Sa conférence et son récent livre m'ont décidée à tenter, comme Yan Lopez, l'aventure des couverts végétaux (différence entre couverts végétaux et engrais verts) associés aux plantes de culture : cela est dans le sens du vivant... donc cela est complexe et en effet pas réductible à une méthode. Passionnant !
@@CharmfouMariage Oui, "la révolution d'un seul brin de paille" est un livre essentiel. Il y a aussi "semer dans le désert" et le livre de Larry Korn qui sont très intéressants.
je suis en train de lancer une planche expérimentale de culture sur couvert permanent. ta vidéo est inspirante. merci. je suis en climat méditerranéen. ça va certainement compliquer les choses. l'an prochain je te dirai où j'en serai !!!
En fait il s'agit de cultiver en bandes (bêchées ou mulchées ou avec engrais vert détruit avant la plantation ou bâchées) avec entre-rang enherbé et entretenu par le fauchage/tonte, un peu comme les vignes.
Salut Maxime, merci pour ce docu et la participation sur la terrain pour bien comprendre. Ainsi, pour résumé la pratique de rotation de Laurent : bâche - culture pdt, courgettes, haricots - on retire la bâche et après semis engrais verts pour cultiver après fauchage et sous couvert la suite des légumes... ? Merci et bien a toi
@@goelejardinier7126 Salut, l'itinéraire technique de base c'est culture sur bâche et ensuite, après avoir enlever la bâche on seme à la fois des rangs d'engrais verts type féverole/blé par exemple, qui seront détruit pour accueillir la culture, et entre ces rangs un mélange de prairie (donc des pérennes) qui seront tondu tout au long de la saison ;)
@@dvmaxlou Ok merci pour ta réponse et la culture de légumes entre les rangs d'engrais vert, sous le couvert. la bache se remet sur les partie prairie et ainsi de suite. En pratique, une bache se laisse pas trop longtemps ? C'est Geoffroy pour les trogne normande ;)
Belle vidéo très lucide sur la capacité de production de système que l'on nous vend en perma... Installé depuis 7 ans j'ai été confronté a ce type de dilemme et d'expérimentation, avec même résultats. Il faut énormément de compétences et de chance (facteurs extérieurs trop nombreux) pour installé des systèmes autonomes et symbiotique, pour beaucoup ce n'est réalisable que sur papier. Force a toi. Ps: c'est quoi ton Renault? N70 le mien
Dans le processus, est ce que les graines semées on été récoltées sur les précédentes cultures ? ll faut produire et utiliser nos propres semences, Parce que sinon le systeme n'est pas cohérent.
Le métier de maraîcher est déjà si compliqué que récolter ses propres semences est difficile et chronophage. Et pourquoi est-ce que le système ne serait pas cohérent car on achète des semences? A part dans une logique d'autarcie c'est cohérent. On ne peut pas faire tout tout seul.
@@RHIMYM Si les semences ne sont pas issues d'une monoculture intensive, pourquoi pas. J'ai toujours en tête la philosophie de Fukuoka. Si l'on veut "sauver" la nature il faut déjà se ré-integrer à elle. Il y a une conférence de Yann Lopez, maraicher en agriculture naturelle, très intéressante et visible sur youtube, si ça vous intéresse.
@@MrKermitt71 je suis totalement d'accord. C'est juste qu'il faut comprendre qu'il y a des réalités pragmatiques et économiques et que parfois il faut faire des sacrifices sur certains points ( par exemple: un maraîcher n'a pas forcément le temps de faire ses semences de couverts végétaux)
@@RHIMYM oui, tout à fait. Et tant que les "sacrifices" ne sont pas au détriment de la nature. il y eu des époques ou l'homme faisait partit de la nature et tout se passait bien. Le capitalisme et la consommation l'a fait s'en éloigner. Toute personne possédant un bout de terrain devrait le cultiver. La "plus ou moins" "autonomie" est à mon avis la seule solution viable à long terme pour s'en sortir. Il faut de toute façon abandonner l'agriculture à grande et moyenne échelle car cette forme d'agriculture (meme bio) mène quoi qu'il arrive à la désertification des sols. Revenir à une certaine forme de sobriété.
C’est une question. Comment limiter les champs d’orties. J’ai une partie de .on terrain envahi par les orties et je ne parviens pas à limiter leur invasion. Je suppose que c’estun déséquilibre du sol mais..... par contre, dans la partie potager, je maîtrise. Merci pour la réponse
Il suffit de faucher plusieurs fois par an, ça finira par devenir une prairie. Plus vous faucherez fréquemment et plus l'ortie régressera rapidement. Pour accélérer le processus vous pouvez semer la prairie vous-même. Par exemple : -Première fauche et enlèvement du produit, ou broyage (tondeuse), en Mars-Avril quand le sol est déjà un peu réchauffé. -Grattouillage pour égaliser et faire de la terre fine. -Semis de prairie et re-grattouillage. -Fauches ou broyages ensuite, plusieurs fois dans l'année (faites à l'oeil).
Les orties sont généralement indicatrices d'un excès d'azote à cet endroit (proche d'un champ cultivé, lessivage vers chez vous ?). Sinon, si vous souhaitez les utiliser, les orties sont un excellent engrais organique en frais et jeunes(les tomates adorent), ça fait un paillage décent une fois vieilles (les battre pour casser les poils urticants), et ça fait une soupe que je trouve délicieuse ! Voir plus haut si elles prennent vraiment trop de votre terrain pour vous en débarrasser par contre.
@@brunetyannick1174 C’est ce que je croyais aussi. Mais là, elles poussent où il y a beaucoup de pierres de sable et où je n’ai jamais pu faire pousser quelque chose. Pas de lessivage possible, le champs derrière est en contrebas, et il y a le potager entre les 2. Les voisins ont une haie champêtre comme clôture et une pelouse rase en guise de jardin.
Je pense qu'il est bien de demander au terrain, par le biais de son intuition, ce qu'il serait bon de mettre en place. Si on arrive à "écouter" la nature y a pas besoin d'étudier l'agronomie...votre façon de tatonner vers la solution me plaît.
Bien sûr que si, il est nécessaire de s'appuyer sur l'expérience des prédécesseurs pour avancer. Laurent Welsch a de bonnes bases théoriques, malgré l'image de poète inspiré qu'on peut lui coller, et il se tient à jour des derniers développements des sciences et techniques agricoles sur sol vivant. Vous ne comprendrez rien à ce qu'il fait si vous vous arrêtez à sa dimension romantique.
je ne dis pas que les connaissances scientifiques sont inutiles mais juste pas forcément indispensables. Et qu'une bonne connection avec la nature peut guider les choix, ce n'est pas du romantisme mais une méthode alternative. L'idéal est peut- être la fusion des 2 méthodes...@@baptistegilbert6421
Ou puis-je trouver ses coordonnées pour définir d une dar qui lui convient .. car après quelques recherches je n'ai trouvé qu un numéro finissent par .. 6370 qui me paraît être pour les commende de légumes..
Bonjour. J esaie ausi de ravailler de cette façon, j ai encore un peu de travail du sol puisque c est seulement ma troisieme annee (grelinette et houe). Je pars sur des ancienne cultures de ble dan's les Alpes de haute Provence a 1000 m. J ai eu des resultats correct avec de l ail rose , cette annee mes tomates vont bien juque la. Je serai Ravi de pouvoir echanger plus amplement. David
Wouahouh ! Extraordinaire ! Du baume au coeur ! Je n'ai trouvé qu'une seule autre personne qui travaille sur le même principe : François Mulet. th-cam.com/video/p_XdrHMZrzQ/w-d-xo.html et th-cam.com/video/Yyoff5tLMwE/w-d-xo.html
Réfléchi au fait qu'en soit une herbe pousse car il y'a un sens au fait qu'elle pousse a tel ou tel endroit, il préfère donc nommé spontanée une plante qui certe est non désirée mais qui n'a rien fait de mal en soit
Mauvaise herbe est un terme apparu assez récemment, qui découle de l'exode rural et de la simplification à l'extrême des paysages. Qualifier de mauvais quelque chose pousse automatiquement à le combattre, à le détruire, à s'en méfier et ne pas chercher à le comprendre. Sémantique dangereuse qu'il est bon de déconstruire. Spontanée, à contrario, nous fait comprendre que leur apparition dans certaines conditions est toute naturelle, et que ce n'est pas l'herbe, mais la gestion et les pratiques humaines les faisant apparaître qui est "mauvaise" (du point de vue de la fonction des sols). Annuler Répondre
C'est si rare de réfléchir dans ce sens ?
Bravo
Merci, toujours un plaisir d'écouter Laurent
toujours aussi passionnant tes réflexions agronomiques et spirituelles. Bravo et merci
Que d'humilité encore. Merci Max, merci Laurent !!!
Sa conférence et son récent livre m'ont décidée à tenter, comme Yan Lopez, l'aventure des couverts végétaux (différence entre couverts végétaux et engrais verts) associés aux plantes de culture : cela est dans le sens du vivant... donc cela est complexe et en effet pas réductible à une méthode. Passionnant !
Instructif et toujours plaisant d'écouter Laurent Welsch et sa sagesse
Incroyable, il faut que cet homme écrive un livre.
Ce serait juste de l'or en papier !
Fukuoka en a écrit il y a 30 ans déjà ;)
Toujours autant de plaisir à écouter ses observations
Ah vraiment. Il faut encourager ce genre d'initiatives, naturelles tout simplement. Force aux résistants du jardinage ! 🤗😊❤️
OUI, l'esthétique est fondamentale ! ce qui est beau est "nourrissant" !
Magnifique, merci; C'est beau, la vie ;)
Je ne me lasse pas de l'écouter 😊 un poète. Il parle avec tant d'amour pour ses végétaux.
Lisez Fukuoka alors ;)
@@MrKermitt71 C'est fait ;)😍
@@MrKermitt71 la révolution d'un brin de paille ? c'est ca ?
@@CharmfouMariage Oui, "la révolution d'un seul brin de paille" est un livre essentiel. Il y a aussi "semer dans le désert" et le livre de Larry Korn qui sont très intéressants.
Très belle vidéo. Merci ❤
magnifique merci
Merci pour cette vidéo apaisante. Que d’explications et de réflexion claire.
Bravo. Je m’abonne 😊❤
Bonjour j ai bcp aimé cette vidéo explicatve ds le calme. Mille mercis. J aime bcp votre humilité
Bonjour, bravo et merci.
Très bien le couvert, mais une année humide comme cette année en haute marne comment ne pas avoir un excès de limaces?merci
chapeau pour le coté joli , au lieu de la grosse production .merci
Excellent, bravo pour votre travail.
SUPER RETOUR D EXPERIENCE
Merci, merci et merci.
Grâce à vous.
Merci super doc ❤❤❤
Merci Monsieur ! 😊
je suis en train de lancer une planche expérimentale de culture sur couvert permanent. ta vidéo est inspirante. merci.
je suis en climat méditerranéen. ça va certainement compliquer les choses.
l'an prochain je te dirai où j'en serai !!!
En fait il s'agit de cultiver en bandes (bêchées ou mulchées ou avec engrais vert détruit avant la plantation ou bâchées) avec entre-rang enherbé et entretenu par le fauchage/tonte, un peu comme les vignes.
Chouette vidéo, merci 🙂
MERCI ❤
Sur le sujet de la culture sur couverts permanents, voir les essais de Francis Mulet aux Serres de Marcel (Ver de terre production).
Peut on survivre avec ce travail d'artiste?
Peut-être un jour si l'on continu de faire fonctionner notre ciboulot et de rester créatif face aux enjeux de demain !
Peut-être un jour si l'on continu de faire fonctionner notre ciboulot et de rester créatif face aux enjeux de demain !
Salut Maxime, merci pour ce docu et la participation sur la terrain pour bien comprendre. Ainsi, pour résumé la pratique de rotation de Laurent : bâche - culture pdt, courgettes, haricots - on retire la bâche et après semis engrais verts pour cultiver après fauchage et sous couvert la suite des légumes... ? Merci et bien a toi
@@goelejardinier7126
Salut, l'itinéraire technique de base c'est culture sur bâche et ensuite, après avoir enlever la bâche on seme à la fois des rangs d'engrais verts type féverole/blé par exemple, qui seront détruit pour accueillir la culture, et entre ces rangs un mélange de prairie (donc des pérennes) qui seront tondu tout au long de la saison ;)
@@dvmaxlou Ok merci pour ta réponse et la culture de légumes entre les rangs d'engrais vert, sous le couvert. la bache se remet sur les partie prairie et ainsi de suite. En pratique, une bache se laisse pas trop longtemps ? C'est Geoffroy pour les trogne normande ;)
Chic chic chic ! Merci !
Belle vidéo très lucide sur la capacité de production de système que l'on nous vend en perma...
Installé depuis 7 ans j'ai été confronté a ce type de dilemme et d'expérimentation, avec même résultats.
Il faut énormément de compétences et de chance (facteurs extérieurs trop nombreux) pour installé des systèmes autonomes et symbiotique, pour beaucoup ce n'est réalisable que sur papier.
Force a toi.
Ps: c'est quoi ton Renault? N70 le mien
Bonjour, j adore vos VDO, et la tondeuse de Laurent! Ce serait ce qu il me faut, quelle est la marque? Merci!,😊
Dans le processus, est ce que les graines semées on été récoltées sur les précédentes cultures ? ll faut produire et utiliser nos propres semences, Parce que sinon le systeme n'est pas cohérent.
Le métier de maraîcher est déjà si compliqué que récolter ses propres semences est difficile et chronophage. Et pourquoi est-ce que le système ne serait pas cohérent car on achète des semences? A part dans une logique d'autarcie c'est cohérent. On ne peut pas faire tout tout seul.
@@RHIMYM Si les semences ne sont pas issues d'une monoculture intensive, pourquoi pas. J'ai toujours en tête la philosophie de Fukuoka. Si l'on veut "sauver" la nature il faut déjà se ré-integrer à elle. Il y a une conférence de Yann Lopez, maraicher en agriculture naturelle, très intéressante et visible sur youtube, si ça vous intéresse.
@@MrKermitt71 je suis totalement d'accord. C'est juste qu'il faut comprendre qu'il y a des réalités pragmatiques et économiques et que parfois il faut faire des sacrifices sur certains points ( par exemple: un maraîcher n'a pas forcément le temps de faire ses semences de couverts végétaux)
@@RHIMYM oui, tout à fait. Et tant que les "sacrifices" ne sont pas au détriment de la nature. il y eu des époques ou l'homme faisait partit de la nature et tout se passait bien. Le capitalisme et la consommation l'a fait s'en éloigner. Toute personne possédant un bout de terrain devrait le cultiver. La "plus ou moins" "autonomie" est à mon avis la seule solution viable à long terme pour s'en sortir. Il faut de toute façon abandonner l'agriculture à grande et moyenne échelle car cette forme d'agriculture (meme bio) mène quoi qu'il arrive à la désertification des sols. Revenir à une certaine forme de sobriété.
@@MrKermitt71 avec l'agriculture de régénération on a prouvé qu'on peut le faire a grande échelle
🙏
C’est une question. Comment limiter les champs d’orties. J’ai une partie de .on terrain envahi par les orties et je ne parviens pas à limiter leur invasion. Je suppose que c’estun déséquilibre du sol mais..... par contre, dans la partie potager, je maîtrise. Merci pour la réponse
Il suffit de faucher plusieurs fois par an, ça finira par devenir une prairie. Plus vous faucherez fréquemment et plus l'ortie régressera rapidement. Pour accélérer le processus vous pouvez semer la prairie vous-même.
Par exemple :
-Première fauche et enlèvement du produit, ou broyage (tondeuse), en Mars-Avril quand le sol est déjà un peu réchauffé.
-Grattouillage pour égaliser et faire de la terre fine.
-Semis de prairie et re-grattouillage.
-Fauches ou broyages ensuite, plusieurs fois dans l'année (faites à l'oeil).
@@baptistegilbert6421
Merci
Les orties sont généralement indicatrices d'un excès d'azote à cet endroit (proche d'un champ cultivé, lessivage vers chez vous ?). Sinon, si vous souhaitez les utiliser, les orties sont un excellent engrais organique en frais et jeunes(les tomates adorent), ça fait un paillage décent une fois vieilles (les battre pour casser les poils urticants), et ça fait une soupe que je trouve délicieuse !
Voir plus haut si elles prennent vraiment trop de votre terrain pour vous en débarrasser par contre.
@@brunetyannick1174
C’est ce que je croyais aussi. Mais là, elles poussent où il y a beaucoup de pierres de sable et où je n’ai jamais pu faire pousser quelque chose. Pas de lessivage possible, le champs derrière est en contrebas, et il y a le potager entre les 2. Les voisins ont une haie champêtre comme clôture et une pelouse rase en guise de jardin.
Je pense qu'il est bien de demander au terrain, par le biais de son intuition, ce qu'il serait bon de mettre en place. Si on arrive à "écouter" la nature y a pas besoin d'étudier l'agronomie...votre façon de tatonner vers la solution me plaît.
Bien sûr que si, il est nécessaire de s'appuyer sur l'expérience des prédécesseurs pour avancer. Laurent Welsch a de bonnes bases théoriques, malgré l'image de poète inspiré qu'on peut lui coller, et il se tient à jour des derniers développements des sciences et techniques agricoles sur sol vivant.
Vous ne comprendrez rien à ce qu'il fait si vous vous arrêtez à sa dimension romantique.
je ne dis pas que les connaissances scientifiques sont inutiles mais juste pas forcément indispensables.
Et qu'une bonne connection avec la nature peut guider les choix, ce n'est pas du romantisme mais une méthode alternative.
L'idéal est peut- être la fusion des 2 méthodes...@@baptistegilbert6421
Bonjour je suis actuellement en reconversion professionnelle et mon projet est proche au vautre est il possible de venir visiter vautre jardin ?
Oui je pense que Laurent sera ok pour que vous veniez visiter le jardin
Ou puis-je trouver ses coordonnées pour définir d une dar qui lui convient .. car après quelques recherches je n'ai trouvé qu un numéro finissent par .. 6370 qui me paraît être pour les commende de légumes..
La vie est belle
Oh, le même outil manuel que moi !
putain le nid de bourdons royal franchement en plus oui ils aiment les fèves , info en or merci
ça ressemble à la syntropie ????
Au lieu d'arracher la féverole, pourquoi ne pas la rouler avec un rouleau Faca?
Bonjour. J esaie ausi de ravailler de cette façon, j ai encore un peu de travail du sol puisque c est seulement ma troisieme annee (grelinette et houe).
Je pars sur des ancienne cultures de ble dan's les Alpes de haute Provence a 1000 m.
J ai eu des resultats correct avec de l ail rose , cette annee mes tomates vont bien juque la.
Je serai Ravi de pouvoir echanger plus amplement.
David
Wouahouh ! Extraordinaire ! Du baume au coeur !
Je n'ai trouvé qu'une seule autre personne qui travaille sur le même principe : François Mulet.
th-cam.com/video/p_XdrHMZrzQ/w-d-xo.html et th-cam.com/video/Yyoff5tLMwE/w-d-xo.html
Masanobu Fukuoka, une référence !
Pourquoi s’empêche t’il de dire ”mauvaise herbe” ?
Réfléchi au fait qu'en soit une herbe pousse car il y'a un sens au fait qu'elle pousse a tel ou tel endroit, il préfère donc nommé spontanée une plante qui certe est non désirée mais qui n'a rien fait de mal en soit
Aucune herbe est mauvaise, elles ont toutes une raison d'être la avec des qualités qui sont parfois oublié :)
Mauvaise herbe est un terme apparu assez récemment, qui découle de l'exode rural et de la simplification à l'extrême des paysages. Qualifier de mauvais quelque chose pousse automatiquement à le combattre, à le détruire, à s'en méfier et ne pas chercher à le comprendre.
Sémantique dangereuse qu'il est bon de déconstruire.
Spontanée, à contrario, nous fait comprendre que leur apparition dans certaines conditions est toute naturelle, et que ce n'est pas l'herbe, mais la gestion et les pratiques humaines les faisant apparaître qui est "mauvaise" (du point de vue de la fonction des sols).
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