La littérature peut-elle casser des vitres? Abrégé Molotov avec Mačko Dràgàn

La littérature peut-elle casser des vitres ou crâmer des voitures de police ? C'est tout ce que lui souhaite Mačko Dràgàn qui vient de publier un « Abrégé de littérature-molotov » aux jeunes édtions {Terres de feu}. Punk à chat prolétaire, journaliste vagabond, colérique et libertaire, Dràgàn s'immisce dans le grand débat sur « ce que la littérature peut » en partant de ce qu'elle ne devrait pas être : ennuyeuse. Il nous ouvre sur des lectures qui ont creusé le monde, dans ces livres « molotov » qui bouleversent intérieurement, désincarcèrent l'avenir, foutent le feu aux imaginaires. On ne pouvait que l'inviter à en discuter.

[@lundimatin3299]

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[@Esibal1]

Excellent !!!

[@casperplex]

Je suis plus âgé que toi Mackô , je dois te dire que je suis surpris par la pertinence de tes propos, en effet j’ai eu le sentiment de me retrouver dans cette vision de la littérature dans laquelle on ne ressort qu’avec un sentiment de manque, en tout cas d’incertitude quant à ce que l’on ressent ou tout du moins ne donne pas de réponse à ce que l’on imaginait recevoir en refermant le-dit livre.