée par une capacité à raisonner. La majorité des intellectuels sont forts en raisonnement et nuls en intuition.
3:08 mon dieu que de vérités
Un grand philosophe, meconnu!
Un philosophe méconnu...mais surtout des nouvelles générations...une de ses leçons principales étant qu'on se prends bien trop au sérieux , et qu'en succombant aux flatteries de la consommation , on s'éloigne d'une sobriété de vie qu'il va bien falloir redécouvrir de gré ou de force.
@@jacquesfontaine3384quels sont les livres dans lesquels ce penseur expose ce que vous venez de dire ? Merci :)
@@ptitdubois7194 merci de votre requête...il y a le je ne sais quoi le presque rien en trois volume et aussi le traité des vertus ....pour l'éditeur un bon libraire vous renseignera , je vous conseille aussi les chemins de la philosophie à France Culture avec cinq belles émissions..
@@jacquesfontaine3384 merci beaucoup ! J'espère le lire très prochainement ! (et aussi l'ecouter via les vidéos que vous m'avez partagées) A +
Très bonnes remarques à propos des femmes, avec lesquelles il se sent plus à l'aise, mais dont il ne comprend pas la volonté d'émancipation. S'émanciper de quoi pour aboutir à quoi ? Autre temps, autres moeurs. Oui, c'est un philosophe, indéniablement. On est loin du "le temps c'est de l'argent".
Merci Monsieur.
subtile intelligence et vif esprit qui nous manquent
😍
♥♥♥♥♥♥
QUEL EST LE NOM DE LA PIECE QUE Jankélévitch JOUE AU FINAL?
Quelqu'un sait-il quel morceau interprète Jankelevitch en fin d'émission ?
salut tu as trouvé ?
Non...@@nikobellic9140
svp quelle est la pièce jouée à la fin ?
Oh mon Dieu la traduction espagnole!!😔
Les crimes, quels qu'ils soient, ne sont jamais impunis. Le sont ils ici bas, ils se paient ensuite, soit au purgatoire soit dans l'enfer éternel. Je comprends la déception de ce philosophe, qui n'a pas la foi, et qui pense que la justice ne sera jamais parfaite. Celle des hommes ici bas est imparfaite, celle de Dieu la corrige, pour rendre à chacun ce qui lui est dû en vérité.
Un petit Spinoza puisque parlant du je-ne-ais-quoi il met en avant l'intuition, comme son illustre prédécesseur. Le souci c'est qu'il dit aussi qu'il n'y ait pas de recette pour l'intuition, ce qui n'est pas entièrement vrai, car plus on se rapproche de la vérité, en terme de réalité, plus on a de bonnes intuitions. Je parle de bonne intuition, car si une intuition est par définition bonne, les gens ont tendance à qualifier d'intuition ce qui n'en est pas une et donc pas bonne. Pour Spinoza l'intuition est très supérieure au raisonnement, et il a raison. Le raisonnement peut même être dangereux, si on en applique un, de grande qualité qui plus est, à une chose fausse qu'on croit bonne, ce raisonnement amenant une autre chose qu'on croira également bonne du simple fait de la qualité du raisonnement. Le raisonnement n'a d'utilité que pour avérer une intuition, sans intuition il n'est rien qu'un outil qu'on ne sait pas utiliser, tout en croyant le savoir. L'intelligence c'est d'abord et surtout l'intuition, secondée par une capacité à raisonner. La majorité des intellectuels sont forts en raisonnement et nuls en intuition.
l'intelligence n'a pas de mode... c'est une constante.
Un petit Spinoza puisque parlant du je-ne-ais-quoi il met en avant l'intuition, comme son illustre prédécesseur. Le souci c'est qu'il dit aussi qu'il n'y ait pas de recette pour l'intuition, ce qui n'est pas entièrement vrai, car plus on se rapproche de la vérité, en terme de réalité, plus on a de bonnes intuitions. Je parle de bonne intuition, car si une intuition est par définition bonne, les gens ont tendance à qualifier d'intuition ce qui n'en est pas une et donc pas bonne. Pour Spinoza l'intuition est très supérieure au raisonnement, et il a raison. Le raisonnement peut même être dangereux, si on en applique un, de grande qualité qui plus est, à une chose fausse qu'on croit bonne, ce raisonnement amenant une autre chose qu'on croira également bonne du simple fait de la qualité du raisonnement. Le raisonnement n'a d'utilité que pour avérer une intuition, sans intuition il n'est rien qu'un outil qu'on ne sait pas utiliser, tout en croyant le savoir. L'intelligence c'est d'abord et surtout l'intuition, secondée par une capacité à raisonner. La majorité des intellectuels sont forts en raisonnement et nuls en intuition.
Moins de 40ans après la mort du philosophe qui ne voulait absolument pas oublier, les français sont sur le point de ne plus vouloir la mémoire de l'inoubliable...
Outre qu il est est impossible. De ne pas l aimer .son phrase est d un musicien. libre niethchien
. ciao.à bas les çons et les çonned
2:55 La philosophie est menacé de nos jours par l'utilitarisime d'une époque pressé dont le rendement et l'utilité immédiate sont les principaux impératifs et même la seule religion (la religion du succès).
6:03 Le Je-ne-sais-quoi
Termes qu'il emprunte à la philosophie espagnole - dans le sens de Saint Jean de la Croix : expression qui indique que la foi en Dieu a une limite irrationnel, cet irrationnel expire et est remplacé par autre chose au bout duquel il y'a l'extase et l'amour de Dieu (un Je-ne-sais-quoi qui nous élève vers Dieu - Traité des quantiques).
L'autre sens, celui de Baltasar Gracian : une espèce de désinvolture qui ne vient pas du savoir, de la compétence, de nos études mais d'une aisance souveraine - dans son Traité du héro par exemple, pour faire un hero il faut gagner des batailles, avoir le sens stratégique, tactique, voir très loin en avant mais en plus ce quelque chose, ce je-ne-sais-quoi car sinon toutes ces perfections possibles seraient inefficaces, seront des perfections mortes. Il faut le phénix des qualités, celle sans lequel les autres seraient inopérantes.
Une femme parfaite - belle, intelligente, élégante etc - mais il lui manque (et on s'arrête et on met les points de suspensions quand on écrit)
Du point de vue intellectuelle, nous avons affaire non pas à une démarche, à une recette mais à l'intuition (à une intuition) qui n'est ni l'un ni l'autre
10:28 Le Presque Rien
Ce n'est pas vraiment un concept distinct du je-ne-sais-quoi (erreur de Jankélévitch d'avoir mis les deux dans son titre), il les utilisaient juste pour éclairer l'un par l'autre. Ils ont en commun d'être négatifs tous les deux, le Je-ne-sais-quoi se rapporte d'une part à notre savoir, si on veut le définir dans l'encyclopédie du savoir par une science quelconque alors on fait fausse route : ce n'est pas une science "Je sais quelque chose mais je ne peux pas dire quoi". Le Presque-Rien essaye de définir Je-Ne-Sais-Quoi non pas par le savoir mais par l'être "si c'est un être eh bien ce n'est pas un être, ce n'est pas quelque chose (c'est une non-chose)" c'est une marge, un rayonnement de lumière autour du savoir.
Le charme par exemple, est-ce son charme est dans la courbe de son nez, dans son grain de beauté, dans sa chevelure... eh bien non, rien de tout ça et rein en particulier.
12:47 L'instant qui est dans le temps est du non-temps à sa manière, si le temps c'est la durée, la pérennité.
Par exemple : face à la radio, pendant un cours, devant la télé, on a le regard fixé sur le chronomètre pour savoir si on ne dépasse pas, notre temps à nous c'est un temps chronologique mais ce n'est pas Ce temps là, c'est une suite d'événements, un événement qui ne dure rien, une chose qui arrive : ça apparaît puis disparaît (une apparition disparaissante)
19:39 la vertus a mauvaise réputation chez les français.
La vertus est considérée comme contraignante pour les gens car on vit dans une époque où la satisfaction du moi prime et parce qu'on la représente sous un jour traditionnel et suranné.
Par exemple la chose la plus importante - que nous ne disons pas - en vertu de laquelle nous accordons ou refusons notre estime à quelqu'un : je n'accorde pas mon estime à quelqu'un de vaniteux, d'hypocrites (tous ces mots qui se rapportent à la vie morale) toutes les qualités que l'on peut avoir ne pèsent rien sur les qualités d'un hypocrites.
Dans nos rapports ce sont ces impératifs là qui sont les plus importants (que nous accordons notre estime ou notre mésestime) et que nous ne voulons pas avouer.
24:02 Une des conditions du bonheur est de n'en avoir pas conscience, de ne pas le savoir : on peut voir qu'en prenant conscience du bonheur et de ses conditions, on est assuré de le chasser.
J'apprécie beaucoup ce Monsieur à plus d'un titre mais le rôle de la femme "à sa place" me gêne un peu... Paradoxalement, sa sensibilité féminine et son malaise avoué avec le type masculin est amusant. Belle âme et esprit clair!
Merci de m'avoir soutenu dans mon appréciation de Vladimir Jankélévitch.Il est réconfortant de ne pas se sentir seul dans la recherche d'une sobriété mentale qui nous maintienne à l'écoute des autres sans l'écran du matérialisme triomphant.
Par la même absolument essentiel... un je ne sais quoi de fumeux... 45 minutes de paroles et bien si ça vous fait plaisir c'est super...
Je ne sais rien ,presque quoi. samétégal.
The lapels on his jacket! 1930s width.
Parreses des neurones..
La connerie de l'appel a l'intuition. La verite sans evidence...
C'est sûr que la morale kantienne dénuée d'intuition était si solide qu'elle nous a fait éviter deux guerres mondiales... Très efficace 🙃
ca donne pas envie de le lire
En 1968 , il a mis 20 sur 20 aux examens à tous ses étudiants
@@robertnicora1136 un autre philosophe en carton ... comme ceux de nos jours
Pourquoi?
@@valeriealonso6472 Bergson est un philosophe ... lui me fait penser à BHL vieux
@@mauriciorodriguez67 BHL est sartrien, heideggerien... Jankelevitch ABSOLUMENT PAS!