Une conversation avec Joel Brassy et Pascal Amoyel.

แชร์
ฝัง
  • เผยแพร่เมื่อ 14 ต.ค. 2024
  • Un merveilleux moment passé avec deux amis que j’aime tant. Aucune préparation, aucune coupure, la vie se déroule telle qu’elle est. On n’y voit aucun maître, aucun disciple. Personne n’est là pour prétendre savoir un quelque chose que les deux autres ne sauraient pas. Chacun partage son ressenti avec simplicité, car c’est justement cette simplicité qui est à la source de ce partage.

ความคิดเห็น • 16

  • @depreserge4407
    @depreserge4407 3 หลายเดือนก่อน +3

    Magnifique
    Merci les amis
    🙏

  • @bernadettelhopitaldumoulin5234
    @bernadettelhopitaldumoulin5234 2 หลายเดือนก่อน +1

    oui ,oui, encore oui !!

  • @perspectivenonduelle-eric272
    @perspectivenonduelle-eric272 3 หลายเดือนก่อน +2

    Merci.

  • @MissPop17
    @MissPop17 2 หลายเดือนก่อน +1

    Merci ❤

  • @sylas8629
    @sylas8629 3 หลายเดือนก่อน +3

    Magnifique, merci pour ce partage

  • @yvonmlachez
    @yvonmlachez 3 หลายเดือนก่อน +3

    Ça faisait longtemps, merci.un terreau commun 😅

  • @dominiquecourcelles9186
    @dominiquecourcelles9186 3 หลายเดือนก่อน +3

    Très agréable à écouter

  • @analuo...
    @analuo... 2 หลายเดือนก่อน +1

    C'est étrange car en psychanalyse, à la fin, ce qui est long, est d'accepter le manque, comme disait Lacan, suiveur de Freud qui disait rien ne peut combler le manque. Nous sommes des êtres troués en gros, des êtres de désir il disait, et de l'accepter, car impossible à supprimer. La pensé oriental serait d'englobler ce tout, ce qui est comblant car je suis le tout, pourquoi pas, mais c'est toujours désirer, transformez notre monde objectal? d'autres valeurs? y a du boulot car un parisien diffère d'un tibetain. Etre dans le néant c'est quand même une vie, imaginé ou non, qui est à sacrifier. Car une fois l'étape de transcendante faite et vue ce qui a était vue, la vanité ect... vient d'autres étapes car il reste encore un regardant, l'englobant alors detruit les restes... Ce qui est pas rien.

    • @joelbrassy2938
      @joelbrassy2938 2 หลายเดือนก่อน +1

      Lacan disait aussi : « quand l’homme cesse de manquer il devient fou «
      alors Franck, Pascal et moi nous sommes vraiment fous !🤣😇
      Deleuze , dans son livre l’anti-oedipe qui était aussi une critique de Lacan , avait à la suite de Spinoza une toute autre conception du désir, un désir non manque, un désir plein, un désir processus
      dans ses séminaires il disait toujours : pas de manque, pas de manque et pas d'interprétation non plus .
      Le manque correspond à une conception de la réalité et de soi-même qui est une fiction,
      , à une image effectivement pleine de trous , image d’un moi qui se croit séparé de l’être , croyance illusoire
      tout cela correspond à des histoires que l’on se raconte , des histoires sans fin d’où « la psychanalyse sans fin «
      La sortie de cette histoire est un saut dans le vide qui est une forme de mort,
      c’est la folie dont parle Lacan
      mais c’est un « rien qui nous fait devenir tout «
      C’est le propos de cette video
      Désirer ce tout, c’est encore de trop , c'est même le meilleur moyen de l'empêcher de se réaliser
      Dans ce saut dans le vide, le désir cesse et donc le manque aussi .
      Quand je dis que le désir cesse, je veux dire qu’il revient à sa source
      Une source naturellement pleine qui n’est autre que l’être
      On est, tout simplement , et cela nous suffit.
      Le désir manque cesse ( je desire autre chose que ce qui est )
      et laisse place à un désir plein, un désir amour ( je désire ce qui est )
      Le désir n’est pas supprimé mais transformé et le monde en est ré-enchanté
      Le manque n'est que dans la pensée, la plénitude est le fruit du silence
      je precise qu'ici aussi la voie n'est pas de combler le manque , ce qui reviendrait à le croire reel , il s'agit juste de le constater, de le voir , en un sens de l'accepter , alors il est vu comme ce qu'il est en réalité,
      juste une pensée ,
      et il se dissipe et laisse place à un vide-plein,
      voir ce manque sans le juger ni le rejeter suffit à s'en libérer
      le manque est démasqué des qu 'il se présente
      le manque est constitutif du moi
      et le moi on a cessé d"y croire

    • @analuo...
      @analuo... 2 หลายเดือนก่อน +1

      @@joelbrassy2938 Oui, Lacan a toujours dit tout et son contraire. Pour les pures Freudiens les mystiques sont dans le fantasme oedipien, transgression, fusion ect... sans manque quoi. Pour Lacan c'est le réel qui manque, pour d'autres c'est une tendance à contrer l'angoisse, angoisse et désir sont corréler, ce qui explique qu'ils seraient combler, sans manques, sans désirs, sans angoisses, et que donc dans le tréfond inconscient ça continue à agir à plein.

    • @joelbrassy2938
      @joelbrassy2938 2 หลายเดือนก่อน +2

      @@analuo...
      -oui chez Freud le sentiment d’unité ou océanique est catalogué de « narcissisme primaire », celui qu’on éprouvait dans le ventre maternel
      sauf qu’ici il s’agit de la mère nature ., Freud réduit tout à une histoire d’Œdipe
      -Oui l’homme manque le réel s’il ne vit uniquement que sur le plan du langage et de l’imaginaire
      Mais s’il se rend compte qu’il vit déjà et toujours avant eux dans le réel silencieux dont on ne peut rien dire alors le manque cessera
      C’est le « être sans le dire « de Franck Terreaux
      -
      - conscience et inconscient : c’est sûr que dans la non dualité, l’inconscient n’a pas sa place, quoi que dans le zen on parle d’inconscient à propos du satori mais c’est plus un supraconscient qu’un inconscient
      ; il me semble que chez Freud la conscience n’est que réflexivité et représentation, c’est le lieu du moi (et du sur-moi) et l’inconscient le lieu du Çà
      Peut-être l’inconscient est une dimension du moi ( le subconscient, lieu du refoulé )
      -chez Sartre philosophe de la conscience, il n’y a pas non plus d’inconscient, mais il ne limite pas la conscience au moi et à la réflexivité, celle-ci suppose toujours une conscience antérieure, spontanée, irréfléchie, non duelle qui pour lui est conscience absolue
      . Par exemple, quand on est absorbé dans une lecture, il n’y a pas de moi et de conscience de lire, on ne se regarde pas en train de lire, on est juste présent à sa lecture, totalement un avec elle.
      Pourtant si on nous demande ce que l’on fait, on répondra qu’on est en train de lire
      , comme quoi on n’était pas complètement inconscient, mais pas non plus conscient dans le sens réflexif,
      il me semble c’est la conscience dont on parle dans la vidéo, Pascal Amoyel dit d’ailleurs qu’on y est plus souvent qu’on le croit dans la journée
      , c’est notre état naturel qui est avant le moi., Sartre en parle comme d’une conscience (de ) soi « non positionnelle de soi « non réflexive
      -la conscience ne se réduit donc pas au sujet empirique, au moi,
      Elle est la dimension subjective et impersonnelle de la vie (qui n’est pas qu’objective)
      une conscience qui est tout simplement la vie elle-même , c’est ce que pensait Bergson et le Christ. « Je suis la vie ».
      et l’advaita « je suis ce qui est »

    • @analuo...
      @analuo... หลายเดือนก่อน

      @@joelbrassy2938 Nous avons étaient tous appeler a parler, a être, a devenir, a se défendre ect... dans nos relations premières des parents. Nos sociétés ultra individualiste, agressive, consommatrice, de désirer à tout crin nous injonctionnent à cela dans la relation, à être justement mais pas dans le même sens... Nos productions mentales sont à la base inconscientes, un peu comme la fleur qui serait la pensé qui à émerger mais a sa racine la pensé a voyager du fond, les Samskaras en sanskrit. Vivre ce Centre dans certains moments est possible mais vouloir s'établir dans ce centre va automatiquement avoir des effets de destructions totale des identifications, et c'est pas une mince affaire, il s'agit d'une vie entière, construite imaginaire ou non, car il restera toujours un regardant, les autres phases de la transcendance, inévitable normalement vue la vanité des choses qui on étaient vue, là le vrai chemin commence, et un chemin qui est loin, voir très loin de nos sociétés, c'est pour cela que certains veulent continuer a chercher a retrouver ce moment, ce centre, mais c'est la personne qui veut s'approprier ce centre, ce qui ne convient pas à terme. Bref je pense que vivre dans ce centre peut se faire dans des pays ou groupes de gens appartenant à ses mêmes valeurs. Car nous seront toujours rappeler dans nos sociétés, dans la relations aux autres, duel inévitablement, nous rappellerons par effet miroir à nos samskaras, ou nos structures mentales justement. Et ma question : vous qui êtes dans la partie depuis un moment, comment vivez vous cela au quotidien, car un tibétain et un parisien est diffèrent, ou faite vous simplement a certains moments des recentrements qui provoquent un certain relâchement jusqu'à la prochaine? merci.

    • @analuo...
      @analuo... หลายเดือนก่อน

      @@joelbrassy2938 je me demande si dans cet état, à ce centre , nous serions pas dans un état proche de l'hypnotisme? ce que Roustang, hypnothérapeute ancien analyste suggéré. Et que donc on pourrait agir, car des choses peuvent remonter dans ses états de pleine conscience, les samskara des indes, ou les contenus psychiques de freud.....merci